Td corrigé charte des examens - Université Paris Nanterre pdf

charte des examens - Université Paris Nanterre

15 mai 1995 ... 9) L'étudiant a le droit de voir une fois sa copie d'examen, en présence d'un ..... Le partiel, épreuve organisée et corrigée sous la direction du responsable ..... de Eisenstein à Gilles Deleuze, d'Aristote à Stanislavski, Craig, Piscator ? ... biographie, filmographie, revue de presse, dossier dramaturgique?




part of the document




CHARTE DES EXAMENS
(votée par le CEVU du 15/05/95 et le CA du 22/05/95 et actualisée par le CEVU du 17/06/2002 et ratifiée par le CA du 24/06/2002)

La charte des examens a pour but d’assurer la régularité dans la forme des examens de l’Université afin de garantir la qualité des diplômes décernés et, à cette fin, elle énonce des principes et énumère des droits et devoirs des enseignants, des étudiants et des personnels administratifs de l’Université.
Elle s’applique à toutes les UFR, instituts et services communs pour tous les partiels de la formule d’examen standard et pour tous les examens terminaux des formules d’examen standard, pour l’enseignement à distance et dérogatoire.
Les mêmes règles s’appliquent en principe aux étudiants présentant un handicap, y compris lorsqu’ils bénéficient d’aménagements en leur faveur (temps majoré, assistance d’un secrétariat ou aide technique, etc.).


1/ LES ENSEIGNANTS
Les enseignants doivent, pour les matières dont ils ont la responsabilité, fournir un sujet, en précisant la durée de l’épreuve, la modalité et, s’il y a lieu, les documents et matériels autorisés pour cette épreuve.
Ils doivent surveiller personnellement et effectivement le déroulement de l’examen, en corriger les copies, reporter les notes sur les documents adéquats et participer aux délibérations de jury rendant ces notes définitives, et, conformément aux dispositions réglementaires, ils doivent recevoir les étudiants qui en font la demande après la délibération.


2/ LES ETUDIANTS
L’étudiant doit respecter les règles usuelles des examens ainsi que celles qui sont propres à l’épreuve qui leur est proposée. Il est notamment rappelé :
1) L’étudiant doit composer personnellement et seul, sous réserve des dispositions applicables aux étudiants handicapés. Il ne doit pas communiquer avec les étudiants qui composent dans la même salle.
2) Les étudiants présentant un handicap (provisoire ou permanent) doivent obligatoirement avoir consulté le service de Médecine Préventive (SMPU) avant la période de préparation des sessions d’examens. Le SMPU détermine les mesures d’aménagements spécifiques (temps majoré, assistance technique, secrétariat…) individuelles et les communique aux UFR.
Les problèmes particuliers dans les cas exceptionnels où certaines règles communes s’avèreraient inapplicables aux étudiants handicapés bénéficiant de mesures d’aménagements devront être examinés et réglés, dans la période de préparation de chaque session, par une commission réunissant, sous le présidence du Vice-Président du CEVU, les responsables du SMPU, du Service Handicaps et Accessibilités, les responsables administratifs et les responsables pédagogiques (le directeur de l’UFR ou un enseignant appartenant à l’équipe de direction de l’UFR) de chaque UFR. En cas d’urgence, les décisions devront être prises par le Directeur de l’UFR ou son représentant. Les litiges sont tranchés par le Président de l’Université.

3) L’étudiant ne doit pas conserver par-devers lui de documents relatifs à l’épreuve en cours sauf indications contraires portées sur le sujet. Quand des documents, nécessaires à l’épreuve, sont apportés par l’étudiant, ils sont à son usage et ne doivent pas être communiqués à d’autres. Il ne doit disposer d’aucun matériel de télécommunication.

4) L’étudiant compose sur une copie anonymable, des intercalaires et des brouillons fournis par l’Université. Il doit remettre une copie et une seule, même blanche. Les copies et intercalaires, avant, durant et après l’examen sont et restent la propriété de l’Université.

5) Aucun étudiant ne peut abandonner l’épreuve durant le premier tiers de sa durée, ni avant la formalité d’émargement. Celui qui quitte la salle d’examen sans remettre de copie sera considéré comme défaillant.

6) L’étudiant qui arriverait après la distribution des sujets, est autorisé à composer pendant le temps restant. Il est entendu que cette possibilité n’est accordée que si son retard n’excède pas le tiers du temps de l’épreuve et si aucun sujet n’a été sorti de la salle.

7) Les étudiants ont droit à passer leurs épreuves dans les meilleures conditions. En particulier, ils ne doivent pas être au coude à coude et la circulation du personnel chargé de la surveillance ou de l’émargement, doit être rendue possible en laissant vide une travée sur deux. L’interdiction de fumer prescrite par la loi doit être absolue. Les étudiants ne doivent pas être gênés par des conversations inopportunes.

8) La sortie durant l’épreuve est exceptionnelle, ne peut intervenir avant le premier tiers de sa durée et ne peut être autorisée qu’à un étudiant à la fois dans le cas où la disposition des lieux ne permet pas d’avoir des toilettes attenantes à la salle d’examen. L’étudiant ne devra emporter ni sujet, ni copie, ni communiquer, ni consulter de document ayant trait à l’épreuve. Tout manquement, toute absence indûment prolongée, seront impérativement consignés au procès verbal de l’épreuve.

9) L’étudiant a le droit de voir une fois sa copie d’examen, en présence d’un membre du personnel enseignant ou du personnel administratif, ce droit peut s’exercer pendant une année après la délibération de jury ayant rendu la note définitive. Durant cette consultation, l’Administration ne se dessaisit pas de la copie. L’étudiant peut demander, à ses frais, une reproduction de sa copie d’examen.

3/ LE PERSONNEL ADMINISTRATIF
Le personnel administratif concourt au bon déroulement des épreuves d’examens qui ont lieu dans l’Université, notamment :
en fournissant la liste d’émargement des étudiants de l’épreuve,
en préparant les salles et disposant les copies selon le plan prévu,
en prenant les dispositions adaptées aux étudiants handicapés,
en s’assurant, le cas échéant, assisté du responsable de la salle, de l’identité de l’étudiant, et en le faisant émarger,
en assistant au décompte des copies en fin d’épreuve,
en conservant les notes et les copies des examens terminaux après délibérations.
En aucun cas, le personnel administratif ne peut se substituer aux enseignants pour les tâches qui leur incombent.

SUITE EN PAGE 3 DE COUVERTURE




Domaine Arts, Lettres et Langues




 EMBED MSPhotoEd.3 

UFR Littérature, Langage et Philosophie

Bâtiment L


Livret pédagogique

Licence mention Arts du spectacle : Cinéma et Théâtre



Année 2006/2007

Brochure gratuite





















UFR Littératures, Langages et Philosophie

Directrice : Madame Anne Videau
Directeur-adjoint : M. Jean-François Pradeau
Responsable administrative : Mme Laurence Guerrini, bureau L 103
Coordination de la Scolarité: Mme Suzie Zilmia Zitte bureau L105
Secrétariat de l’UFR: Mme Muriel Schmutz-Gandais, bureau L 101
Bibliothèque : L 207
Site Internet de l’UFR : http://www.u-paris10.fr puis choisir UFR LLPhi dans le menu « composante » puis le département.



Le Département des Arts du spectacle

Direction du département
Mr Kleinberger Alain
Bâtiment L, bureau R15bis
Tél. : 01 40 97 77 58
Mr Faivre Bernard (Théâtre)
Bâtiment L, bureau 224
Tél. : 01 40 97 56 22
Mail : Artsduspectacle@u-paris10.fr
Secrétariat pédagogique : Bureau L112
Béatrice Delcourt
Tél. : 01 40 97 73 06/7304
Fax : 01 40 97 47 11
Mail : Artsduspectacle@u-paris10.fr

Locaux spécifiques :
bibliothèque Arts du Spectacle - Salle de lecture - Billetterie Salle L 207 – Tél. : 01.40.97.75.79
salle de consultation vidéo : salle de lecture de la bibliothèque de lettres – salle L 322 & R15 bis
salle d'exercices pratiques : Salles 125, L 118 – 119 & 215
salle de théâtre Bernard-Marie Koltès : 1re étage du bâtiment L
salle de projection, Amphithéâtre Henri Lefebvre :Rez-de-chaussée du bâtiment B
Manifestations et rencontres artistiques

Le département des Arts du spectacle contribue activement au développement des activités culturelles de l'Université de Paris X, en proposant différents types de manifestations et de rencontres artistiques ouvertes aux étudiants de tous les départements :
des sorties au théâtre sont régulièrement organisées et suivies, dans les locaux de l'Université, de débats avec les créateurs,
des projections de films avec débats sont programmées tout au long de l’année,
un festival annuel de vidéos réalisés par des étudiants,
un festival « Scènes Ouvertes » organisé au printemps,
des stages relatifs à la pratique théâtrale sont proposés chaque année, notamment par les compagnies de théâtre et de danse en résidence à l’université,
les étudiants de certains ateliers pratiques présentent publiquement le résultat de leur travail dans le 2e semestre de l'année universitaire.

Par ailleurs, de nombreuses actions communes sont réalisées en collaboration avec le Théâtre des Amandiers de Nanterre et la plupart des grandes institutions théâtrales de la région : Comédie française, Odéon, Colline, Théâtres de la Tempête, de Gennevilliers, de Sartrouville, Théâtre Gérard Philipe, Théâtre Ouvert…






CALENDRIER UNIVERSITAIRE ANNEE 2006 – 2007

PREMIER SEMESTREDEUXIEME SEMESTRE
Rentrée universitaire :
Lundi 9 octobre 2006

Fin des enseignements :
Samedi 20 janvier 2007

Vacances de Noël :
Du samedi 23 décembre 2006 après les cours
Au lundi 8 janvier 2007 au matin

Semaine banalisée (révisions et rattrapages) :
Du lundi 22 au samedi 27 janvier 2007

Examens :
Du lundi 29 janvier au samedi 10 février 2007

Vacances d’Hiver :
Du samedi 24 février après les examens
Au lundi 5 mars 2007 au matin
Reprise des cours :
Lundi 12 février 2007

Fin des enseignements :
Samedi 2 juin 2007 après les cours

Vacances de Printemps :
Du samedi 7 avril après les cours
Au lundi 23 avril 2007 au matin

Semaine banalisée (révisions et rattrapages) :
Du lundi 4 juin au samedi 9 juin 2007

Examens :
Du lundi 11 juin
Au samedi 23 juin 2007

Jury de la première session :
Au plus tard le vendredi 6 juin 2007




Examens de la session de septembre : Du lundi 3 septembre au samedi 15 septembre 2007

Jury de la seconde session : Du lundi 17 septembre au vendredi 28 septembre 2007
Schéma 2 : le schéma des études supérieures
A l’issue de la réforme « L-M-D »


Grade de docteur






Grade de Master
300 crédits




Grade de Licence 
180 crédits




































La mise en œuvre de la réforme « L-M-D » à Paris X-Nanterre

Des parcours de formation personnalisés
Les textes réglementaires relatifs à la licence et au Master laissent aux établissements beaucoup plus d’autonomie que par le passé dans la définition des contenus et des modalités de contrôle des connaissances.
Dans ces mêmes textes, l’accent est mis sur la nécessité de construire l’offre de formation de telle sorte que les étudiants puissent se construire un parcours personnalisé en fonction de leurs acquis, de leurs objectifs et de leurs centres d’intérêt avec des possibilités de changer d’orientation à tous les niveaux. Toutefois, pour que les choix des étudiants soient cohérents, aucun parcours totalement à la carte ne leur est proposé. L’individualisation se fait au sein de « parcours types* » proposés par les établissements.
Pour construire ses parcours types, Paris X-Nanterre s’est dotée de quelques règles communes à toutes ses composantes, à tous ses domaines de formation et aux deux niveaux : licence et master.
La définition des crédits
Il est considéré qu’en moyenne, pour valider un semestre, un étudiant doit consacrer de 600 à 750 heures de son temps à ses études. Il en résulte qu’un crédit équivaut à une charge de travail comprise entre 20 et 25 heures**. Le travail en présentiel, c’est à dire, les cours magistraux, les travaux dirigés, les travaux pratiques ou les séminaires, ne peut excéder 50% de la charge totale de travail.
Cette norme d’un crédit pour 20 à 25 heures de travail est retenue, en France et en Europe par la plupart des établissements d’enseignement supérieur.
Une typologie des unités d’enseignement
Les parcours types sont des ensembles d’unités d’enseignement articulées entre elles de façon à assurer les objectifs assignés à la formation. Afin de rendre lisibles les parcours de formation et de répondre aux exigences des textes réglementaires, les unités d’enseignement sont regroupées en trois catégories :
Les unités d’enseignement fondamental (UEF) regroupent les enseignements et les activités jugés indispensables pour que l’étudiant puisse prétendre à l’issue de son parcours de formation être diplômé en…
Les unités d’enseignement complémentaire (UEC) regroupent les enseignements ou les activités qui permettent à l’étudiant de construire son projet d’études et son projet d’insertion professionnelle, d’acquérir des méthodes, d’acquérir la maîtrise d’au moins une langue vivante ou une langue ancienne et d’acquérir des connaissances ou des compétences complémentaires à celles transmises dans les unités d’enseignement fondamental. Ces unités d’enseignement complémentaires constituent la part d’individualisation dans la construction des parcours.
Les unités d’enseignement UE Libre (UEL) regroupent les enseignements et les activités que l’étudiant peut choisir une UE librement éventuellement en dehors de son UFR et de sa discipline dans une liste pré-définie. Ces enseignements et activités visent sa culture générale, son épanouissement, l’acquisition de compétences transverses… Parmi ceux-ci sont proposés des enseignements ou des activités assurés par le Service Universitaire des Activités Physiques et Sportives (SUAPS) et par le Service des Affaires Culturelles.
Parmi les Unités d’enseignement complémentaire, sont offertes des unités de renforcement de la discipline majeure et des unités d’enseignement d’une discipline mineure.
Les unités de renforcement disciplinaire regroupent des enseignements ou des activités qui permettent à l’étudiant qui les choisit d’étendre ces connaissances et ses compétences dans le champ de la discipline qui définit le diplôme qu’il prépare ou de combler d’éventuelles lacunes.
Les unités d’enseignement d’une discipline mineure sont proposées à l’étudiant dans le souci d’élargir sa culture générale et de lui permettre une orientation progressive. La « discipline mineure *» se définit comme une discipline qui entretient des liens avec la discipline qui définit le diplôme préparé. Ces unités d’enseignement reprennent tout ou partie des unités d’enseignement fondamental proposées dans le cadre des parcours de formation qui aboutissent à un diplôme de cette discipline.

Le poids en crédits de chaque type d’unités d’enseignement
Type d’unités d’enseignementLicenceMasterUEFDe 50 à 60% des 180 créditsAu moins 60% des 120 créditsUECDe 30 à 40 % des 180 créditsAu moins 10% des 120 créditsUELDe 5 à 15% des 180 créditsAu moins 5% des 120 crédits

Les parcours de formation conduisant au grade de licence

Les parcours pré-licence doivent permettre aux étudiants de s’orienter progressivement selon leurs capacités et selon leurs projets. Cette orientation vise d’abord le choix de la discipline étudiée ou éventuellement des disciplines. Pour cela l’accent est mis sur la bidisciplinarité voire la pluridisciplinarité. Cette orientation vise ensuite le choix entre une insertion professionnelle immédiate et la poursuite d’études.
Selon les combinaisons d’UE qu’elles ont retenues, les UFR peuvent proposer 4 catégories de parcours types en licence qui répondent à ces préoccupations et qui peuvent déboucher sur des licences professionnelles qui sont désormais intégrées ou sur des licences plus générales visant la poursuite d’études en master.

Les parcours monodisciplinaires
Dans ces parcours l’étude d’une discipline mineure est limitée au premier et au deuxième semestres de la licence. L’accent est mis dans les unités d’enseignement complémentaire sur les enseignements méthodologiques, sur le renforcement disciplinaire, ou sur l’orientation post licence aux travers d’enseignements de découverte ou de pré-professionnalisation.
La réorientation dans une discipline mineure est possible à l’issue du premier ou du deuxième semestre, avec des rattrapages à effectuer.

Les parcours Majeure/ Mineure
Dans ces parcours, l’étude d’une même discipline mineure est rendue possible au cours des six semestres de la licence, permettant ainsi aux étudiants d’acquérir une double compétence.
La réorientation dans la discipline mineure étudiée est possible à l’issue de chacun des 4 premiers semestres de la licence, avec des rattrapages limités dès lors que l’étudiant a validé tous les semestres qui précèdent la réorientation.














Validation des enseignements
et structuration des parcours de formation

Principes généraux
Les parcours de formation doivent être organisés de façon à permettre une progression pédagogiquement cohérente des étudiants à l’intérieur. En particulier, celle-ci doit être assurée pour les enseignements fondamentaux. Dès lors, la construction des parcours est liée aux règles de validation des enseignements et aux règles de passage d’un semestre à un autre.
De ce point de vue, l’établissement a distingué la licence du master. Dans la première, l’accent est mis sur l’acquisition des fondamentaux mais aussi sur le fait que l’étudiant, en particulier la première année, a besoin d’un temps d’adaptation plus ou moins long, qui peut excéder le semestre universitaire.
Il s’ensuit :
- une annualisation de la licence dans le sens où est instaurée une compensation entre les semestres 1et 2, les semestres 3 et 4 et les semestres 5 et 6.
- l’instauration d’une double moyenne en licence pour le passage au niveau supérieur. L’étudiant doit obtenir un résultat supérieur ou égal à 10 à la moyenne des unités d’enseignement et un résultat supérieur ou égal à 10 à la moyenne des unités d’enseignement fondamental.
Les modalités de contrôle des connaissances et les formules d’examen
La formule d’examen décrit pour chaque étudiant et pour chaque étape de diplôme à laquelle il est inscrit administrativement et pédagogiquement, les modalités de son évaluation. Trois formules d’examen peuvent être appliquées :
La formule d’examen standard 
La formule d’examen pour l’enseignement à distance
La formule d’examen dérogatoire

la formule d’examen standard :
Elle s’applique à tous les étudiants sauf à ceux qui préparent leur(s) diplôme(s) dans le cadre de l’enseignement à distance et sauf dérogation. Pour chaque élément pédagogique (UE ou EC) au niveau duquel s’opère l’évaluation de l’étudiant, elle peut se décliner en deux versions : le contrôle continu et l’examen terminal.
- Le contrôle continu est une succession d’épreuves, de nature diverse, qui vise à vérifier ponctuellement les acquis de l’étudiant. Ces épreuves sont appelées travaux ponctuels. A ces travaux ponctuels peut s’ajouter une épreuve finale qui est une épreuve récapitulative se déroulant à la fin de l’enseignement. Cette épreuve finale peut prendre deux formes :
Le devoir final organisé et corrigé par l’enseignant dans le cadre des groupes qui composent la population inscrite à l’élément pédagogique.
Le partiel, épreuve organisée et corrigée sous la direction du responsable de l’équipe pédagogique, commune à tous les étudiants inscrits à l’élément pédagogique.
( L’examen terminal est une épreuve récapitulative se déroulant à l’issue de l’enseignement et commune à l’ensemble de la population étudiante inscrite à l’élément pédagogique considéré.

La formule d’examen pour l’enseignement à distance :
Elle s’applique à tous les étudiants qui souhaitent et peuvent bénéficier de l’enseignement à distance. Elle prend exclusivement la forme et pour tous les éléments constitutifs, de l’étape de diplôme ou du diplôme, auxquels est inscrit l’étudiant, d’un examen annuel terminal.

