Florence Gétreau - TEL (thèses
Soutenue le 8 décembre 1995, devant le jury d'examen : ... Je remercie Monsieur  
le Professeur Alain BARREAU, du Centre de Recherche en .... les se développer,  
ils deviendront faciles à voir, mais très difficiles à corriger » (le Prince, 1532) .....  
par le produit entre deux éléments de son milieu extérieur (fonction principale). 
		
		
 
        
 
		
		
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		du département de la musique à la Bibliothèque nationale de France, Directeur détudes à lEPHE ;  Prof. Dr. Tilman Seebass, Directeur de lInstitut für Musikwissenschaft, Universität Innsbruck ; Monsieur Philippe Vendrix, Directeur de recherche au CNRS, CESR, Tours ; Prof. Dr. Herbert Schneider, Musikwissenschaftliches Institut, Universität des Saarlandes ; Prof. Dr. Febo Guizzi, Ordinario di Etnomusicologia, Università di Torino, Facoltà di Scienze della Formazione ; Prof. Alain Mérot, Professeur dhistoire de lart, Université Paris-IV-Sorbonne.
Sommaire
BILAN SCIENTIFIQUE
I. Organologie  Perspective historiographique 					5
	Les arts mécaniques									5
	Les monuments de la facture instrumentale						9
	Les produits de lindustrie et de lorganographie					11
	Catalogues, dictionnaires et précis historiques					14
	Sources darchives et monographies							17
	Commerce des instruments et collections						18
	Archéologie expérimentale, conservation						18
	Ethno organologie									20
	Sources darchives et recueils de documents					22
	Acoustique et organologie								23
Travaux français, travaux étrangers							24
Bibliographie des travaux français et sur la France					25
I. 1. Organologie  Histoire des instruments de musique					27
I. 2. Organologie  Facture instrumentale. Le métier. Les facteurs				33
I. 3. Organologie  Restauration des instruments de musique 				37
I. 4. Organologie  Histoire des collections d'instruments de musique 			44					
II. Iconographie musicale  Perspective historiographique			53
LAntiquité musicale revisitée aux XVIIe et XVIIIe siècles				54
La musique médiévale à travers limage						56
Images de la musique française à lépoque baroque				57
Une étape : lédition française de lAlbum musical de Georg Kinsky (1930)	59 	Albert Pomme de Mirimonde (1899-1985)						62
Travaux français, travaux étrangers : thèmes récurrents sur la France		65
Le Centre de documentation du CNRS et sa base Euterpe				68
Les chantiers de catalogage à lINHA et dans dautres centres de recherche 													71
Bibliographie des travaux français et sur la France 				74
	
II. 1. Iconographie musicale  Linstrument							75
II. 2. Iconographie musicale  Les pratiques instrumentales				78
II. 3. Iconographie musicale  Les artistes 							81
II. 4. Iconographie musicale  Les portraits							84
III. Musiques populaires									87
IV. Musique-Images-Instruments 							90
PERSPECTIVES										95
Conclusion											101
Annexe 1. Organologie française. Bibliographie chronologique				103
Annexe 2. Iconographie musicale française. Bibliographie chronologique			158
Vingt-cinq ans de travaux qui touchent à la fois à lorganologie et à liconographie musicale occidentales dans le domaine de la France sont présentés ici dans une perspective disciplinaire, mettant en lumière lapport des chercheurs français et celui des chercheurs étrangers ayant travaillé sur cette aire de diffusion depuis le XIXe siècle. Ce travail est accompagné dun bilan bibliographique provisoire pour chacune de ces deux disciplines surs de la musicologie (Annexe 1 : Organologie française ; Annexe 2 : Iconographie française). La liste de nos travaux et un recueil de nos principales publications forment dautre part le tome II de ce mémoire. 
L'organologie est létude des instruments de musique. Constituant une branche de la musicologie, elle entretient un lien consubstantiel avec les sources musicales et fait appel à différents champs disciplinaires parmi lesquels on peut mentionner la connaissance technique des instruments, la facture instrumentale, lacoustique, lhistoire des techniques, létude des traités théoriques mais aussi lhistoire des collections et de la restauration. Elle sintéresse aussi à la classification des instruments, à leur origine, leur évolution, leurs variantes mais aussi à leur usage musical et à leur symbolique.
Etudier les caractéristiques organologiques des instruments dans une perspective analytique et descriptive (catalogues), mais aussi interprétative (histoire du goût, évolution des sensibilités) a constitué une part importante de mon activité scientifique. Je me suis dautre part efforcée de reconstituer luvre des facteurs ayant travaillé en France, notamment aux XVIIe et XVIIIe siècles. Au delà des données biographiques, létablissement du corpus des instruments recensés aujourdhui, lanalyse des caractéristiques de métier d'un artisan, dun atelier, voire dune dynastie, contribue à restituer ce savoir aux facteurs daujourdhui et donc aux interprètes. Je me suis intéressée aussi au rôle social des facteurs et à la facture instrumentale dans une perspective épistémologique et musicale (les innovations du XIXe siècle constituant un moment crucial de leur développement). 
Lanalyse des instruments du point de vue technique avec une perspective à la fois synchronique et diachronique dans le contexte muséal ouvre sur des questionnements qui touchent à la technologie, à la déontologie et à lhistoire de leur conservation et de leur restauration, domaine dans lequel je me suis largement engagée. 
Faire connaître des collections remarquables d'instruments constitue lun des points fort de mon activité, qu'il s'agisse de cabinets disparus ou de ceux qui ont été intégrés à des collections publiques. Je poursuis donc des investigations dans le domaine de la muséologie musicale et de son histoire ancienne et contemporaine.
Liconographie musicale constitue le deuxième champ disciplinaire présenté ici. 
Centrée sur l'étude des représentations de la musique dans les arts visuels en Occident moderne, elle peut être fortement liée à lorganologie. Mais elle ne concerne pas que lévolution de linstrumentarium à travers les images qui en ont été données, mais aussi la pratique de la danse et les arts du spectacle. Lhistoire de linterprétation, les portraits de musiciens, les circonstances des pratiques constituent des domaines particuliers dinvestigation. L'iconographie musicale permet aussi danalyser la place symbolique de la musique dans l'histoire culturelle des différentes époques, que ce soit en partant des uvres elles-mêmes ou des objets emblématiques de la musique. 
Certains de mes travaux concernent lévolution des pratiques et des goûts musicaux propres à la France telles que les uvres dart visuelles des artistes qui y séjournaient (par exemple la mode des instruments champêtres, ou la signification sociale de la pratique du luth, de la viole et du clavecin) les restituent. Les portraits de musiciens de premier plan ou moins célèbres sont aussi lun de mes domaines de recherche ; leur étude conduit régulièrement à des propositions didentification ou dinterprétation.
Les musiques populaires du domaine français ont constitué par ailleurs une sorte de réorientation pendant une dizaine dannées, du fait de mes fonctions de conservateur chargée du département de la Musique au Musée national des Arts et Traditions populaires, institution patrimoniale riche en collections musicales (instrumentales, sonores, graphiques et iconographiques) de première importance. Cette institution a contribué dès sa fondation à définir certains axes de ce champ disciplinaire dans un contexte particulier : celui du musée. La musique populaire est là appréhendée dans sa globalité, dans ses rapports à la vie quotidienne, à léconomie, selon les rythmes de la vie sociale et de ses symboles (pouvoir, fête, religion, travail). Une mise en perspective avec les autres faits sociaux montre la complexité du fait musical et la variété de ses formes : chants, airs instrumentaux, cérémonies et rituels, formes vocales à la limite du langage et de la musique, signaux sonores, rythmes de travail et de jeux, informations parlées sur les faits musicaux et les fabrications dinstruments.  
Jai découvert là un terrain comparatif extrêmement stimulant, sur la circulation des pratiques et des croyances et sur la diffusion des stéréotypes et des modèles de lart savant. Mes travaux qui touchent à lanthropologie historique de la musique (notamment sur les musiciens populaires urbains) en sont lexpression. 
Le bilan et les programmes présentés ci-après rassemblent les travaux que jai réalisés depuis 1980, ceux qui sont en cours ainsi que les perspectives de recherche personnelles et collectives pour les années à venir.
BILAN SCIENTIFIQUE
Formée en histoire de lart par Jacques Thuillier (professeur à lUniversité de Paris IV-Sorbonne puis professeur au Collège de France), et en organologie par Geneviève Thibault de Chambure (conservateur du Musée Instrumental du Conservatoire de Paris et directrice de lunité de recherche CNRS « Organologie et iconographie musicale »), je suis entrée à la demande de cette dernière en septembre 1973 comme assistante au Musée Instrumental du Conservatoire de Paris. Tout en faisant mes premières armes dans le domaine appliqué de la muséologie et dans celui de lorganologie, jai parallèlement préparé une maîtrise dhistoire de lart présentée en 1976 à la Sorbonne consistant en un Catalogue raisonné des peintures et dessins de lEcole française. Musée Jacquemart-André à Paris. Ce travail, qui na pas été publié intégralement, a fait cependant lobjet de plusieurs publications partielles et mapparaît aujourdhui constituer les fondements de mon parcours pluridisciplinaire. En effet, dès 1980, mes travaux ont été dévolus à lorganologie et à liconographie musicale, alors que je menais une double carrière de conservateur de musée et de chercheur dans lUnité de recherche du CNRS « Organologie et iconographie musicale » associée au Conservatoire de Paris et dirigée à partir de 1974 par le Professeur Jacques Thuillier qui succéda à G. Thibault de Chambure.
I. Organologie en France  Perspective historiographique
	Ce parcours scientifique sinscrit dans une tradition disciplinaire - largement implicite, mais bien sûr structurante - dont voici quelques jalons.
	
	Les Arts mécaniques
Les grands traités théoriques français de Marin Mersenne, de Pierre Trichet, de Diderot et dAlembert notamment, constituent le socle de connaissances de tout organologue sur les instruments, sur leur histoire et leurs caractéristiques contemporaines. Mersenne indique dans sa « Préface au Lecteur » que « ces livres des Instrumens sont le fruit des autres parties de lHarmonie, puisquils la mettent en pratique » ajoutant quil sest contenté « de donner ce qui est dessentiel, ou de propre à chaque instrument », ne cherchant nullement à se substituer aux livres de tablatures consacrés à un instrument spécifique. Il ajoute que les « exemples de Musique qui suivent la description des figures [
] sont propres pour monstrer leurs proprietez, & peuvent servir pour le livre de la Composition » contenu dans son premier volume. Il se justifie enfin assez longuement pour avoir décidé d« adjouster la figure de chaque instrument ». Selon lui, « elle soulagera grandement limagination des Lecteurs », qui comprendront ainsi très rapidement « la grandeur & la propriété de [leurs] caractères en les voyant ». 
Comme François Lesure la souligné en introduisant la publication du manuscrit de Trichet, celui-ci na ni la même personnalité, ni lérudition, ni le réseau de compétences de Mersenne. Il a en revanche plusieurs atouts : une collection qui lui sert de laboratoire dobservation ; une curiosité qui le pousse à profiter de lart des praticiens (il va entendre à Bordeaux le célèbre François Langlois, joueur de sourdeline) ; des jugements emprunts de bon sens. Ses recherches étymologiques sont la partie la plus laborieuse de son travail, mais elles attestent de nombreuses lectures. Origine, description, détails caractéristiques, usage des instruments sont fournis avec le souci dêtre complémentaire en quelque sorte de louvrage de Mersenne quil respecte grandement et auquel il renvoie régulièrement. 
Au XVIIIe siècle, lArt du faiseur dinstrumens de musique, et lutherie, extrait de lEncyclopédie méthodique. Arts et métiers mécaniques, se situe dans un environnement conceptuel complètement nouveau. La dimension mécaniste des instruments est rappelée dès la première phrase de la courte présentation préliminaire : ce sont « des machines inventées & disposées par lart du luthier ». La valorisation de luvre manuelle est tout à fait centrale. Chez Mersenne, quelques allusions étaient faites au savoir des facteurs, mais à part Le Vacher, leurs noms napparaissaient jamais (on relève cependant dans sa Correspondance ceux de Heman, Hubaut, Jacopo Ramerini et Vito Trasuntino, tous deux facteurs dinstruments à clavier). Ici en revanche ils sont largement cités car leurs ateliers ont été visités pour permettre la rédaction des notices et leur travail est constamment valorisé. 
L'équipe de rédacteurs de l'Encyclopédie a d'ailleurs utilisé une méthode qui se voulait la plus rigoureuse possible, la plus proche des exigences techniques du métier, tout en lui apportant l'expérience intellectuelle de ceux qui réduisent en axiomes les observations concrètes. Le Discours préliminaire à lEncyclopédie est d'une grande clarté sur ces objectifs et sur les moyens mis en oeuvre : 
On a envoyé des Dessinateurs dans les ateliers. On a pris l'esquisse des machines & des outils... Dans le cas où une machine mérite des détails par l'importance de son usage & par la multitude de ses parties, on a passé du simple au composé... Nous offrirons au lecteur studieux ce qu'il eüt appris d'un artiste en le voyant opérer... & à l'artiste, ce qu'il seroit à souhaiter qu'il apprit du Philosophe pour s'avancer à la perfection. 
Chaque article de l'Encyclopédie est ensuite composé d'une partie historique et littéraire et d'une section technique, celle qui nous concerne ici, puisqu'elle est le fruit d'une véritable enquête de terrain : 
Tout nous déterminoit donc à recourir aux ouvriers. On s'est adressé aux plus habiles de Paris & du Royaume ; on s'est donné la peine de les interroger, d'écrire sous leur dictée, de développer leurs pensées, d'en tirer les termes propres à leurs professions [...] de rectifier [...] avec les uns, ce que d'autres avoient imparfaitement, obscurément, & quelquefois infidellement expliqué [...]. La plupart de ceux qui exercent les Arts Méchaniques, ne les ont embrassés que par nécessité, & n'opèrent que par instinct. A peine entre mille en trouve-t-on une douzaine en état de s'exprimer avec quelque clarté sur les instruments qu'ils employent & sur les ouvrages qu'ils fabriquent.
La contribution des facteurs est en tout cas patente dans tous les articles sur les instruments, ainsi que dans le supplément qui les réunit dans lArt du Faiseur d'Instruments de Musique et de Lutherie. Nombre d'entre eux sont explicitement mentionnés : les Blanchet pour les clavecins, Pascal Taskin pour ses innovations dans le domaine du jeu de buffle, ou des pianoforte ; Cousineau dans celui de la harpe à pédales et simple mouvement ; Delusse pour les instruments à vent (sa contrebasse de flûte traversière, aujourdhui conservée au Musée de le Musique, figure même sur une planche). On ne peut que louer l'utilisation de sources sûres avec fréquemment la reprise des descriptions et planches d'ouvrages spécialisés, comme celles de Dom Bédos, d'Engramelle, ou de divers auteurs ayant présenté leurs Mémoires devant l'Académie des Sciences comme Cousineau (sur la harpe organisée à pédales), ou Cusenier (sur l'orphéon ou petite vielle à roue et à clavier). 
Les planches présentant les instruments mais aussi les ateliers (ce qui est très nouveau) sont aujourdhui plus que jamais citées, commentées, reproduites. Mais aucune étude critique na encore été entreprise permettant de préciser de manière argumentée lauteur des « discours » pour chaque entrée, la genèse de chaque texte et la source des planches (elles furent gravées et supervisées par Robert Benard). Claire Chevrolet est la première à avoir proposé un tableau synthétique des auteurs aussi bien de lEncyclopédie que de son Supplément. Il mériterait dêtre affiné pour la partie concernant les instruments de musique. On aimerait ainsi comprendre comment Frédéric de Castillon, auteur de quelque 130 entrées sur la lutherie dans le Supplément, a travaillé en collationnant les différentes notices préexistantes. 
Est-il le rédacteur du texte introduisant cet Art du faiseur ? Il y est exposé assez naïvement et avec une totale absence de vision prospective, qu« On ninvente plus dinstrumens, & il y en a assez dinventés ; mais il y a beaucoup de découvertes à faire encore sur leur facture ». Remarquons à ce propos sans doute la première définition de la facture instrumentale qui « a pour objet la matière & la forme » des instruments, « le rapport du plein au vide, les contours, les ouvertures, les épaisseurs », les dimensions, les accords, les accessoires. Les catégories permettant de subdiviser les instruments restent immuables : cordes, vents, percussions. Mais, fait nouveau dans son énoncé, « on peut aussi diviser la nomenclature des instruments, en anciens, modernes, & étrangers », une large part étant faite aux instruments hébreux décrits au siècle précédent à Rome par le Père Kircher, tandis que des relations de voyages permettent dappréhender ceux des « Nègres, des Chinois, des Tartares, des Indiens ». Le soin apporté à lélaboration des planches (inégal selon les dessinateurs et graveurs) est sans commune mesure avec les maladroits croquis publiés par Mersenne. Quant au vocabulaire, présenté à la suite des « discours », il reste aujourdhui encore une source irremplaçable pour une étude de la terminologie des instruments et de leurs composantes. Enfin cet Art du faiseur dinstrumens insiste sur leur dimension expressive, en pleine cohérence avec lesthétique des Lumières et la théorie de limitation chère aux philosophes : « Il ny a point de phénomènes de la nature, point de passions, point de sentimens dans le cur de lhomme, quon ne puisse imiter avec les instrumens ». 
