Td corrigé - Devoir n°2 de SVT ? Terminale S ? 2h pdf

- Devoir n°2 de SVT ? Terminale S ? 2h

introduction qui définit les termes du sujet, pose clairement la problématique et annonce sa ... II - La genèse de gamètes possédant deux chromosomes 21 :.




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Exercice 1 : Restitution organisée de connaissances (10pts)
Méiose et fécondation participent à la stabilité du caryotype des individus de l'espèce. Pourtant, certains individus présentent un caryotype anormal : leurs cellules possèdent trois chromosomes 21.
Vous présenterez les perturbations du déroulement de la méiose qui conduisent à une trisomie 21.
Il sera tenu compte de la qualité de l'introduction, du développement structuré et de la conclusion. Le texte sera accompagné de schémas dans lesquels la formule chromosomique de la cellule sera 2n=4.


Critères d’évaluation• introduction qui définit les termes du sujet, pose clairement la problématique et annonce sa résolution.
EX : Au cours des générations, la constance du caryotype de l´espèce est assurée par les mécanismes de la reproduction sexuée. Cependant, il arrive que des individus naissent avec un caryotype différent ; c´est le cas des personnes trisomiques qui possèdent par exemple trois chromosomes 21 au lieu de deux.
Ce caryotype résulte de l´union d´un gamète possédant deux chromosomes 21 et un autre n´en possédant qu´un seul.
Après avoir brièvement rappelé les mécanismes de répartition des chromosomes au cours d´une méiose sans erreur, nous étudierons les mécanismes responsables de la production de gamètes à deux chromosomes 21.
• Organisation sous la forme d’un argumentaire.
• Qualité de l’expression écrite : correction orthographique, grammaticale, organisation du texte : une idée par paragraphes
•Conclusion : réponse claire à la problématique
EX : Les probabilités d´anomalies de la méiose à l´origine de la présence de deux chromosomes 21 dans un gamète augmente avec l´âge des parents, de la mère notamment. Ces anomalies peuvent concerner d´autres chromosomes (13, 18) mais, le plus souvent, les individus porteurs de ces caryotypes anormaux ne sont pas viables (avortements spontanés). - I - La répartition des chromosomes au cours de la méiose:
La méiose correspond à une succession de deux divisions cellulaires précédées par une réplication de l´ADN.
- La première division sépare les chromosomes homologues de chaque paire : à l´anaphase I chaque chromosome homologue formé de 2 chromatides migre aléatoirement vers l'un des pôles du fuseau.
Les 2 cellules filles n´héritent donc que d´un seul chromosome de chaque paire, elles sont haploïdes.
- La deuxième division sépare les deux chromatides de chaque chromosome
Les quatre cellules formées (haploïdes). (qui donneront les gamètes) héritent donc, pour chaque paire d´un chromosome simple à une chromatide.
Les schémas des deux anaphases et / ou des deux télophases sont attendus.
 EMBED PBrush - II - La genèse de gamètes possédant deux chromosomes 21 :
La perturbation responsable de la formation d´un gamète contenant deux chromosomes 21 peut survenir durant la première ou la deuxième division de la méiose.
1) Durant la première division : la non-séparation des chromosomes homologues:
Les deux chromosomes 21, toujours formés de deux chromatides, migrent du même côté de la cellule lors de l´anaphase I. Une des deux cellules à l´issue de la télophase I possède alors deux chromosomes 21 et l´autre aucun.
La deuxième division aboutit à la formation de deux cellules possédant deux chromosomes 21 simples.
schéma montrant ce phénomène : anaphase 1 et / ou télophase 1 : au moins un schéma
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2) Durant la deuxième division : la non-séparation des chromatides :
La première division se déroule normalement et donne naissance à deux cellules filles qui contiennent chacune un chromosome 21 formé de deux chromatides. Lors de la deuxième division, les deux chromatides se séparent mais migrent vers le même pôle de la cellule donnant ainsi naissance à un gamète possédant deux chromosomes 21.
schéma montrant ce phénomène : anaphase 2 et / ou télophase 2 : au moins un schéma
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C’est la fécondation d´un gamète contenant deux chromosomes 21 par un gamète n´en contenant qu´un seul, qui permettra d’obtenir une cellule œuf avec 3 chromosomes 21 à l’origine du développement d’un individu trisomique. 