La formule d’examen dérogatoire :
Elle s’applique aux étudiants qui ne peuvent pas ou ne souhaitent pas bénéficier de l’enseignement à distance mais qui sont dispensés d’assiduité aux enseignements présentiels délivrés en groupe. Elle prend la forme exclusive et pour tous les éléments pédagogiques de l’étape de diplôme ou du diplôme, auxquels est inscrit l’étudiant d’un examen terminal dérogatoire.

La prise en compte des absences, des dispenses et des crédits acquis
Les absences :
Un étudiant reconnu absent au cours du semestre à plus de trois séances de travaux dirigés ou à plus de trois séances de travaux pratiques organisés dans le cadre d’un élément pédagogique est déclaré défaillant à celui-ci, que l’absence soit justifiée ou non.
Un étudiant reconnu absent à une épreuve d’un élément constitutif d’une UE ou à une épreuve d’une UE, est déclaré défaillant à cet élément pédagogique, que l’absence soit justifiée ou non
Dès lors que l’étudiant est déclaré défaillant à un EC ou à une UE, les compensations ne peuvent plus s’effectuer.

Les dispenses
Une dispense d’enseignement est l’autorisation pour un étudiant à ne pas suivre l’enseignement relatif à un élément pédagogique. Cependant celui-ci doit obligatoirement passer les examens.
Une dispense d’examen est en plus de l’autorisation de ne pas suivre l’enseignement relatif à un élément pédagogique, l’autorisation de ne pas passer les épreuves qui y sont associées.
Une dispense est valable uniquement pour l’année en cours.
Un étudiant dispensé d’examen sur un élément pédagogique particulier voit celui-ci neutraliser dans le calcul des résultats par l’affectation d’un coefficient de pondération égal à zéro. Les crédits associés à cet élément ne sont acquis qu’à l’issue de la session d’examen suite à l’obtention de l’UE, du semestre ou de l’année.

La validation des acquis
L’étudiant qui bénéficie de validations d’acquis au titre d’éléments constitutifs ou d’unités d’enseignement acquis et capitalisés voit les crédits correspondants transférés. Les éléments pédagogiques ainsi validés sont neutralisés dans la détermination des résultats par l’affectation d’un coefficient de pondération égal à zéro .

Les règles de compensation, de capitalisation et de progression en licence
La composition des unités d’enseignement
Disposition n°1 : Une unité d’enseignement peut être composée d’un ou de plusieurs éléments constitutifs et l’évaluation des étudiants peut être organisée, y compris lorsqu’il y a plusieurs éléments constitutifs au niveau de l’UE.

La détermination du résultat de l’étudiant
Disposition n°2 : Si l’évaluation des étudiants s’opère au niveau de chacun des éléments constitutifs de l’UE, le résultat obtenu à celle-ci est donné par la moyenne pondérée des notes acquises aux éléments constitutifs (compensation intra UE).
Disposition n°3 : Les UE d’un même semestre se compensent entre elles compte tenu de leur coefficient de pondération (Compensation intra semestre)
Disposition n°4 : Les premier et deuxième semestres de la licence se compensent. Il en est de même des troisième et quatrième semestres et des cinquième et sixième semestres.
Disposition n°5 : Si le résultat obtenu à l’année est supérieur ou égal à 10, et si la moyenne obtenue aux UE fondamentales, compte tenu des coefficients de pondération est supérieur ou égal à 10 l’étudiant est déclaré admis. Une mention est alors attribuée selon le résultat obtenu à l’année :
Passable si : EMBED Equation.3
Assez bien si : EMBED Equation.3
Bien si : EMBED Equation.3
Très bien si : EMBED Equation.3
Sinon l’étudiant est déclaré non admis.
Si la compensation ne peut s’effectuer en raison d’une défaillance à un EC, à une UE ou à un semestre, l’étudiant est déclaré défaillant
Disposition n°6 : Si le résultat obtenu à un semestre est supérieur ou égal à 10, et si la moyenne obtenue aux UE fondamentales du semestre est supérieure ou égale à 10 l’étudiant est déclaré admis à celui-ci. Cependant, aucune mention n’est attribuée.
Si le résultat obtenu au semestre est inférieur à 10 mais que l’étudiant est admis à l’année, il est aussi déclaré admis par compensation au semestre considéré.
Si le résultat obtenu au semestre est inférieur à 10 et que l’étudiant est non admis à l’année, il est aussi déclaré non admis au semestre considéré.
Si la compensation au sein du semestre ne peut s’effectuer en raison d’une défaillance à un EC ou, à une UE l’étudiant est déclaré défaillant.
Disposition n°7 : Si le résultat obtenu à une UE est supérieur ou égal à 10, l’étudiant est déclaré admis à celle-ci. Cependant, aucune mention n’est attribuée.
Si le résultat obtenu à une UE est inférieur à 10 mais que l’étudiant est admis, par compensation ou non, au semestre qui comprend cette UE il est déclaré admis par compensation à celle-ci.
Si le résultat obtenu à une UE est inférieur à 10 et que l’étudiant est non admis au semestre qui comprend cette UE, il est déclaré non admis à cette UE.
Si la compensation ne peut s’effectuer en raison d’une défaillance à un EC, l’étudiant est déclaré défaillant à cette UE.



La capitalisation des unités d’enseignement

Disposition n°8 : Une unité d’enseignement est acquise et capitalisée dès lors que l’étudiant est déclaré admis ou admis par compensation à celle-ci.
Disposition n°9 : Les éléments constitutifs des unités d’enseignement non acquises sont capitalisables dès lors que l’évaluation des étudiants est organisée au niveau de chaque EC et que la note obtenue soit supérieure ou égale à 10.

La progression dans les parcours de formation
Disposition n°10 : L’étudiant inscrit à une année n est autorisé à poursuivre à l’année n+1 dès lors qu’il est admis à l’année n.
L’étudiant inscrit à une année n et non admis à celle-ci est autorisé à poursuivre conditionnellement en année n+1 à condition qu’il ne lui manque au maximum que la validation d’un seul semestre ou qu’il ait obtenu au moins 10 à la moyenne des UE fondamentales de l’année n .
Disposition n°11 : L’étudiant inscrit dans une majeure peut se réorienter de droit dans la discipline mineure qu’il a suivie à la condition qu’il ait obtenu au moins 10 de moyenne aux UE de cette discipline.
Disposition n°12 : Les Unités d’enseignement de langue sont organisées par niveau. Un étudiant ne peut s’inscrire à l’UE de langue du niveau supérieur à celui de la dernière UE de langue à laquelle il a été inscrit que s’il a obtenu une note supérieure ou égale à 10 à cette dernière.
Exemples : les exemples ci-dessous donnés pour le S1et S2 sont valables pour S3 et S4

Semestres 1 et semestres 2 validés (moyenne générale + moyenne aux UE fondamentales)Passage en S3 et S4Semestre 1 acquis (moyenne générale + moyenne aux UE fondamentales)
Semestre 2 non acquisPassage en S3 et S4 en conditionnelle avec S2 à rattraper.Semestres 1 et 2 non acquis mais moyenne aux UE fondamentales des 2 semestresPassage en S3 et S4 en conditionnelle avec UE complémentaires S1 et S2 à rattraperUE fondamentales du Semestre 1 ou semestre 2 obtenu et rien d’autreRedoublement UE complémentaires obtenues S1 et S2 mais pas les UE fondamentalesRedoublementS1 obtenu, S2 non obtenu, S3 et S4 obtenusPassage en S5 et S6 avec S2 à rattraperSi sur les 3 années vous avez validés 5 semestres (et non 6)Pas d’accès conditionnelle en master 1. Il faut avoir validé tous les semestres (de 1 à 6)
Disposition transitoire applicables aux étudiants inscrits à Paris X-Nanterre en 2004-2005

Disposition n°25 : Pour chaque étudiant inscrit en 2004-2005 en DEUG, en licence ou en maîtrise une document sera rédigé qui récapitulera les crédits acquis et les dispenses d’enseignement et d’examen qui en résultent ainsi que les rattrapages à effectuer.
Ce document est dressé en deux exemplaires, le premier destiné à l’étudiant, le second à l’UFR.
Les deux exemplaires seront signés par l’étudiant au moment de son inscription pédagogique pour l’année 2005 – 2006, sauf contestation de sa part qu’il devra alors motiver par écrit.

Disposition n°26 : Tous les étudiants admis en 2004-2005 à la première année du DEUG, à la deuxième année du DEUG ou à la licence sont autorisés à s’inscrire dans la même filière respectivement :
Aux semestres 3 et 4 de la nouvelle licence,
Aux semestres 5 et 6 de la nouvelle licence,
Aux semestres 1 et 2 du master
si l’accès à ceux-ci n’est pas sélectif. Ils capitalisent alors les 60, 120 ou 180 crédits des semestres acquis, ce qui sera précisé dans leur convention pédagogique individuelle.
Aucun rattrapage ne peut leur être demandé.

Disposition n°27 : Tous les étudiants ajournés en 2004-2005 à la première année du DEUG, à la deuxième année du DEUG ou à la licence mais autorisés à continuer sont autorisés à s’inscrire dans la même filière respectivement :
Aux semestres 3 et 4 de la nouvelle licence,
Aux semestres 5 et 6 de la nouvelle licence,
Aux semestres 1 et 2 du master
si l’accès à ceux-ci n’est pas sélectif. La convention pédagogique doit alors préciser les éléments pédagogiques validés (et donc les crédits déjà acquis) et les rattrapages à effectuer, conformément aux règles de capitalisation des UE et des EC en vigueur au cours de l’année 2004-2005.
Aucun rattrapage ne peut leur être demandé au titre des enseignements nouveaux introduits à l’occasion du passage au schéma L-M-D au niveau auquel ils étaient inscrits en 2004-2005.
Lorsque que le résultat obtenu à un élément pédagogiques validé est supérieur ou égal à 10, ce résultat est repris dans la détermination des résultats futurs.
Lorsque que le résultat obtenu à un élément pédagogique validé est inférieur à 10, ce résultat est neutralisé dans la détermination des résultats futurs par l’affectation d’un coefficient de pondération égal à 0.

Disposition n°28 : Tous les étudiants ajournés en 2004-2005 à la première année du DEUG, à la deuxième année du DEUG, à la licence ou à la maîtrise et non autorisés à continuer peuvent se réinscrire dans la même filière respectivement :

Aux semestres 1 et 2 de la nouvelle licence,
Aux semestres 3 et 4 de la nouvelle licence,
Aux semestres 5 et 6 de la nouvelle licence,
Aux semestres 1 et 2 du master

Si l’accès à ceux-ci n’est pas sélectif. La convention pédagogique doit alors préciser les éléments pédagogiques validés (et donc les crédits déjà acquis) et les rattrapages à effectuer conformément aux règles de capitalisation des UE et des EC en vigueur au cours de l’année 2004-2005.
Lorsque que le résultat obtenu à un élément pédagogique validé est supérieur ou égal à 10, ce résultat est repris dans la détermination des résultats futurs.
Lorsque que le résultat obtenu à un élément pédagogique validé est inférieur à 10, ce résultat est neutralisé dans la détermination des résultats futurs par l’affectation d’un coefficient de pondération égal à 0.

Disposition n°29 :
Dans une filière donnée, lorsqu’un élément pédagogique d’une étape n d’un diplôme du schéma actuel des études est validé par un étudiant et que ce même élément pédagogique est à l’étape n+1 dans le nouveau schéma, les crédits attachés à cet élément sont considérés comme définitivement acquis par l’étudiant. L’étudiant sera toujours dispensé d’enseignement et d’examen pour cet élément pédagogique qui sera neutralisé par l’affectation d’un coefficient de pondération égal à 0, dans la détermination des résultats que l’étudiant obtiendra à l’étape n+1 dans le nouveau schéma.

Disposition n°30 :
Tous les étudiants ayant déjà bénéficié d’au moins trois inscriptions au DEUG, et non admis à l’issue de l’année universitaire 2004-2005, peuvent se réinscrire dans la même filière aux semestres 1 et 2 ou 3 et 4 de la nouvelle licence.



























PRESENTATION DE LA FORMATION EN ARTS DU SPECTACLE

La formation en Arts du spectacle débouche sur la Licence Arts, Lettres, Langues, mention Arts du spectacle : Théâtre et Cinéma. Elle délivre également un diplôme de Master en Cinéma en Théâtre.

Objectifs généraux

Une formation globale aux Arts de la scène et de l’écran
Le Département des Arts du spectacle propose une formation pluridisciplinaire et généraliste tout au long du cursus: il s'agit de dispenser aux étudiants dès la première année un enseignement théorique, historique et pratique ayant valeur d'initiation à l'histoire des Arts du Spectacle, c'est-à-dire du théâtre, du cinéma et de l'audiovisuel ainsi qu'aux démarches artistiques actuelles dans ces deux disciplines. L'offre d'une formation double, en cinéma et en théâtre est, en Ile-de-France, une spécificité de Paris X.

Une orientation progressive vers une « dominante » Théâtre ou Cinéma
L’orientation vers une « dominante » Théâtre ou cinéma est optionnelle et progressive, en fonction du projet personnel et professionnel de l’étudiant, tant au plan technique qu'à celui des acquis de type économique, juridique, socioculturel. Il s’agit à partir du socle commun de connaissances théoriques, techniques, artistiques, juridiques et socio-culturelles, tant en cinéma/audiovisuel qu’en théâtre, d’approfondir les fondamentaux spécifiques à l’un et l’autre secteur, et de mettre en perspective les particularités qui distinguent Arts de l’écran et Arts de la scène, dans le champ global des Arts du spectacle et de la représentation.

Une large ouverture sur les autres disciplines du champ culturel et artistique
Le jeu des majeures/mineures et UE Libres favorise une ouverture aussi large que possible vers les disciplines complémentaires : Lettres, Langues étrangères, Esthétique (philosophie), Sociologie. C’est notamment l’objectif des parcours Arts du spectacle/Lettres et Arts du spectacle/Langues vivantes.
Les étudiants peuvent ainsi acquérir les éléments fondamentaux d’une culture générale littéraire, historique et linguistique qui permettent une appréhension globale et cohérente du champ artistique qui leur évite une spécialisation d’emblée trop étroite et permet – à tous les niveaux - des passerelles vers la littérature, les langues , l’histoire de l’art et l’esthétique ou les sciences humaines et sociales.

Une articulation théorie/pratique pour une meilleure insertion professionnelle
L’appréhension du champ artistique et culturel est indissociable d’une approche pratique. A la différence d’autres universités, Paris X a toujours œuvré pour équilibrer enseignement théorique et ateliers pratiques : cours magistraux et travaux dirigés, participation à des stages d'initiation et de formation technique dans le cadre des ateliers de cinéma et de théâtre sont la base d'un enseignement à la fois théorique et pratique qui vise à assurer la maîtrise progressive de techniques de base comme celle des repères culturels et des outils intellectuels fondamentaux dans le domaine des Arts du Spectacle mais aussi dans les disciplines littéraires en général.
Conduites sous la direction de professionnels, les activités pratiques sont un gage de pré-professionnalisation. De même l'implication des étudiants dans les programmations et l'organisation d'événements culturels sur le Campus permet de développer les compétences dans les pratiques socio-culturelles auxquelles les prépare leur cursus.

Une pratique et une culture inscrites dans l’international
La formation en Arts du spectacle s’inscrit dans le cadre d’échanges et de partenariats européens avec l'Allemagne, l'Autriche, l'Italie, l'Espagne, la Belgique, l'Europe de l'Est et la Grande Bretagne. Par ailleurs des échanges se sont établis avec des Universités extérieures au programme Erasmus: UQAM (Montréal); NYU (Tisch School), UBC (Vancouver), Sarah Lawrence College (USA). Les parcours Arts du spectacle/Langues renforcent renforcent cette dimension.

Objectifs en terme de savoir

Connaissances disciplinaires :
Au plan historique et culturel, l'enseignement vise à assurer la connaissance des grandes périodes de l'art cinématographique et de la création théâtrale. Au plan esthétique, avec des applications pratiques, la connaissance des auteurs, des formes, des styles, des genres, des dispositifs narratifs et rhétoriques, ainsi que celle des rapports et interactions entre théâtre et cinéma, notamment en ce qui concerne le jeu de l'acteur, les décors, la scénographie. Au plan théorique la connaissance des écrits majeurs en matière théâtrale et cinématographique, de Eisenstein à Gilles Deleuze, d'Aristote à Stanislavski, Craig, Piscator …
Au plan analytique, les multiples méthodologies enseignées et pratiquées permettent à l'étudiant de reconnaître et apprécier, selon des perspectives diverses, des stratégies de représentation, de mises en scène, d'écritures dans les domaines du théâtre et du cinéma.

Connaissances pluridisciplinaires :
l'enseignement vise ici à assurer et contrôler la capacité de l'étudiant à situer les œuvres dans les vastes mouvements culturels et historiques qui les englobent; à étudier les formes créatrices que prennent les rapports du film et de l'œuvre théâtrale à la littérature, à la peinture, à la musique, aux contextes socio-politiques en général; il vise également à utiliser les éclairages privilégiés que donne la connaissance de la Littérature, de la Philosophie et de l'Histoire ainsi que des méthodologies critiques qui s'y relient.
Il faut ajouter l'étude progressive des systèmes de production et de diffusion, des textes de lois réglementant l'industrie du cinéma, de l'audiovisuel et du multimédia comme du théâtre vivant. Une place progressivement plus large est réservée dans la formation à l'analyse des conditions matérielles qui déterminent les activités cinématographiques et audiovisuelles, et de façon plus générale les conditions de production des spectacles: conditions juridiques, économiques, sociologiques et techniques.

Connaissances méthodologiques :
La diversité des approches est ici particulièrement féconde et complexe; les étudiants sont initiés à la narratologie, aux approches sémiologiques, sociologiques, anthropologiques, historiques, à l’histoire culturelle. Si ces méthodologies trouvent une application privilégiée dans le domaine du cinéma et des formes diverses de l'audiovisuel comme du spectacle vivant, elles représentent un acquis fondamental transférable vers d’autres domaines de connaissance (Histoire, Lettres, Philosophie, Histoire de l'Art)

Connaissances linguistiques :
Tout en prenant acte de la nécessité pour tout étudiant de pratiquer les langues étrangères aujourd'hui, la formation vise à le confronter directement, via l’étude et la pratique des œuvres et de la critique filmique et théâtrale étrangères, aux spécificités linguistiques et civilisationnelles qu'impliquent des domaines et des disciplines qui puisent à un fonds culturel national et international souvent peu ou mal connu. Les enseignements de langue vivante appliquée portent toujours sur les œuvres et leur contexte de réalisation et de production.

Objectifs en terme de savoir-faire

Ces objectifs qui facilitent l’insertion professionnelle des étudiants dans les différents métiers des Arts du spectacle reposent nécessairement sur des connaissances théoriques précises et des compétences techniques :
Savoir situer une œuvre théâtrale ou cinématographique dans son contexte (historique, culturel, technique)
Savoir situer une œuvre théâtrale ou cinématographique par rapport aux enjeux esthétiques et idéologiques de l'histoire des représentations
Savoir utiliser la terminologie et les méthodes appropriées pour analyser et apprécier dans ses dimensions esthétiques, sémantiques et culturelles une image (fixe et mouvante), une séquence, un film, une situation de production et de réception
Savoir décrire et analyser des effets dramaturgiques.
Savoir analyser une mise en scène filmique et théâtrale
Savoir se documenter et communiquer les résultats d'une recherche : biographie, filmographie, revue de presse, dossier dramaturgique…
Savoir utiliser des documentations et des sources étrangères
Savoir rédiger et présenter un compte-rendu critique de spectacle théâtral ou audio-visuel
Travailler sur les différents supports photographiques et filmiques utilisés depuis les origines dans une visée de restauration, d'archivage, de trucage
Savoir photographier, enregistrer, développer (des photographies ou des films), filmer. Pouvoir procéder à un montage traditionnel ou informatique. Savoir mettre en valeur et exposer ses travaux
Savoir gérer un plateau de théâtre, concevoir et réaliser un projet scénographique
Savoir gérer mentalement et pratiquement la chaîne entière de la réalisation théâtrale et cinématographique, depuis la conception et l'écriture du projet jusqu'à sa concrétisation
Savoir concevoir un projet de programmation, avec l'utilisation de contrats types et de devis, en montant des dossier de demandes d'aide financière.