Les monuments de la facture instrumentale
LEssai sur la musique de Jean-Benjamin de La Borde (1734-1794) appartient à la même tradition méthodologique et esthétique, mais il na bien sûr pas la même dimension pratique. En revanche, un tout petit opuscule, consacré à un seul instrument, la vielle à roue, mérite quon sy attarde. En effet, loin du but pédagogique et immédiatement utilitaire des six méthodes de vielle publiées au XVIIIe siècle à Paris, la Dissertation historique sur la vielle ; où lon examine lorigine & les progrès de cet Instrument montre combien, dès 1741, Antoine Terrasson, son auteur (il est historien de la jurisprudence), a déjà une conscience diachronique du sujet. Il souhaite « rendre cet Instrument recommandable à la Postérité ». Sa première partie cherche à montrer si la vielle a été « connuë dans lAntiquité & chez les Peuples qui ont précédé les François » se référant à Mersenne et Furetière, sinterroge avec finesse sur les anciennes dénominations et la « corruption » du mot Symphonie en Cifonie, recherche les traces de lusage de la vielle en France jusquau début du XVIIe siècle, et sattarde longuement sur lépoque médiévale. Il indique quelle fut beaucoup jouée en « pays Normand », quelle fut progressivement cantonnée entre les mains des pauvres aveugles, qui détournèrent les gens de cour de sa pratique, « tant ils joüoient très-mal de cet instrument ». La grande nouveauté du traité de Terrasson est quil décrit pour la première fois un instrument qui est toujours conservé aujourdhui, une vielle trapézoïdale du XVIe siècle, quil qualifie de « Monument » car elle porte les armes dHenri III et appartient alors au Chevalier de Mesmon, Ecuyer du Roi en sa grande Ecurie. Terrasson met ensuite en scène plusieurs luthiers bien connus (Hurel et Louvet) ; il montre comment linstrument fut remis au goût du jour, « racommodé » pour pouvoir continuer à être joué et finalement déplore que pour cet effet, lon ait modifié le couvercle du clavier et nettoyé « la vénérable crasse de lAntiquité [qui] fait souvent le plus grand prix dune Médaille ou dun Monument ». Son intuition concernant les questions dauthenticité et de conservation est très nouvelle. Il est ensuite question du luthier Bâton à Versailles, du réemploi quil fit dinstruments tombés en désuétude (luths et guitares) pour confectionner des vielles dun nouveau type, apprécié à la cour et à la ville par la bonne société. Le sens historique de Terrasson est tout aussi remarquable de modernité que sa capacité à mener une véritable enquête sur les usages de son temps et « nous assure que le Règne de cet Instrument sera durable », ce que lhistoire confirmera en partie. 
On retrouve les mêmes qualités dans un opuscule signé soixante ans plus tard par lAbbé Sibire. Auteur dun texte dactualité à portée sociale paru en 1789 sur LAristocratie négrière, ou Reflexions
 sur lesclavage et laffranchissement des noirs, il publie en 1806 La Chélonomie ou le parfait luthier. Son informateur est le luthier Nicolas Lupot (1758-1824), dont les pratiques servent à une réflexion à la fois pragmatique et philosophique sur lévolution du violon, sa construction et sa restauration, en cette période de transition où les premiers virtuoses lancent le goût pour les instruments des maîtres italiens mais demandent quils subissent des transformations structurelles nécessaires aux nouvelles donnes de lécriture et de linterprétation musicale. La subtilité danalyse de Sibire sur les questions dauthenticité, de conservation et dadaptabilité aux nécessités musicales du moment est là aussi dune grande modernité. Au final, Sibire se voit comme un médiateur de Lupot permettant « de propager des lumières que tous les Luthiers avant lui, tous les auteurs [
], ont éternellement oublié de répandre ».
Ces ouvrages, en tout cas, quils traitent dun seul ou de lensemble des instruments passés et contemporains, se différencient nettement des manuels pour les compositeurs dont le Diapason général de tous les instruments de Louis-Jean Francoeur, paru en 1772, est un bon exemple. Ceux-ci, en effet, constituent une sorte de répertoire utilitaire : étendue, facilité de jeu, timbre, notes les plus favorables. On retrouvera cette conception de science « appliquée » dans le Traité dinstrumentation et dorchestration dHector Berlioz ou plus tard encore dans celui dHenri Lavoix. 
Les produits de lindustrie et lorganographie
Mais létude des instruments de musique en tant que discipline apparaît véritablement en France au XIXe siècle. Une nouvelle étape est franchie pour la diffusion des connaissances sur les instruments de musique et les aspects techniques du métier, grâce aux expositions des produits de l'industrie et au développement d'une presse musicale ouvrant ses colonnes à la facture instrumentale. Ces deux media achèvent de construire les outils d'information et d'émulation dans le domaine de la modernité. François-Joseph Fétis (1784-1871) a joué un rôle éminent. Définissant, dans le premier numéro de sa Revue musicale parue à partir de 1827, l'Utilité d'un journal de musique, il précise qu'il examinera « toutes les questions qui se rattachent à la musique, sous les rapports historiques, de théorie ou de pratique », analysant les ouvrages nouveaux, les compositions en tous genres, rendant compte de toutes les représentations mais aussi des inventions ou perfectionnements d'instruments. En l'espace de huit années que paraît cette revue, plus d'une cinquantaine d'articles est consacrée aux instruments de musique, qu'ils soient historiques, situés dans une tradition séculaire (les travaux de Villoteau font lobjet dun compte rendu) ou tout récemment mis au point. Fétis décrit des instruments aussi chimériques que l'Heptacorde de Raoul, le Plectroeuphon de Gama, le Trochléon de Dietz, l'Acoucryptophone ou lyre enchantée de Wheatstone, voire l'Aéréphone de Dietz, mais il défend et illustre aussi, de livraison en livraison, des instruments qui connaîtront un immense avenir, tel le piano droit de Roller et Blanchet, la nouvelle harpe à double mouvement d'Erard, ou les inventions de la famille Sax, avec une conviction, une sûreté de jugement et un esprit prémonitoire qui n'ont d'égal que sa pugnacité dans les inévitables polémiques ainsi provoquées. Sa réponse au facteur de harpes Nadermann, qui profite de son monopole au Conservatoire de Paris pour empêcher ladoption du nouveau système dErard, est un morceau d'anthologie. Fétis est un technicien de premier plan, capable d'analyser en détail les avantages de tel mécanisme sur tel autre, mais il ne prend parti que lorsque l'amélioration a une réelle efficacité sur les possibilités d'exécution et sur la qualité musicale. Il est à la fois l'un des premiers véritables historiens de la facture (il écrit plus de 525 notices consacrées à des facteurs d'instruments, plus d'un quart étant ses contemporains, dans sa Biographie universelle des Musiciens, et donne la première monographie en français sur Antonio Stradivari), tout en étant le premier chroniqueur des expositions industrielles françaises d'instruments de musique dès 1827 et 1834. 
Cest dans un rôle tout à fait comparable que va lui succéder, à partir de 1839, dans les colonnes de La France Musicale, le comte Adolphe Le Doulcet de Pontécoulant (1794-1882). Bonapartiste, émigré au Brésil au retour des Bourbons, il revint à Paris en 1825 et participa à la révolution belge en 1830. Son intérêt pour lacoustique, léconomie et les statistiques le conduit à analyser avec méthode et esprit scientifique les produits de la facture instrumentale. En cette même année 1839, alors quil publie une série darticles dans La France musicale, il regroupe trois de ses livraisons concernant les firmes de pianos les plus en vue (Erard, Herz, Pape) dans une publication à compte dauteur à lintitulé suggestif : Organographie ou Analyse des travaux de la Facture instrumentale admise aux expositions de la France et de la Belgique des produits de lindustrie. Il reprendra ce terme dorganographie en 1861, pour une étude autrement développée et systématique sous-titrée Essai sur la facture instrumentale, art, industrie et commerce. Dans sa préface, il considère cette fois que laugmentation des connaissances étant générale dans tous les domaines, il est utile « pour la facture instrumentale de lui rappeler son origine, de tracer son histoire, celle de ses travaux, et de constater ses progrès ». Ecrivant pour éviter aux facteurs contemporains de se « fourvoyer dans un sentier déjà parcouru », il divise son travail en deux parties : la première, qui sarrête à 1789 (début dune « ère de liberté rendue au travail » et dune « révolution sociale » qui doit permettre une renaissance pour les arts et pour lindustrie), trace lhistoire des instruments depuis lAntiquité, montrant combien les anciens traités (de Virdung à Laborde) sont souvent incomplets « et leurs dessins imaginaires ». Insistant sur limportance des textes littéraires et des représentations visuelles, il souligne que beaucoup décrivains ont parlé « des produits » mais que « aucun ne sest occupé du producteur ». Il est donc le premier à avoir consulté les archives (même sil nen donne pas les références précises) et à consacrer un long chapitre aux conditions dexercice du métier de faiseur dinstruments, depuis la fin du Moyen Age jusquà létablissement des communautés darts et métiers. Conscient des effets du « régime social », il remarque que « loin davoir favorisé le progrès de lindustrie, les jurandes ont sans cesse entravé sa marche et ralenti son activité [
] puisque leffet naturel de tout privilège est de borner lémulation de celui qui en jouit ». Il considère alors tout naturellement le statut des musiciens eux-mêmes, les tribulations de la corporation des ménestriers et la longue suite de conflits qui émailla, aux XVIIe et XVIIIe siècles, ses relations avec les musiciens de lAcadémie et de la musique du Roi. Le titre de son ouvrage a sans doute occulté ce pan entier de son étude : les travaux ultérieurs de Constant Pierre et de Loubet de Sceaury, et plus près de nous de Luc Charles-Dominique, ne le mentionnent pas comme un précurseur de ces questions de sociologie musicale. 
Dans la partie historique de son ouvrage, lorsquil décrit les instruments existants depuis lAntiquité jusquà la Révolution, on remarque avec quelle érudition il passe des sources textuelles aux instruments conservés, combien il souligne de filiations (par exemple entre le tuba antique et les trompettes droites construites par le facteur Schiltz pour la cérémonie de la translation des cendres de Napoléon), ou des détails hautement techniques (il observe par exemple la présence dun jeu de buffle et dun mécanisme à genouillères sur un clavecin marqué « Ruckers 1590 » conservé alors au château de Pau).
La deuxième partie de son Organographie présente tout dabord, par tranches chronologiques, les progrès de cet Art, terme qui le place dans la descendance des encyclopédistes. Chaque famille instrumentale fait lobjet dun recensement analytique des innovations, précisant auteur et date. La liste des brevets dinvention pour la période considérée est établie, ainsi quun résumé des rapports des jurys dexpositions industrielles. Un chapitre particulier est consacré aux musiques militaires, un autre aux instruments à anches libres, un autre à Adolphe Sax, ami particulier de Pontécoulant autant que de Georges Kastner, auquel ses travaux sont, précise-t-il, si redevables. La partie consacrée ensuite au commerce et à lindustrie montre les compétences du statisticien et fait passer lhistoire des instruments de lhistoire sociale et technique à lhistoire économique. Véritable passage obligé pour lorganologie daujourdhui, ses jugements sur les capacités dinnovation des facteurs sont dune rare pertinence, emprunts de probité et sans parti pris. Le cheminement de son esprit critique, entre 1839 et les séries darticles de 1844, 1849, 1862 et 1867, trouve ensuite à sappliquer au tout jeune Musée Instrumental du Conservatoire de Paris. Attentif à cette collection publique, il écrit de nombreux articles entre 1861 et 1864 pour donner son avis sur son développement et propose un projet de catalogue systématique qui malheureusement ne fut guère suivi. Adolphe Sax et Jean-Baptiste Vuillaume auraient dû y être associés selon ses vux. 
Catalogue, dictionnaires et précis historiques
En 1875 paraît de fait le Catalogue descriptif et raisonné rédigé par Gustave Chouquet son conservateur. Réédité en 1884 en raison du nombre important de nouvelles acquisitions, ce volume est contemporain de la publication de Carl Engel sur les instruments exposés à Londres au South Kensington. Nous avons montré lors de son récent reprint, les faiblesses de sa réalisation, voire de sa conception. Non remplacé au moment où nous écrivons ces lignes, il a été largement distancé dès 1880 par le travail fondamental de Victor-Charles Mahillon (1841-1924) appliqué aux collections du Conservatoire de Bruxelles. Ici, cest un véritable modèle qui est donné, tant au plan de son ordonnancement (une nouvelle classification des instruments aux fondements acoustiques structure les chapitres en instruments autophones, instruments à membranes, instruments à vent, instruments à cordes), de la rigueur des critères analytiques retenus pour les notices, que des commentaires. Le travail de Chouquet apparaît en regard dune grande approximation.
Durant toute la deuxième moitié du XIXe siècle, les rapports et articles critiques sur les instruments de musique dans les expositions universelles continuent à donner un compte-rendu circonstancié de lévolution contemporaine. Parallèlement, plusieurs auteurs sintéressent à la lutherie. Antoine Vidal (1820-1891) produit ainsi trois volumes sur Les instruments à archet, dont le contenu napporte pas grandes nouveautés depuis que Pontécoulant à déjà publié lessentiel sur les confréries de faiseurs et de joueurs dinstruments. Le volume de Vidal sur La lutherie et les luthiers (1889) constitue lune des premières tentatives françaises de dictionnaire, mais il comporte tant dapproximations quil nest guère utilisé par les organologues du XXe siècle. 
Lexposition universelle de 1889, avec non seulement lexposition des produits de lindustrie, mais aussi son Exposition rétrospective, est loccasion de découvrir un nouvel érudit qui tient une place de premier rang dans cette discipline. Je veux parler de Constant Pierre (1855-1918). Bassoniste de formation, chargé du secrétariat du Conservatoire de Paris (ce qui lamènera à partir de 1900 à publier des sources fondamentales sur lhistoire de linstitution), il a une connaissance intime des instruments de musique à vent et offre en 1890 un ouvrage unique sur leur développement en France dans une perspective européenne. Avec un titre éloquent (La facture instrumentale à l'exposition universelle de 1889. Notes d'un musicien sur les instruments à souffle humain nouveaux et perfectionnés), cette étude est à la fois riche en perspectives synthétiques, émaillée de trouvailles (documents darchives, instruments de modèles rares et uniques conservés dans des collections privées ou publiques), danalyses techniques et de jugements sur la pertinence des innovations. Leur éclairage par des comparaisons avec des recherches du XVIIIe siècle est sans précédent, comme en témoigne le titre quelque peu provocant de lun de ses chapitres sur la facture française : « nouveaux instruments et vieux instruments nouveaux ». Le hautbois contrebasse de Delusse, les petits bassons à la quinte, le hautbois damour de Winnen, la clarinette basse de Desfontenelles, tous conservés au musée du Conservatoire de Paris, appuient ses démonstrations et contribuent à relativiser nombre de prétendues nouveautés. Dans le domaine des cuivres, la précision de ses analyses na sans doute jamais été surpassée dans la littérature organologique française et forme un morceau danthologie. En fin de volume, on remarquera son plaidoyer parfaitement argumenté pour une « unification du système instrumental universel ». 
Constant Pierre est par ailleurs lauteur dune étude historique intitulée Les facteurs dinstruments de musique. Les luthiers et la facture instrumentale. Précis historique, qui continue dêtre universellement utilisée car elle na pas été réellement remplacée. Son titre ne mentionne pas quelle est entièrement consacrée à la France. Or de fait, elle constitue la première synthèse sur la biographie et luvre des facteurs ayant uvré depuis le XVIe siècle dans ce pays. Pierre indique dans son Avant-propos : 
 Ferions-nous un dictionnaire biographique, une histoire complète ou une analyse succincte par spécialités ou par époque ? [
] Nous avons essayé de les combiner [
][en] un mélange de faits, de remarques, danecdotes, de critiques, de notes biographiques, de détails techniques etc., semés à travers le récit qui les relie et en dégage la substance pour constituer lhistoire des principaux représentants de la facture et de son mouvement à travers les siècles. 
Constant Pierre reprend dans ses deux premiers chapitres, lhistorique de la corporation des faiseurs dinstruments, mais, conscient quil nest pas le premier à le faire, le justifie par « le nombre de pièces inédites » quil a recueillies. Après une présentation chronologique et par branche, il poursuit son livre par un chapitre sur les « Chambres syndicales patronales et ouvrières » ouvert à des questionnements dactualité, un autre sur « Le prix des instruments autrefois et aujourdhui » qui sappuie sur un document unique dont on ne connaît pas lactuelle localisation, le Catalogue des instruments à vendre chez J. Reinhard Storck à Strasbourg en 1784 ; sur les archives de lOpéra ; sur les registres matricules de la maison Erard, sur les catalogues de ventes publiques. En guise de conclusion, C. Pierre brosse une synthèse de La facture instrumentale depuis le XIIIe siècle. Elle reste aujourdhui très juste dans ses appréciations, fondée sur un large éventail de sources littéraires, musicales et matérielles. On appréciera la clarté de son bilan sur la participation des facteurs français aux expositions universelles, quil fait en se basant sur Fétis et Pontécoulant, et enfin lanalyse des fluctuations des exportations et importations jusque dans cette décennie où il écrit et qui marque le début dun déclin de la France face à la puissance commerciale de lAllemagne et la vivacité de la Belgique. Les quelques allusions finales sur les centres de production de La Couture-Boussey, Mantes, Mirecourt, montrent en revanche beaucoup dapproximation, indiquant quil na pas travaillé la question à partir des sources disponibles sur place.