Exercice 2 - Le régime alimentaire des japonais

 Les algues du genre Porphyra constituent un élément de base dans l’alimentation des Japonais et qu'ils parviennent à digérer facilement, contrairement aux occidentaux.







Sushis makis
entourés de l’algue porphyra




Doc 1. Des bactéries dans notre tube digestif


Les êtres humains abritent dans leur tube digestif de nombreuses bactéries (1000 à 1500 espèces) qui représentent plus d’un kilogramme de leur masse : ces bactéries composent la flore intestinale. Ces bactéries trouvent dans le tube digestif les nutriments dont elles ont besoin pour se développer. Dans des circonstances normales, elles ne provoquent pas de maladies et beaucoup d’entre elles sont capables de décomposer les hydrates de carbone (glucides complexes) que l'être humain ne pourrait pas digérer autrement car il ne possède pas les protéines permettant la dégradation de ces sucres.

L’acquisition des bactéries qui composent la flore intestinale a lieu dès le plus jeune âge à partir de bactéries maternelles transmises essentiellement lors de l’accouchement et lors des contacts ultérieurs.

Doc 2 : Observations de l'algue Porphyra

Les algues Porphyra contiennent dans leur paroi des glucides complexes appelés porphyranes qui ne sont dégradés que par des enzymes (protéines) appelées porphyranases. Le gène codant pour la porphyranase est absent des génomes humains mais est présent chez une bactérie marine: Zobellia galactanivorans. Ces bactéries se nourrissent de l’algue qu’elles peuvent digérer grâce à leur porphyranase.



Doc 1a: Une algue du genre Porphyra










Doc 1b: une bactérie Zobellia galactanivorans au contact de la paroi d'une algue Porphyra





Doc 3 : Résultats de la recherche de séquences génétiques similaires au gène de la porphyranase (présent chez Z. galactanivorans) dans la flore intestinale de quelques êtres humains

Puisque le gène de la porphyranase n’est jamais présent dans le génome humain, on recherche la séquence de ce gène dans le génome des bactéries de la flore intestinale de 5 japonais (j1, j2, j3, j4 et j5) et de 18 américains.

Pour cela, on prélève un échantillon de la flore présente dans le tube digestif de ces individus. Par des méthodes de recherche de gènes, on détermine le nombre total de séquences génétiques similaires au gène de la porphyranase de Z. galactanivorans trouvées dans l’échantillon. Puis pour chacune de ces séquences on détermine le pourcentage d’identité avec la séquence du gène de la porphyranase de Z. galactanivorans.

Les résultats obtenus sont présentés dans le tableau ci-dessous :


- Dans cette étude, la bactérie Zobellia galactanivorans n'est jamais retrouvée dans la flore intestinale des individus.
- Des études phylogénétiques ont montré que Z. galactanivorans ne partage aucune parenté récente avec les bactéries de la flore intestinale des japonais.
- En dehors des Japonais, aucune autre population au monde ne possède la séquence de ce gène dans sa flore intestinale

Doc 4 : Photographie montrant des bactéries d’espèces différentes cultivées ensembles.











Eléments de correctionQualité de la démarcheDans cet exercice, il s’agit de comprendre comment les Japonais ont pu acquérir la capacité de digérer les algues Porphyra des sushis alors que les occidentaux en sont incapables. Nous allons montrer que cette acquisition fait intervenir deux mécanismes de diversification des êtres vivants.Idées essentielles:

¡% Seuls les Japonais peuvent digérer les algues Porphyra grâce à la présence de bactéries vivant en symbiose dans leur tube digestif. Ces bactéries possèdent le gène codant pour la porphyranase = enzyme dégradant les glucides composant Porphyra.