Parcours de formation
²% Avant de prévoir de s engager dans tel ou tel parcours, il est indispensable d avoir pris connaissance du texte général ci-dessus présentant la réforme LMD à Paris X. Néanmoins, aucun choix n est définitivement irréversible en 1ère année et l’étudiant peut à chaque semestre réajuster son projet.

Le département des Arts du spectacle propose 4 principaux parcours-type que les étudiants peuvent progressivement individualiser et adapter à leurs motivations personnelles et leurs objectifs professionnels grâce aux choix proposés dans les Enseignements Complémentaires et grâce aux parcours Majeure/Mineure.
L’introduction des UE Libres dès la 2ème année, les projets personnels et les stages contribue également à personnaliser le parcours de formation.

1 parcours mono-disciplinaire Arts du spectacle : Théâtre et Cinéma …

Du 1er au 4ème semestre de la Licence (L1-L4), tous les enseignements fondamentaux (UEF) associent apprentissage théorique (AST) ou apprentissage pratique (ASP) en cinéma et en théâtre.
Les deux premiers semestres sont généralistes, les UE fondamentales étant à parité (15/15 crédits par semestre) avec les UE complémentaires.
Les complémentaires mineures hors de la mention Arts du spectacle représentent 9 crédits en S1 et 6 crédits en S2, de façon à permettre des réorientations à l’issue de S1 ou S2 et des « passerelles » tout au long du cursus de formation.
Les mineures ne sont pas obligatoirement les mêmes tout au long du diplôme. 
La pluralité des choix offerts, dans certaines des UE (notamment les fondamentales pratiques et les complémentaires) permet à l’étudiant d’expérimenter et d’approfondir progressivement des compétences variées dans le domaine des Arts du spectacle afin de préparer son orientation ultérieure vers une dominante Cinéma ou Théâtre.

…avec une dominante possible Cinéma ou Théâtre en 3e année de Licence

C’est à partir du 5e semestre de la Licence (L5) que l’étudiant décide de s’orienter de manière plus décisive vers le cinéma ou vers le théâtre.
Quel que soit son choix, l’étudiant peut, s’il le souhaite, poursuivre un cursus bi-disciplinaire en Arts du spectacle, dans ces deux derniers semestres s’il prend comme Enseignements Complémentaires mineurs des EC proposées dans l’autre dominante. Par ex. : un étudiant en dominante Théâtre qui prendrait ses mineures parmi les EC proposées comme mineures de la dominante Cinéma.
Les mineures ne sont pas obligatoirement les mêmes tout au long du diplôme. 
3 parcours Majeure/UE Mineure…

- Parcours Arts du spectacle/Lettres modernes
- Parcours Arts du spectacle/Philosophie
- Parcours Arts du spectacle/Langues étrangères

… qui s’articulent sur le parcours précédent : ces parcours plus larges sont en effet des déclinaisons spécifiques du 1er parcours décrit ci-dessus
- Pour être réalisés dans leur totalité, ils supposent que l’étudiant ait pris, de L1 à L6, toutes leurs UE mineures dans les UEF de la même discipline, soit en Langues étrangères, soit en Lettres modernes, soit en Philosophie.
- A chaque semestre de la formation, l’étudiant peut réorienter son parcours : par exemple, ce n’est qu’en L5 que se fait le choix du parcours « cinéma » ou « théâtre » ; autre exemple : un étudiant qui a choisi pendant deux semestres des UE complémentaires mineures de Lettres peut en L3 choisir des mineures complémentaires d’autres mentions.
- L’introduction progressive à partir de L3 des UE Libres organise l’autonomisation du travail des étudiants jusqu’en L6 où la prise en compte de leur projet personnel et professionnel s’inscrit dans le cadre des UE complémentaires.

Conditions d’accès au diplôme
La licence Arts du spectacle : cinéma et théâtre est ouverte aux bacheliers généraux : bacs littéraires (L) avec option cinéma/audiovisuel ou théâtre/expression dramatique
Bacs L, S et ES. La formation littéraire assure dans l'ensemble une bonne maîtrise des méthodologies d'analyse et une culture suffisamment large, notamment en Lettres, Histoire, Philosophie, Histoire de l'art, pour aborder des disciplines attractives mais qui exigent une grande rigueur.
Elle accueille également des professionnels désireux de reprendre ou poursuivre des études après examen de leur dossier par la Commission de Dispense, selon les règles en vigueur
de la Validation des Acquis.
.
Règle de validation des enseignements
Chaque étudiant doit prendre attentivement connaissance de la Charte des examens qui figure dans ce document.
²% Au-delà du 1er décembre 2005  sauf cas de force majeure  le Secrétariat ne pourra plus modifier le régime d évaluation du contrôle continu en examen terminal. Toute demande dans ce sens doit être préalablement soumise à l’enseignant concerné.

Le contrôle continu s’applique à l’ensemble des enseignements dispensés en Arts du spectacle.
Les travaux de contrôle continu, écrits ou oraux, peuvent prendre toutes les formes jugées pertinentes par les enseignants en fonction des objectifs pédagogiques propres à chaque unité d’enseignement ou élément constitutif .
Chaque responsable d’UE et d’EC fixe le rythme et les modalités de contrôle continu des étudiants, et notamment, si son unité comprend ou pas une épreuve finale, sous forme de devoir ou de partiel .
²% Pour certains EC pratiques, il n'y a pas de possibilité de choisir le mode de contrôle terminal. Ces EC sont rappelées sur le livret à chaque présentation de semestre par le signe (
Les étudiants doivent pouvoir justifier d’une moyenne de 3 notes de travaux dans chaque UEF théorique : Histoire et analyse des Arts du spectacle (S1-S4) et Théorie et histoire (S5-S6).
La connaissance approfondie des œuvres, films, pièces de théâtre et spectacles (une billetterie est à la disposition des étudiants en salle 207) figurant au programme des différents EC est impérative ainsi que celle des bibliographies fournies en cours.
Les sujets d'examens et de partiels porteront aussi bien sur les cours proprement dits que sur les lectures personnelles et les spectacles indiqués comme obligatoires par les enseignants responsables.
Compte-tenu de leur spécificité, certains ateliers pratiques ne peuvent accueillir qu’un nombre limité d’étudiants. Cette précision est donnée au moment des inscriptions pédagogiques.




²% La présence est strictement obligatoire dans tous les cours choisis : au-delà de 3 absences justifiées, l étudiant est déclaré défaillant et ne peut donc plus bénéficier de la règle de compensation de ses notes.




L équipe de formation

Directeur du département : Kleinberger Alain 
Directeur des études : Faivre Bernard
Directrice-adjointe chargée de l’évaluation : Raphaëlle Moine
Responsable administratif de l’UFR : Laurence Guerrini
Secrétaire pédagogique de la formation : Béatrice Delcourt
Relation internationales : Laurence Schifano
Validation des acquis : Bernard Faivre
Responsables des relations avec les professionnels : Bernard Faivre, Alain Kleinberger















L’équipe pédagogique


Etudes théâtralesEtudes cinématographiques Professeur émérite :
Robert ABIRACHED

Enseignants permanents :
Jean-Louis BESSON - Professeur
Christian BIET - Professeur
Jean BOILLOT - PAST - Metteur en scène
Dominique BOISSEL - PAST - Dramaturge au Théâtre de la Tempête
Bernard FAIVRE - Maître de Conférences - HDR
Catherine JOANNES - PRAG
Jean JOURDHEUIL - Maître de Conférences
David LESCOT - Maître de Conférences
Emmanuel WALLON - Professeur



Enseignants à temps partiel :
Isabelle BARBERIS - ATER
Camille COMBES-LAFFITTE - Assistant Moniteur Normalien
Jean-Michel DEPRATS - Maître de Conférences (anglais)
Charlotte ERLIH - Assistant Moniteur Normalien
Jacqueline FENEYROU - Enseignante (SUAPS)
Gérald GARUTTI - Assistant Moniteur Normalien
Marjorie GAUDEMER - Doctorante ou ATER ?
Tiphaine KARSENTI - ATER
Judith LEBLANC - Assistant Moniteur Normalien
Corinne MEYNIEL - Allocataire de Recherche
Richard MILLEREUX - Enseignant (SUAPS)
Adeline PREAUX - Doctorante
Denise SCHROPFER - Maître de Conférences ( IUFM)


Intervenants professionnels :
Lucien ATTOUN - Directeur de "Théâtre Ouvert"
Martine CHEMANA - Chargée de cours
Marc DONDEY - Directeur de l’Institut Nomade de la Mise en scène
Christophe GAUZERAN - Comédien
Jean-Pierre HAN - Critique dramatique
Mahtab LAM-QUANG - Architecte DPLG – Scénographe - Chargé de cours
Gérard LEPINOIS - Auteur dramatique
Chunyang NING - Chargée de cours
Olivier SCHNEIDER – Comédien, metteur en scène
 Professeur émérite :
Francis VANOYE

Enseignants permanents :
Fabien .BOULLY - Maître de Conférences
Jean-Albert BRON - PRAG
Marguerite CHABROL - ATER
Rose-Marie GODIER - Maître de Conférences
Alain KLEINBERGER - Maître de Conférences
Olivier MAILLART - ATER
Raphaëlle MOINE - Professeure
Dominique PARENT-ALTIER - PAST - Scénariste
Jean ROY - PAST - Critique
Laurence SCHIFANO - Professeure
Laurent VERAY Maître de Conférences

Enseignants à temps partiel :
Alexis BLANCHET - Assistant Moniteur
Sylviane DURRANDE - Maître de Conférences à Paris X (Droit)
Marie MARTIN - Assistant moniteur normalien
François-Xavier MOLIA - Assistant moniteur normalien
Joël AUGROS - Maître de Conférence à Paris VIII (Economie)









Intervenants professionnels
Isabelle LE MEE – Photographe

Jean-Luc PAILLE - Photographe
Brigitte TIJOU - Monteuse professionnelle
Othello VILGARD - Cinéaste
Lucia SANCHEZ – Comédienne
Daniel SCHROPFER – Comédien
Jean-Claude MOUTON – Technicien audiovisuel BDIC


PRESENTATION DES ENSEIGNEMENTS

Codification

UE : Unités d’Enseignement : code de 8 caractères :
L L L UF 1 xx

En 1ère position : L comme l’UFR LLPHI
En 2e position : L comme Licence
En 3e position : A comme département de Arts du spectacle

En 4e et 5e position :
UF pour unité fondamentale
UC pour unité complémentaire
UL pour unité UE Libre

En 6e position : le semestre de rattachement
En 7e et 8e position : numéro d’ordre

EC : Eléments Constitutifs : code de 8 caractères :
L L ASP 1 xx

En 1ère position : L comme l’UFR LLPHI
En 2e position : L comme Licence
En 3e , 4e et 5e position : champ disciplinaire :
LIF pour littérature française
LIC pour littérature comparée
SDL pour sciences du langage
LAT pour latin
GRE pour Grec ancien
DUO textes anciens traduits en français
AS pour Arts du spectacle
PHI pour philosophie
SIC pour information et communication

En 6e position : le semestre de rattachement
En 7e et 8e position : numéro d’ordre


Légende utile pour la lecture des tableaux et indications ci-après :

O : l’UE est obligatoire X : l’UE est obligatoire mais avec un choix
AST : théorique ASP : pratique 

( Ce signe désigne les cours pratiques (TD, ateliers) qui ne peuvent pas faire l’objet d’un contrôle terminal et sont donc exclusivement évalués en contrôle continu.



LICENCE Arts du spectacle 1ère ANNEE L1
Les EC à 3 Crédits exigent 50 heures de travail personnel
Les EC à 6 Crédits exigent 100 heures de travail personnel

SEMESTRE 1ECTSHeuresSEMESTRE 2ECTSHeuresLLAUF110 Histoire des Arts du spectacle I (CM)O652hCMLLAUF210 Histoire des Arts du spectacle II (CM)O648hCMLLAST111 Histoire du cinéma I (cinéma muet)326h CMLLAST211 Histoire du cinéma II (Histoire du cinéma parlant)326h CMLLAST112 Histoire du théâtre I (Antiquité-XVIIe siècle)326h CMLLAST212 Histoire du théâtre II (XVIII-XIXe siècles)326h CMLLAUF120 Analyse des Arts du spectacle 1 (TD)O6LLAUF220 Analyse des Arts du spectacle 2 (TD)O6LLASP121 Analyse filmique 1326h TDLLASP221 Analyse filmique 2326h TDLLASP122 Analyse dramaturgique 1326h TDLLASP222 Analyse dramaturgique 2326h TDLLAUF130 Pratiques et techniques des Arts du spectacle 1X3LLAUF230 Pratiques et techniques des Arts du spectacle 2X3LLASP131 TD le jeu de l’acteur au cinéma et au théâtre326h TDLLASP231 TD L’image fixe326h TDLLASP132 TD analyse de spectacles de théâtre 1326h TDLLASP232 TD Photographie326h TDLLASP133 TD cinéma et multimédia326h TDLLASP233 TD Scénario 1326h TDLLAUC140 Méthodologie 1O6LLASP234 TD Scénographie 1 non ouvert en 2005/2006326h TDLLAST141 TD Lire et écrire sur le cinéma326h TDLLASP235 TD Analyse de spectacles de théâtre 2 326h TDLLAST142 TD Lire et écrire sur le théâtre 326h TDLLASP236 TD Atelier du spectateur  326h TDLLAUC150 Langue Vivante 1X326h TDLLAUC240 Méthodologie 2O6Anglais, allemand , espagnol, italien, russe, portugais, grec moderne, arabe, néerlandais, tchèque.LLAST241 TD Spectacles et textes 326h TDLLAUC160 MineureX6LLAST242 TD Ressources documentaires326h TDLLACX101 Lettres modernesLLAUC250 Langue Vivante 1X326hLLACX102 Lettres classiquesAnglais, allemand , espagnol, italien, russe, portugais, grec moderne, arabe, néerlandais, tchèque.LLACX103 Langues étrangèresLLAUC260 MineureX6LLACX104 PhilosophieLLACX201 Lettres modernesLLACX105 Histoire de l’art/SSA (à ouvrir en 2006 ou 2007)LLACX202 Lettres classiquesLLACX106 Droit/gestion (à ouvrir en 2006 ou 2007)LLACX203 Langues étrangèresLLACX204 PhilosophieLLACX205 Histoire de l’art/SSA (à ouvrir en 2006 ou 2007)LLACX206 Droit/gestion (à ouvrir en 2006 ou 2007)
1ère Année de Licence Semestre 1

LLAUF110 Histoire des Arts du Spectacle 1 (CM)

( LLAST111: Histoire du cinéma I : de 1895 à 1928, le cinéma muet (CM) A. Kleinberger
Dans ce cours, on étudiera les étapes qui conduisent à l’invention des frères Lumière. On s’intéressera ensuite à la construction du langage cinématographique et à l’évolution des théories et des pratiques ; à l’histoire des formes cinématographiques et de leurs significations en rapport avec l’histoire politique, sociale et culturelle ; aux grandes écoles (expressionnisme, avant-gardes, cinéma-soviétique…)

( LLAST112 : Histoire du théâtre I (CM) J.-.L. Besson
Les grandes étapes de l'évolution du théâtre en Europe, de l'antiquité grecque au XVIIe siècle : lieux scéniques, modes de représentation, rapports entre théâtre et sociétés du passé, grands auteurs et théoriciens qui ont marqué chaque époque.

LLAUF120 Analyse des Arts du Spectacle 1 (TD)

( LLASP121 : Analyse filmique I (TD)
Analyser un film, ou un extrait de film, suppose une intention préalable. Il convient alors de l’observer, de le décrire et de le commenter afin d’évaluer sa logique, son efficacité et, finalement, la pertinence de l’hypothèse initiale. Le TD vise à fixer les bases de cette analyse : acquisition des vocabulaires spécifiques, examen des notions essentielles de la mise en scène, du découpage et du montage. On travaillera à partir d’exemples variés des trente premières années du cinéma, en relation avec le cours d’Histoire du cinéma I (LLAST111).

( LLASP122 : Analyse dramaturgique II (TD)
Le TD vise à dégager et analyser les caractéristiques constitutives des textes dramatiques. L’étude de ces notions fondamentales se fera à partir d’œuvres diverses choisies en relation avec le cours d’histoire du théâtre I.

LLAUF130 Pratiques et techniques des Arts du spectacle 1

( LLASP131 TD : Le jeu de l’acteur
Les différents groupes proposés aux étudiants aborderont la pratique du jeu de l’acteur sous des angles divers, toujours à travers des exemples précis, des exercices et mises en situation pratiques :
- Approche comparative du travail de l’acteur au théâtre et au cinéma :
- Approche du travail sur la corporéïté :
Danse et théâtre :
Mime et théâtre du mouvement :
- Approche de textes du théâtre contemporain comme reflets de la société :

( LLASP132 TD : Analyse de spectacles I 
Initiation à l’analyse des différents éléments constitutifs d’une réalisation théâtrale (scénographie, lumières, son, jeu de l’acteur, dramaturgie), à partir de spectacles représentatifs des tendances actuelles de la mise en scène.

( LLASP133 TD : Cinéma et Multimédia 
Cet atelier a pour but de réfléchir avec les étudiants aux liens que tissent le cinéma et les nouvelles écritures multimédia, particulièrement dans les domaines de l’édition et des pratiques vidéographiques et vidéo ludiques. L’atelier donnera lieu à de courts travaux oraux et écrits tout au long du semestre (fiches de lecture, synthèse de documents, analyse de DVD et de jeux vidéo…) et s’achèvera sur un dossier d’une dizaine de pages sur un sujet proposé par l’enseignant.






LLAUC140 Méthodologie 1

( LLAST141 TD : Lire et Ecrire sur le cinéma (TD)
Comment écrire sur ce mélange d’images et de sons qu’est un film ? Dans quel but ? En quoi l’écriture sur le cinéma peut-elle servir à mieux le comprendre et, peut-être, à mieux le penser ? Autant de questions qui seront abordées dans ce TD à travers des exercices d’expression écrite ou orale, l’étude de textes critiques sur les films ou théoriques sur le cinéma, des analyses de films et des entraînements au devoir de réflexion et de synthèse tel qu’il se présente dans le cadre des études cinématographiques.

( LLAST142 TD : Lire et Ecrire sur le Théâtre (TD)

A partir de l’examen de textes théoriques sur la forme dramatique, de lectures critiques sur des œuvres ou d’études de spectacles, nous tâcherons, par des travaux écrits et oraux, d’acquérir la maîtrise du vocabulaire et de la méthode nécessaires aux différents exercices d’analyse et d’argumentation sur le théâtre.