Sources darchives et monographies
Il revient de fait à dautres érudits de la même génération davoir entrepris des travaux de première main sur lhistoire de la facture dans les provinces de France. En 1893, année même de la publication de Constant Pierre, Henry Coutagne publie une brochure remarquable sur Gaspard Duiffoproucart et les luthiers lyonnais du XVIe siècle, basée sur des dépouillements rigoureux aux archives de Lyon, suivi par Georges Tricou qui sintéresse aussi à Claude Rafi, facteur de flûtes. Bien peu a été exhumé depuis sur ces facteurs, même par les musicologues actuels. De la même façon, une vague dintérêt sattache aux dynasties des Hotteterre et Chédeville, facteurs et joueurs dinstruments à vent : Ernest Thoinan et Nicolas Mauger en 1894 et 1912, croisent documents darchives et instruments conservés. Albert Jacquot, avec des sentiments régionalistes qui faussent son jugement, veut à tort voir dans la Lorraine le berceau de la lutherie française. Mais il apporte durant toute sa carrière une importante documentation sur Nancy et Mirecourt, sur la dynastie des Médard, et sur les facteurs lorrains. Remarquons quen 1910, Francis W. Galpin publie à Londres un ouvrage consacré aux Old English Instruments of Music. Their History and Character, au caractère rigoureux et très documenté dune toute autre envergure et qui connut, de ce fait, trois rééditions.
Commerce des instruments, collections
Eugène de Bricqueville (1854-1885), organiste et musicographe ayant publié sur lopéra, tient ensuite une place particulière parmi les organologues français : il est le premier à sêtre intéressé aux instruments pastoraux français du XVIIIe siècle, la vielle à roue et la musette et dautre part il sest penché sur le commerce des instruments. Il a dépouillé pour la première fois le périodique Annonces, Affiches et Avis divers entre 1752 et 1792. Nous avons montré que le travail mené par Hélène Charnassé, en 1986, sur dix années de ce même périodique, et celui que nous avons publié sur la question du commerce des clavecins flamands au XVIIIe siècle, invitent à reprendre de manière beaucoup plus systématique les relevés quil a opérés et les perspectives quil a ainsi ouvertes sur lhistoire du goût instrumental. Bricqueville est aussi le premier à sinterroger sur les collectionneurs dinstruments de musique aux XVIIIe siècle et à son époque.
Archéologie expérimentale, conservation
Dernière figure du XIXe siècle en quelque sorte fondatrice, celle dAuguste Tolbecque (1830-1919). Violoncelliste professionnel qui fit carrière à Marseille et Paris, il apprit la lutherie chez Victor Rambaux. Il occupe une place exceptionnelle parmi les collectionneurs dinstruments anciens : sa première collection de 141 instruments fut cédée au Conservatoire de Bruxelles en 1879. Ses rapports avec les conservateurs du Musée Instrumental de Paris furent peu harmonieux et il trouva en Victor Mahillon un interlocuteur dune autre stature. Cest ce dernier qui lui commanda « les restitutions des lyres et cithares de lAntiquité et des crouths, rebecs et autres instruments du Moyen Age et de la Renaissance qui figurent dans ce musée ». Inspirée dune documentation iconographique très sérieuse, cette série dinstruments était conçue pour être jouable. Une autre série identique fut présentée en 1896 à lExposition du théâtre et de la Musique à Paris. Achetée par un amateur de Blois, Charles Petit, elle entra plus tard au musée de Paris. La « double qualité de musicien et de luthier » de Tolbecque lui a donné culture, curiosité mais aussi expérience. Il publie en 1890 un essai dune grande liberté de ton, intitulé modestement Quelques considérations sur la lutherie, où il dénonce le culte des instruments italiens, la vogue de leur imitation au détriment de la création, linfluence du « de visu » sur le « de auditu », laugmentation outrancière de la puissance des instruments du quatuor (trop fort renversement, chanterelles dacier), le déséquilibre du quatuor en labsence dun ténor et enfin le danger des expertises. Huit ans plus tard, il imprime une Notice historique sur les instruments à cordes et à archet dans laquelle il décrit sa série de reconstitutions, donne par le détail les sources iconographiques qui lont inspiré et offre un aperçu de lévolution des instruments à cordes frottées depuis le Moyen Age, violes et violes damour comprises. Ces deux opuscules servent dintroduction et de postface à un véritable traité technique de facture publié quelques années plus tard et intitulé LArt du luthier. Là encore, il fait preuve de grande franchise, il livre ses procédés, tours de main, déboires et signale les pratiques défectueuses. Source constante dinspiration même pour les praticiens les plus expérimentés daujourdhui, Tolbecque, en très fin observateur des instruments anciens, avait remarqué par exemple que les tables dharmonie de violes anglaises au XVIIe siècle étaient ployées et composées de plusieurs parties assemblées, technique qui vient dêtre « redécouverte » un siècle après lui. Tout le prix de cet ouvrage réside aussi dans sa conception prudente de la restauration, dans son jugement équilibré des abus qui ont touché la lutherie italienne, même de second rang, transformée systématiquement pour des raisons commerciales. Son scepticisme, enfin, quant à la capacité des luthiers à innover dans le domaine du violon (« la facture des instruments à archet na fait aucun progrès depuis Stradivarius ») lui fait utiliser une expression savoureuse pour les multiples « spécimens de lextravagance » conservés au musée du Conservatoire, ces inventions sans lendemain « avec leur faux air de brioches mal cuites et difformes ». 
	Quels sont les axes principaux développés au XXe siècle par les organologues ? On ne saurait passer sous silence le vaste travail collectif réalisé sous la direction dAlbert Lavignac et de Lionel de La Laurencie pour l Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire. Cette somme de connaissances nest plus guère utilisée aujourdhui. Sans doute parce que les articles sont écrits dans des « registres » assez différents, tantôt par des praticiens enseignants du Conservatoire de Paris, tantôt par des musicologues (Marc Pincherle, André Schaeffner), tantôt par des facteurs (Blondel, Lyon). Ces articles restent cependant une source importante sur létat de développement de certains instruments et sur les pratiques du Conservatoire durant cette décennie (la guitare et le clavecin ny sont pas enseignés au contraire de la harpe chromatique système Lyon). 
	Ethno-organologie
	Les années dentre-deux guerres voient apparaître deux musicologues ayant grandement marqué le champs de lethnographie : André Schaeffner (1895-1980), pour les musiques du monde, Claudie Marcel-Dubois (1913-1989), pour le domaine français. Le premier reste le seul auteur français cité régulièrement dans la bibliographie des ouvrages étrangers en raison de son livre très original sur lOrigine des instruments de musique. Cet ouvrage à portée universelle et qui développe une sorte de « genèse » des instruments à partir du corps,a pour principale originalité de proposer une nouvelle classification. Une correspondance inédite conservée au musée de lHomme éclaire la démarche de Schaeffner qui demande conseil aux deux grands musicologues allemands, Curt Sachs et Heinrich Hornbostel dès lété 1932. On se souvient quensemble, tous deux ont mis au point une classification qui reprend les quatre classes proposées par Victor Mahillon (les autophones étant remplacés par les idiophones). Publiée en 1914, traduite en anglais en 1961 (mais jamais en français) et adoptée universellement depuis, elle na jamais été remplacée, aucune autre proposition nayant réussi à lui être substituée durablement. Schaeffner, lui, propose une division toute autre, entre les instruments à corps solide vibrant (quils soient susceptibles de tension ou non et quel quen soit le matériau) et ceux à air vibrant. Originale et stimulante, la proposition de Schaeffner na pas eu de réelle réception : trop subtile pour être utilisée concrètement par les responsables de collections, elle na été traduite quen italien, ce qui a certainement obéré discussion et diffusion. Curt Sachs, fuyant le régime nazi, quitte Berlin et travaille de 1933 à 1937 auprès de Schaeffner au Musée de lHomme à Paris. Il influe alors grandement sur les orientations de Claudie Marcel-Dubois. Celle-ci consacre déjà ses travaux aux pratiques instrumentales populaires des pays de France, domaine totalement négligé par les folkloristes qui ne sétaient intéressés jusque-là quà la chanson populaire. Avec une vingtaine darticles sur les instruments traditionnels français (et une multitude de travaux danthropologie musicale), C. Marcel-Dubois achève sa carrière en 1980 par la plus grande exposition temporaire qui leur fut jamais consacrée en France. Avec pour titre Linstrument de musique populaire. Usages et symboles, elle constitua une sorte de manifeste : linstrument était présenté dans ses fonctions rituelles et symboliques, dans ses mobilités (du populaire au savant et inversement), dans ses variantes géographiques, dans ses composantes morphologiques, sémantiques et classificatoires.  
Sources darchives et recueils de documents 
A partir des années 1950, une nouvelle génération de chercheurs qui gravite autour de Norbert Dufourcq (1904-1990) au Conservatoire de Paris puis de François Lesure (1923-2001) à lEcole Pratique des Hautes Etudes, va apporter beaucoup à lhistoire des instruments, même si, du fait de lampleur de leurs champs de recherches, ces maîtres ne sont pas connus en tant quorganologues. 
	Que ce soit dans la Revue de musicologie et ultérieurement dans la tribune quil avait fondée (Recherche sur la musique française classique), N. Dufourcq a publié un nombre considérable de documents darchives sur les musiciens français qui éclairent la carrière de facteurs dinstruments (certains sont en effet également instrumentistes). Lorsquil travaille sur les Richard, les Denis, ou encore les faiseurs de cordes, on mesure tout le chemin parcouru depuis les articles si approximatifs de Gustave Chouquet publiés au XIXe siècle sur le même sujet. Formées par N. Dufourcq, encouragées à publier dans sa revue et chez son éditeur Picard, plusieurs chercheuses, à loccasion de dépouillements systématiques dans les fonds darchives parisiens, ont mis au jour des documents sur la facture instrumentale. Ils constituent aujourdhui la matière des dictionnaires étrangers de premier rang : on citera les noms de Françoise Gaussen, Marcelle Benoit plus que tout autre, Yolande de Brossard, Roberte Machard, Bernadette Gérard, Catherine Massip.
Concernant François Lesure, jai montré ailleurs combien il incarnait une pluridisciplinarité trop rare en France. Sa formation à la Sorbonne, à l'Ecole des Chartes et au Conservatoire de Paris, complétée par des études en sociologie de l'art auprès de Pierre Francastel à l'Ecole des Hautes Etudes, tissèrent dès l'origine de sa carrière les fils d'une curiosité qui ne devait jamais cesser de lier les humanités entre elles. S'affirmant dans le domaine de la recherche avec une thèse sur La facture instrumentale à Paris au XVIe siècle (1949), il donna une impulsion aux travaux d'archives au service de l'organologie et de la sociologie des pratiques de la musique. Nous avons déjà évoqué limportance du traité de Pierre Trichet quil exhuma de la Bibliothèque Sainte-Geneviève. Une génération plus tard, en préfaçant les magnifiques dépouillements de Madeleine Jurgens dans les fonds du Minutier central des notaires aux Archives nationales, il souligna les mérites d'une méthode qu'il avait lui-même encouragée, ayant « étendu l'enquête aux non professionnels, [et ] pénétré dans les demeures des Parisiens pour y dénombrer les livres de musique, les instruments ».
La Galpin Society, société savante anglaise dévolue aux instruments de musique, fondée pour poursuivre loeuvre du révérend père Francis Galpin, collectionneur et grand connaisseur dinstruments, lance en 1948 The Galpin Society Journal, une tribune dévolue à lorganologie en tant que science. François Lesure est le premier à se manifester en 1954. Pierre Hardouin y publie peu après des documents de première importance pour la connaissance des facteurs de clavecins parisiens au XVIIIe siècle. 
Dictionnaires et encyclopédies donnent par ailleurs, à partir de 1965, une place importante aux instruments : notamment avec Norbert Dufourcq (La musique. Les hommes, les instruments, les uvres, Larousse, 1964), puis Marc Honegger (Dictionnaire de la musique. Science de la Musique. Technique, Formes, Instruments, Bordas, 1976). 
Acoustique et organologie
En dehors de ces travaux dordre biographique et professionnel, il convient de mentionner les ouvrages dHenri Bouasse. Auteur de multiples manuels de physique à lusage de lenseignement secondaire, il a laissé quatre ouvrages de base sur lacoustique des instruments de musique, publiés à la fin des années 30, qui figurent encore en première place dans la bibliothèque de lacousticien comme de lorganologue.
Le rôle joué par Emile Leipp, universitaire acousticien, et son équipe (notamment Michèle Castellengo), doit ensuite être souligné. Sa formation de physicien et de luthier lamène tôt à sintéresser au violon et à ses caractéristiques physiques, loin des préjugés véhiculés par les luthiers marchands. A partir de 1964, dans le cadre de lUniversité de Paris VI, il organise des séminaires réguliers autour de problématiques touchant lacoustique musicale mais aussi très souvent celle des instruments de musique. Le Bulletin du GAM (Groupe dacoustique musicale) diffuse la matière très riche et très nouvelle de ces séances où de nombreux facteurs, des musiciens, et léquipe du Musée Instrumental se joindra à partir des années 1970. On regrettera vivement que cette tribune ait conservé une diffusion très confidentielle, nai jamais été supportée par un véritable éditeur, nai jamais été traduite et nait pas fait lobjet dune réédition aujourdhui avec des moyens électroniques. Cest ce qui explique que son contenu soit resté quasi totalement ignoré à létranger. Quelques publications collectives sur lacoustique des instruments anciens ont heureusement permis plus récemment, de montrer lapport indéniable des acousticiens français à lorganologie.
Travaux français, travaux étrangers
Alors quen Angleterre des monographies fondatrices sont publiées à partir des années 1930 (Rosamond Harding, The Pianoforte, 1933 ; Francis Galpin, A Textbook of European Musical Instruments, 1937) puis peu après chez Ernst Benn & Norton à Londres par Philipp Bate (The Oboe, 1956 ; The Trumpet and Trombone, 1966 ; The Flute, 1969), Anthony Baines (Woodwind Instruments, 1957 ; Bagpipes, 1960 ; European and American Musical Instruments, 1966), Morley-Pegge (The French Horn, 1960), on peut constater que non seulement aucun équivalent nest préparé en France, mais quaucune traduction nen a jamais été faite en français, contrairement à ce qui sest passé par exemple en Italie. Lorsque, à la génération suivante, de nombreux auteurs de langue allemande (van der Meer, Herbert Heyde, Hubert Henkel, Friend Robert Overton, Gunther Joppig, Kurt Janetzky et Bernhardt Brückle) publient monographies et catalogues raisonnés de musées, le fossé se creuse plus encore, car seuls les ouvrages publiés chez Payot à Lausanne en allemand ont bénéficié dune version en français (Le cor, La flûte traversière, Le violon, Le piano, La trompette, Le hautbois et le basson, La percussion, Laccordéon). 
Du côté de luniversité française, on observe que les thèses portant sur les instruments de musique et les facteurs restent très rares, même après la mise en place des filières spécialisées de musicologie. A partir des année 1960, la Sorbonne, le Conservatoire de Paris, et plus particulièrement luniversité de Lyon ont proposé des sujets touchant le plus souvent le piano, le violon, la guitare, les bois à lépoque baroque et au XIXe siècle, lharmonium. Très peu de ces travaux ont été publiés. On citera parmi eux Loubet de Sceaury, dont le travail napporte pas grand chose de nouveau si on le compare à louvrage de Constant Pierre sur les facteurs de 1893. En revanche le recueil de documents que Colombe Verlet présente en 1966 sur les Facteurs de clavecins parisiens, où elle mentionne tout ce quelle doit aux dépouillements de François Lesure pour le XVIe siècle, de Frank Hubbard et de Pierre Hardouin pour les XVIIe et XVIIIe siècles, garde toute son actualité, comme celui de Sylvette Milliot, semblable dans ses objectifs, sur Les luthiers parisiens du XVIIIe siècle. Dans le domaine des bois, la thèse publiée de François Fleurot sur le hautbois fait figure dexception. Concernant les nombreux travaux sur le piano, seuls ceux de Danièle Pistone, dOlivier Barli et dAdélaïde de Place ont eu quelques échos. Regrettons que les monographies sur Erard, Pape, Boisselot, Herz, les facteurs de Mirecourt, les facteurs de guitares Lacôte et Laprévotte, le flûtiste et facteur Tulou, restent inconnues de la communauté faute dune publication alors quelles ont été loccasion de mettre en lumière des documents passionnants de première main. La trop grande rareté des organologues enseignant dans les universités françaises, la faiblesse des horaires consacrés à cette discipline, expliquent en partie le peu dengagement des étudiants sur de tels sujets, dautant quune spécialisation dans ce domaine semble peu valorisante lorsquon envisage une carrière universitaire.
Bibliographie des travaux français et sur la France
 
La bibliographie annexée à ce travail est intitulée « Organologie française », car ce terme permet dinclure les travaux des auteurs français et les travaux étrangers portant sur la France. Bien quelle ne traite pas de lorgue, ni des instruments non occidentaux et ne prend pas encore en compte, faute de temps, un dépouillement extensif de la presse spécialisée (celle du XIXe siècle, mais aussi les titres des périodiques consacrés à un seul instrument), elle constitue un premier socle de références quon cherchera en vain dans les manuels dorganologie disponibles (quelle quen soit langue) ou les histoires générales des instruments. Un rapide exercice consistant à parcourir les bibliographies des manuels et monographies étrangères montre une méconnaissance ou un désintérêt pour les travaux français que leur rareté ne suffit pas à expliquer. Avec ses quelques centaines de références, chiffre encore provisoire, elle montre cependant dors et déjà la quasi absence des chercheurs français dans les tribunes dorganologie généralistes comme le Galpin Society Journal (un seul auteur français en 2004 depuis les travaux de F. Lesure et P. Hardouin dans les années 1950) et, plus tard, le Journal of the American Musical Instrument Society (qui ne comptait aucun auteur français jusquen 2005). Un autre symptôme est le très petit nombre darticles dorganologie publiés par la Revue française de musicologie depuis sa fondation. Le numéro spécial de la Revue internationale de musique française consacré en 1984 aux instruments du XIXe siècle fait figure dexception. 