¡% L acquisition de cette capacité a fait intervenir deux mécanismes de diversification : transfert horizontal du gène de la porphyranase de la bactérie marine Zobellia aux bactéries du tube digestif des japonais et la symbiose qui réunit les japonais et les bactéries de leur flore intestinale.Qualité de l’exploitation des éléments scientifiques
tirés des documents et des connaissancesInformations tirées des documents
Doc 1 : ¡%l Homme vit en symbiose avec de nombreuses espèces de bactéries : les bactéries bénéficient des aliments du tube digestif et grâce à cette association, l Homme peut digérer certains sucres qu il ne pourrait pas digérer seul car il ne possède pas les molécules nécessaires
¡% Une partie des bactéries de la flore est transmise de la mère à l enfant lors de l accouchement.
Doc 2 ¡% La bactérie marine Zobellia galactanivorans vit au contact de la paroi de l'algue Porphyra.
¡% Cette bactérie fabrique une protéine, la porphyranase, capable de dégrader les glucides complexes (porphyranes) de la paroi de l'algue.
¡% L homme ne possède pas le gène de la porphyranase et donc ne peut pas fabriquer cette protéine
Doc 3 ¡%  les bactéries de la flore intestinale de 4 japonais (sur 5 testés) contiennent des séquences génétiques (de 1 à 3) similaires au gène de la porphyranase de la Zobellia galactanivorans.
¡% Aucune des bactéries de la flore intestinale de 18 américains (ni d autres populations d ailleurs) n'en contient.
¡% les gènes retrouvés sont fortement similaires (+80%) à celui de Zobellia galactanivorans.
¡% la flore intestinale des Japonais ne contient jamais de bactérie Zobellia galactanivorans
¡% Zobellia et les bactéries de la flore intestinale des japonais ne partagent aucune parenté récente
Doc 4 : ¡% des bactéries d espèces différentes peuvent établir des communications entre elles par l intermédiaire de ponts cytoplasmiques.

Informations tirées des connaissances :
¡% La symbiose est une association durable et à bénéfices réciproques entre deux êtres vivants. Elle est source de diversification du vivant.
¡%Transfert horizontal de matériel génétique : transfert de matériel génétique entre individus qui ne possèdent pas de lien de parenté entre eux. Les bactéries sont capables d’échanger du matériel génétique, y compris entre espèces différentes.

Mise en relation:
1ère partie de la question : Les japonais vivent en symbiose avec des bactéries de leur tube digestif. Or, ces bactéries fabriquent des porphyranases qui sont des enzymes dégradant les glucides contenus dans l’algue porphyra et donc permettent sa digestion. Les japonais ne peuvent fabriquer cette enzyme par eux même car leur génome ne contient pas le gène fonctionnel. Les bactéries de la flore intestinale des autres populations mondiales ne possèdent pas ce gène : ils ne peuvent donc pas digérer Porphyra. La symbiose est donc un mécanisme de diversification du vivant qui a contribué à la diversification du régime alimentaire des japonais.

2ème partie de la question : Le gène de la porphyranase des bactéries de la flore est très similaire (+80%) à celui de Zobellia et cela ne peut être le fruit du hasard. En dehors de toute parenté récente entre ces espèces (donc de transfert vertical de gène), A
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En effet, on sait que les bactéries sont capables d’échanger du matériel génétique par transfert horizontal, par exemple, par l’intermédiaire de ponts cytoplasmiques. Néanmoins, ce transfert nécessite un contact. On peut donc formuler l’hypothèse suivante : Zobellia galactanivorans a pu se retrouver temporairement en contact avec les bactéries de la flore intestinale des Japonais après ingestion de l’algue porphyra et des bactéries Zobellia galactanivorans vivant à sa surface. Cette proximité a pu permettre le transfert horizontal du gène de la poprhyranase de Zobellia aux bactéries de la flore des japonais. Pour résumer, on peut donc penser que l’acquisition de la capacité à digérer l’algue Porphyra chez les Japonais s’est effectuée de la manière suivante :
- Consommation de l'algue Porphyra et de la bactérie Zobellia galactanivorans vivant à sa surface
- Transfert horizontal du gène de la porphyranase entre Zobellia galactanivorans et les bactéries de la flore intestinale d’un Japonais, puis transmission de ces bactéries de génération en génération lors de l’accouchement. => Les bactéries de la flore intestinale des Japonais deviennent capables de digérer Porphyra.
- L'homme vivant en symbiose avec ces bactéries de la flore intestinale, les Japonais deviennent capables de digérer les algues Porphyra.














A l'aide des documents proposés et de vos connaissances :
- expliquer pourquoi les Japonais sont capables de digérer les algues du genre Porphyra alors que les occidentaux en sont incapables
- montrer comment les Japonais ont pu acquérir la capacité de digérer cette algue.
Rq : Votre réponse devra être la plus précise possible et faire intervenir deux mécanismes de diversification des êtres vivants.


Bactérie 2

Pont cytoplasmique

Bactérie 1