L1AUC150 Langue Vivante 1
Anglais, allemand, espagnol, italien, russe, portugais, arabe littéral, français pour étudiants étrangers


LLAUC160 Mineure
Les inscriptions auront lieu dans les différents secrétariats :
Lettres modernes (bureau 106)
Lettres classiques (bureau 109)
Langues étrangères (UFR EAA/Bat E et UFR de langues/bat F)
Philosophie (bureau 113)


1ère année de Licence Semestre 2



LLAUF210 Histoire des Arts du spectacle II (CM)

( LLAST211 : Histoire du cinéma II (histoire du cinéma parlant) de 1928 à 1965 (CM) R.-M. Godier
L’arrivée du parlant constitue une importante césure dans l’histoire du cinéma. On assiste alors à une transformation de l’esthétique des films et à une modification des modes de production aux USA, en URSS, en Europe et en Extrême Orient. Ce cours portera des années 30 jusqu’aux années 60, moment où le cinéma s’inscrit dans le flux des événements qui vont modeler notre modernité.


( LLAST212 : Histoire du théâtre II ( XVIII-XXIe siècles) C. Joannès
Les grands moments de l'évolution de l'art du théâtre en France, des XVIIIe et XIXe siècles : lieux scéniques et conditions de production, modes de représentation, publics, relation théâtre, sociétés et pouvoir, grands auteurs et théoriciens qui ont marqué leur époque. Des œuvres caractéristiques de la période seront étudiées dans les TD.


LLAUF220 Analyse des Arts du spectacle 2 (TD)

( LLASP221 : Analyse filmique II 
Dans le prolongement du TD d’analyse du 1er semestre, ce TD visera à approfondir la pratique de l’analyse des films, tout en l’enrichissant de nouvelles notions, en relation avec le CM d’Histoire du cinéma II.

( LLASP222 : Analyse dramaturgique II  
Le TD approfondit la pratique de l’analyse des textes de théâtre dans leur singularité dramaturgique. Les œuvres étudiées seront choisies en relation avec le cours d’Histoire du théâtre II.


LLAUF230 Pratiques et techniques des Arts du Spectacle 2

( LLASP231 TD : Analyse de l’image fixe  
Nous aborderons dans ce cours l’image fixe au sens large. En privilégiant par nos choix iconographiques la notion d’auteur, nous nous intéresserons à des « productions » aussi différentes que des peintures, dessins, photographies, bandes dessinées, publicités, affiches… Nous chercherons à partir d’exemples variés à définir une méthodologie et un vocabulaire précis d’analyse de l’image.

( LLASP232 TD : Photographie
La possession d'un appareil photo de type 24 x 36 reflex, ainsi que d'un film 24 x 36 noir et blanc est indispensable. Les étudiants ne possédant pas ce matériel ne seront pas acceptés.
Ce cours, essentiellement pratique, permet de faire l’apprentissage de la technique photographique en liaison avec une réflexion sur le cadrage, sur l’angle de prise de vue et sur la lumière. Il se déroulera sous forme de stage de quatre jours pendant les vacances de février et les vacances de Pâques.
En février « option cinéma » : réflexion autour de la photographie de plateau et de l’utilisation de la photographie au cinéma.
En avril « option théâtre » : réflexion autour de la photographie, du spectacle vivant et de ses impératifs techniques.

( LLASP233 TD : Scénario I 
Atelier théorique
F.Boully
L’écriture du scénario, dans sa forme la plus classique, repose moins sur des règles que sur des principes, des propositions dramaturgiques et des contraintes qui forment l’essence même du langage dramatique pour le cinéma. Partant de ce postulat, ce cours vise à jeter les bases d’une première approche théorique de l’écriture scénarisée, par le biais de l’adaptation filmique. La participation active des étudiants sera exigée.
Atelier pratique
D. Parent-Altier
Cet atelier propose une réflexion sur les problèmes techniques et dramaturgiques qui se posent lors de l’adaptation d’œuvres littéraires à l’écran. L’œuvre écrite servira de support à une première approche de l’écriture du scénario. Des exercices d’écriture de la page isolée au récit complet permettront aux étudiants d’adapter sous forme scénarisée une nouvelle de leur choix.
Nota bene : l’obtention de cette EC ouvre l’accès au cours LLASP431 Scénario II.

( LLASP234 TD : Scénographie I Ce cours est suspendu

( LLASP235 TD : Analyse de spectacles de théâtre II 
A partir de spectacles professionnels, le TD montrera comment les différentes composantes de la mise en scène, notamment la scénographie, participent d’un propos dramaturgique et entrent en résonance avec l’horizon d’attente des spectateurs.

( LLASP236 TD : Atelier du spectateur  .
A partir de plusieurs spectacles professionnels et de rencontres avec les équipes artistiques, approche du travail de réalisation d’un spectacle, de la scénographie et connaissance concrète des différents métiers de la scène.


LLAUC240 Méthodologie 2

( LLAST241 TD : Spectacles et textes
En comparant les films à d’autres formes spectaculaires et surtout à des textes littéraires, ce cours s’intéresse à la question des transferts du texte à la représentation et aux schémas communs à différentes formes artistiques (dramaturgie, types d’intrigues).
Des exercices réguliers seront demandés aux étudiants

( LLAST242 TD : Ressources documentaires :
Ce cours vise à enseigner aux étudiants les rudiments de la recherche en cinéma et en théâtre : mobiliser efficacement les différentes ressources à disposition et construire une bibliographie pertinente. Dans un deuxième temps, l’étudiant doit apprendre à introduire dans l’écriture les idées d’un auteur, en utilisant efficacement les différents documents trouvés.


L1AUC250Langue Vivante 1Anglais, allemand, espagnol, italien, russe, portugais, arabe littéral, français pour étudiants étrangers


L1AUC260MineureLes inscriptions auront lieu dans les différents secrétariats :
Lettres modernes (bureau 106)
Lettres classiques (bureau 109)
Langues étrangères (UFR EAA/Bat E et UFR de langues/bat F)
Philosophie(bureau 113)


Du fait de leur caractère pratique, les EC suivants (ne peuvent être proposés qu'en contrôle continu :
LLASP321 – LLASP322 – LLASP331 – LLASP332 – LLASP323 ou 333 – LLASP334 – LLASP335 – LLASP336 – LLASP421 – LLASP422 – LLASP431 – LLASP432 – LLASP433 LLASP434 – LLASP435 LLASP436 –

LICENCE Arts du spectacle 2e ANNEE L2
Les EC à 3 Crédits exigent 50 heures de travail personnel Les EC à 6 Crédits exigent 100 heures de travail personnel
SEMESTRE 3ECTSHeuresSEMESTRE 4ECTSHLLAUF310 Histoire des Arts du spectacle III (CM)O672HLLAUF410 Histoire des Arts du spectacle IV (CM)O6LLAST311 Histoire du cinéma III (intro au cinéma américain)326h CMLLAST411 Histoire du cinéma IV (Hist du ciné.documentaire)326h CMLLAST312 Histoire du théâtre III (Hist. de la mise en scène 1)326h CMLLAST412 Histoire du théâtre IV (Hist. de la mise en scène 2 )326h CMLLAUF320 Analyse des Arts du spectacle 3 (TD)O6LLAUF420 Analyse des Arts du spectacle 4 (TD)O6LLASP321 analyse d’un genre hollywoodien326h TDLLASP421 Analyse des pratiques documentaires326h TDLLASP322 Analyse de la mise en scène 2326h TDLLASP422 Analyse de la mise en scène 2326h TDLLAUF330 Pratiques et techniques des Arts du spectacle 3O626h/52hLLAUF430 Pratiques et techniques des Arts du spectacle 4X626h/52hLLACX301 Choix n°1 : PratiquesXLLASP431 TD Scénario 2326h TDLLASP331 TD Découpage et storyboard326h TDLLASP432 TD Montage 1326h TDLLASP332 TD Étude de la critique 1 326h TDLLASP433 TD Fabrique du polar326h TDLLASP333 TD Interprétation et travail de la scène 1 352hTDLLASP434 TD Étude de la critique 2  326h TDLLASP334 TD Ecriture et travail de la scène 1 352hTDLLASP435 TD Interprétation et travail de la scène 2 352hTDLLACX302 choix n°2 : Regards croisésXLLASP436 TD Ecriture et travail de la scène 2 352hTDLLASP335 TD Théâtre et cinéma : le croisement des genres 326h TDLLAUC440 Méthodologie 4X326h CMLLASP336 TD Théâtre et cinéma extra-européens326h TDLLAST441 CM Théories du film 1326h CMLLAUC340 Méthodologie 3O3LLAST442 CM Le récit filmique326h CMLLAST341 CM Initiation à la politique et économie du spectacle vivant et de l’AV 326h CMLLAST443 CM Théories du théâtre et de ses représentations326h CMLLAUC350 Langue Vivante 1O326hLLAST444 CM L’écriture dramatique 326h CMAnglais, allemand , espagnol, italien, russe, portugais, grec moderne, arabe, néerlandais, tchèque.LLAUC450 Langue Vivante 1O326hLLAUC360 MineureX6Anglais, allemand , espagnol, italien, russe, portugais, grec moderne, arabe, néerlandais, tchèque.LLACX301Lettres modernesLLAUC460 MineureX3LLACX302 Lettres classiquesLLACX401Lettres modernesLLACX303 Langues étrangèresLLACX402 Lettres classiquesLLACX304 PhilosophieLLACX403 Langues étrangèresLLACX305 Histoire de l’art/SSA (à ouvrir en 2006 ou 2007)LLACX404 PhilosophieLLACX306 Droit/gestion (à ouvrir en 2006 ou 2007)LLACX405 Histoire de l’art/SSA (à ouvrir en 2006 ou 2007)LLAUL370 UE Libre X3LLACX406 Droit/gestion (à ouvrir en 2006 ou 2007)LLAUL470 UE Libre X3
2e année de Licence Semestre 3


LLAUF310 Histoire des Arts du Spectacle 3 (CM)
( LLAST311 : Histoire du cinéma III (introduction du cinéma américain) A. Kleinberger
Le cours concerne le cinéma hollywoodien des années 1930-1960. On traitera, en particulier des points suivants : le fonctionnement d’un grand studio, le Code de Production, les interactions entre Hollywood et l’Histoire, la concurrence de la télévision et le renouvellement des genres.

( LLAST312  : Histoire du théâtre III (histoire de la mise en scène I)  J. Jourdheuil
C’est autour de l’année 1887 (Fondation du Théâtre Libre d’André Antoine) que l’on situe la naissance de l’art de la mise en scène dans son acception moderne. Le cours se propose d’embrasser l’Histoire de cet art neuf, en Europe, de la fin du XIXe siècle à la fin de la Seconde Guerre mondiale.


LLAUF320 Analyse des Arts du spectacle 3 (TD)


( LLASP321  : Analyse d’un genre hollywoodien
Ce TD est consacré à l’histoire et l’analyse détaillée d’un genre du cinéma hollywoodien, en privilégiant la période classique. En relation avec le cours d’histoire du cinéma 3 (LLAST311)
Le film d’épouvante 
Le film de guerre 
La comédie romantique 
Le western 

( LLASP322 : Analyse de la mise en scène I 
En liaison avec le cours d’histoire du théâtre III, le TD analysera les démarches et tentatives de certains créateurs de la mise en scène en s’appuyant, notamment, sur l’utilisation de documents visuels.


LLAUF330 Pratiques et techniques des Arts du spectacle 3

( LLACX301 : Choix N°1 : Pratiques et techniques des Arts du spectacles 3

( LLASP331 TD : Découpage et storyboard 
Le découpage recouvre deux pratiques. C’est d’abord une des étapes dans le processus d’écriture d’un film. Il se nomme alors storyboard ou découpage technique. C’est ensuite une des étapes dans l’étude d’un film, puisque le découpage après montage constitue un important instrument d’analyse. Nous partirons donc de l’étude précise des différentes figures du discours cinématographique, pour aboutir, d’une part à l’élaboration effective du découpage technique d’un petit court-métrage, et, d’autre part, à l’analyse précise d’une séquence de film proposée.

( LLASP332 TD : Etude de la critique I 
Aperçus historiques, notamment évolution depuis le début du siècle. Situation contemporaine : la presse, les revues, les médias audiovisuels. Le théâtre a-t-il besoin de la critique ?
Ce cours comprend deux volets : l’un théorique, comprenant des aperçus historiques sur le théâtre et les diverses façons d’en parler, d’en écrire et l’autre pratique, où il s’agit d’un entraînement actif à l’écriture d’articles, dans les conditions proches (temps, contraintes …) de celles de la presse.

( LLASP333 TD : Interprétation et travail de la scène I 
A partir de la pratique de la lecture à voix haute, nous aborderons des fragments choisis dans le théâtre classique ou contemporain et nous montrerons comment ce travail basé sur le souffle, le rythme, l’articulation, la choralité met en évidence la pulsation et le mouvement de l’écriture.


( LLASP334 TD : Ecriture et travail de la scène I 
« Faire théâtre de tout » est un postulat posé par Antoine Vitez.
Nous en vérifierons la validité à travers la théâtralisation de textes non dramatiques. Nous travaillerons à l’adaptation scénique d’extraits de textes d’écrivain tel que Raymond Carver, Julio Cortazar, Jean-Marie Piemme, Ovide ou Nazim Hikmet…

( LLACX302 : Choix N°2 : Regards croisés

( LLASP335 TD : Théâtre et cinéma, le croisement des genres  
On s’intéressera ici aux diversse influences exercées par le théâtre sur les films. Le cinéma dit « théâtral » est parfois jugé impur, or il relève d’effets de mise en scène extrêmement variés et à des esthétiques qui vont d’une apparente neutralité à une exubérance baroque. On s’interrogera sur les modèles formels apportés par le théâtre au cinéma en examinant plus particulièrement l’utilisation de l’espace, le rythme et la dramaturgie, le système de personnages et les mises en abymes. Il est recommandé aux étudiants de prolonger ce cours par celui de J.Boillot au 2e semestre (LLASP436 Ecriture et travail de la scène II).


( LLASP336 TD : Théâtre et cinéma extra-européens 
Qu’entend-on par « extra-européen »? Car s’il est facile de déterminer les frontières géographiques de notre corpus, il reste que cet « ailleurs » ainsi désigné demeure perçu par notre regard. Ainsi, comment se constitue notre regard d’européen sur les traditions extra-européennes ? Comment celle-ci ont-elles été comprises, découvertes, reçues et éventuellement adaptées? Il nous faudra non seulement prendre en compte l’horizon d’attente réservé aux traditions extra-européennes mais il nous faudra également prêter attention à l’existence d’influences croisées, de dialogue interculturel entre l’européen et l’ « extra-européen ». Nous tâcherons donc de rendre compte comment les spectacles extra-européens ont pu influencer les pratiques cinématographiques et théâtrales européennes.
Par conséquent, bien plus qu’une altérité aisément repérable, il importe de cerner les contours d’un ailleurs d’abord imaginaire, d’un ailleurs rêvé. Dans cette perspective, nous aborderons deux mythes du spectacle « extra-européen », Hollywood et Bollywood, l’un construit en miroir de l’autre, en nous interrogeant sur les questions d’identité et d’altérité.

LLAUC340 Méthodologie 3

( LLAST341 CM : Initiation à la politique et économie du spectacle vivant et de l’A.V  C. Joannès
Mécanismes économiques, stratégies professionnelles et politiques, contexte culturel qui depuis les années 30 expliquent le système français actuel de production et de diffusion du spectacle vivant et audiovisuel.


L1AUC350 Langue Vivante 1
Anglais, allemand, espagnol, italien, russe , portugais, arabe littéral, français pour étudiants étrangers


L1AUC360 Mineure
Les inscriptions auront lieu dans les différents secrétariats :
Lettres modernes (bureau 106)
Lettres classiques (bureau 109)
Langues étrangères (UFR EAA/Bat E et UFR de langues/bat F)
Philosophie(bureau 113)


LLAUL370 Libre




2e année de Licence Semestre 4

LLAUF410 Histoire des Arts du Spectacle IV (CM)

( LLAST411 : Histoire du cinéma IV (Histoire du cinéma documentaire)  L. Véray
Dans ce cours, consacré aux diverses formes documentaires des origines (1895) à nos jours, il s’agira de réfléchir à la problématique de la représentation du réel, et de son rapport à la fiction. Il permettra, à travers de nombreux exemples significatifs, d’aborder les différentes écritures documentaires et d’analyser leur évolution dans le temps. Seront notamment évoqués les films des pionniers, des cinéastes-explorateurs, les documentaires à caractère social, les courants avant-gardistes, le cinéma-vérité/direct, le cinéma militant, les documentaires essayistes, les films historiques…

( LLAST412 : Histoire du théâtre IV (Histoire de la mise en scène II) après 1945  B. Faivre
« L’après –1945 » est sans doute l’âge d’or du metteur en scène dont le rôle prépondérant dans la création théâtrale n’est alors plus guère contesté. On étudiera donc l’apport de quelques-uns des metteurs en scène les plus marquants (en France, mais pas nécessairement français) et les évolutions essentielles en matière de mise en scène, de 1945 à la fin des années 80.

LLAUF420 Analyse des Arts du spectacle 4 (TD)

( LLASP421  : Analyse des pratiques documentaires 
Ce TD visera à approfondir la pratique de l’analyse des films documentaires, tout en l’enrichissant de nouveaux exemples, en relation avec le cours d’Histoire du cinéma documentaire.

( LLASP422  : Analyse de la mise en scène II 
En relation avec le cours d’Histoire du théâtre IV, le TD vise à analyser précisément certaines mises en scène emblématiques de la période en se fondant sur des documents audiovisuels.

LLAUF430  Pratiques et techniques des Arts du spectacle 4

( LLASP431 TD : Scénario II  D. Parent-Altier
Seuls les étudiants ayant suivi l’EC LLASP233 Scénario I seront acceptés. Nous approfondirons les techniques dramaturgiques propres à l’écriture d’un scénario de fiction pour le cinéma : l’intrigue, le personnage, le conflit, la structure, la continuité temporelle et spatiale, le système narratif et le dialogue sont parmi les nombreux éléments concernés. Y seront aussi « maîtrisés » l’écriture du synopsis, du traitement, du séquencier et finalement de la continuité dialoguée. L’étudiant devra fournir un scénario original de 30 à 50 pages.

( LLASP432 TD : Montage I O. Vilgard
En rappelant les différents éléments qui permettent d’articuler un raccord, ce cours traversera l’histoire du cinéma pour retracer les différentes conceptions du montage : des tâtonnements du début à l’élaboration du langage cinématographique et de « règles » qui n’ont cessé d’être interrogés et détournés au cours de l’histoire du montage. Le corpus s’étendra jusqu’aux pratiques contemporaines. Après un volet théorique, on prévoit des séances de stage par petits groupes.

( LLASP433 TD : Fabrique du Polar  J.-A. Bron
Les films policiers, thrillers ou films noirs, ont nourri une abondante production du cinéma américain comme du cinéma français. A partir d’une identification des motifs d’écriture et de mise en scène, de leur relation tant à l’imaginaire qu’aux interrogations sociales, le TD accompagne l’écriture et la réalisation de séquences brèves jouant de ces figures dans les limites imposées. Les étudiants devront utiliser leurs propres moyens de tournage et de montage.

( LLASP434 TD : Etude de la critique  J. Roy
Cet atelier vise à compléter les cours d’histoire du cinéma et d’analyse de films par l’acquisition des modèles d’écriture propres à la critique de cinéma (médias et presse cinéphilique). En lisant, en écrivant, les étudiants réfléchissent sur la fonction du discours critique, observent la variété des styles, des techniques utilisées pour appréhender une œuvre. L’atelier implique une participation soutenue et une pratique constante par la production de texte.
( LLASP435 TD : Interprétation et travail de la scène II 
« Que votre travail soit bon ou mauvais ….. l’important c’est qu’il soit vrai. Pour cela il doit être juste, logique et cohérent « (Stanislavski).
Les étudiants choisiront des scènes du théâtre antique aux textes contemporains. La question sera : « Votre approche est-elle juste, logique et cohérente ? ».