	Remarquons, au terme de ce premier parcours disciplinaire, que des étrangers ont traité brillamment plusieurs aspects de notre patrimoine instrumental : les facteurs de clavecins (Arnaut de Zwolle, Marius, Blanchet, Lefebvre, Labrèche), les hautbois et bassons à lépoque de Mersenne (la plus récente étant celle de Bruce Haynes), les instruments à anche, le cor naturel et les cuivres du XIXe siècle . Adolphe Sax a été honoré à plusieurs reprises par Malou Haine, conservateur du musée de Bruxelles et enseignante à lUniversité libre de cette ville, qui a également consacré une étude fondamentale à lensemble des facteurs français de ce siècle. Beaucoup darticles peu développés sur des aspects institutionnels propres à la France (les corporations de maîtres de faiseur ; les instruments saisis pendant la Convention ; linventaire des instruments de la bibliothèque de Versailles, etc.) écrits par des étrangers, auraient pu être traités de manière bien plus approfondie par des chercheurs français manipulant ces sources régulièrement. Mais ils nont pas proposé leurs travaux dans des tribunes internationales. 
François-René Tranchefort et Josiane Bran-Ricci sont finalement les auteurs des seules synthèses écrites en français (en 1978 et 1983) et destinées à un très large public. Aucun manuel de niveau universitaire nest actuellement disponible. 
Plus loin, dans ce travail, jévoquerai la création de la revue scientifique Musique-Images-Instruments en 1995, tribune soutenue par le CNRS et le Ministère de la Culture, qui a permis de fédérer des travaux français ou portant sur la France. Remarquons que parallèlement, louverture du musée de la Musique, son centre de documentation et son laboratoire de conservation, son personnel scientifique et sa politique culturelle ont suscité de multiples travaux dans le domaine du luth, de la guitare, du clavecin, de lalto, et que la série « Les cahiers du musée de la Musique » contribue efficacement depuis quelques années à réinsérer la France dans la communauté internationale.
I. 1. Organologie  Histoire des instruments de musique 
(2 coordinations de catalogues, 19 contributions à des ouvrages et catalogues, 3 contributions à des colloques internationaux publiés, 162 articles de dictionnaires)
Cest dans ce contexte que jai apporté ma contribution à lhistoire des instruments de musique selon des thématiques que jai essayé de dégager et qui se sont bien sûr entrecroisées et non succédées depuis 25 ans. 
Permettant une transition toute naturelle, je commencerai par évoquer les deux articles de synthèse que jai eu loccasion décrire sur lorganologie en tant que discipline. La première fois, en 1984, en collaboration avec Josiane Bran-Ricci, pour la réédition du manuel universitaire de Jacques Chailley. Pour cette très courte présentation, jai rédigé la section intitulée « Les sources de létude organologique ». Elle insiste sur la rareté des témoignages matériels à disposition de lorganologue, sur la nécessaire lecture critique quils impliquent (en raison de fréquentes altérations, transformations, dégradations), sur limportance dune analyse de la structure interne des instruments avec des méthodes dinvestigation de laboratoire (cest de là que découlent leurs caractéristiques sonores), sur lindispensable interdisciplinarité : analyse des matériaux, données acoustiques, textes, iconographie. 
La seconde contribution mavait été demandée par la Revue de Musicologie dans la suite de ses dossiers thématiques : en cette circonstance, la question de lorgue était écartée (qui aurait dû former un volet à part mais ne parut jamais) de même que lethno-organologie, en raison dun récent volume paru en 1992 sous la direction dHelen Myers comportant un chapitre écrit par Geneviève Dournon sur ce sujet. Cette synthèse a donc été restreinte aux « instruments de musique occidentaux » depuis la Renaissance. Elle a consisté tout d'abord à préciser les domaines principaux qui s'offrent au chercheur, à désigner les grands outils bibliographiques poursuivis ou nés depuis les années 60, à ordonner les études générales en retenant les composantes majeures de l'étude de l'instrument : l'acoustique, les facteurs, la facture, les moyens d'investigation scientifiques permettant l'analyse physique des témoins conservés, la restauration comme méthode et source documentaire, les collections tant du point de vue de leur histoire que de leurs catalogues généraux, les expositions temporaires traitant tout particulièrement des instruments, enfin l'iconographie musicale consacrée aux pratiques instrumentales. La deuxième partie du dossier a été consacrée à cinq domaines particulièrement riches de l'organologie. Il sagissait de produire un travail collégial, présenté autant que possible selon des normes communes. Cinq chercheurs spécialisés de pays différents ont été choisis pour évoquer l'essentiel d'un groupe instrumental. Joël Dugot (Paris) traita des instruments à cordes pincées, Karel Moens (Bruxelles) des instruments à cordes frottées, Manfred Hermann Schmid (Tübingen) des vents, Howard Schott (Boston) des claviers à cordes. Le rappel des travaux de Curt Sachs, réédités plusieurs fois, limportance des trois volumes du New Grove Dictionary of Musical Instruments (Stanley Sidey, ed.), de l'Atlas zur Musik d'Ulrich Michels, publié en poche en Allemagne en 1977 (ses tableaux synthétiques et systématiques sont d'une grande clarté) et traduit récemment par Jean Gribenski et Gilles Léothaud pour Fayard, ainsi que The New Oxford Companion to Music de Denis Arnold (1983, traduit en français en 1988) étaient mentionnés comme incontournable et restent dactualité.
	Les années 60 ont vu l'éclosion de nombreux ouvrages d'ensemble sur les instruments, pour la première fois abondamment illustrés, alors que jusqu'ici, ils n'étaient le plus souvent illustrés que de schémas. A Bruxelles, c'est R. Bragard et F. de Hen, à Prague A. Buchner (dont les ouvrages seront parmi les rares à être traduits en français), à New-York, E. Winternitz. Dans un esprit beaucoup plus rigoureux, Anthony Baines jeta en 1966 les bases d'une typologie des instruments basée sur les modèles rencontrés dans la plupart des grandes collections européennes et américaines. Dès les années 70, des livres d'ensemble, bien documentés et à l'iconographie soigneusement sélectionnée afin de replacer l'évolution des instruments dans un contexte musical, permettent à un large public non spécialisé de langue anglaise de s'informer facilement : les livres de Mary Remnant, et la série des trois volumes écrits par Jeremy Montagu (du Moyen Age à la période moderne) reçoivent ainsi une large audience. Consacré aussi aux instruments du Moyen Age et de la Renaissance, le livre de David Munrow (1976, fort mal traduit en français en 1979), à la fois plus détaillé et plus tourné vers la pratique, offre sous une forme très pédagogique et accessible une somme actualisée de connaissances. Préparée par une équipe connue sous le nom de Diagram Group, une tentative très différente a été réalisée en 1976 en Angleterre. L'effort de clarté et d'exhaustivité, le souci de rigueur typologique et la présentation de nombreuses formations et ensembles sont à remarquer, même si des imperfections émaillent ce travail traduit (avec des erreurs) en français dès 1978. Louvrage général de John Henry van der Meer (1983) constitue aussi l'un des outils de vulgarisation les plus aboutis, même s'il n'a été traduit dans aucune autre langue. Parmi les 400 références spécialisées présentées ensuite par mes collègues chacun dans son domaine, il était frappant de constater quen dehors des cordes pincées (synthèse par un auteur français), à peine une référence sur vingt est dun auteur français, le déséquilibre le plus patent étant dans le domaine des instruments à vent (3/200 !). 
	Il y a quelques années, je me suis déjà penchée sur les premiers organologues de langue française à loccasion dun colloque qui réunissait facteurs, acousticiens et historiens de la facture. Plusieurs idées développées dans le précédent chapitre de notre étude étaient déjà proposées. Javais, pour cette occasion, entrepris un dépouillement systématique des articles de Fétis sur les instruments de musique.
Jai très tôt participé à de nombreux catalogues dexposition et à la rédaction de catalogues raisonnés. Cette approche pragmatique, descriptive, classificatoire et en même temps critique, a pu sexercer à loccasion dexpositions thématiques organisées au Musée Instrumental ou avec sa participation. Lorsquen 1980 la première dation en paiement de droits de succession dans le domaine musical fut acceptée par lEtat, jai contribué, aux côtés de François Lesure, Catherine Massip et Josiane Bran-Ricci, à la rédaction dune partie des notices des très rares instruments sélectionnés dans la collection de Madame de Chambure pour entrer dans les collections nationales. En rédigeant celle du clavecin de Gilbert Desruisseaux, considéré alors comme facteur parisien, je ne pouvais guère imaginer que vingt ans plus tard, des recherches menées dans les archives de Lyon allaient révéler la carrière de ce facteur dans cette ville « franche » après son apprentissage parisien. Quant à la guitare du facteur Jean Voboam 1689 présente dans cette même sélection, je la replaçais alors parmi douze instruments de sa main. Aujourdhui, ayant identifié cinq facteurs de cette dynastie (et non plus trois), elle prend place dans un ensemble plus restreint. 
La même année, jai préparé linventaire des guitares du Musée Instrumental de Paris pour un volume collectif bilingue préparé à linitiative de Michel Foussard, responsable de la collection du conservatoire de Nice. Dune réalisation très soignée, ce livre réunissait un spécialiste anglais, Tom Evans (Les métamorphoses de la guitare), Albert Pomme de Mirimonde (La guitare dans lart), et les équipes des collections de Nice et Paris. En relisant mes attributions et commentaires tant dannées après, je relève une grave erreur dappréciation de ma part : la mise en doute de la guitare marquée « Antonius Stradivarius » (qui provient pourtant de la collection de Jean-Baptiste Vuillaume, grand négociateur dinstruments de cet atelier). On doit à Gianpaolo Gregori davoir replacé récemment cet instrument parmi les six guitares du maître de Crémone quil a mises en lumière et rapprochées grâce à une analyse comparative très poussée, et davoir ainsi écarté les doutes que javais émis. 
Quelques années plus tard, jai réalisé en équipe le catalogue sommaire des flûtes traversières du Musée de Paris. Ce travail a été effectué avec Claire Soubeyran, facteur de flûtes, et Pierre Séchet, flûtiste, tous deux fins praticiens des instruments de lépoque baroque et romantique. La détermination du diapason moyen a nécessité lutilisation dune vocalise, lobservation de règles strictes dinsufflation et la vérification de la position du bouchon de chaque instrument, paramètres mis au point de manière expérimentale. 
Une campagne dassistance technique au Musée de lHospice Comtesse à Lille a été loccasion, en 1990, dun travail dampleur à la fois de conservation, de mise en valeur et de catalogage. Celui-ci faisait suite à un préinventaire que javais réalisé en 1977. Plusieurs instruments de facture régionale et quelques raretés ont été mis en lumière : une virginale muselaar de Ruckers, une viole de gambe de Peter Hackings à Londres (1621), une viole du facteur virtuose de Hambourg, Joachim Tielke (1692) (deux seulement sont conservées en France et sont absentes de la monographie publiée par Günther Hellwig en 1980). 
Souvent mise à contribution pour des catalogues dexposition thématiques temporaires, jai participé à la rédaction de nombreuses notices, mais aussi de textes, qui, sil ne sont pas à proprement parler des travaux dérudition, proposent des synthèses sur des sujets très divers. Lors des expositions Rameau (1983) à Paris au Musée Instrumental, et Mozart (1991), au musée Carnavalet, jai présenté lactivité des facteurs parisiens. A loccasion dune exposition sur Les métamorphoses dOrphée (1995) dans lart, la littérature et la musique, jai recherché les instruments de natures très diverses qui se réfèrent, symbolisent ou imitent avec plus ou moins de vraisemblance, sa lyre. Plus récemment, jai été amenée à présenter, bien quayant quitté cette institution il y a douze ans, vingt ans dacquisitions du musée de la Musique, dans le cadre dune exposition qui portait sur sa politique scientifique.
Jai contribué aussi régulièrement à des encyclopédies et des dictionnaires soit musicaux soit dintérêt historique, avec des entrées portant sur les instruments de musique (Dictionnaire Rameau, 1983 ; Dictionnaire du Grand siècle, 1990 ; Dictionnaire de la musique en France. XVIIe-XVIIIe siècles, 1992 ; Dictionnaire européen des Lumières, 1997 ; Dictionnaire Berlioz, 2003 ; Dictionnaire de la musique en France au XIXe siècle, 2003 ; Guide de la musique de la Renaissance, à paraître), mais aussi sur les facteurs, les organologues et les collectionneurs (MGG, The New Grove Dictionary of Music and Musicians). 
	Les instruments à clavier (clavecins, premiers pianoforte) et les instruments à cordes pincées aux XVIIe et XVIIIe siècles, restent mon domaine de prédilection. Jai ainsi apporté ma contribution à différents colloques et ouvrages collectifs. 
	Ayant eu loccasion de participer à lacquisition, pour le Musée Instrumental de Paris, dun très rare clavecin de Vincent Tibaut, maître actif à Toulouse dans la seconde moitié du XVIIe siècle, jai effectué des recherches dordre biographique dans les archives de cette ville. Une dizaine dannées plus tard, ce travail a formé une monographie avec lanalyse organologique menée à bien par Alain Anselm sur les trois instruments conservés de cet atelier. On notera que Tibaut appartenait à la corporation des maîtres ébénistes très vraisemblablement en raison de son isolement comme facteur de clavecins dans cette ville. 
La question de la diffusion des clavecins flamands en France, de Chambonnières à Balbastre, a été travaillée depuis la fin du siècle dernier par Eugène de Bricqueville, Geneviève Thibault de Chambure, Frank Hubbard, Grant OBrien. Jai fait le point sur les sources mentionnées également dans dautres publications et jai repris de manière plus systématique les Annonces, Affiches et Avis divers souvent visitées. Jai pu de mon côté constater combien un travail statistique plus rigoureux change notablement à la hausse lévaluation des clavecins flamands circulant à Paris dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Jai surtout proposé une approche critique de la terminologie employée par les annonceurs, pour tenter de comprendre la grande variété des modèles se cachant sous des dénominations qui peuvent paraîtrent en première lecture ne pas poser de problème. Entre un vieux Ruckers ravalé et un faux Ruckers fait pour tromper, il y a toute sortes de variantes qui ont bien existé et qui mettent au grand jour les intentions des habiles facteurs. Le va et vient entre annonces et instruments conservés devient alors indispensable pour en comprendre la subtilité. 
	Du côté des guitares, jai consacré beaucoup dannées à préciser la biographie et surtout la production dune dynastie de facteurs active à Paris de 1630 à 1730, les Voboam, symbole de la guitare baroque « à la française ». Mon enquête a été menée durant vingt ans, profitant des voyages moffrant lopportunité détudier des spécimens conservés de New York à Vienne ou Saint-Pétersbourg. De découverte en réexamen, après mes deux premières publications à loccasion desquelles javais complété le corpus des instruments retrouvés, jai finalement proposé tout récemment quelques nouvelles hypothèses et des changements dattribution. Celles-ci sont liées au fait que je distingue maintenant non plus trois mais cinq facteurs ayant uvré sous ce nom. Alors que Constant Pierre cite huit instruments de cette dynastie en 1893, cest finalement trente-cinq spécimens signés qui ont pu être recensés. Chacun des membres de la dynastie a utilisé un style de travail détectable dans de très petits détails, mais susceptible, en labsence éventuelle de signature, de permettre des attributions. Jen ai proposé trois nouvelles. Ces facteurs résument à eux seuls la facture française à lépoque de Louis XIV. Ils occultent dailleurs quelque peu leurs confrères, dont luvre a été jusquici plutôt négligée. Ce travail est une fois encore provisoire car nombre dinstruments nont pu être étudiés du point de vue de leur structure intérieure. Beaucoup ont par ailleurs été modifiés par des montages à six cordes ultérieurs accompagnés de transformations structurelles. Il reste donc bien difficile de proposer des hypothèses quant aux différents diapasons utilisés à cette époque. Ce recensement systématique aura peut-être pour effet de susciter des campagnes dexamens radiographiques et endoscopiques dans les institutions qui ont la chance de conserver des spécimens pour pousser plus loin létude des barrages et de leurs caractéristiques de construction dont dépend leur rendu sonore. 
I. 2. Facture instrumentale. Le métier. Les facteurs 
(Direction de 2 catalogues dexposition et de 2 volumes de revues, 9 contributions à des catalogues dexposition, 2 participations à des colloques publiés, 5 articles, 129 articles de dictionnaires)
Dans le domaine de lhistoire de la facture instrumentale, jai apporté de nouveaux éléments sur lhistoire du métier, sur la carrière de facteurs français, sur les écoles régionales de facture propres à la France. Jai notamment conçu et dirigé la rédaction de deux catalogues dexposition, le premier consacré aux principales innovations instrumentales européennes à lépoque moderne et le second aux facteurs et musiciens parisiens durant trois siècles. La première exposition sest intéressée à des moments majeurs de La facture instrumentale européenne. A loccasion de lAnnée européenne de la musique (1980), une vingtaine de collègues organologues dAngleterre, Belgique, Allemagne, Espagne, Italie et de France ont été conviés à offrir une synthèse sur un moment particulièrement fort du développement de la facture instrumentale dans leur pays. Les choix ont porté sur des instruments dont la diffusion à léchelle européenne a été caractéristique de lhistoire du goût (luths italiens, clavecins flamand, violons crémonais) ou de la réussite dune innovation (flûte type Hotteterre, flûte Boehm, harpe chromatique Erard, instruments Sax, guitare modèle Torrès). Chaque thématique a été traitée par petite équipe regroupant historiens, organologue et facteur connaisseur des modèles concernés. Le livre-catalogue que jai coordonné a ainsi permis au public français de découvrir des connaissances renouvelées sur ces sujets car appuyées sur les sources et les spécimens venus de plusieurs institutions européennes. Dans ma présentation, jai insisté sur les conditions dexercice des métiers en Europe, sur les différences notables qui peuvent exister entre des créateurs autodidactes et des dynasties régies par une sorte dendogamie, sur la capacité des facteurs à voyager et sexpatrier, sur la réception et la diffusion des innovations. Une riche documentation a été analysée et a permis quelques découvertes : la proposition dune classification des luths selon les tessitures de Praetorius ; lanalyse très poussée de deux clavecins flamands ravalés au XVIIIe siècle en France, conservés à Paris ; le changement dattribution dun célèbre cistre de Stradivarius (construit en fait par le facteur de Brescia de Virchis et seulement modernisé par Stradivarius) ; lanalyse critique des « formes et moules » datelier du célèbre luthier de Crémone, conservés à Paris depuis lépoque de Vuillaume, confrontés aux patrons conservés dans sa ville dexercice. En plus de la coordination éditoriale, jai interprété deux inventaires dateliers : avec Claire Soubeyran celui de Nicolas Hotteterre (1653-1727), « faiseur, joueur et marchand dinstruments à vent », dont la biographie a été précisée dans ce même ouvrage par Marcelle Benoit ; et dautre part celui dressé après le décès de Sébastien Erard, qui dévoile la culture technique du célèbre facteur de pianos ainsi que le détail et lorganisation de sa production.
	Trois ans plus tard, en préfiguration des concepts muséographiques qui devaient sous-tendre le programme du nouveau musée de la Musique, jai organisé à la demande du Conservatoire une exposition consacrée aux Instrumentistes et luthiers parisiens durant trois siècles. Je ne mattarderai pas ici sur les enjeux techniques et culturels du projet, exposés dans mon introduction, mais sur la publication que jai dirigée à cette occasion. Elle a revêtu une nouvelle fois la forme dun travail déquipe avec dix-sept musicologues, organologues et luthiers qui ont collaboré. La variété des contributions donne un panorama cohérent des différentes familles dinstruments à cordes pendant trois siècles (luths, guitares, violes, harpes, vielles à roue, guitare, instruments du quatuor) dans leur contexte musical et technologique. Beaucoup de documents inédits sont publiés ici pour la première fois (inventaires dateliers, brevets dinvention, mémoires présentés devant les Académies, méthodes instrumentales écrites par les inventeurs) entourés des instruments les plus représentatifs des pratiques de chaque génération, des partitions et des portraits des musiciens de renom qui les servent. Jeremy Montagu, dans un compte rendu de cet ouvrage, a fait remarqué combien, à linstar des bois et des claviers français, cétait la première fois quun ouvrage aussi développé était consacré à lensemble des instruments à cordes parisiens. Jai pu remarqué cependant que le terme luthier, pourtant défini dans lintroduction, na pas été compris dans son sens restrictif par les étrangers, H. Moeck, comme J. Montagu sétonnant de ne rien trouver dans cet ouvrage sur les facteurs dinstruments à vent. 
	Si la question des courants régionaux était déjà en filigrane dans louvrage de 1985, elle est devenu le thème central de plusieurs autres publications. A loccasion dune réunion annuelle du Comité international des musées et collections dinstruments de musique (CIMCIM), jai ainsi présenté une synthèse des travaux français sur les écoles régionales de facture instrumentale (Lyon, Rouen, Toulouse, Strasbourg, Mirecourt, La Couture-Boussey, Marseille, Jenzat, Bourg-en-Bresse) et sur les instruments traditionnels des régions de France, dans une perspective tout autant géographique quhistorique. Jai souligné combien la prise de conscience de ce patrimoine a été à lorigine de nombreux musées et collections en région lesquels connaissent aujourdhui un nouveau développement. La bibliographie établie à cette occasion (et qui est intégrée dans lAnnexe I.1.) est bien souvent inconnue de nos collègues étrangers. On peut détecter trois grandes phases dintérêt : celle des érudits du XIXe siècle, celle de lethnomusicologie de la France à partir de la deuxième guerre mondiale, enfin celle des musiciens du Revival, dès les années 1970, qui souvent ont préparé des mémoires et thèses sur les instruments quils pratiquaient. 
Jai par ailleurs coordonné deux volumes de la revue Musique-Images-Instruments (voir infra) sur les « Ecoles et traditions régionales », réunissant à cette occasion des travaux écrits sur des instruments ou des ateliers particulièrement typés. On parle dEcole lorsquun faisceau de caractéristiques définit des façons de faire dans un corps de métier. Par tradition, on fait référence à des usages communs transmis par le geste, par la voix et par la parole, par le savoir faire technique, ou encore par les images mentales ou visibles. Alors que depuis plusieurs générations des travaux mettent en lumière les caractéristiques de grands centres de facture (la lutherie du Sud Tyrol, de la Forêt Noire, de Venise, de Brescia etc., les cuivres de Nuremberg, les bois de Dresde, dAmsterdam, les clavecins anversois, anglais ou parisiens, les pianos viennois, etc.), nous avons réuni ici des études sur des centres ou des ateliers moins connus, mais aux caractéristiques bien identifiées. Du côté des clavecins, les monographies que nous avons accueillies sont éloquentes quant à la circulation des influences dun pays à lautre, même si chaque atelier porte sa « marque génétique », comme en témoigne celui de  Löwe à Augsbourg, celui de Joos Karest à Anvers, de Grimaldi à Messine, de Labrèche à Carpentras, celui des frères Hellen à Bern deux siècles plus tard. Les facteurs dinstruments à cordes pincées démontrent les mêmes échanges incessants : luth à la française dAntonio Stradivari, harpe chromatique de Krumpholtz et Naderman à Paris (allemande ou française ?), guitarpa et poliarmonica à Madrid, « guitare allemande » ou cistre français. Les musettes de cour, tambourins de Provence et à tambourins à cordes tiennent dun exotisme franco-français passé à la ville et à lOpéra, mais ces instruments fascineront les cours francophiles du XVIIIe siècle qui nauront de cesse de les adopter temporairement. 
Etudier les conditions de la pratique professionnelle des facteurs en France (apprentissage, transmission, évolution) revient à interroger leur statut, leur milieu social, leur culture, avec les outils de lhistoire mais aussi de lenquête ethnologique. Jai tenté de mettre en lumière combien, en dehors de la facture dorgue (qui dispose très tôt de traités techniques), la transmission est restée longtemps orale, les manuels techniques napparaissant quà lépoque de la standardisation des savoirs faire et de lindustrialisation. Récemment, amenée à présenter létat des recherches sur la facture instrumentale à Paris et à Lyon à la Renaissance, jai pu que constater que depuis les travaux de Tricou, François Lesure, et Frank Dobbins (qui part de leurs travaux et se réfère aux inventaires sommaires mais pas aux documents eux-mêmes), à quelques menus détails près, aucun grand chantier de dépouillement na été entrepris sur les facteurs lyonnais. A Paris, la situation est la même, et si le volume 3 des travaux de Madeleine Jurgens, disponible sur demande sous forme de manuscrit, nest toujours pas publié par les Archives nationales, aucun jeune chercheur, à ma connaissance, na poursuivi le travail de ces pionniers. Une relecture de ces travaux souligne en tout cas lintense commerce des instruments dune ville et dun pays à lautre, phénomène qui, nous lavons vu plus haut à propos des caractères régionaux, mais aussi des clavecins anversois, reste une constante à toutes les époques. 
Au XIXe siècle, un phénomène plus marqué encore concerne la circulation des violons italiens, Paris jouant le rôle de plaque tournante en Europe, notamment grâce à Jean-Baptiste Vuillaume. Jai commencé à dépouiller systématiquement les catalogues de ventes publiques dinstruments de musique à Paris (une centaine dans les différents des bibliothèques parisiennes et au Musée des instruments de Bruxelles). Il faudrait poursuivre systématiquement dans les archives des études de commissaires-priseurs parisiens à lhôtel Drouot, ce qui est une tâche presque irréaliste. Ces données partielles, confrontées à quelques archives comptables de luthiers heureusement conservées au musée de la Musique à Paris, mont permis une première approche du marché de la lutherie italienne à Paris à lépoque de Vuillaume. Comme dans le cas des annonces de ventes de clavecins, lidentification des instruments proposés reste souvent incertaine. Aucune description ne figure en effet dans ces opuscules, aucune photographie (pas avant 1900 pour les catalogues des expositions rétrospectives et plus tard encore pour les ventes publiques), aucune mensuration, aucun relevé de marque. Les noms des luthiers sont parfois grossièrement déformés. Ce nest quen 1872 quun expert sera désigné pour ces ventes (la maison Gand & Bernardel ayant longtemps joué ce rôle) et que lon commencera à utiliser une terminologie plus fine : « violon de », « violon genre », « violon marqué », « violon imitation de ». Les montants dadjudication portés manuellement dans les catalogues imprimés conservés restent très précieux : ils reflètent une échelle de valeurs, des graduations dans la beauté ou la rareté des pièces proposées, limage en tout cas dune évolution du goût. 
I. 3. Restauration des instruments de musique 
(2 ouvrages, 7 articles, 7 contributions à des colloques publiés)
La restauration des instruments (déontologie, pratique, histoire), domaine peu travaillé en France en dehors de nombreuses études sur lorgue, répondait au souci dune démarche rétrospective pouvant éclairer les méthodes de traitement contemporaines de laboratoire à une époque de redécouverte des instruments anciens et de pratique des répertoires historiques sur les instruments qui leur correspondent.
Mon intérêt pour ces questions sest développé au contact des collections de musées, des travaux menés par mes collègues restaurateurs et facteurs. Ayant contribué à la rédaction de rapports de restauration, lesquels constituent chaque fois des études de cas tant au plan technique que philosophique, jai très tôt mesuré les enjeux, les difficultés, la subjectivité aussi de toute décision et même de bien des appréciations. Vingt-cinq ans plus tard, il mapparaît assez symptomatique que mon premier article dans une tribune de diffusion scientifique portait sur ces questions et mavait été demandé par Le courrier du CNRS : léquipe du Musée Instrumental et son atelier de restauration participaient aux travaux de lUnité de recherche associée « Organologie et iconographie musicale », fondée en 1967 par Geneviève Thibault de Chambure au Conservatoire. Jacques Thuillier en avait pris la direction peu avant sa disparition en 1974. 
Les questions de restauration des instruments de musique avaient une certaine tradition en France. En effet, en 1934, au moment de son séjour forcé à Paris, Curt Sachs avait écrit et publié en français dans la revue Mouseion larticle fondateur que nous avons déjà cité et qui, sous un titre ambitieux (« La signification, la tâche et la technique muséographique des collections dinstruments de musique »), comportait un long développement sur la restauration. Probablement parce quil na jamais été traduit en anglais, il a été en général ignoré des récentes publications spécialisées, comme dans le « Répertoire de sources » proposé par Robert Barclay. 
Pour Sachs, la restauration est lune des « raisons d'être » du musée. Après avoir constaté qu'aux Etats-Unis lon conservait les collections exactement dans l'état où elles avaient été acquises et après avoir brocardé la « fâcheuse époque des remises à neuf », il pose en principe que chaque instrument est un cas particulier qui impose décision et traitement propres. L'instrument de musique entré au musée n'a « rien à voir avec la vie », énonce-t-il courageusement, mais en pleine conscience des exigences qui en découlent : « Ce n'est pas la continuation et la transformation dans le style du temps actuel ». Si l'on s'abstient de laisser la marque des usages musicaux du temps présent sur des instruments de musée, il n'en reste pas moins que l'instrument ne saurait être rendu systématiquement à son premier état. Car plus une transformation ou une adjonction apportée à l'instrument est ancienne, plus elle a « d'intérêt documentaire ». De manière générale, mais avec des exceptions compte tenu de la représentativité de chaque collection, toute transformation conforme au type de l'instrument (par exemple le ravalement des clavecins) sera conservée, celles qui sont contraires au type (montage d'une viole en violoncelle, luth monté en guitare) seront supprimées. Sachs distingue ensuite deux cas où la remise en état de jeu lui semble indéfendable : si la partie sonnante est presque ou totalement perdue ; si la restauration risque de détruire la valeur archéologique. Confectionner un fac-simile lui semble alors préférable. 
Trois règles de conduite doivent selon lui être observées : 
La restauration de la voix (entendez de la partie sonore) aura à suivre exclusivement et intégralement les données de l'époque en question : le restaurateur s'interdira rigoureusement de corriger l'objet [...]. Tout essai tendant à adapter l'instrument aux exigences modernes [...] rend illusoire la raison d'être d'un musée [...], [si bien que] non seulement les parties architectoniques, mais encore les cordes et tous les accessoires doivent se conformer minutieusement au style de l'époque originelle [...]. Les musées disposant d'un certain nombre d'instruments du même type feront, bon droit, une exception pour avoir des spécimens en état de fournir des voix dans un ensemble composé pour exécuter de la musique ancienne. Ils consacreront à cet usage des exemplaires qui ne sont pas les plus remarquables. 
Lannée même où Geneviève Thibault de Chambure ouvrit auprès du Musée Instrumental un atelier de restauration dont elle confia la responsabilité à un éminent facteur et historien du clavecin, Frank Hubbard, elle publiait, sous les auspices du Conseil international des musées, et en collaboration avec deux collègues de grands musées allemands, une brochure sur la question qui fit date. Lépoque était à la redécouverte des répertoires anciens. Les musées étaient interpellés pour que leurs collections contribuent à ce « retour aux sources ». La remise en état de jeu est donc centrale dans ces recommandations. 
Les questions abordées par cet ouvrage étaient d'une grande diversité : quelle étape choisir dans l'histoire de l'instrument pour sa remise en état de jeu ? Celle au cours de laquelle il était constamment utilisé ? La question est plus complexe qu'il n'y paraît. Les auteurs préconisent en effet clairement de « corriger » les transformations du XIXe siècle comme par exemple le montage à six cordes d'une guitare baroque, et suggèrent plus fermement que Sachs encore, l'éventualité d'une remise à l'état d'origine d'un clavecin ravalé si le musée n'en possède pas. Dans le cas des transformations « contraires au type », une différence est faite par eux entre celles qui n'ont aucune valeur organologique - mais seulement de curiosité -, et celles qui témoignent d'une pratique. Même dans ce dernier cas, surtout si la collection n'a pas d'autre exemplaire pour évoquer le premier état musical d'un type d'instrument, il leur semble préférable de revenir à cet état d'origine. D'une certaine manière, on le voit, ces auteurs différencient plus de cas d'espèce mais sont moins nuancés et prudents peut-être que ne l'était Sachs. Les principes communs à toutes les catégories d'instruments de musique étaient complétés par des recommandations particulières à chaque grande famille organologique, présentées selon quatre catégories : la partie résonnante, les parties transmettant le son, les parties produisant le son, les accessoires ayant une importance seulement visuelle. Cest en tout cas les principes dune telle déontologie que jai connue au cours de mes premières années de formation au Musée Instrumental, appliquée à nombre dinstruments des collections de Paris qui avaient partiellement été remises en état de jeu pour pouvoir être utilisées durant le long périple de la mémorable exposition itinérante franco-anglaise Les instruments de musique au XVIIIe siècle : France et Grande Bretagne.
Lorsque jai accepté décrire quelques années plus tard mon ouvrage sur la Restauration des instruments de musique, cétait à la demande de Madeleine Hours, directrice du laboratoire de recherche des musées de France et fondateur dune collection éditoriale intitulée « Découvrir, restaurer, conserver » de lOffice du Livre. Elle y avait publié elle-même un premier volume sur lAnalyse scientifique et la conservation des peintures. Gilberte Emile-Mâle était lauteur du second, sur la Restauration des peintures de chevalet, et des sujets très divers avaient été traités : céramique et verre ; dessins et estampes, sculptures ; mobilier ; horloges, montres et pendules. Sans doute ai-je été bien téméraire dentreprendre ce volume sur les instruments de musique. Il nexistait pas de « modèle » ; les restaurateurs étaient tous spécialistes dun seul domaine ; la littérature  hors celle des traités de facture instrumentale  était majoritairement étrangère. Cest avec laide de mes collègues du Musée Instrumental et dateliers privés, que jai commencé une enquête et structuré ce travail qui était destiné à un large public. Il sagissait de linformer sur la nature de ce patrimoine, sa faible importance numérique, sa complexité. De donner quelques clés pour en appréhender les matériaux, les aspects structurels, les dégâts, les transformations. Sérier les types dinterventions. Donner quelques conseils de base pour lentretien et la conservation. Schémas, illustrations, bibliographie et glossaire étaient sans doute de quelque utilité en labsence de précédent en France. 