( LLASP436 TD : Ecriture et travail de la scène II 
Nous déclinerons cette proposition d’Antoine Vitez, « faire théâtre de tout » au « matériau-cinématographe ». Comment réaliser au théâtre un gros plan, un travelling, une contre-plongée ?
Nous travaillerons donc à mettre en jeu quelques scènes d’un film. Le titre de ce film vous sera communiqué ultérieurement.

LLAUC440 Méthodologie 4

( LLAST441 CM : Théories du film I 
On se propose ici de dresser un panorama des principaux auteurs et courants intellectuels qui réfléchissent à l’identité du cinéma et ses problématiques particulières. A partir de textes et d’exemples filmiques majeurs, le cours suivra, autour de la question de la représentation, un parcours chronologique, depuis les auteurs « classiques » que sont Jean Epstein ou André Bazin jusqu’à des approches théoriques plus récentes. On s’autorisera quelques incursions dans des domaines connexes qui éclairent les origines et les conditions d’exercice de certaines pratiques théoriques.

( LLAST442 CM : Le récit filmique 
Dans l’expression « récit filmique », les deux termes doivent être pris en considération. Si le cinéma est loin d’être le seul art à raconter des histoires, il le fait avec des moyens audiovisuels qui lui sont spécifiques. Le « filmique », avec ses procédures et ses figures, détermine ainsi une mise en forme particulière du récit. Partant au départ des éléments communs à toutes les formes narratives, il s’agira donc par la suite de s’intéresser à la manière, complexe et évolutive, dont le cinéma raconte à travers des exemples variés.

( LLAST443 CM : Théories du théâtre et de ses représentations 
Ce cours est une approche de l’histoire du théâtre et de ses grandes théories à travers l’étude de l’évolution de l’espace de représentation et de la scénographie. Il vise à donner des repères dans une approche spatiale, esthétique et symbolique du lieu théâtral.
Nous analyserons le champ scénographique et ses mutations dans son rapport avec l’évolution des différents champs de la mise en forme de l’espace comme l’architecture et les typologies de la salle et de la scène, la ville, les arts plastiques…
Le cours sera constitué d’une approche historique, iconographique et typologique (grands textes de l’histoire de l’esthétique théâtrale, les courants de l’histoire du lieu scénique et de la scénographie), d’une approche technique (la machinerie théâtrale) et d’une approche terminologique et lexicale (espace théâtral, scénographie, décor, décoration, dispositif scénique, lieu scénique, diagramme dramatique, localité).

( LLAST444 CM : L’écriture dramatique 
Champs d’écriture : contraintes et libertés, productivité et rigueur, scénarisation comme pierre de touche des textes, écriture réécriture, écriture comme pratique et pensée de cette pratique. Interactions d’une trajectoire de groupe et de trajectoires individuelles.

LLAUC450 Langue Vivante 1

Anglais, allemand, espagnol, italien, russe, portugais, arabe littéral, français pour étudiants étrangers
LLAUC460 Mineure
Les inscriptions auront lieu dans les différents secrétariats :
Lettres modernes (bureau 106) Lettres classiques (bureau 109) Langues étrangères (UFR EAA/Bat E et UFR de langues/bat F ) Philosophie (bureau 113)

LLAUL470 : libre
Ec à choixir exclusivement dans la liste des ec libres arrêtée par l’université.

LICENCE Arts du spectacle 3e ANNEE L3
Parcours Arts du spectacle/Théâtre

Les EC à 3 Crédits exigent 50 heures de travail personnel
Les EC à 6 Crédits exigent 100 heures de travail personnel

SEMESTRE 5ECTSHeuresLLAUF51T Théorie et histoire…IO972H CMLLAST515 CM La notion de spectacle326h CMLLAST516 CM Genres du spectacle vivant 1326h CMLLAST517 CM Formes théâtrales européennes326h CMLLAUF52T Pratiques du théâtre 1O996hTDLLASP527 TD Scénographie 2326h TDLLACX502 Ateliers de réalisation 1X72HLLASP528 TD Ecriture dramatique et écriture scénique672 HTDLLASP529 TD Mise en espace 1672HTDLLAUC53T Méthodologie Théâtre 5O348HLLAST533 CM Histoire, politique et économie du spectacle vivant 11,526h CMLLASP534 TD Programmation et diffusion1.526h TDLLAUC550 Langue Vivante 1O326hAnglais, allemand , espagnol, italien, russe, portugaisLLAUC56T MineureX3LLACX506 Renforcement disciplinaire cinéma (sauf pratique)LLACX501 Lettres modernesLLACX502 Lettres classiquesLLACX503 Langues étrangèresLLACX504 PhilosophieLLACX505 Info comLLAUF570 UE LibreX3


SEMESTRE 6ECTSHeuresLLAUF61T Théorie et histoire…IIO972 HLLAST615 CM Genres du spectacle vivant 2326h CMLLAST616 CM Dramaturgies modernes et contemporaines326h CMLLAST617 CM Théâtre et inter culturalité326h CMLLAUF62T Pratiques du théâtre 2X672HLLASP627 TD Mise en espace 2672H TDLLASP626 TD Jeu et dramaturgie672H TDLLAUC63T Méthodologie théâtre 6X348hLLACX601 Politique et économie du théâtreOLLAST633 CM Politique et économie du théâtre 21,526h CMLLASP634 TD Gestion et production1.526h TDLLASP635 TD Pratique de l’enseignement du théâtre352hTDLLAUC650 Langue Vivante 1O326hAnglais, allemand , espagnol, italien, russe, portugaisLLAUC66T MineureX6LLACX606 Renforcement disciplinaire cinéma (sauf pratique)LLACX601Lettres modernesLLACX602 Lettres classiquesLLACX603 Langues étrangèresLLACX604 PhilosophieLLACX605 Info comLLAUF670 UE LibreX3


PARCOURS THEATRE
Licence 3e année Semestre 5

LLAUF51TThéorie et histoire … 1
LLAST515 CM : La notion de spectacle  B. Faivre
Le champ de l’unité inclut les diverses formes de spectacle qui reposent sur une connivence entre acteur et spectateur et postulent une participation active du public.
On s’intéressera particulièrement, en 2005-2006, à la relation directe entre personnage et spectateur, dans des œuvres allant du Xve siècle (farce médiévale) jusqu’à nos jours (Desproges aussi bien Beckett).

( LLAST516 CM : Les genres du spectacle vivant 1 J. Jourdheuil
A partir du drame diderotien et de la révolution romantique, nous étudierons le mélange des genres, comme caractéristique de la notion de drame.

( LLAST517 CM : Formes théâtrales européennes  J.-M. Deprats
Shakespeare, texte et théâtralité
Après avoir évoqué les caractéristiques du lieu scénique élisabéthain et interrogé les liens entre scénographie et dramaturgie dans l’œuvre de Shakespeare, on analysera les phénomènes d’auto réflexivité du théâtre dans l’écriture shakespearienne. L’étude approfondie dans cette perspective d’une comédie (Le songe d’une nuit d’été)et de deux tragédies (Hamlet et le Roi Lear) permettra de souligner l’importance et de dégager les significations du théâtre comme thème (l’artifice et l’illusion ; le théâtre du monde ; la scène comme lieu concret et comme lieu symbolique) et de la théâtralité comme élément de construction dramatique (théâtre dans le théâtre, structures emboîtées, mise en abîme).


LLAUF52T Pratiques du théâtre


( LLASP527 TD : Scénographie 2 
Cet atelier a pour objectif de donner aux étudiants les outils théoriques et pratiques d’analyse et de conception scénographique dans le champ de la représentation théâtrale : découvrir l’espace de l’écriture, le transformer en dispositif scénographique, réfléchir au rapport scène-salle, comprendre les contraintes de la scène et de l’espace architectural.
La scénographie sera définie comme un art du lieu en ce que sa vocation est de mettre en forme le lieu de représentation relative à une oeuvre donnée. Sa démarche spatiale découle d’une quête du signe et du symbole maniant la métaphore comme l’effet de réalité. En rapport avec le jeu, le mouvement des corps et du temps, l’action dramatique, le texte, l’histoire et la mémoire, elle recherche une émotion de l’espace.
Le volet théorique donnera quelques outils de compréhension de l’espace scénographique, les étapes de sa création et de sa réalisation. Nous aborderons le métier de scénographe et l’intervention des différents acteurs.
Le volet pratique sous forme d’atelier proposera des exercices de scénographie qui seront corrigés chaque semaine.

( LLACX502 : Atelier de réalisation I

( LLASP528 TD : Ecriture dramatique et écriture scénique
L’atelier se déroule en deux temps. Au cours du semestre, les étudiants élaborent une pièce courte de (vingt ou trente minutes) dont on suivra l’évolution au fil des séances, par le biais de lectures, discussions, etc.
Lors du stage d’une semaine, certaines pièces feront l’objet d’un passage sur le plateau et seront travaillées et interprétées par les participants à l’atelier.

( LLASP529 TD : Mise en espace I 
Au-delà des principes généraux qui régissent le métier de comédien, chaque auteur suppose un mode de jeu particulier en fonction de l’univers scénique, de la forme retenue, des choix d’écriture. On tentera, à l’aide d’exercices d’interprétation, d’aborder un auteur par le jeu.
Le travail portera cette année sur le théâtre de Georg Büchner, son théâtre (aux éditions Théâtrales) ses écrits scientifiques et son récit. Lenz.
L’atelier se compose de trois heures hebdomadaires, suivies d’un atelier d’une semaine, du 30 janvier au 8 février inclus.


LLAUC53T Méthodologie Théâtre 5

( LLAST533 CM : Politique et économie du spectacle vivant
Histoire de la politique culturelle en faveur du spectacle vivant de la seconde guerre mondiale à nos jours : données historiques, politiques, socio-économiques et artistiques.

( LLASP534 TD : Programmation et diffusion 
A travers des cas précis, étude des problématiques de programmation d’une structure théâtrale et initiation
aux méthodes et aux outils de la promotion et de la diffusion des spectacles.


LLAUC550 Langue vivante 1
Anglais, allemand, espagnol, italien, russe , portugais, arabe littéral, français pour étudiants étrangers


LLAUC56T Mineure
Les inscriptions auront lieu dans les différents secrétariats :
Lettres modernes (bureau 106)
Lettres classiques (bureau 109)
Langues étrangères (UFR EAA/Bat E et UFR de langues/bat F)
Philosophie(bureau 113)
Info Com (bureau 114)

LLAUF570 Libre



























PARCOURS THEATRE
Licence 3e année Semestre 6



LLAUF61T Théorie et histoire… II

LLAST615 CM : Genres du spectacle vivant II 

À travers quelques œuvres théâtrales et cinématographiques et en voyant quelques spectacles, on s’interrogera sur les structures fondamentales de la comédie et ses fondements dramaturgiques, sur l’efficacité du comique, sur ses procédés et sur leur impact idéologique.
On verra comment, à travers ces structures, la comédie est entraînée à parler d’elle-même, à mettre en place une « méta-théâtralité ». Parallèlement, on verra comment, au cinéma, une telle entreprise est possible : The Truman show servira de support à cette démonstration.
Dans un second temps, on cherchera à comprendre comment, après s’être défini par l’exposition et le jeu de ses structures fondamentales, le genre de la comédie joue avec lui-même et ajoute d’autres éléments. Si bien que la comédie, en apparence œuvre de divertissement, interroge les relations domestiques, pervertit les schémas familiaux, rend comique et problématique les certitudes les plus assurées : en étudiant Iphis et Iante de Benserade (éditions Lampsaque), on analysera comment, en 1634, ce genre joue avec l’identité sexuelle et aborde la question, encore peu théorisée alors, de l’homosexualité. Mais par-delà les questions, le divertissement et le jeu, la comédie doit se prononcer sur le monde et, au XVIIIe siècle, avoir un impact en matière de morale et de politique, quitte à ne rien abandonner des ambiguïtés sur lesquelles elle se fonde (Cartouche ou les voleurs de Legrand ; L’Opéra du gueux de John Gay ; L’opéra de Quat’sous de Brecht).


LLAST616 CM : Dramaturgies modernes et contemporaines 
Des auteurs de l’Après-Guerre jusqu’aux formes contemporaines du spectacle vivant, les principales évolutions des dramaturgies du XXème : éclatement des formes et des genres, pluralité des esthétiques, singularité des écritures, hybridation des arts qui interrogent la notion de drame.

LLAST617 CM : Théâtre et interculturalité 
Après un parcours sur l’histoire du théâtre traditionnel chinois – Xiqu, nous analyserons le genre emblématique Jingiu, opéra de Pékin. En étudiant quelques pièces du répertoire telles que « Adieu ma concubine » et « La Légende du serpent blanc », nous essayerons de dégager ce qui singularise l’esthétique de cet art : stylisation gestuelle et vocale, convention scénique, espace imaginaire et illusion poétique. C’est l’avant tout un art de l’acteur, ce qui nous conduit à traiter la notion du Qi (souffle/énergie) constituant le secret de la formation de l’acteur chinois. Mei Lanfang est le meilleur exemple à ce sujet.
Suite d’une introduction à la forme théâtrale japonaise telle que Kabuki et le Nô, nous aborderons le traité d’art dramatique La tradition secrète du Nô de Zéami, et une pièce du répertoire Matsukazé sera étudié également.  

LLAUF62T Pratique du théâtre

2 Ateliers de réalisation au choix :

( LLASP627 TD : Mise en espace II  B. Faivre
Durant la première partie de l’unité, les étudiants travailleront chaque semaine collectivement sur les différentes séquences de la pièce. Un stage d’une semaine à temps plein (matin et après-midi) pendant les vacances de printemps sera consacré à la mise en espace du texte choisi, dans son intégralité. Le choix de la pièce sera arrêté au début du cours.


( LLAST626 TD : Jeu et dramaturgie  J. Jourdheuil
Travail sur des textes de Jean Genet Le balcon et de Heiner Müller La mission et Vie de Gundling, Frédéric de Prusse Sommeil rêve cri de Lessing.
Deux stages groupés pendant la semaine du 4 au 13 février (vacances d’hiver) et du 9 au 15 avril (vacances de printemps).
LLAUC63T Méthodologie théâtre 6

( LLACX601 : Politique et économie du théâtre
(LLAST633 CM : Politique et économie du théâtre II 
Nous examinerons le champ d’activité des entreprises théâtrales et culturelles du triple point de vue juridique, économique et social. Le cours s’attachera plus particulièrement à la question de la production dans le spectacle vivant et à l’articulation entre conditions de production et politique artistique. Les étudiants s’initieront à l’organisation et à la gestion d’une entreprise culture à partir d’exemples précis. Le cas français sera étudié dans le contexte européen et international.

( LLASP634 TD : Gestion et Production 
A travers des études de cas concrets, approche des questions et méthodes de gestion d’une structure de création et de production de spectacles.

( LLASP635 TD : Pratique de l’enseignement du théâtre (non ouvert en 2005)


LLAUC650 Langue vivante 1
Anglais, allemand, espagnol, italien, russe, portugais, arabe littéral, français pour étudiants étrangers

L1AUC66T Mineure
Les inscriptions auront lieu dans les différents secrétariats :
Lettres modernes (bureau 106)
Lettres classiques (bureau 109)
Langues étrangères (UFR EAA/Bat E et UFR de langues/bat F)
Philosophie(bureau 113)
Info Com (bureau 114)



LLAUF670 Libre
Ec à choisir exclusivement dans la liste proposée par l’Université

























Licence Arts du spectacle 3e année
Parcours cinéma
Les EC à 3 Crédits exigent 50 heures de travail personnel
Les EC à 6 Crédits exigent 100 heures de travail personnel
SEMESTRE 5ECTSHeuresLLAUF51C Théorie et histoire…1O972hCMLLACX501 Histoire et esthétiqueX6LLAST511 CM cinéma européens326hCMLLAST512 CM modernités cinématographiques326hCMLLAST513 CM littérature et cinéma326hCMLLAST514 CM sociologie du cinémaO326hCMLLAUF52C Pratiques cinéma et audiovisuel 1X972hTDLLASP521 TD Photo numérique326hTDLLASP522 TD Montage virtuel326hTDLLASP523 TD Réalisation 1326hTDLLASP524 TD Archives 1326hTDLLASP525 TD Programmation326hTDLLASP526 TD Ecrire pour la télévision326hTDLLAUC53C Méthodologie cinéma 5X348hCMLLAST531 CM Etude d’un cinéaste326hCMLLAST532 CM Mises en scène filmiques326hCMLLAUC550 Langue Vivante 1O326hAnglais, allemand , espagnol, italien, russe, portugaisLLAUC56C MineureX3LLACX507 Renforcement disciplinaire théâtre (sauf pratique)LLACX501 Lettres modernesLLACX502 Lettres classiquesLLACX503 Langues étrangèresLLACX504 PhilosophieLLACX505 Info comLLAUL570 UE Libre X3
SEMESTRE 6ECTSHeuresLLAUF61C Théorie et histoire…2O972hCMLLACX601 Histoire et esthétiqueX3LLAST611 CM Théorie et histoire des genres cinématographiques326hCMLLAST612 CM Théories du cinéma 2326hCMLLAST613 CM Droit du cinéma et des médias326hCMLLAST614 CM Economie du cinéma326hCMLLAUF62C Pratiques cinéma et audiovisuel 2X648hCMLLASP621 TD Réalisation 2326hTDLLASP622 TD Cinéma et animation culturelle326hTDLLASP623 TD Initiation à la recherche326hTDLLASP624 TD Archives 2326hTDLL ASP625 TD Pratique de la critique 326hTDLLAUC63C Méthodologie cinéma 6X348hCMLLAST631 CM Mises en scène de la télévision326hCMLLAST632 CM Mises en scène de l’écriture326hCMLLAUC650 Langue Vivante 1O326hAnglais, allemand , espagnol, italien, russe, portugaisLLAUC660 Mineurex6LLACX607 Renforcement disciplinaire théâtre (sauf pratique)LLACX601 Lettres modernesLLACX602 Lettres classiquesLLACX603 Langues étrangèresLLACX604 PhilosophieLLACX605 Info comLLAUL670 UE Libre X3
Licence 3e année Semestre 5

PARCOURS CINEMA

LLAUF51C Théorie et histoire … 1

( LLACX501 : Histoire et esthétique

(LLAST511 CM : Cinéma européen  Le cinéma italien : scènes du Pouvoir, fables de la dictature (CM) : Mme SCHIFANO
Le cinéma italien, aussi léger, comique ou romanesque soit-il, est toujours resté étroitement lié aux conditions socio-historiques, aux contextes violents qui n’ont cessé de le déterminer et de l’inspirer. De Rome ville ouverte (Rossellini, 1945) au Caïman (Moretti, 2006) , un fil rouge et noir le traverse : celui que dessinent les scènes réelles – politiques, mafieuses – du Pouvoir sous ses multiples visages et ses diverses formes. On privilégiera, au cours de cette présentation du cinéma italien, les scénarios qui mettent en scène tyrannies et dictatures. Entre autres : V.Cottafavi (Hercule à la conquête de l’Atlandide, 1960), R. Freda (Spartacus, 1953), D.Risi (Le journal d’une femme de chambre, 1976), R. Rossellini ( La Prise du pouvoir par Louis XIV, 1966), F. Fellini (Amarcord, 1973 et Prova d’orchestra, 1979), L. Visconti (Le Guépard, 1962, les Damnés, 1969), P. et V.Taviani (Padre padrone, 1977), P.P Pasolini (Salo, 1975) , F. Rosi (Cadavres exquis, 1975), C. Lizzani (Le Procès de Vérone, 1962), B. Bertolucci (Le Conformiste, 1970), M. Bellocchio (Buongiorno notte, 2003). On s’aidera de l’éclairage fourni par 4 romans : Le Christ s’est arrêté à Eboli (Carlo Levi, 1945), Le Conformiste (Moravia, 1951), Le Guépard (Lampedusa, 1958), et Le Contexte (L. Sciascia, 1970).