Cet ouvrage a sans doute eu un certain retentissement dans les pays de langue française. Hermann Moeck, dans sa revue Tibia consacrée aux instruments à vent, en apprécia la méthodologie et les aspects pratiques. Il regretta quil ne soit pas traduit en allemand. Deux traductions ont été préparées en espagnol et en italien au début des années 1990 par des collègues étrangers, mais jai décliné loffre de ces éditions, estimant que mon propos  en raison de lévolution considérable des pratiques et des concepts  devait être largement réactualisé. En effet, les « recommandations » de Geneviève Thibault, au même titre que mon ouvrage, ont été, une génération plus tard, critiqués par les nouveaux « conservators », hommes de laboratoire, tenants dune préservation « passive », par un effet pendulaire que lon peut comprendre et qui est dailleurs entrain de se modérer. Il nous était reproché, « de ne pas avoir pris la mesure de la complexité dun instrument de musique en tant quentité historique, musicale, esthétique, technologique, physique et sociologique ». Davoir encouragé des restaurations trop drastiques, dans le but de linterprétation, au détriment du respect des instruments. Deux illustrations étant prises à témoin dans mon ouvrage pour dénoncer des techniques ayant alors cours (la remise en forme dune échine de clavecin par un trait de scie à mi-épaisseur ; la pose de ligature dans un corps de flûte traversière fracturé). Lévolution déontologique et technologique de ces vingt dernières années, les responsabilités que jai assumées entre 1988 et 1993 pendant le chantier douverture du musée de la Musique (avec une campagne de restauration-conservation sans précédent), la participation régulière aux travaux du groupe de travail sur la conservation au CIMCIM mont donné un point de vue beaucoup plus nuancé. Imaginer une réédition de cet ouvrage serait plutôt imaginer un nouvel ouvrage, collectif, international.
Une sorte détape intermédiaire a ce futur ouvrage a était réalisée à loccasion des journées détudes de la Section française de lInstitut International de Conservation à Limoges en 2000. Avec Laurent Espié (Laboratoire du musée de la Musique) et Marcel Stefanaggi (Laboratoire des Monuments historiques), nous avons sollicité et réuni sous un titre « optimiste » (Instruments pour demain. Conservation & restauration des instruments de musique) une vingtaine de contributions qui répondaient à trois axes principaux : léthique et la conservation préventive ; lapproche scientifique grâce à des méthodes de laboratoire ; des études de cas. En majorité, ce sont les collègues étrangers qui ont contribué à la première section, le Canada (Institut canadien de conservation) et lAllemagne (Fachhochschule de Cologne) ayant uvré depuis des années à la formation de « nouveaux » professionnels universitaires, loin des filières artisanales dautrefois. 
	Entre ces deux ouvrages de nature très différente, jai apporté régulièrement ma contribution à un autre aspect du sujet : celui de lhistoire de la restauration des instruments en France. Au cours des dépouillements effectués pour ma thèse de doctorat, jai en effet pu exhumer un nombre important de factures et mémoires attestant de la nature des travaux effectués sur les collections du Musée Instrumental de Paris dès le XIXe siècle. Je me suis aussi intéressée aux registres comptables des luthiers du Conservatoire. Pendant des décennies, ils ont consigné lensemble des travaux effectués sur des instruments du quatuor, pour les classes de cette institution et pour des musiciens de renom. Les descriptions répétitives des opérations sont le révélateur de concepts qui sous-tendent lentretien, lévolution, les transformations dinstruments détude ou de grand prix. En remontant dans les imprimés du XVIIIe siècle (Terrasson) et du début du XIXe siècle (Sibire), se dessinent les étapes dune prise de conscience patrimoniale et dune technique de la restauration. Jai présenté mes premiers résultats à Venise en 1985, dans le cadre dun colloque international de très large ambition, intitulé Per una carta europea del restauro. Conservazione, restauro e riuso degli strumenti musicale antichi. 
Aucun ouvrage, aucun article dans la littérature spécialisée (955 titres) recensée en 1992 par Cary Karp, ne semble avoir proposé ce point de vue historiograhique. Quelques sept pages dans le plus récent ouvrage de Robert Barclay déjà cité, intitulée « The Silent Artisan », se font lécho, à tort, dune remarque écartant quasiment le sujet : « the history of early restoration has yet to be written, but virtually nothing was recorded at the time by the craftsmen involved » Cest pourtant un point de vue contraire qui intéressa en 1991 les organisateurs du colloque international de Bâle sur lHistoire de la restauration. Très pluridisciplinaire, cette rencontre était organisée autour de quatre pôles de réflexion : larchitecture, les peintures murales, les questions dinterprétation, les dilemmes de la restauration dans les arts appliqués. Cest dans cette dernière section que jai été conviée à mexprimer sur les instruments de musique (Friedemann Hellwig, lun des trois incontournables spécialistes de ces questions intervenait sur les meubles du fait de ses nouvelles fonctions à Cologne à la Fachhochschule) et à minterroger sur leurs fonctions patrimoniales multiples : « Lobjet sonore et le document sont-ils conciliables ? ». Lhistoire de la restauration et de la conservation ne peuvent senvisager que par rapport à lhistoire des collections, les mobiles qui régissent la collecte de spécimens déterminant lattitude qui présidera à leur conservation pour lavenir. Jai donc montré la relation dialectique existant entre les orientations non interventionnistes des collecteurs dobjets dart et au contraire lattitude beaucoup plus active des musiciens collectionneurs et re-découvreurs de répertoires idiomatiques pour ces instruments anciens. Jai montré aussi lévolution des conceptions et des pratiques en milieu muséal depuis lépoque fondatrice (la fin du XIXe siècle) jusquaux récentes décennies, avec larsenal de « recommandations », séminaires, associations professionnelles qui entretiennent le débat. 
Jai eu loccasion de mexprimer à nouveau sur ces questions en France en orientant cette réflexion tantôt dans le champ des clavecins, tantôt dans celui de la lutherie du quatuor. A létranger je fus sollicitée dans des contextes disciplinaires variés : à Bruxelles, le Centre de Recherches et dEtudes technologiques des Arts plastiques (section Histoire de lArt et archéologie de lUniversité Libre de Bruxelles) me demanda une contribution dans un séminaire nettement orienté vers la peinture, mais où la question des intérieurs (aspects immobiliers et mobiliers) ouvrait sur les questionnements qui concernent lusage du patrimoine. Jai orienté mon propos sur lutilisation continue ou discontinue des instruments au cours des générations, sur lévolution des pratiques musicales, des pratiques de facture instrumentale et plus tard des pratiques de restauration. Jai montré par exemple quune technique de restauration utilisée dans les années 1980 pour une flûte traversière ancienne nétait plus admise quelques années plus tard. A Rome, jai été conviée à présenter à des acousticiens combien lintégrité structurelle des instruments de musique anciens, et donc lanalyse critique de la source quils représentent, sont indispensables si lon veut appréhender avec des méthodes fiables leurs caractéristiques sonores. Plus récemment, un séminaire a réuni à la Galleria dellAccademia de Florence des spécialistes de la conservation des instruments à clavier : la découverte dune épinette de Bartolomeo Cristofori, intouchée depuis lépoque de son utilisation, posait la question de sa conservation : restauration, ou conservation avec réalisation dun fac-similé ? Cest la deuxième solution qui a été adoptée, à la suite du débat international qui avait été organisé. A cette occasion, jai dressé un bilan des travaux effectués sur les instruments à claviers anciens conservés en France depuis les dernières décennies du XIXe siècle jusquaux plus récentes réalisations du musée de la Musique, en soulignant quels objectifs sous-jacents les avaient accompagnés et quelle réception ils avaient trouvée auprès du public et de la presse. 
I. 4. Histoire des collections d'instruments de musique 
(1 ouvrage issu de ma thèse, 1 catalogue dexposition co-dirigé, 5 contributions à des catalogues dexposition, 11 articles, 5 contributions à des colloques publiés, 15 articles de dictionnaires)
	Ce thème de recherche a été loccasion dapporter une contribution importante à la connaissance du Musée Instrumental du Conservatoire de Paris, seule institution patrimoniale française à vocation nationale pour le domaine des instruments de musique. Objet de ma thèse de doctorat, cette étude a été engagée dès 1977. Jaimerais exposer le cheminement qui ma conduite à ce sujet, en citant lavant-propos qui ouvre ce travail finalement soutenu en Sorbonne en 1991 :
	Nous avons commencé à travailler sous la direction du Professeur Jacques Thuillier en 1972, afin de préparer un mémoire de maîtrise qui consistait à rédiger le Catalogue raisonné des peintures et dessins français du XVIIIe siècle du Musée Jacquemart-André de Paris. Quelques mois plus tard, nous sommes entrée au Musée Instrumental du Conservatoire de Musique de Paris, pour exercer les fonctions dadjointe au conservateur de ce musée. Cette rencontre nétait pas complètement fortuite. Nous avions fait la connaissance de Madame de Chambure, conservateur de ce musée, dans le cadre du cours de muséologie générale que Georges Henri Rivière professait pour les universités de Paris-Sorbonne et Paris-Panthéon. Au moment de sa mise à la retraite, elle nous proposa de travailler auprès du successeur quelle sétait choisi, Josiane Bran-Ricci. Notre maîtrise fut soutenue trois ans plus tard, en novembre 1976. Peu après, nous avons déposé un sujet de thèse qui portait sur le Musée Instrumental du Conservatoire de Paris : formation et développement des collections. Nous souhaitions en effet un nouveau sujet touchant à la muséologie et à son histoire. En même temps, ces années dexpérience au Musée Instrumental nous avaient permis de prendre la mesure de cette collection, den apprécier la richesse considérable, le renom à létranger, mais aussi den sonder les carences les plus notoires : la modicité de ses moyens de fonctionnement, létat scandaleux de ses réserves, la vétusté de ses présentations, linsoluble limite de ses activités publiques, mais aussi labsence doutils documentaires élémentaires. Dun autre côté, les travaux de restauration menés dans son atelier, la documentation iconographique réunie dans le cadre de lUnité CNRS dirigée par Jacques Thuillier, à laquelle nous fument bientôt intégrée (1978), concrétisaient lhéritage le plus vivant de Madame de Chambure [disparue en 1975]. Cest lépoque où lexpérience acquise au Musée Instrumental nous permit dy être nommée conservateur (1979) puis dêtre associée à la conception du futur Musée de la Musique (1982) avant den devenir responsable des études et des programmes. 
	Voici pourquoi tout nous attacha plus étroitement à cette collection, aux étapes de son histoire que nous commencions à entrevoir, à ses combats toujours recommencés, et que cette thèse devint la face cachée, mais sans doute la plus personnelle, de cet engagement qui na fait que samplifier au fil des années.
	Alors que les sources étaient lacunaires, très dispersées (un seul carton au musée lui-même), elles apparaissent, dans louvrage monumental que nous en avons tiré en 1996, extraordinairement nombreuses. Les documents concernant la création de lInstitut national de musique et son Cabinet de musique, destiné à rassembler les instruments « antiques, étrangers et à nos usages, qui peuvent, par leur perfection, servir de modèle », avaient été en partie publiés par Constant Pierre, dans son ouvrage bien connu sur le Conservatoire publié pour lExposition universelle de 1900. La découverte de nouvelles séries (au Conservatoire, au Département de la musique de la BnF, dans dautres institutions) et surtout un long travail sur la Commission temporaire des arts, section de musique, nous a permis dintéressantes découvertes concernant les saisies révolutionnaire et leur destiné. Jules Gallay et Jean-Baptiste Weckerlin ont chacun de leur côté publié une version des inventaires réalisés par Bartolomeo Bruni entre avril 1794 et lété 1795. Elles diffèrent. La seconde est plus complète et sappuie sur un document longtemps introuvable, car non coté, conservé au Conservatoire puis au Département de la Musique de la BnF. Avec plusieurs listes dinventaire postérieures (1807, 1816, 1822), et un travail méticuleux dans les registres de matériel du Conservatoire (1822, 33, 45, 49, 66), jai pu retrouver, parmi des dépôts des classes du Conservatoire effectués au Musée Instrumental après 1865, une douzaine dinstruments qui provenaient effectivement des saisies révolutionnaires et qui échappèrent aux restitutions, aux deux ventes publiques organisées par le Conservatoire, au calorifères (mai 1816), et aux multiples négligences ultérieures. Lenquête quasi policière que jai menée (certains numéros de lépoque révolutionnaire portés sur les volutes ou les éclisses de certains instruments nont pu être découverts que sous rayonnement ultraviolet) ma surtout permis détablir pourquoi ce cabinet dinstruments eut la vie si éphémère (1796-1806), quelles étaient les méthodes et les mobiles de ceux qui appliquèrent la passionnante Instruction sur la manière dinventorier et de conserver, dans toute létendue de la République, tous les objets qui peuvent servir aux arts, aux sciences et à lenseignement (1794, Félix Vicq dAzur et Dom Poirier) et pourquoi il fallut attendre le second Empire que les vux de la Convention se réalisent enfin. 
	Au moment des commémorations de la Révolution française, en plein travail de rédaction de ma thèse, jai contribué à plusieurs colloques pour présenter ces résultats symptomatiques dune nouvelle conscience patrimoniale et riches davenir. Lorsque le Conservatoire marqua son bicentenaire en 1795 avec un ouvrage collectif, jai offert une contribution sur ce cabinet, en mettant laccent sur « la faillite du projet et louverture du débat ». Je garde lintime conviction que les musiciens du Conservatoire nont pas compris le projet éducatif et patrimonial et somme toute assez visionnaire des conventionnels. Au cours du travail éditorial de mon article, jai dû atténuer mon point de vue, car il nétait pas tout à fait à lhonneur des éminents fondateurs et donc trop dissonant dans ce volume commémoratif. Avec le recul des ans, jy repense avec amusement et jy vois une susceptibilité institutionnelle bien symptomatique, car lhistoire cest le présent. 
	Au delà de létude institutionnelle, des chapitres biographiques sur chacun des responsables de ce musée (Berlioz étant le plus éminent et le moins professionnel), de létude « génétique » des collections et des activités (restauration, muséographie, publications, interprétation musicale notamment), je me suis livrée à létude dune multitude de collections privées. Elles se sont développées dans la seconde moitié du XIXe siècle, et ce sont elles qui sédimentèrent, de génération en génération, lhumus de cette institution. Eugène de Bricqueville (voir supra) et Geneviève Thibault sont les rares auteurs qui ont posé les jalons dune histoire des collections françaises. Comme je lai évoqué récemment, dans léditorial du dernier volume de Musique-Images-Instruments qui porte sur « Les collections instrumentales », lintérêt pour lhistoire des collections a débuté à la fin du XIXe siècle dans les pays de langue allemande avec Julius von Schlosser. Il a pris un réel essor en Angleterre à Oxford où colloques, ouvrages, revue (Journal of the History of Collection) ont fleuri un siècle plus tard. Ce foyer de recherche ignore superbement, depuis vingt ans, les instruments de musique. Alfred Berner et Laurence Libin ont dans un autre contexte (celui des grandes encyclopédies musicales), constitué la maigre bibliographie du sujet et une liste des inventaires de collections publiées régulièrement par The Galpin Society Journal. 
	
	Plusieurs chapitres de ma thèse nont pas été intégrés dans sa publication de 1996 : létude des cabinets français sous lAncien Régime et dautre part létude typologique des collections au XIXe siècle, hors celles qui sont représentées au musée. Les mobiles ayant suscité leur création sont très variés (cabinets détude, cabinets de curiosité, instrumentarium dusage, collections pédagogiques). Elles ont fait lobjet darticles séparés, publiés en Allemagne, en Suisse et plus récemment dans la revue de notre équipe de recherche. 
En s'appuyant principalement sur les travaux d'Edmond Bonnaffé , de Madeleine Jurgens  et d'Antoine Schnapper , on peut définir, pour la période dAncien Régime, quatre familles de collections. La première, sans doute la moins étudiée jusque dans les années 1970, est constituée par les fonds d'ateliers de facteurs d'instruments. Ensuite, celles des musiciens professionnels et des amateurs. Elles nous font passer souvent insensiblement du rassemblement d'objets utilitaires aux exemplaires plus exceptionnels et recherchés, destinés à la délectation. Mais ce sont bien sûr les collections des érudits et amateurs de curiosités qui nous mettent sur la voie des ensembles didactiques ouverts au public.
Autant les collections conservent une grande personnalité lorsquelles sont réunies par laristocratie dAncien Régime (le cas de Bonnier de la Mosson, avec son cabinet de physique et son opéra mécanique actionnant un orgue de chambre reste fascinant), autant le XIXe siècle voit sétablir, à partir de 1850, une sorte de composition type pour celles qui sont consacrées non aux instruments du quatuor (destinés à lusage), mais aux instruments anciens. Jai mis en évidence les « ingrédients » nécessaires pour former une véritable collection « de curiosités », le terme ayant bien sûr changé de sens depuis les cabinets de la Renaissance et du XVIIe siècle. Beaucoup dinstruments au caractère anecdotique (pochettes, trompettes marines, lyres-guitares, cannes instruments), parfois construits spécialement par des luthiers peu scrupuleux et conscients de ce nouveau marché, complètent les fonds propres aux musiques densemble susceptibles, à partir surtout des années 1880, dêtre joués, sans grande rigueur, avec leur répertoire. Ces ensembles permettent en tout cas de confirmer la composition presque stéréotypée dont les collectionneurs semblent avoir toujours cherché à se rapprocher à cette époque où l'histoire de la facture instrumentale devient à l'ordre du jour. On constate, dans les dix collections majeures que jai comparées, que la famille des violons n'est pas au centre des préoccupations, et que lorsque les collectionneurs ne pratiquent pas eux-mêmes, il leur arrive de ne s'intéresser qu'aux exemplaires expérimentaux, type Chanot et Savart, ou ceux qui sont particulièrement décoratifs. Par contre la faveur des pochettes est générale. Plusieurs violes, quelques-unes d'amour, sont indispensables. Un exemplaire de trompette marine au moins ne fait défaut que dans trois d'entre elles. Les guitares sont presque aussi prisées que les pochettes, avec obligatoirement quelques lyres ou hybrides en sus des modèles classiques. Les luths, et plus encore les mandores et mandolines, constituent toujours des séries nombreuses, tandis que les cistres illustrent en général à peine plus que les trois ou quatre types principaux (français, anglais, à double cheviller, à clavier). Deux ou trois tympanons, autant de harpes, mais plusieurs vielles à roue complètent les cordes. Du côté des vents, ce sont, dans l'ordre décroissant, les flûtes à bec, puis les flageolets, les flûtes traversières, les hautbois et les clarinettes qui viennent en tête. Les bassons sont généralement rares. On leur préfère les serpents et les buccins à la morphologie bien plus pittoresque. Les cornets et cromornes n'apparaissent quasiment jamais (ils sont bien trop rares), tandis que les saxophones et les cuivres nouveaux du XIXe siècle sont absents de la majorité des collections, Adolphe Sax étant naturellement une exception car sa collection est le reflet de ses recherches expérimentales. Un petit nombre de cornemuses est généralement mis en regard de deux ou trois musettes de cour. Les tambours et instruments cannes, si peu nombreux soient-ils, sont un détour obligé. Constatons ensuite que si plusieurs dizaines d'instruments ethniques figurent systématiquement à partir des années 1870, les instruments à clavier sont peu nombreux. Dans une collection sur deux, pas de clavecin, et dans le meilleur des cas, sauf chez Léon Savoye, réputé dans ce domaine, au maximum deux épinettes. Les régales et clavicordes sont donc d'autant plus exceptionnels. Remarquons aussi que les instruments mécaniques appartiennent à un autre domaine que celui des instruments de musique. Leur nombre ici est quasi symbolique. Un dernier aspect mis en relief par cette confrontation : les instruments de faïence et de verre intéressent plutôt les spécialistes de ces techniques. 