(LLAST512 CM : Modernités cinématographiques  J.-A. Bron
Il s’agira, le recul aidant et à la lumière de nombreux textes de références poétiques (Baudelaire, Apollinaire, les surréalistes, Maurice Blanchot) et critiques (W. Benjamin, R. Barthes, G. Deleuze, G. Didi Huberman, Jacques Rancière...) de situer et définir la modernité cinématographique européenne de Rossellini à Lars von Trier, d’identifier ses postures, figures et figurations, ses motifs d’inspiration, ses marques expressives, voire sa rhétorique. On s’interrogera sur son dépassement dans la « post-modernité ». L’étude s’appuiera sur l’analyse de films emblématiques de I.Bergman, J.-L.Godard, J.Tati, A.Resnais, A Varda, M. Antonioni, F. Fellini, N. Moretti, W. Wenders, L. von Trier…


(LLAST513 CM : Cinéma et littérature  Marie Martin
Les relations entre cinéma et littérature soulèvent plusieurs problèmes, historiques, théoriques et pratiques, qui vont de la problématiques de l’adaptation à celle des influences réciproques d’où émerge un « partage du sensible » renouvelé, en passant par la question du romanesque et du spectaculaire. En rassemblant quelques œuvres autour d’un même thème – les récits de rêves et les marges de l’onirisme -, ce cours tente d’analyser les particularités langagières et esthétiques où peuvent s’appréhender les différences et les convergences de la littérature et du cinéma.

( LLAST514 CM : Sociologie du cinéma  R. Moine
L’objectif du cours est, à partir de la lecture des textes théoriques et d’études de cas, de familiariser les étudiants avec les concepts et les méthodes de l’analyse socio-culturelle du cinéma et de l’audiovisuel (sociologie de l’art et de la culture, gender studies, star studies, sociologie de la réception et des publics…).













LLAUF52C Pratiques cinéma et audiovisuel 1

( LLASP521 TD : Photo numérique  J.-.L Paillé
Ce cour pratique permet de faire un apprentissage de la photographie numérique par la prise de vues, la retouche et le montage d’images.
Il sera associé à un projet photographique lié au spectacle.
Destiné en priorité aux étudiants ayant effectué l’EC Pratique photographique ou ayant une équivalence.

( LLASP522 TD : Montage virtuel  B. Tijou
 Apprentissage du montage à partir d’exercices pratiques sur logiciel Avid : il s’agira de monter quelques séquences d’un ou deux longs métrages de fiction, sortis ces dernières années, dont les rushes seront mis à la disposition des étudiants.

( LLASP523 TD : Réalisation I  O. Vilgard
Comment choisir la distance par rapport au sujet, composer le cadre, penser le hors-champ ? Comment créer un rythme avec les mouvements du champ (ceux des corps ou des objets mobiles mais aussi ceux de la lumière) et les mouvements de caméra ? ou encore comment travailler les sons, envisager un contrepoint ? L’écriture du découpage technique et la réalisation d’un »one-minute scénario » à choisir parmi ceux qui seront proposés permettront de s’initier aux problèmes de la réalisation. Dans un second temps, les étudiants écriront un synopsis en choisissant un des deux « principes » de départ proposés leur permettant de s’exprimer dans des registres très différents (fiction, documentaire ou expérimentation) et réaliseront un film-court. L’assiduité aux cours et la possibilité de disposer d’une caméra vidéo pour 3 étudiants en moyenne sont indispensables. On prévoit un volet pratique et un volet théorique.

( LLASP524 TD : Archives filmiques I  L. Véray
Il s’agira dans cet atelier de travailler sur la question des images d’archives. Cela commencera par un enseignement lié à l’histoire des cinémathèques, aux techniques d’archivages et de restauration, aux politiques patrimoniales. Mais il sera surtout question du recyclage des images, entre compilation et détournement de sens, dans les écritures cinématographiques (fiction et essais documentaires), et dans d’autres formes artistiques le « found footage » dans les films expérimentaux, les vidéos, les installations, les créations scéniques…).

(LLASP525 TD : Programmation  M. Chabrol
Effectif limité à 25 étudiants
Cet atelier est destiné à initié aux principes de la programmation cinématographique en l’envisageant à la fois sous l’angle des contenus (choix des sujets, des thèmes et des œuvres) et des pratiques (contraintes techniques et commerciales). L’essentiel du travail consistera à préparer très concrètement l’organisation de plusieurs manifestions, en lien avec les affaires culturelles de l’université et des partenaires extérieurs.

( LLASP526 TD : Ecrire pour la télévision  D. Parent-Altier
Cet atelier s’adresse aux étudiants ayant une connaissance fiable de l’écriture de scénario et ayant produit un manuscrit qui sera expressément demandé lors de la première rencontre.
Les séries télévisuelles sont devenues incontournables et reflètent des environnements culturels diverses. Cet atelier propose donc une étude de la spécificité de l’écriture « serielle » présente dans des genres récurrents tels que le policier, le mélodrame, le soap, le sitcom ou encore la science fiction représentés par des séries telles qu’Oz, Six Feet Under, The corner, Dolmen, The L. World, Carnivale ou encore un soap brésilien.
Il sera demandé à chaque étudiant de lire la bible, le pilote et un court synopsis des six épisodes d’une serie originale (26 ou 52 minutes).
Le but étant de terminer le cours avec un portfolio le plus professionnel possible.

LLAUC53C Méthodologie cinéma 5

( LLAST531CM : Etude d’une cinéaste : Agnès Varda A. Kleinberger

Le cours s’intéresse au travail d’ Agnès Varda, une des très rares femmes cinéastes de son temps, à une œuvre qui couvre les cinquante dernières années, mêle fictions et documentaires, courts et longs-métrages en abordant des thèmes divers et toujours contemporains, toujours singuliers.



( LLAST532CM  : Mises en scène filmiques  F. Boully
La mise en scène est un peu comme le Temps : tout le monde sait ce qu’elle est, mais quand il est question de la définir. Il s’agit pourtant d’une notion-clé du langage cinématographique et de l’art filmique, la plus essentielle peut-être. Ce cours, où se mêleront théorie et analyses, aura donc pour objet un réexamen du concept de mise en scène. Peut-on échapper à la mise en scène au cinéma ? C’est bien la question que nous ne cesserons de nous poser. L’assiduité et la participation active des étudiants seront exigées.


LLAUC550 Langue vivante 1
Anglais, allemand, espagnol, italien, russe , portugais, arabe littéral, français pour étudiants étrangers

L1AUC56C Mineure
Les inscriptions auront lieu dans les différents secrétariats :
Lettres modernes (bureau 106)
Lettres classiques (bureau 109)
Langues étrangères (UFR EAA/Bat E et UFR de langues/bat F)
Philosophie(bureau 113)
Info Com (bureau 114)


LLAUL570 Libre
Ec à choisir exclusivement dans la liste proposée par l’Université



Licence 3e année Semestre 6

PARCOURS CINEMA


LLAUF61C Théorie et histoire … 2

( LLACX601 : Histoire et esthétique

(LLAST611 CM : Théorie et histoire des genres cinématographiques  R. Moine
Le cours a pour objectif de donner aux étudiants un cadre théorique de réflexion sur la question du genre cinématographique, un concept majeur pour l’histoire et la théorie du cinéma : quels sont les différents sens et usages de la notion de genre ? Comment se définit et se reconnaît un genre ? Quelles fonctions remplit-il dans les processus de production et de réception des films ? Comment s’inscrit-il dans l’histoire ?


(LLAST612 CM : Théories du cinéma II  M. Chabrol
Ce cours généraliste vise à présenter différentes approches contemporaines du cinéma. A travers un programme de textes, on envisagera la question de la représentation dans sa dimension sensible, et notamment dans sa relation avec le spectateur. Le cours ne procède pas de manière chronologique, mais en croisant les auteurs autour de points précis. Sont abordés en particulier différentes démarches esthétiques ; deux exemples d’approches philosophiques (Gilles Deleuze, Stanley Cavell) . NB : Il est recommandé, mais non obligatoire, d’avoir suivi « Théories du cinéma 1 ».

( LLAST613 CM : Droit du cinéma et des médias  S. Durrande
Le cours se propose d’étudier :
- le droit privé du cinéma. Cette partie traitera essentiellement de la protection des auteurs.
Qu’est-ce qu’une œuvre cinématographique ? A quelles conditions est-elle protégée ? Quelles sont les prérogatives de ses auteurs notamment face au pouvoir financier du producteur ?
- le droit public du cinéma : réglementation de l’accès à la profession, contrôle des activités cinématographiques, rôle du CNC et des pouvoirs publics en général.




( LLAST614 CM : Initiation à l’économie du cinéma et de l’audiovisuel  J. Augros
De l’élaboration du scénario au passage du film de cinéma à la télévision, l’ensemble de la chaîne cinématographique est marqué par des rapports de force socio-économiques que l’on efforcera de décrypter. On verra successivement le CNC et les aides, les mesures de financement, la production, la distribution, l’exploitation en salles et sur les différents médias. Centré autour du cinéma français, le cours ne s’interdira pas des échappés sur les cinématographiques étrangères.

LLAUF62C Pratiques cinéma et audiovisuel 2

( LLASP621 TD : Réalisation 2 : O. Vilgard


( LLASP622 TD : Cinéma et animation culturelle  M. Roy
Le cours a pour but d’étudier les débouchés non directement commerciaux des films : festivals, manifestations diverses, ciné-clubs … Il repose essentiellement sur un stage en entreprise d’une ou deux semaines à temps plein pour lequel un rapport de stage sera exigé. Les stages étant fournis, dans des organismes culturels parisiens ou -pour ceux qui le souhaitent et peuvent assurer leur prise en charge financière- dans le cadre du festival de Cannes, l’inscription est limitée à quinze étudiants particulièrement motivés.

( LLASP623 TD : Initiation à la recherche  A. Kleinberger
Cet atelier s’adresse en particulier aux étudiants qui désirent se familiariser avec les méthodes d’investigation des sources cinématographiques et audiovisuelles et les nouveaux outils de recherche, dans la perspective de leurs futurs mémoires de Master en particulier.

( LLASP624 TD : Archives filmiques II  L. Véray
Suite du TD « Archives I » autour de la problématique de la constitution d’archives filmiques et de leurs usages, cet atelier sera réalisé en collaboration avec la Bibliothèque de Documentation Internationale Contemporaine qui est présente sur le campus de Nanterre et dont les collections sur le XXe siècle sont considérables. Les étudiants (encadrés par un enseignant et un technicien) seront amenés à filmer des témoignages sur un sujet donné afin de réaliser ensuite des petits montages qui intégreront non seulement les images enregistrées, mais d’autres documents provenant des fonds de la BDIC ou d’autres archives. Les rushes et les réalisations ainsi obtenus seront intégrés aux collections de la BDIC où ils pourront être consultés par tous les étudiants et les chercheurs.

(LLASP625 TD : Pratique de la critique  J. Roy
 Ce cours approfondit « Etude de la critique II ». Il a toujours pour objet de développer le sens de l’écriture et l’acquisition d’un style propre. Il nécessite davantage une bonne culture générale personnelle permettant d’aborder des œuvres cinématographiques entretenant un rapport fort avec les divers Arts, l’histoire, le politique, le social, y compris dans des pays, des domaines et des pratiques ignorés des programmes de l’enseignement secondaire. Une présence soutenue et une pratique constante de la production de textes sont exigées.

LLAUC63C Méthodologie cinéma 6

( LLAST631CM : Mise en scène de la télévision F. Boully
Médium dominant et omniprésent dans nos sociétés, la télévision n’en reste pas moins souvent dénigrée (en France, du moins), en dépit des études pléthoriques qui examinent la variété de ses mises en scènes, débouchant souvent sur le pire mais aussi, parfois, sur le meilleur. Du reportage aux séries télévisées, de l’émission de plateau en direct live à « Paris dernière », de la télé-réalité au journal télévisé, les mises en scènes propres à la télévision prennent des formes multiples. C’est à l’examen de certaines de ces formes, et aux enjeux qui leurs sont liés, que s’attachera ce cours. On s’intéressera plus particulièrement aux formes fictionnelles, mais pour voir aussi (peut-être) comment un « air de fiction » modèle des dispositifs qui, de prime abord, n’ont rien de fictionnels. L’assiduité et la participation active des étudiants seront exigées.

( LLAST632 CM : Mise en scène de l’écriture  J.-A. Bron
La relation qui s’instaure entre l’écriture, -le scénario-, le filmage, -la mise en scène-, est un lieu fécond de tension et de contradiction. On montrera comment la mise en scène peut se nourrir des logiques romanesques, dramatiques et poétiques de l’écriture, à condition de leur résister, au nom de ses propres logiques visuelles et sonores. La question du rythme illustre particulièrement ce conflit créateur . Un premier appui sera fourni par des films de Rohmer, Truffaut et Resnais, réalisés dans un rapport à des formes d’écriture explicitement littéraires, pour ouvrir sur une problématique plus large de la mise en scène de l’écriture.  




LLAUC650 Langue vivante 1
Anglais, allemand, espagnol, italien, russe , portugais, arabe littéral, français pour étudiants étrangers


L1AUC66C Mineure
Les inscriptions auront lieu dans les différents secrétariats :
Lettres modernes (bureau 106)
Lettres classiques (bureau 109)
Langues étrangères (UFR EAA/Bat E et UFR de langues/bat F)
Philosophie(bureau 113)
Info Com (bureau 114)

LLAUL670 Libre
Ec à choisir exclusivement dans la liste proposée par l’Université
















































INFORMATIONS UTILES

( Paris X informations et orientation (SCUIO) : Bâtiment E - Rez-de-chaussée, salle E14.  INCLUDEPICTURE "http://www.u-paris10.fr/images/photos/0007/img_1095321625266.gif" \* MERGEFORMATINET Horaires - Lundi, mercredi, jeudi - 9 h à 17 h - Mardi, vendredi 9 h à 12 h - Horaires particuliers durant les congés universitaires - 01 40 97 75 34

( Un problème avec votre bourse, votre bulletin d’assiduité, contacter le service des bourses – bâtiment A – 1er étage - Bureau A 109 – 01 40 97 76 23 ou 01 40 97 58 34.

( Vous changez d’adresse, vous avez perdu votre carte d’étudiant, vous avez des problèmes avec votre inscription administrative, vous voulez obtenir un certificat de scolarité, effectuer un transfert de dossier vers une autre université…. Contactez le service de la scolarité – bâtiment A – rez-de-chaussée – bureau A. 07 – 01 40 97 59 43 ou 01 40 97 47 90.

( Vous désirez demander votre diplôme, avoir une attestation de réussite, obtenir un relevé de notes antérieur à 2002/2003 (à partir de 2002/2003 veuillez vous adresser au bureau de votre année) Contactez le service des diplômes– bâtiment A – 2ème étage – 01 40 97 56 81 ou 01 40 97 76 30.

( Les aides pédagogiques aux étudiants handicapés : bâtiment DD – bureau R. 05 – 01 40 97 74 75

( RESO-U est un service de l'Université Paris X composé d'étudiants stagiaires et de professionnels qui ont pour mission de faire du campus un lieu de vie, d'accueillir et d'informer les étudiants tant au niveau administratif et pédagogique que culturel et sportif – Bâtiment G – mezzanine – 01 40 97 75 50 – e-mail : reso-u@u-paris10.fr

( TUTORAT
Vous venez de vous inscrire à l'Université Paris X-Nanterre en 1ère année de licence: Il existe une structure pour vous accueillir et vous aider à réussir vos études : le tutorat.  
Ce système vous permet de vous familiariser avec le campus mais aussi vous informer au sujet des divers services mis à votre disposition. Au sein d'un groupe de six à huit étudiants de 1ère année de 1er cycle, vous serez encadré par un étudiant de 2e ou 3e cycle recruté pour ses compétences par un enseignant chercheur coordonnateur.
Intérêt du tutorat : Au cours des deux semestres, le tutorat d'accompagnement vous permettra de vous adapter aux exigences de niveau de l'université (différentes de celles du lycée) ou simplement d'améliorer des résultats insuffisants. Les séances d'une à deux heures ne sont pas des reprises de TD mais une aide pour surmonter les difficultés méthodologiques (comment faire tel exercice, tel exposé, telle dissertation ? que signifie tel concept ? où chercher les documents ? etc.) et une approche concrète des problèmes spécifiques à chaque discipline étudiée. De plus, vous faites connaissance avec d'autres étudiants de 1ère année qui sont confrontés aux mêmes obstacles et vous vous sentez moins isolé dans un campus aux dimensions éclatées par rapport à celles du lycée. Le tutorat est aussi un lieu convivial. Il repose sur le volontariat et le sérieux de l'étudiant de 1ère année qui désire mettre tous les atouts de son côté pour réussir son passage en 2e année. Bien que ne donnant lieu à aucune évaluation ou validation, il exige un investissement personnel.

Renseignez vous auprès de votre secrétariat.

(RELATIONS INTERNATIONALES
Vous êtes en premier cycle à l'Université Paris X-Nanterre et vous avez un projet universitaire. Vous ne savez peut être pas encore que l'Université organise depuis plusieurs années des échanges avec des universités européennes dans le cadre du programme SOCRATES- ERASMUS. Peut être serait-il intéressant pour votre avenir de prévoir de partir une année académique dans un de ces pays. Vous préparerez dans l'université d'accueil des enseignements dont les résultats seront validés dans votre diplôme d'origine.
Vous pouvez également prévoir de poursuivre, dans le cadre d'échanges, vos études au Canada, aux Etats Unis ou en Russie. Comme pour les échanges européens, les matières étudiées seront validées dans le diplôme français.
Ce séjour à l'étranger, vous permettra non seulement de suivre des enseignements et de perfectionner une autre langue, mais également de connaître un autre pays et sa culture.
Donc, n'hésitez pas à prévoir dans votre cursus universitaire une année à l'étranger. Elle vous sera très profitable.
Pour plus de renseignements, vous pouvez vous rendre au :
Service des Relations Internationales
Bâtiment A, Bureau 108, 1er étage

SUITE DE LA PAGE 2 DE COUVERTURE
4/ LES ÉPREUVES
Les partiels et les examens terminaux (les épreuves d’examen) se déroulent dans les locaux désignés par le Président de l’Université ou son représentant ; ils sont organisées de telle manière que nul ne puisse mettre en doute la validité des notes et diplômes qu’ils contribuent à décerner. Les dispositions suivantes précisent leur organisation :

1) Tous les étudiants inscrits à un même élément constitutif et à une même formule d’examen (formule d’examen standard, formule d’examen pour l’enseignement à distance ou formule d’examen dérogatoire) subissent des épreuves de même type et de même nature.

2) Les épreuves sont organisées de manière à minimiser les chevauchements. Les UFR prennent les dispositions quand les chevauchements sont inévitables.

3) Seuls sont admis à pénétrer dans la salle et à composer les étudiants inscrits à l’épreuve dans le mode de contrôle correspondant. Si un étudiant affirme devoir composer et ne figure pas sur la liste d’émargement, il compose sous réserve de vérification, son nom est ajouté à la liste d’émargement. Au cas où l’étudiant aurait composé à tort, la note de cette nouvelle composition ne peut en aucun cas modifier une note précédente éventuelle.

4) L’ouverture des sujets est effectuée par les enseignants responsables avant la distribution des sujets.

5) Les épreuves sont surveillées par au moins deux enseignants, dont l’un de la matière enseignée. En cas de pluralité de salles, l’enseignant responsable de la matière assurera la coordination entre les salles.