	Une sorte danthropologie du collectionneur spécialisé en instruments de musique peut être faite à partir des quelques témoignages individuels (en tête des catalogues notamment) que nous avons glanés. Beaucoup sont des musiciens amateurs, des organistes, des musicographes, parfois des facteurs, luthiers et marchands. Si jai déjà analysé limage quils ont souhaité laissé de leur passion en mintéressant à leur portrait, jespère poursuivre la caractérisation de leur mobile et de leur méthode. Ce sera lobjet de létude que je prépare pour le volume 9 de Musique-Images-Instrument et qui portera sur les collections des XIXe et XXe siècles. Jaimerais un tout cas pouvoir établir une sorte de dictionnaire des collectionneurs. Sans doute faudra-t-il organiser ce travail de manière collective et considérer sil y a pertinence à le concevoir demblée avec les collections musicales consacrées aux manuscrits et imprimés musicaux. 
	Ce champ de recherche est donc loin dêtre épuisé. Mais sur la période plus proche de nous, je me suis intéressée aux collections publiques et de ce fait à la politique patrimoniale de la musique pendant lOccupation. Elle est en effet caractérisée par le réveil du Musée Instrumental après une période de trente ans dabandon. Au cours du séminaire et du colloque organisés en 1999 par Myriam Chimènes sur La vie musicale en France pendant la Seconde Guerre mondiale avec ses collègues de lIHTP au Conservatoire de Paris, jai pu montrer comment les travaux de Paul Brunold (interprète et musicologue bien connu des clavecinistes pour ses éditions des maîtres français) et de Jacques Chailley (dont les fonctions de Secrétaire général du Conservatoire pendant cette période sombre ont été loccasion dune reprise en main du musée), eurent pour résultat un vaste récolement, la réouverture du musée au public en 1942, les premiers concerts sur les collections et leur enregistrement radiophonique, mais aussi de graves interventions de restauration quon ne cesse de regretter aujourdhui. La création dun département dethnomusicologie au tout nouveau Musée des Arts et Traditions populaires (établi par le Front populaire) est contemporaine. Cest le second volet de cette contribution à la vie musicale sous Vichy. On observe que dun côté Claudie Marcel-Dubois met au point de vastes collectes avec des méthodes scientifiques originales, et que de lautre Georges Henri Rivière, directeur du musée et promoteur dun projet ambitieux au plan scientifique mais aussi culturel, encourage, selon les orientations dAlfred Cortot et de Joseph Canteloube, la pratique et la conservation des chants populaires. 
	Jai mis en lumière, à partir des archives de linstitution et du dossier dépuration de G.H. Rivière conservé aux Archives nationales, les enjeux culturels, scientifiques et politiques de ce département musical lors du colloque qui sest tenu MNATP en 2003 et qui portait sur le passé de cette institution sous un titre dépassant les controverses : Du folklore à lethnologie. Institution, musées, idées en France et en Europe de 1936 à 1945. Jai présenté les positions de principe, les méthodes dobservation et les collectes musicales et documentaires qui constituent aujourdhui encore les fondements de ce département musical initié par Claudie Marcel-Dubois. 
	Dans le contexte étroit et largement passéiste de lavant-guerre, cette personnalité à la formation multiple sut trouver inspiration auprès de lavant-garde européenne de la recherche dans le domaine de lethnomusicologie et de la muséologie. Elle contribua à lémergence du domaine français aux contours disciplinaires fortement dessinés par ses modèles chevronnés de Berlin et Bucarest. Saisissant loriginalité que constituait alors létude organologique tant au plan scientifique que muséologique, elle appliqua à ce domaine une méthodologie universaliste. Profitant des avancées technologiques de sa génération (machines à reproduire et analyser le son), elle initia des collections phonographiques avec laide dun réseau serré de correspondants régionaux, et des collections instrumentales qui deviendront, une génération plus tard, lossature dune exposition didactique à trois dimensions exprimant les fonctions de la musique et une typologie des traditions instrumentales françaises. 
Doit-on pour autant voir dans la gestation de ce département la mise en place dune ethnomusicologie de la France ? Claudie Marcel-Dubois semble avoir été avant tout préoccupée par lengrangement de sources et dobjets témoins et par leur analyse documentaire. Ce nest quà partir de larrivée à Paris de Constantin Brailiou (1948), quelle proposera les contours dune théorisation disciplinaire. Remarquons en revanche que le souci dautonomie dun département au sein de linstitution, sa visibilité auprès des instances professionnelles internationales, ainsi que la mise à distance des praticiens des musiques populaires sont déjà en germe dans ses réalisations des années dOccupation.
Linfluence de Curt Sachs, quelle eut la chance de côtoyer au Musée du Trocadéro est indéniable au plan de la méthode scientifique. Elle le rappelait elle-même dans ses cours dethnomusicologie :
 Vers 1933 les pionniers de lécole de musicologie comparée durent quitter lAllemagne hitlérienne. Hornbostel partit aux Etats-Unis, Sachs résida quatre ans en France avant de devenir citoyen américain. Cet ensemble de circonstances stimula les activités ethnomusicologiques tant américaines que françaises [...]. Sachs [...] eut une influence certaine sur nos travaux et entre autres sur un point assez inattendu pour un comparatiste à savoir le développement des recherches de ce quil appelait la préhistoire musicale dEurope et de France ».
Cest en tout cas à un autre aspect de son influence que je me suis consacrée récemment : alors que ses positions concernant la restauration apparaissent remises en cause aujourdhui (cf. supra), son apport à la théorie de la muséologie musicale reste unique en France et dans le monde. Ayant proposé le reprint de son article déjà cité sur La signification, la tâche et la technique muséographique des collections dinstruments de musique à la revue Cahiers de musiques traditionnelles qui la placé en tête de son volume consacré aux « Musiques à voir », je lai introduit en mettant en évidence que sa réflexion prend demblée en compte louïe et la vue, 
« focalise le débat sur « lidée dominante de linstallation » et non sur la collection, constituant ainsi un véritable manifeste dont on ne voit pas quil ait été remplacé : tandis que les réalisations ont été multiples ces dernières décennies, combien de leurs auteurs ont en effet proposé une théorie de leur action muséographique ? Sachs écrivit ce texte alors que le Musée de lHomme était en gestation. Beaucoup de ses propositions vont bien au delà de la seule conception « esthétique » de la musique occidentale évoquée dans les salles du musée de Berlin. Elles reflètent les préoccupations dun ethnomusicologue « universaliste » portant un regard prospectif à un moment crucial de lévolution de la muséographie. Cette prise de position eut-elle une influence sur les salles musicales ouvertes peu après par André Schaeffner au Musée de lHomme ? Alors que cette page dhistoire est en train de se tourner [louverture du musée du Quai Branly est imminente] et que de nouvelles réalisations muséographiques sont programmées, les perspectives ouvertes par ce texte nous invitent à conceptualiser nos propres convictions et introduisent fort à propos les éléments du débat ici publiés ». 
Jai repris la modernité de son discours qui dépasse la collection pour sintéresser au langage muséographique dans une communication présentée récemment à New York dans le cadre du colloque du RILM ayant pour thème lhistoire intellectuelle de la musique, ses fondateurs et ses suiveurs. En effet, lhistoire des collections cest lhistoire du goût, lhistoire des institutions qui en héritent, mais aussi lhistoire de la muséologie, prise comme une technique au service denjeux culturels et de leur réception par le public. Lhistoire de la muséologie musicale reste à écrire, mais ses prolégomènes me semblent entre les mêmes mains que celles qui fondèrent lorganologie et lethnomusicologie.
	On pourrait reprocher à ces travaux sur les collections dêtre largement focalisés sur Paris. En vérité, dès les années 1980, jai entrepris dexaminer nombre de collections françaises conservées dans des musées régionaux. Jai publié à leur propos des articles dans des catalogues dexposition et des revues à caractère généraliste. Ils figurent dans la bibliographie que jai fournie pour lentrée « France » (3 colonnes) de larticle « Instrumentensammlungen » préparé par mes collègues Manfred Schmid, Sabine Klaus et Barbara Lambert pour la nouvelle édition de MGG.
II. Iconographie musicale  Perspective historiographique
Larticle que Tilman Seebass a écrit en 1995 dans le premier volume de Musique-Images-Instruments, intitulé « Une brève histoire de liconographie musicale : contribution des chercheurs français », pose les jalons de ce questionnement. Jouant, comme il le dit lui-même « létranger fasciné qui pique [notre] curiosité », il fit ressortir les grandes phases de recherches qui se sont développées en France.
Demblée, il souligne la question du terminus post quem. A partir de quand peut-on considérer que des travaux diconographie musicale sont élaborés ? Il propose non sans grande pertinence dattribuer à Villoteau, lun des savants de la Campagne dEgypte de Napoléon, la primeur, laissant à la sagacité des chercheurs français de confirmer ou non cette hypothèse. Il apparaît de fait que cette « Dissertation sur les divers espèces dinstruments de musique que lon remarque parmi les sculptures qui décorent les antiques monuments de lEgypte » constitue la première utilisation raisonnée et systématique de représentations figurées dinstruments sur les monuments.
Lantiquité musicale revisitée aux XVIIe et XVIIIe siècles
Pourtant jai plusieurs propositions à faire pour remonter sur léchelle du temps. Je pense que Marin Mersenne, imitant en cela Michael Praetorius, en plus des planches dinstruments contemporains systématiquement intégrées à son propos dans LHarmonie universelle, a fait figurer dans son Livre Troisième, Proposition XXIV, ce qui mapparaît comme la première démarche possible en France se rapportant à létude des images musicales. Afin dExpliquer les figures antiques de la Harpe, & des autres instrumens des Grecs & des Romains, voici comment on peut surprendre Mersenne entrain de faire de liconographie, comme plus tard chez Molière, Monsieur Jourdain fera de la prose :
	Puisque plusieurs desirent sçavoir les coustumes de lantiquité, je ne veux pas obmettre les instrumens dont les Grecs, les Romains, & les Egyptiens se sont servis, si les marbres antiques dItalie, & les medailles ne nous trompent, dont les figures qui suivent ont été prises, & mont esté envoyées par Messieurs Gaffarel et Naudé, tous deux dexcellens Personnages. 
Mersenne cite ensuite les auteurs anciens (Homère, Philostrate, Plutarque), puis décrit, au moyen dune planche pédagogique, un aulos, une lyre, un sistre et une cithare. Il poursuit : 
	Monsieur Naudé ma envoyé une figure dun sacrifice ancien, dans laquelle lun de ceux qui y sont representez, tient cette figure par le manche.
Il décrit en fait un type de cistre non arqué, composée dune tige traversée de morceaux de métal mobiles qui « mènent bruit » lorsquon le frappe. Là encore nous découvrons Mersenne en train de faire de la documentation iconographique. Il resterait à vérifier dans sa correspondance si Naudé a précisé sur quel monument il a pris ce motif avant de le faire dessiner pour Mersenne. Nous avons montré comment le savant minime, grâce à son réseau de correspondants, avait des ethnographes de terrain dessinant sur place musiciens et instruments, tel Fabri de Pereisc à Carpentras, qui lui envoya le dessin dun joueur de petites timbales provençales, et un croquis de linstrument.
Un siècle et demi plus tard, dans lArt du Faiseur dinstruments de musique et lutherie, on peut distinguer une démarche assez similaire : la planche XV, qui représente les Instrumens de Musique des anciens propose la figure dun cor « qui paroît, par les bas-reliefs antiques, navoir servi que dans les actes religieux & militaires ». La figure 3, qui représente une sorte de trompe naturelle, est accompagnée du commentaire suivant :
	Suivant la Chausse, dans son Museum romanum, tel étoit linstrument dont se servoient dans les funérailles, ceux que les Grecs appeloient tymbaulas, les latins siticines. Ce même auteur appelle cet instrument flûte, & veut quil soit de corne
 Ovide et dautres auteurs lappellent aussi tuba. 
La figure 14, qui représente une sorte dorgue à soufflet couplé à une cornemuse à deux tuyaux, a pour explication : Orgue ancien du Museum Romanum, et tel quil se voit combiné avec une cornemuse dans les médailles de Néron. Quant à la figure 18, elle représente un Lituus, tiré de Montfaucon daprès Fabretti. On voit combien une étude précise des sources iconographiques ayant servi à ces auteurs de traités permettrait de préciser les origines de cette discipline en France. 
Jaimerais ajouter à ces prémices le traité de Jean-Benjamin de Laborde. Son Essai sur la musique ancienne et moderne, publié en 1780, est en effet illustré de très nombreuses gravures mettant en scène des musiciens, dans un esprit qui renouvelle, à la française, ce que Johann Christoph Weigel, dans son Musicalisches Theatrum, avait imprimé à Nuremberg dans les toutes premières années du XVIIIe siècle.
J. A. Villoteau est en tout cas le premier à mettre en regard non seulement les représentations visuelles, les textes, mais aussi les pratiques et les instruments vivants, dans une démarche qui tient dune sorte danthropologie historique et de terrain. Il présente en effet tout dabord les instruments égyptiens « que lon remarque parmi les sculptures qui décorent les monuments de lEgypte », y associe « les noms que leur donnèrent, en leur langue propre, les premiers peuples de ce pays », puis il décrit létat « moderne » des instruments orientaux. 
La musique médiévale à travers limage
En probable réaction contre la suprématie de la culture gréco-romaine, le mouvement artistique « troubadour » met à lhonneur, à partir de 1800 dans les arts visuels, un Moyen-Age quelque peu réinterprété. Quelques années plus tard, dès 1836, de savants « antiquaires » commencent à sintéresser aux instruments de musique figurés aussi bien dans la sculpture, que dans la peinture et dans les manuscrits enluminés. Cest du côté des périodiques archéologiques quil faut rechercher les études les plus documentées. Bottée de Toulmon, bibliothécaire du Conservatoire de musique de Paris, Henri de Coussemaker, Paul Lacroix et Henri Lavoix sont les auteurs les plus prolixes. Leur approche est pragmatique. La musique est dabord identifiée à ses instruments. Et à défaut de témoignages matériels conservés, les monuments fournissent des témoignages sur leur morphologie et leur usage.
Henri de Coussemaker est un représentant tout aussi caractéristique de cette démarche : il traite des instruments par familles (cordes, vents, percussions). Son « introduction » napparaît quà la cinquième livraison de sa suite darticles. Encore est-elle plus que lapidaire sur ses intentions :
	Dans la première partie de cet Essai, nous nous sommes principalement attaché à la forme, le caractère, létendue et les dispositions des instruments de musique antérieurs au XIIe siècle. Avant de parler de ceux en usage aux siècles suivants, nous dirons quelques mots sur leur emploi dans les cérémonies publiques, tant chrétiennes que civiles.
Sil sappuie sur des textes pour préciser lemploi des instruments, il ajoute aussitôt quil se limite à lhistoire des instruments et non à celle des joueurs dinstruments. Une vision assez descriptive, presque naïve, mais qui a lavantage dexhumer de nombreuses sources. On se rapportera au jugement de T. Seebass sur ces études médiévales pour mesurer combien elles ont ignoré les travaux des historiens de lart qui, pour la même période, se consacraient à létude des thèmes et des symboles. Une exception toutefois : les travaux sur le symbolisme des chapiteaux de labbaye de Cluny : labbé Pougnet est le premier à traiter de ce sujet, suivi par cinq chercheurs étrangers, et, contrairement à ce que remarque T. Seebass, suivi par deux collègues français, dont, en 1985, Jacques Chailley.