6) L’identité des étudiants qui composent est vérifiée par la présentation de la carte d’étudiant ou, à défaut, d’une pièce avec photographie justifiant son identité ; ils signent la feuille d’émargement qui est conservée par l’Administration avec les copies dont elle suit le sort.
7) A l’issue de l’épreuve, toutes les copies remises doivent être anonymées. L’anonymat ne peut être levé qu’au moment de la collecte des notes.

8) Pour chaque épreuve, il est dressé un procès-verbal d’examen comportant la date et la nature de l’épreuve, le nom et l’émargement des surveillants, le nombre de signatures et celui des copies relevées, ainsi que les incidents de toute nature, y compris les fraudes et tentatives de fraudes, qui ont marqué l’épreuve et pourraient entacher sa validité partielle ou totale.

5/ LES JURYS
Les jurys sont désignés par le Président de l’Université. Ils sont constitués des enseignants ayant contribué à la formation, et d’eux seuls. Le secrétaire des étudiants handicapés est présent à titre consultatif. Les jurys délibèrent souverainement sur les résultats qui leur sont communiqués en vue de décerner les diplômes ; ils arrêtent la liste des étudiants reçus et décernent les mentions. Lorsque des notes sont modifiées par le jury pour admettre un candidat, la mention passable (délibération spéciale) figure sur le procès-verbal collectif de délibération.
1) Rendues définitives par la délibération, les notes ne peuvent être modifiées que par le jury, et seulement en cas d’erreur matérielle. En cas d’impossibilité de réunir le jury, le Président du jury et le directeur de l’UFR procèdent à la rectification et en informent le Président de l’Université.
2) Les jurys sont informés des fraudes, tentatives de fraude et présomptions de fraude qui ont été notées durant l’épreuve. Ils transmettent les faits à la section disciplinaire de l’Université.

6/ LES FRAUDES
Les fraudes aux examens sont des délits de nature disciplinaire régis par la loi du 23 décembre 1901. Les fraudes de quelque nature qu’elles soient doivent être mentionnées sur le procès-verbal si elles sont décelées au cours de l’épreuve. En cas de flagrant délit, le responsable saisit les pièces en cause pour les joindre au rapport qu’il établira. En cas de substitution de personnes, troubles persistants, insultes ou menaces envers les enseignants ou le personnel, etc. le responsable de la salle, agissant par délégation du Président, peut procéder à l’expulsion immédiate du ou des fautifs. Dans des cas plus graves, l’épreuve peut être annulée et reportée.

L’établissement du procès verbal sur les faits constatés n’interrompt pas le déroulement des épreuves.

Le responsable note les faits et rédige un rapport circonstancié. Les témoins éventuels contresignent le rapport qui est présenté au Président de l’Université pour saisine de la section disciplinaire.
—Ê ³
‰ › Û
ë
Ö|mþÏÐíïòó   - . 0 1 Z [ f h ³ ¶ ¿ óãÕãÕÅÕÅÕ·Õ·ÅÕ· ·ÅՔóƒóoƒó”ógó[óghÀR-B*CJaJphhÀR-B*ph&jrbF
hÀR-B*CJUVaJph jhÀR-B*CJUaJphhÀR-B*CJ$aJ$ph,hÀR-B*OJPJQJeh phrÊÿ hÀR-B*OJPJQJphhÀR-5B*CJPJaJphhÀR-B*CJPJaJphhÀR-B*CJOJPJQJphhÀR-B*CJaJph!—˜Ê ³
‡ ˆ ‰ œ u Ù
Ú
Û
ì
†O®„…àýÎÌÌýǾÇÇÇÇÇÇÇÇÇÇÇÇÇÇÇ„dð`„$a$/$$d%d&d'd-DMÆ
ÿÿNÆOÆPÆQÆa$ŏÍÏþþþþàáñòÅÆÖ×|}mnýþ–×[Õ \ÏÐîïðúúúúúúøòúúøòøúúêêêêêêúøåøã$a$$
& Fa$„`„$a$ðñòó     1 2 Z [ f g h { | ³ ´ µ ¶ Æ Ç Ù Ú Û ýýñèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèßßß$„`„a$$„`„a$ $
Æ*Êda$¿ À Ä Å Æ Ç î !!#!9!J!f!€!§!Ã!è!ü!'"3"(?)?V@’@¾@¿@ü@ý@;AU@V@’@¯@·@¾@¿@Ã@ß@íééÞÞÞ^ÞV¤x$IfkdÞ}$$If–FÖÖFºÿ¸ ·¶#þ ÿ ÿ Ö0ÿÿÿÿÿÿöÖ ÿÿÿÖ ÿÿÿÖ ÿÿÿÖ ÿÿÿ4Ö
Faö $¤x$Ifa$¤x
& F
Æø„¯¤x^„¯gdÀrq ß@ü@ý@AA;A÷wl÷÷ $¤x$Ifa$kd~$$If–FÖÖFºÿ¸ ·¶#þ ÿ ÿ Ö0ÿÿÿÿÿÿöÖ ÿÿÿÖ ÿÿÿÖ ÿÿÿÖ ÿÿÿ4Ö
Faö¤x$If;AM‚MƒM–MdNgNØNøNMƒMgN…N¸NØNÙNøN2 jJðhÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphu,hÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphuhÀR-B*CJH*PJaJph$hÀR-6B*CJPJ\]aJphhÀR-B*CJPJ]aJphhÀR-6B*CJPJaJph! jqðhÀR-B*CJPJaJphhÀR-5B*CJPJaJphhÀR-B*CJPJaJph!hÀR-5B*CJPJ\aJphhÀR-5B*PJ\phââBâjäkä™äyåzå´åµåÙ奿ïæç0çRçŸç çÊçóîæÞîîî°¤æÞæææææææ $„Äd`„Äa$-$„d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿ`„a$$da$$da$d $„Äd`„Äa$âAâBâiäjäkälä—ä™äxåyåzå„å³åµå¶åØåÙåç꬛jSºSBj3jjShÀR-5B*CJ\aJph!hÀR-5B*CJPJ]aJph,hÀR-6B*CJPJ]aJmHnHphu,hÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphu2 jJðhÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphu!hÀR-56B*CJPJaJphhÀR-B*CJPJaJph&hÀR-B*CJPJaJmHnHphu0hÀR-6B*CJPJ]aJmHnHphsH u0hÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphsH uÙ夿¥æ/ç0çŸç ç¡çÊçµè¶è·èÃèÄèÜèÝèºê»êÁêîÝîÌ¤p¾`M=MÝhÀR-B*CJPJ\aJph$hÀR-6B*CJPJ\]aJphhÀR-5B*CJPJaJph!hÀR-5B*CJPJ\aJphhÀR-B*CJaJph,hÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphu2 jJðhÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphuhÀR-B*CJPJaJph!hªr~B*CJPJ\]aJph!hÀR-56B*CJPJaJph!hÀR-B*CJPJ\]aJphÊçµè¶èÝè»ê¼ê½ê¾ê¿êÀêÁêÛêÜêëííKíMíŽîùíááÙÙÙÙÙÙ¯Ù§§§¢¢¢d$da$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$$da$ $
Æ(da$ $„Äd`„Äa$
ÆÐ€ÁêÛêÜêÝêéêêêëëííííHíIíMíNíîî‘î¬îmïððð"ð#ð*ð,ð4ð5ðîàϾஞàžàϾvàà¾®àiZiKià¾àhÀR-56B*NHPJphhÀR-56B*H*PJphhÀR-56B*PJph,hÀR-6B*CJPJ]aJmHnHphu!hÀR-6B*CJPJ]aJphhÀR-6B*CJPJaJphhÀR-5B*CJPJaJph!hÀR-5B*CJPJ\aJph! jqðhÀR-B*CJPJaJphhÀR-B*CJPJaJph!hÀR-5B*CJPJ]aJphŽîî‘î¬îïïï,ïmï‹ï«ïçïðððúòÄòòòšò•••••ˆ „õ „ d]„õ ^„ $a$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$-$„Åd$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿ`„Åa$$da$dð)ð*ð+ð,ð\ð]ð¿ð@òAòBò‹òÖŽ½“Ё½ql½$a$$„˜þ„ d^„˜þ`„ a$„´d`„´„Äd`„Ä)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$$da$„¶d-DMÆ
ÿÿÿÿ]„¶)$„¶„Œ
d$d&d-D•MÆ
ÿÿÿÿ%NÆÿPÆÿ]„¶^„Œ
a$ 5ð[ð\ð]ð^ðgðhð²ð¿ðBòCòqòròzòò‹òÖò×òÞòßò~ó˜ó¶óßóãóôôô5ôðâѽÑâðªâ½Ñ—Ñðªâ‡â‡âyâyâÑð_H,hÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphu2 jJðhÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphuh±jÔB*CJPJaJphhÀR-B*CJH*PJaJph$hÀR-5B*CJH*PJ\aJph$hÀR-6B*CJPJ\]aJph' jqðhÀR-5B*CJPJ\aJph!hÀR-5B*CJPJ\aJphhÀR-B*CJPJaJphhÀR-5B*CJPJaJph‹òáóâóãóôô6ôõ õ1õðõñõòõ-ö.öYöÞ÷ß÷þ÷óçç½µµµµµµ­­½­µóµ¢
$da$gd‘ã$da$$da$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$ $„Åd`„Åa$ $„ d`„ a$5ô6ô_ôaôõõ õ
õ0õ1õïõðõòõ-ö.ö/öXöYöÝ÷Þ÷ß÷à÷ê÷ý÷þ÷æÒ½ÒæÒ£ŒæÒæŒ{Œ£ŒdÒdT£Œ{C!h‘ã5B*CJPJ\aJphhÀR-5B*CJPJaJph,hÀR-6B*CJPJ]aJmHnHphu!hÀR-5B*CJPJ\aJph,hÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphu2 jJðhÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphu)hÀR-B*CJH*PJaJmHnHphu&hÀR-B*CJPJaJmHnHphu2hÀR-56B*CJPJ\]aJmHnHphuþ÷¸øçùgúàúãúûûûÌüÝüîüjþ»þ¼þñþòþ(ÿIôèàà×àÑàÑÑÑÑÑààÅà轸d$da$ $„Äd`„Äa$„ `„ „Äd`„Ä$da$ $„ d`„ a$
$da$gd‘ãþ÷¸øæùçùãúäúûûûûÝüîüºþ»þ¼þ½þîÚÃÚ¬˜†s`†M†6Ú¬-hÀR-B*CJOJPJQJ\mHnHphu%hÀR-6B*CJOJPJQJ\ph$hÀR-6B*CJPJ\]aJph$h‘ã6B*CJPJ\]aJph"hÀR-B*CJOJPJQJ\ph&hÀR-5B*CJPJaJmH phsH , jJðhÀR-B*CJPJaJmHnHphu,hÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphu&hÀR-B*CJPJaJmHnHphu!hÀR-56B*CJPJaJph½þÛþðþñþòþóþ'ÿ(ÿ FI.IJKLqr±²³Þßðàð̵ð¢à‹µð¢àtcO>ð¢àO>ð¢!hÀR-5B*CJPJ\aJph' jqðhÀR-5B*CJPJ\aJph!hÀR-5B*CJPJ]aJph,hÀR-5B*CJPJ\aJmHnHphu,hÀR-6B*CJPJ]aJmHnHphu$hÀR-6B*CJPJ\]aJph, jJðhÀR-B*CJPJaJmHnHphu&hÀR-B*CJPJaJmHnHphuhÀR-B*CJPJ\aJphhÀR-5B*CJPJaJphI,-.IJrx°±ßPQRööñö¦¦¦–¦~yw$a$$
Æú(„„À„@ÿd]„^„À`„@ÿa$$
Æú(„d]„a$$
Æú(„d]„a$
Æú(„d]„-$„Äd$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿ`„Äa$d„ d`„
ßNPQR[lmÙÛäìí.Â(ßàâêüýðßÎÄ´¤–¤‚´¤–¤–q¤a–SDShÀR-5B*CJ\aJphhÀR-5B*CJaJphhÀR-6B*CJPJaJph!hÀR-56B*CJPJaJph&hÀR-B*CJPJaJmHnHphuhÀR-B*CJPJaJphhÀR-5B*CJPJaJphhÀR-B*CJOJPJQJphhÀR-B*PJph!hÀR-6B*CJPJ\aJph!hÀR-5B*CJPJ]aJphhÀR-B*CJPJ\aJphR[lmÙÚÛäìùéxpppùé$da$pkdÞï$$IfT–FÖÖ0ºÿÊ )
ÓÖ0ÿÿÿÿÿÿöã)ÖÿÿÖÿÿÖÿÿÖÿÿ4Ö
FaöŠT$„ ÿd$If]„ ÿa$$Ifìí.Ll¨ÀÁÂކ|w$a$d$a$$da$pkd}ð$$IfT–FÖÖ0ºÿÊ )
ÓÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÖÿÿÖÿÿÖÿÿ4Ö
FaöŠTÂ)àáâ
ƒŽ”›œ§¨­¯°ÍÍÈÈ¿·ªªªªœªªª–‘Ffcò$If
$
Ƹp#$Ifa$ $
& F$Ifa$$da$ $
Ƹp#a$d2$d$d%d&d'd-DMÆ
ÿàààNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$ýþ
‚ƒ›œ®¯êë "ij¦¨úû< > D F y z ¨ ª ­ á â K
L
~


ðâÓÆ¸¬¸ ¸–¸„t – ¸ – ¸t ¸–¸f¸ – – ¸„hÀR-B*CJOJQJphhÀR-B*CJaJmH phsH "hÀR-5B*CJaJmH phsH hÀR-B*CJphhÀR-B*CJaJphhÀR-5B*CJphhÀR-5B*CJaJphhÀR-5B*CJ\phhÀR-5B*CJPJ\phhÀR-5B*CJaJphhÀR-5B*CJH*aJph#°âäæêë !"_`bij¥¦¨¯°ðñõèèèÝõèè×ÒÄèèèÝÄèèè¿ÄèFfýú
& F
ÆÐ$IfFfÇö$If

Ƹp#$If $
& F$Ifa$
& F$Ifñóúû; < > E F t v x y z ¨ ª ¬ ­ ® × Ø Ú òòìÞòòòÙÏòòòìÏÉòòĺòò
& F$IfFfš$If
& F$IfFfdþ
& F
ÆÐ$If$If $
& F$Ifa$Ú á â 




A
B
D
K
L
s
t
v
}
~






òìâòòòÝâòòòìâòòòØÎòòòìÈ$If
& F$IfFf7
FfÐ
& F$If$If $
& F$Ifa$Ã


 
) - . F u ~  • – ž Ÿ Ä Å Î Ï í î ö ÷ - . 6 7 ` a i j š › £ ¤ ß à ç è é 


L
M
T
U







"?ñãÕÉ»«ñ«É«ñ«™ÉÕÉÕɏÉÕÉÕÉÕɏÉÕÉÕÉÕɏÉÕÉÕɻɏÉÕÉÕɻɏÕɏÉÕhÀR-B*CJph"hÀR-5B*CJaJmH phsH hÀR-B*CJaJmH phsH hÀR-6B*CJaJphhÀR-B*CJaJphhÀR-5B*CJaJphhÀR-B*CJOJQJphhÀR-B*CJmH phsH 8ý
ÿ
  
) + , - . E F H O P t u w ~  • – ˜ Ÿ òòòíßòòòÙßòòòÔÆòòòÙßòòò
& F
ÆÐ$IfFf£$If
& F
ÆÐ$IfFfm $
& F$Ifa$Ÿ   Ä Å Ç Î Ï í î ð ÷ ø - . 0 6 7 ` a c j k š úìßßßÙËßß߯ìßßßÙËßßßÁìFfØFfq
& F
ÆÐ$If$If $
& F$Ifa$
& F
ÆÐ$IfFf
š ›  £ ¤ ß à â è é 




L
M
O
U
V



òòòìÞòòòÙÏòòòìÞòòòÊÀòò
& F$IfFf¦#
& F$IfFf? 
& F
ÆÐ$If$If $
& F$Ifa$“






¿





!":?@òìâòòòÝÓòòòìÅòòòÀâòòòìFf,
& F
ÆÐ$If
& F$IfFfÜ'
& F$If$If $
& F$Ifa$?@ÇÈ
/0ÆÇéê…†œ¼½ùú23‘ßà78nrsŒŽ‘«¬³´ãõéõéÛõéõÛéÛõéõÛéõéõéõéõéõéÛõéÛõÛé˽­›­‰­½x!hÀR-5B*CJPJ\aJph#hÀR-56B*NHPJ\]ph"hÀR-56B*H*PJ\]phhÀR-56B*PJ\]phhÀR-B*CJPJaJphhÀR-6B*CJPJaJphhÀR-5B*CJaJphhÀR-B*CJaJphhÀR-B*CJph*@^_ahi½¾ÀÇÈ 
')+/0TñäääßÍäääÇñäää¸äääÇñ
& F$IfFf¢3$If
ÆÐ„h„˜þ$If^„h`„˜þFfÚ/ $
& F$Ifa$
& F
ÆÐ$IfTUW^_ÃÄÅÆÇáãåéêûýÿefghiòòòíãòòòÝãòòòØãòòòÝãòòòÓFf˜@Ff\]·ÞßàCÕÍÁµÍ¥ÍÍ{sÍÍ$da$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$$„Þþ„ d]„Þþ`„ a$ $„Äd`„Äa$ $„ d`„ a$$da$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$ ãäåæ/>]^_©·­®àAC?XYZ[\‹žZ•˜ëÚÌ»ªÌÚÌ»ªÌšÌ»Ìƒs»ªÌeÌeƒs»Ì»Ì»Ìhrc B*CJPJaJphhÀR-5B*CJPJaJph, jJðhÀR-B*CJPJaJmHnHphuhÀR-B*CJH*PJaJph!hÀR-6B*CJPJ]aJph!hÀR-5B*CJPJ\aJphhÀR-B*CJPJaJph! jqðhÀR-B*CJPJaJph'hÀR-56B*CJPJ\]aJphCÿ(?YZ‹YZ[•–âã=>iööííååàààà¶®àààà¢å $„Äd`„Äa$$da$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$d$da$„Äd`„Ä„ d`„ ˜™áãä北®¯34>?@hiSTUV‹µ¶·ëì% & ( ) P Q R äЫ—†uÂuÂuÂu«—†u—«—†Â«—†Ði†ÂäÐÂÐhÀR-B*CJaJph!hÀR-6B*CJPJ]aJph!hÀR-5B*CJPJ\aJph&hÀR-B*CJPJaJmHnHphu, jJðhÀR-B*CJPJaJmHnHphuhÀR-B*CJPJaJph'hÀR-56B*CJPJ\]aJph5 juðhÀR-56B*CJPJ\]aJmHphsH#i!ST³´µì.% & Q R   #
# #@#U&Â'Ã'óóëëëßßÚØØÚÚÐßóëëÁÁóë$„Äd`„Äa$gdö>Ô$da$d $„Äd`„Äa$$da$ $„ d`„ a$R S Ž   Í"Î"#
# # #?#@#*$}'½'¾'Á'Â'Þ'ß'à'á'9(D(ëÚÌ»­š­ÌÚëډ{m_m{ÌÚÌNÌÚ»! jqðhÀR-B*CJPJaJphhxZ}B*CJPJaJphhÜj)B*CJPJaJphh~~B*CJPJaJph!hö>Ô5B*CJPJ\aJph$h"$gh"$gB*CJH*PJaJphh"$gB*CJPJaJph!hÀR-6B*CJPJ]aJphhÀR-B*CJPJaJph!hÀR-5B*CJPJ\aJph' jððhÀR-5B*CJPJ\aJphÃ'Þ'ß'D()))6)¢)£)¤)µ)ö)*4*p*ÑÉɽ±±‡ÉÉɇɂ‚‚$a$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$ $„Äd`„Äa$ $„ d`„ a$$da$-$„Äd$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿ`„Äa$D()%)5)6)¤)­)ö)‰*Š*œ* *¡*¢*¼*½*Ã*Ä*Ì*Í*ô*ö*÷*ø*>+G+›-œ--ñ-û-o/Ÿ/ñãÓãÓãÓã´㤒¤€¤ãoãÓã^ãoÂã^ãoÂão! jqðhÀR-B*CJPJaJph!hÀR-5B*CJPJ\aJph#hÀR-56B*NHPJ\]ph"hÀR-56B*H*PJ\]phhÀR-56B*PJ\]phhÀR-5B*CJaJph!hÀR-6B*CJPJ]aJphhÀR-5B*CJPJaJphhÀR-B*CJPJaJphh{sëB*CJPJaJph p*ˆ*‰*Š*œ**ž*Ÿ* *Ã*Ä*úòòĸ¸¸¸Šd)$„õ „ d$d&d-D•MÆ
ÿÿÿÿ%NÆÿPÆÿ]„õ ^„ a$ $„Äd`„Äa$-$„Äd$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿ`„Äa$$da$$a$
Ä*õ*ö*G+š-›-û-n/o/Ÿ/ /Õ/Œ00¾0w1ÑŽ½½½½½“ŽŽŽŽ…Ž$„ `„ a$$a$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$$da$ $„Äd`„Äa$-$„Äd$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿ`„Äa$Ÿ/ /¡/¢/Ó/Ô/Õ/Œ00Ž00½0¾0v1w1¶1·1¸1¹1º1ðÙÅ´ ðÙÅ´nÅ`´`´ÙJ*hÀR-B*CJPJaJmHnHphsH uhÀR-B*CJPJaJph!hÀR-6B*CJPJ]aJphhÀR-B*CJPJ\aJph!hÀR-6B*CJPJ\aJph'hÀR-56B*CJPJ\]aJph!hÀR-5B*CJPJ\aJph&hÀR-B*CJPJaJmHnHphu, jJðhÀR-B*CJPJaJmHnHphuhÀR-6B*CJ]aJphw1x1·1¸1é1
446466D688D8:R:æ:†;‡;¾;úÐÈÈÈÈÈÆÁȵÈȯ¯©¯ÈÈ„ `„ „`„ $„ d`„ a$$a$$da$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$$a$º1×1Ø1é1
4444+4646666696D688éÕÁ± ‰séÁa‰M ?.?M!hÀR-6B*CJPJ]aJphhÀR-B*CJPJaJph&hÀR-B*CJPJaJmHnHphu"hÀR-B*CJOJPJQJ]ph*hÀR-B*CJPJaJmHnHphsH u, jJðhÀR-B*CJPJaJmHnHphu!hÀR-5B*CJPJ\aJphhÀR-B*CJPJ]aJph&hÀR-6B*CJPJaJmH phsH &hÀR-B*CJPJ]aJmH phsH ,hÀR-5B*CJPJ\]aJmH phsH 888=8D8:::Q:R:†;‡;ˆ;‰;¾;÷O?OaObOfOmOhZPPP
& F$If
ÆÐ„Ä$If^„Ä–kd.$$IfT–FÖÖ\|ü|çŒûäÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠTmOnO O¡O£O©OhZPPP
& F$If
& F
ÆÐ$If–kd`Ž$$IfT–FÖÖ\|ü|çŒûäÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠT©OªOÄOÆOÈOÌOhbbbb$If–kd’$$IfT–FÖÖ\|ü|çŒûäÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠTÌOÍOPPPP60000$IfÉkdĐ$$IfT–FÖ”´Ö\|ü|çŒûä ÖÖ(ÿÀÀÀÿÀÀÀÿÀÀÀÿÀÀÀÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüpÖ(ÿÀÀÀÿÀÀÀÿÀÀÀÿÀÀÀŠTP PPPPPf````$If˜kd[’$$IfT–FÖ”´Ö\|ü|çŒûäÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠTP P[P\P]P6,&&$If
& F$IfÉkd‘“$$IfT–FÖ”´Ö\|ü|çŒûä ÖÖ(ÿÀÀÀÿÀÀÀÿÀÀÀÿÀÀÀÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüpÖ(ÿÀÀÀÿÀÀÀÿÀÀÀÿÀÀÀŠT]P^P_PxPyPzP{Pù`Vùùù
& F$If˜kd(•$$IfT–FÖ”´Ö\|ü|çŒûäÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠT$If{P|P˜P™PšP›Pf\VVV$If
& F$If˜kd^–$$IfT–FÖ”´Ö\|ü|çŒûäÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠT›PœP¸P¹PºP»Pf\VVV$If
& F$If˜kd”—$$IfT–FÖ”´Ö\|ü|çŒûäÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠT»P¼PÑPÒPÓPÔPf\VVV$If
& F$If˜kdʘ$$IfT–FÖ”´Ö\|ü|çŒûäÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠTÔPÕPçPèPéPêPf\VVV$If
& F$If˜kdš$$IfT–FÖ”´Ö\|ü|çŒûäÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠTêPëPþPQQQf````$If˜kd6›$$IfT–FÖ”´Ö\|ü|çÿÿÿÿŒÿÿÿÿûÿÿÿÿäÿÿÿÿÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠTQQQQQ6...$da$Ékdlœ$$IfT–FÖ”´Ö\|ü|çŒûä ÖÖ(ÿÀÀÀÿÀÀÀÿÀÀÀÿÀÀÀÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüpÖ(ÿÀÀÀÿÀÀÀÿÀÀÀÿÀÀÀŠTQQ6Q7Q@QXQÅÅÀºª$„ ÿd$If]„ ÿa$$Ifd:$„õ „ d$d%d&d'd-D•MÆ
ÿÿÿÿ%NÆÿOÆÿPÆÿQÆÿ]„õ ^„ a$7Q@QXQYQZQ]QjQˆQ‘Q“Q
SSSSDSQSRSâSãSïßÑïÑÀß­ƒrÑß­_O?hÀR-B*CJaJmHphsHhìYB*CJaJmHphsH$hÀR-56B*CJPJ]aJph! jqðhÀR-B*CJPJaJphhÀR-B*CJaJphhÀR-B*CJ\aJphhÀR-B*CJPJ\aJph$hÀR-6B*CJPJ\]aJph!hÀR-5B*CJPJ\aJphhÀR-B*CJPJaJphhÀR-5B*CJPJaJphhÀR-B*CJOJPJQJphXQYQZQ[Qtnb $d$Ifa$$If‹kdž$$IfT–FÖÖ0ºÿÊ )
Óÿÿÿÿ Ö˜˜Öÿÿ&ÿÿ&Ö0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÖÿÿÖÿÿÿÿÿÖÿÿ4Ö
FaöpÖÿÿ&ÿÿ&ŠT[Q\Q]Q“Q;R
SSw\ww; $
Æ)
Ž0`Àð

P€°à@1$7$8$H$a$$
& F
ÆÐ„„d^„`„a$gdÀrq$da$€kdåž$$IfT–FÖÖ0ºÿÊ )
Ó Ö˜Ö
ÿÿ&Ö0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÖÿÿÖÿÿÖÿÿ4Ö
FaöpÖ
ÿÿ&ŠTSRSãSäS$TFTWWW$W%W&WGW°XSZ.[óîîæáÙÔÔªž’‡‡‡‡
$da$gdå „Äd`„Ägdl $„Äd`„Äa$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$ddgdå $a$$da$gdh,d $
Æ´da$ãSäSåSæST$TFTvU‘U¦U¾UWWW$W&W'WñàÒ¯Ÿ¯¯~ÒmYB, jJðhÀR-B*CJPJaJmHnHphu&hÀR-B*CJPJaJmHnHphu!hÀR-5B*CJPJ\aJph!hÀR-6B*CJPJ]aJphhÀR-B*CJPJ\aJphhÀR-B*CJOJPJQJph$hÀR-6B*CJPJ\]aJphhÀR-5B*CJPJaJphhÀR-B*CJPJaJph! jqðhÀR-B*CJPJaJphhh,dB*CJPJaJph'W(WDWEWGWSW}WîW¯X°XmZêÕÁª“|eN:&&hå B*CJPJ]aJmHphsH&h»|gB*CJPJ]aJmHphsH,hå hå B*CJPJ]aJmHphsH,hå hÇ^gB*CJPJ]aJmHphsH,hå hlÂB*CJPJ]aJmHphsH,hå h»|gB*CJPJ]aJmHphsH,hÀR-6B*CJPJ\]aJmHphsH&hÀR-5B*CJPJaJmHphsH)hÀR-5B*CJPJ\aJmHphsH*hÀR-B*CJPJaJmHnHphsHu
mZ¢[©[ª[«[­[®[º[Ô[Õ[\\Ž]]‘]ìØÄ­›€l[D[3%3DhÀR-B*CJPJaJph!hÀR-6B*CJPJ]aJph, jJðhÀR-B*CJPJaJmHnHphu!hÀR-5B*CJPJ\aJph'hÀR-56B*CJPJ\]aJph5 juðhÀR-56B*CJPJ\]aJmHphsH#hÀR-B*CJPJaJmHphsH,hG–hG–B*CJPJ]aJmHphsH&hÀR-B*CJPJ]aJmHphsH&hå B*CJPJ]aJmHphsH&h :B*CJPJ]aJmHphsH.[ª[«[Ó[Ô[\ì\Ž]]¶]Ì^`_Ý_Þ_ß_``B`ô`ôôìììììììçççì⸰¨¨$da$$da$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$dgdlÂdgdlÂ
$da$gdG–‘]µ]¶]þ^ ___t_Ü_Ý_ß_```>`A`B`i`ò`ö`÷`#a$aîÝÑŹѹÑîªÑ–î†scSc–î?'hÀR-56B*CJPJ\]aJphhýg-B*CJPJ\aJphhÀR-B*CJPJ\aJph$hÀR-6B*CJPJ\]aJphhÀR-5B*CJPJaJph' jqðhÀR-5B*CJPJ\aJphhÀR-5B*CJ\aJphhÆ#òB*CJaJphhÛy„B*CJaJphhÀR-B*CJaJph!hÀR-6B*CJPJ]aJph!hÀR-5B*CJPJ\aJphô`ö`$a’aâaãaäabmbnbobbÂbàbcoîÞÒÄÒÄÒÄÒÄÒÄÒ´ÞîÞ´îÞ¡´“‚“‚“‚“‚“‚“‚“‚“‚Þîq hÀR-56B*CJ\aJph!hÀR-6B*CJPJ]aJphhÀR-B*CJPJaJph$hÀR-56B*CJPJ]aJphhÀR-B*CJPJ\aJphhÀR-6B*CJaJphhÀR-B*CJaJphhÀR-5B*CJPJaJph!hÀR-5B*CJPJ\aJph)ønoo=o>opo×pØpÙpq¤qrArÕÍÈÈÀÀ´¤¤¢s)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$gdG–$„ „ôÿd^„ `„ôÿa$ $„Äd`„Äa$$da$d$da$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$ >o?oNoeopo×pØpÙpÚpépþpqq6q@qTq_qbq¤qrr@rArBrDréØÈµ¥È‘éØÈ¥µ…w…w…w…fØU…GhÀR-B*CJPJaJph hÀR-56B*CJ\aJph hG–hÀR-5B*CJaJphhÀR-5B*CJaJphhÀR-B*CJaJph&hÀR-B*CJPJaJmHnHphuhÀR-B*CJPJ\aJph$hÀR-6B*CJPJ\]aJphhÀR-5B*CJPJaJph!hÀR-5B*CJPJ\aJph, jJðhÀR-B*CJPJaJmHnHphuArBrrr¬r›ttÄtWuXu£u¤u¥uÀu+v,vóëëëßëëÏ¿¿³…ëë-$„Äd$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿ`„Äa$ $„Äd`„Äa$$„Є0ýd^„Ð`„0ýa$$„Єd^„Ð`„a$ $„Äd^„Äa$$da$ $„Åd`„Åa$DrErQrsrtr«r¬r›ttžtŸtÄtWuXuYuZu¤u¥uÀu,v4väп«¿šŒ¿ua¿Œ¿ua¿UF6ŒhÀR-5B*CJPJaJphhÀR-5B*CJ\aJphhÀR-B*CJaJph&hÀR-B*CJPJaJmHnHphu, jJðhÀR-B*CJPJaJmHnHphuhÀR-B*CJPJaJph!hÀR-6B*CJPJ]aJph' jððhÀR-5B*CJPJ\aJph!hÀR-5B*CJPJ\aJph'hÀR-56B*CJPJ\]aJph5 juðhÀR-56B*CJPJ\]aJmHphsH,v>vvv½vùvw'w(w)w*w:w}w~ww€ww‚wÕÍÈÈÈÈÍÍÍ͖–ÈÈÈÈÈ1$„Є¸d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿ^„Ð`„¸a$$a$$da$)$d$d%d&d'dNÆÿOÆÿPÆÿQÆÿa$4vvw*w:w|w}wwŽw“w±w²wÉw=x>xx¡xZyyÒyÓyÚyÜyöy÷yðâÔÆ¸©ƒteVÆHÆÆÆÆhÀR-6B*CJaJphhÀR-B*CJPJ\]phhÀR-5B*CJPJ]phhÀR-5B*H*PJ]phhG–5B*PJ]phhÀR-5B*PJ]phhÀR-B*CJaJphhG–5B*CJ\aJphhG–5B*CJaJphhÀR-5B*CJaJphhÀR-B*CJ\aJphhÀR-B*CJPJaJphhÀR-5B*CJPJaJph‚wƒw„w…w†w‡wˆw‰wŠw‹wŒwwŽwww‘w’w“w”w•w–w¹wÉwxúúúúúúúúúúúòòòòòòòòòÉÉò)$„æ„ d$d&d-D MÆ
ÿÿNÆÿPÆÿ]„æ^„ a$$da$$a$x>xIxJxOxVxWxvxxx÷êêêêSIê
& F$If–kd£Ÿ$$IfT–FÖÖ\|ü¡œï™ÿÿÿÿÿÿÿÿŒÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿûÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿSÿÿÿÿÿÿÿÿÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÖÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÖÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠT $
& F$Ifa$$da$xxzx€xxòò+ÇkdÕ $$IfT–FÖÖ\|ü¡œï™ŒûS ÖÖ(ÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüpÖ(ÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿŠT $
& F$Ifa$x¡x£x¥x¦x§xÄxñäääM?
& F„Ä$If^„Ä–kdh¢$$IfT–FÖÖ\|ü¡œï™ÿÿÿÿŒÿÿÿÿûÿÿÿÿSÿÿÿÿÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠT $
& F$Ifa$
& F
ÆÐ$IfÄxÅxÇxÍxÎxøxùxûxêêêSEêê
& F„Ä$If^„Ä–kdš£$$IfT–FÖÖ\|ü¡œï™ŒûSÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠT$
& F„h„˜þ$If^„h`„˜þa$ûxyy$y%y'y-yêSE888 $
& F$Ifa$
& F„Ä$If^„Ä–kd̤$$IfT–FÖÖ\|ü¡œï™ŒûSÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠT$
& F„h„˜þ$If^„h`„˜þa$-y.yOyQySyYyhZMMM $
& F$Ifa$
& F
ÆÐ$If–kdþ¥$$IfT–FÖÖ\|ü¡œï™ŒûSÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠTYyZy…y‡y‰yyh^QQQ $
& F$Ifa$
& F$If–kd0§$$IfT–FÖÖ\|ü¡œï™ŒûSÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠTyy¬y­y8* $
& F$Ifa$
& F
ÆÐ$IfÇkdb¨$$IfT–FÖÖ\|ü¡œï™ŒûS ÖÖ(ÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüpÖ(ÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿŠT­y¯yµy¶yÒyÓyÕyÛyòò[Mòòò
& F
ÆÐ$If–kdõ©$$IfT–FÖÖ\|ü¡œï™ŒûSÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠT $
& F$Ifa$ÛyÜyöy÷yùyÿyhZMMM $
& F$Ifa$
& F
ÆÐ$If–kd'«$$IfT–FÖÖ\|ü¡œï™ŒûSÖ0ÿÿÿÿÿÿöÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿÖÿÿÿÿ4Ö
FaöÂüŠT÷yþyzzzz!z;z¾@¾A¾B¾‡¾¾ž¾®¾°¾ì¾í¾î¾å¿ÿ¿SÀTÀUÀ Á7ÁGÁJÁvÁwÁªÁ×ÁØÁßÁ*Ã+Ã3ÃèÃ:ÅLÅiɗɘəÉïãï×ͿͰãÍã¤Í˜Í°ãÍãͰãÍã͘ͰãͰãͰã×͉}Íp°hÀR-5>*B*CJphhÀR-B*CJOJphhÀR-5>*B*CJOJphhÀR-B*CJH*phhÀR->*B*CJph jèðhÀR-5B*CJphhÀR-0J15B*CJphhÀR-B*CJphhÀR-0J1B*CJphhÀR-5B*CJphjhÀR-5B*CJUph*˜É³É´Ë‘ÌAÍ·ÍñÍÎ9Î:Î;Î\ÎlÎÈÏÉÏÊÐËÐúõõõõõððêØõõ’’õ„`„*$„$d %d$&d!'d$NÆÿ OÆÿ$PÆÿ!QÆÿ$`„a$&$$d!%d$&d!'d$NÆÿ!OÆÿ$PÆÿ!QÆÿ$a$
ÆT$a$$a$$a$™É³É;Ê—ÊÌ,Ì?ÍAÍ·ÍñÍ0Î2Î9Î:Î\ÎkÎÕ֊ז×ÀÛÏÛÐÛjÞœßÅÆCDŽ’“•–˜™›œ¢ñçÚçÚçÌÚçÚ½Ú¯£¯—£—¯—¯—ñ—•—‹‹‹‡‡‡‡‡uo
hÀR-0JjhÀR-0JUjhê„Uhê„hÀR-
hÀR-0J.UhÀR-B*CJaJphhÀR-B*OJQJphhÀR-5B*CJaJphhÀR-56B*CJH*phhÀR-B*CJOJQJphhÀR-56B*CJphhÀR-B*CJphhÀR-B*CJOJQJph+ËÐcÑdÑ"Ó#ӎӏÓcÔdÔÕÖ։׊ח×ÏÙüÚ¿ÛÀÛÐÛjÞkÞÒÞÓÞœßnÄÅúúúúúúúúúôúúúúúúúúúòúúúúúúð„`„$a$Si la fraude est décelée lors de la correction des épreuves, un rapport est établi dans les mêmes conditions.
Les fraudes portant sur des objets autres que les examens : production de certificats frauduleux ou falsifiés ; falsification de documents, certificats et diplômes de l’Université sont transmis à la justice civile avec une plainte pour faux en écritures publiques, indépendamment de l’action devant la section disciplinaire de l’Université.
* Se reporter au lexique pour avoir la définition exacte du terme employé.
** Pour rappel, un semestre équivaut à 30 crédits.
* Se reporter au lexique pour avoir la définition exacte du terme employé.









PAGE 12




PAGE 12


PAGE 3









Formation universitaire non sélective

Formation non universitaire

Formation universitaire sélective

Baccalauréat ou Diplôme d’Accès aux Etudes Universitaires


4 premiers semestres de la licence


BTS


DEUST


DUT


CPGE

Licence professionnelle

Deux derniers semestres de la licence

Deux premiers semestres du master professionnel

Deux premiers semestres du master recherche






Grandes écoles

Deux derniers semestres du master recherche

Deux premiers semestres du master professionnel



Doctorat