Images de la musique française à lépoque baroque
A partir des années 1920, plusieurs musicologues sintéressent à liconographie musicale et plus particulièrement aux portraits de musiciens, parfois à loccasion de la préparation de monographies sur les instrumentistes, comme celle de Pirro sur les clavecinistes ou celle de La Laurencie sur les luthistes. Il reste assez difficile de déterminer si André Pirro a influencé certains de ses disciples, car les publications de Geneviève Thibault ne concernent pas à proprement parler liconographie musicale et celles dYvonne Rokseth sur le sujet sont plus que réduites . Mais cest sans conteste André Tessier (1886-1931) qui reste la figure la plus importante de lentre-deux-guerres pour les études diconographie musicale. Sa formation pluridisciplinaire fait penser à celle de Julius von Schlosser à Vienne, de Curt Sachs à Berlin, qui tous deux allièrent des études musicales et dhistoire de lart. Tessier étudie le droit, se forme à lEcole des Langues orientales, à lEcole du Louvre et à la Sorbonne où il est discipline de Romain Rolland. Spécialiste de la peinture et de la musique des XVIIe et XVIIIe siècle en France et en Italie, il présente une thèse à lEcole du Louvre le 13 juillet 1921 intitulée Essai sur les Berain, décorateurs de la Chambre et du Cabinet du Roi. Il faut remarquer que ses travaux diconographie vont être publiés dans des tribunes qui appartiennent tour à tour à lhistoire de lart (Lamateur destampes ; le Bulletin de la Société dhistoire de lart français ; la Revue de lart) et à la musicologie (la Revue de musicologie ; La Revue musicale). Elles concernent bien sûr Bérain, qui sera retravaillé en 1937 par Armand Weigert, éminent conservateur au Cabinet des estampes de la Bibliothèque nationale, et plus près de nous, par Jérôme de La Gorce, autre chercheur alliant une double formation dhistorien de lart et de musicologue. Mais Tessier a écrit aussi plusieurs articles importants sur des portraits de musiciens. Spécialiste de lopéra, il travaille également sur les dessins de costume de Bocquet et ne pouvait manquer dêtre fasciné, sensible quil était aux formes dart total, par La Rhétorique des Dieux de Denis Gaultier, illustrée par Eustache Lesueur, Robert Nanteuil et Abraham Bosse. Il confia, lorsquil en publia le fac-similé, létude des images à Jean Cordey, un historien de lart qui avait déjà publié sur ce sujet dans la Gazette des Beaux-Arts. Tessier était fonctionnaire au Ministère des Beaux-Arts, rue de Valois. Il entreprit là un travail documentaire largement oublié aujourdhui, qui fut publié cinq ans après sa mort par Paul Ratouis de Limay et qui préfigure les outils documentaires organisés par Geneviève de Chambure dans le cadre du CNRS trente ans plus tard. 
Linterdisciplinarité était semble-t-il naturelle à André Tessier, mais aussi à ses collègues de la Revue de musicologie : de son vivant, la rubrique bibliographie apportait un dépouillement systématique des articles paraissant dans les revues dhistoire de lart et intéressant la musique.
On ne saurait en tout cas mieux dire sur André Tessier quen citant les propos si éloquents dAndré Schaeffner en introduction à la bibliographie de ses travaux :
Il avait de la musicologie une idée à la fois très exigeante et combien libérale [
]. Autant le dépouillement darchives, lingéniosité déployée pour létablissement des faits et pour les dater, et plus encore, la publication rigoureuse des textes constituaient à ses yeux tâches et qualités essentielles du musicologue, autant ce que chacun disait de la musique, et la façon dont il le disait, lui paraissait mériter notre attention [
]. Nous avions en commun une admiration pour le double rôle que Romain Rolland avait joué, et comme historien de lopéra et de la musique ancienne, et comme initiateur aux problèmes que se pose la musicologie [
]. Musicologue, historien de lart, curieux de littérature, il avait été à même danalyser trois modes dexpression dissemblables et den percevoir les règles et les limites respectives [
]. Il sétait suffisamment attaché au problème de la représentation de lopéra, pour y voir non plus une juxtaposition quelconque, encore moins une mobilisation et une mise au pas de plusieurs arts, mais une porte largement ouverte à des possibilités inconnues de chacun deux ; cest ce que Tessier appelait voyager « au pays dopéra ». Mieux quaucun autre historien, et quaucun théoricien, il avait établi dans quelle mesure les différents arts avaient tiré profit de leur participation à lopéra et au ballet. Cétait tout reprendre au rebours de ce quavait conçu Wagner.
	 
Une étape : lédition française de lAlbum musical de Georg Kinsky (1930)
Ce volume de 1 560 reproductions de portraits, autographes, instruments, scènes, exemples musicaux, etc. se rapportant aux grands musiciens et à la musique de tous les pays et de tous les temps, a dabord été publié par Georg Kinsky (1881-1951) à Leipzig en 1929 chez Breitkopf & Haertel sous un titre plus explicite : Geschichte der Musik in Bildern [Histoire de la musique en images]. De fait, ce corpus de reproductions sintéresse aussi bien aux instruments conservés dans les musées et collections privées, aux manuscrits et imprimés musicaux, aux documents darchives, quaux portraits de musiciens et aux scènes musicales ou de contexte. Des légendes succinctes, une table alphabétique des matières, une table géographique et un index des noms cités les accompagnent. Kinsky reste avant tout connu comme organologue et bibliothécaire, grand connaisseur de lhistoire des collections musicales. Il a publié le catalogue de limpressionnante collection Heyer à Cologne (2 600 instruments), dont il a été le conservateur de longues années. Elle fut vendue à la ville de Leipzig en 1926 et forme lun des fonds constitutifs du Musée Instrumental de luniversité de cette ville. Les deux volumes quil publie en 1910 et 1912 tiennent une place essentielle dans lhistoire des catalogues de collections instrumentales en raison de leur qualité méthodologique, de lérudition constante perceptible dans les notices, de la recherche bibliographique effectuée pour chacune delles, des reproductions nombreuses de marques et signatures de facteurs, du choix judicieux de liconographie accompagnant chaque famille instrumentale. Kinsky a laissé également des travaux bien connus sur Gluck, sur Beethoven, mais na pas écrit sur des sujets diconographie. Son histoire de la musique en images met à contribution ses qualités dantiquaire érudit (autodidacte, ce fut sa formation initiale), mais aussi de bibliothécaire et conservateur habitué à manipuler de riches collections et à diffuser des sources importantes. 
Voici les mots dintroduction à lédition française de son recueil, écrits spécialement par lun des trois principaux collaborateurs de Kinsky, Marc Pincherle :
Toute la vie musicale depuis les temps les plus reculés jusquà nos jours, évoquée par limage ! On ne saurait feuilleter cet album sans émotion. On y sent palpiter lâme de la divine Musique depuis les premiers balbutiements de lHumanité. Quel degré avancé de civilisation attestent en effet les plus anciens documents que nous possédons sur lart musical ! [
]
Il a fallu faire un choix parmi les milliers de documents rassemblés, mais on na vraiment éliminé que ceux dun intérêt médiocre ou qui paraissaient faire double emploi [
]. Ce gros ouvrage de plus de 350 pages constitue un incomparable instrument de travail et de documentation pour les musiciens, les amateurs, les musicologues, les critiques, en même temps quun album plein dintérêt et dagrément pour les profanes. Il forme le complément indispensable de la vaste Encyclopédie de la Musique et du Conservatoire dont la publication, commencée sous la direction dAlbert Lavignac, sachève sous celle de M. Lionel de la Laurencie. La plupart des musiciens dont il est question dans cet immense répertoire de faits et didées sont représentés dans le présent album, qui comble une grave lacune.
Il va porter en effet la vie dans le domaine de lérudition, en associant au récit trop abstrait, des images précises. On peut affirmer que cette publication est un événement de la plus haute importance pour lhistoire musicale. 
La version allemande parue à Leipzig fut recensée dans la Revue de musicologie par Maurice Cauchie, et quelques mois plus tard la traduction française par Julien Tiersot. Ce dernier insiste sur lintérêt des documents remontant à lAntiquité, tandis que Cauchie voit dans ce recueil le complément indispensable aux histoires de la musique non illustrées, souhaitant quil exerce une « heureuse influence » sur le grand public. Bien quaucun travail analytique ou de synthèse naccompagne ce corpus, il reste dans la bibliothèque des musicologues un usuel aussi important  sil est possible de faire la comparaison avec un autre domaine de la musique - que lhistoire du Conservatoire de Constant Pierre et son réservoir de documents. Lorsquon entreprend un travail sur nimporte quel sujet diconographie, aujourdhui encore, Kinsky est un passage obligé. 
A partir de 1934 (La musique française du Moyen Age à la Révolution), une spécificité française se fait jour : les expositions temporaires thématiques ou monographiques sont en effet loccasion de présenter de nombreux documents, même si les représentations de la musique et les portraits ne sont pas explicitement analysés par les auteurs des catalogues qui les accompagnent. En 70 ans, plus de 65 manifestations ont été organisées en France, avec une écrasante majorité à Paris. Ce mode de transmission a été utilisé lors dexpositions monographiques sur des compositeurs de premier plan : Mozart (1956), Rameau (1964), Berlioz (1969), Ravel (1975), Stravinsky (1980), Chopin (1983), Wagner (1984), Liszt (1986), Mozart (1991), Lully (1987, 1991), Rossini (1992), Gounod (1993) etc. François Lesure, Jean-Michel Nectoux, Jean-Marie Bruson, Jérôme de La Gorce y ont joué un rôle particulier. Lopéra a bien sûr été traité à plusieurs reprises (1972, 1982), le ballet de cour aussi, de même que les divertissements (1990). Les musées en région nont pas été en reste. On citera Dijon (1957, 1965), Bordeaux (1969) avec un mémorable ensemble titré Lart et la musique, entièrement consacré à liconographie musicale. Son envergure tenait à la fois au conservateur qui en fut la commissaire, Gilberte Martin-Méry, connue pour ses manifestations de grand retentissement, mais aussi à son concepteur, Albert Pomme de Mirimonde, une figure unique pour la discipline en France. Dans la longue préface quil écrivit pour lépais catalogue, il nous permet de mesurer son état de développement dix ans après la publication de ses premiers travaux sur le sujet :
Au premier abord, liconographie musicale apparaît comme un minuscule canton de lhistoire de lArt, une sorte de république dAndorre administrée par des coprinces bienveillants et distraits, les historiens de la peinture et ceux de la musique. Peu exploré, ce territoire était longtemps demeuré sous-développé, mais, selon la courtoise terminologie internationale, il est maintenant en voie de développement. Le chercheur y découvre des milliers de peintures, de dessins, de gravures, de sculptures, bref, pour reprendre un mot de Renan, il est vite en présence dune sorte de fagot branchu qui ne passe plus ni par la porte, ni par la fenêtre.
Quand le dépouillement progresse, peu à peu les grandes lignes de lhistoire se dégagent. Ce qui semblait être simplement une matière à références pour les organologues prend un tout autre aspect. Les uvres qui, depuis des millénaires, traitent de sujets musicaux illustrent quelques grandes étapes de la pensée humaine. Lhistoire de lart sagrandit aux proportions dune histoire de lesprit : Kunstgeschichte als Geistesgeschichte ».
Cette histoire des idées est ensuite présentée par Mirimonde, thème par thème, époque par époque, fonction des deux cents uvres rassemblées et qui évoquent quatre siècles darts plastiques. 
Albert Pomme de Mirimonde (1899-1985)
Haut magistrat, Mirimonde fit sa carrière à la Cour des comptes et la présida les dernières années. Collectionneur entre 1930 et 1951 (année du décès de sa mère), passionné dhistoire de lart, il légua ses tableaux à deux musées provinciaux, sa bibliothèque et sa documentation dhistoire de lart au Musée du Louvre et à la Bibliothèque de Besançon. Le département de la Musique de la Bibliothèque nationale de France est dépositaire de sa documentation diconographie musicale (quelque 8 000 photographies, inv. 85-00435).
Il commence à publier en 1948 principalement sur des uvres hollandaises. A partir de 1960, et pour une vingtaine dannées, il est lauteur prolixe dune uvre qui sintéresse à la peinture des écoles française, italienne et nordiques. Plus de la moitié concerne liconographie musicale et na pas encore été évaluée. On remarquera avec étonnement que louvrage qui fut publié en 1987 pour faire connaître son legs sattache à la « morale de [sa] collection », à son legs, mais pas du tout à son uvre. Il est dailleurs assez frappant de constater que les rares articles parus après sa disparition ne mentionnent pas sa place éminente dans ce domaine. Aucune tribune de musicologie ne lui a consacré darticle récapitulant cet aspect de sa production et aucune revue étrangère, le Burlington Magazine ne sintéressant, une fois de plus, quà sa collection. Tilman Seebass (1995) est le premier à montrer laspect multiforme de ses centres dintérêt : la variété des supports quil prend en compte (peinture, sculpture, tapisserie, estampes etc.), des périodes (de la Renaissance au XIXe siècle), des pays (les écoles du Nord sont prédominantes, la France et lItalie venant derrière), et surtout des thématiques. Cest bien cette préoccupation qui est au centre de ses publications et qui développe un courant quasi inexistant dans les études dhistoire de lart en France, centrées principalement sur la préparation de monographies dartistes (et donc sur des travaux dérudition touchant à la carrière et au style(s) des individus et des mouvements) et dhistoires générales de la peinture. 
Avec cinq ouvrages, quelque 80 articles et 6 préfaces à des expositions, liconographie musicale en tant que pratique érudite a fait son entrée grâce à Mirimonde dans les institutions patrimoniales, même si elle a continué dêtre ignorée très largement à luniversité où lon traite éventuellement des relations entre art et musique. En France, trois tribunes dhistoire de lart ont publié régulièrement ses travaux : la Gazette des Beaux-Arts, la Revue du Louvre et des musées de France et le Bulletin de la Société de lhistoire de lart français. La Revue de musicologie ne la accueilli que deux fois : la première (en 1965) pour un article dordre méthodologique qui constate le « sous-développement » de cette branche de lhistoire de lart. 
On apprend à sa lecture que le Louvre est entrain de réaliser un fichier iconographique, travail qui na pas commencé pour les musées de province. « Les Musées instrumentaux pourraient, eux aussi, rassembler une documentation, au moins sur les instruments et les exécutants. Madame de Chambure en a le projet pour le Musée du Conservatoire. Pour létude des grands thèmes iconographiques des expositions seraient utiles [
]. Peut-être les encyclopédies et les histoires de la musique pourraient-elles consacrer un chapitre à lévolution de liconographie musicale ». 
	Mirimonde a été entendu : en 1967, Madame de Chambure, avec laide du Cnrs, créait léquipe « Organologie et iconographie musicale » dont nous sommes encore les héritiers ; en 1965 Dijon présentait une exposition duvres dart consacrée entièrement aux thématiques musicales, suivi de peu par celle de Bordeaux en 1969 que nous avons déjà citée. Quant aux chapitres sur liconographie musicale dans les encyclopédies, il faudra attendre quelques années, le Dictionnaire de la musique en France aux XVIIe et XVIIIe siècles de Marcelle Benoit et celui de Joël-Marie Fauquet consacré au XIXe siècle, pour que ce vu soit exaucé. 
 Comme Mirimonde lindique dans la préface de son premier volume consacré Liconographie sous les rois Bourbons, il a classé sa documentation personnelle selon la classification du Cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale de France : allégories, sujets antiques, sujets religieux, natures mortes, portraits, scènes relatives à la vie sociale, thèmes exotiques, sujets parodiques ou satiriques. Cette taxinomie est aussi celle de son ouvrage. Il montre ensuite combien les deux écoles de pensées dominantes en France dans le domaine de lhistoire de lart, celle dun côté dEmile Mâle (privilégiant létude des thèmes, des croyances et des civilisations), de lautre celle dHenri Focillon (lévolution des formes), ont eu une influence sur le développement de liconographie musicale. Il constate que la seconde a eu beaucoup plus de brillants disciples en France, ce qui a été particulièrement « néfaste pour liconographie musicale en la faisant négliger ».
Ses principaux axes de recherche sont les suivants : la musique chez les peintres : il constitue des sortes de catalogue monographiques (sur Jérôme Bosch, Vermeer, Gonzales Coques, Jacob Jordaens, Joris et Jan van Son, Jan Massys, Rubens, Simon Vouet, Poussin, Watteau ; la musique dans les collections publiques : notamment au Louvre, dans les musées de province français ; les portraits de musiciens ; les scènes de genre ; les vanités ; les allégories (lamour, les arts libéraux) ; le symbolisme. Ce dernier centre dintérêt est manifeste dans son dernier livre Le langage secret de certains tableaux du Louvre (1984) qui reprend en fait certaines études antérieures, mais sous une forme plus accessible, sans références critiques. 
Contrairement à ce que suppute T. Seebass (« je ne serais pas surpris que vous confirmiez quil contribua à changer les attitudes de pensée parmi les autorités du Cnrs, celles des musées et des milieux académique »), je pense que son importance ne commence à apparaître que ces dernières années. Jaimerais pouvoir en débattre avec des historiens de lart. Lindexation de ses collections documentaires, grâce à un programme collectif de lInha, de la BnF et du Cnrs en est en tout cas le meilleur indice du côté des musicologues. 
	Travaux français, travaux étrangers : thèmes récurrents sur la France
Sil est bien difficile dévaluer linfluence des travaux de Mirimonde sur les travaux étrangers mais surtout français de la dernière génération (leur nombre a crû de manière tout à fait spectaculaire), il est indéniable que nous travaillons dans son héritage. Labsence totale de référence à son uvre dans le manuel publié récemment par Thomas F. Heck aux Etats-Unis est plus quinexplicable, ce qui a été largement souligné par la revue Music in Art. 
Jaimerais maintenant mattarder sur quelques « traditions » thématiques de recherche sur la France. Létude des tableaux du Louvre est la première. Elle commence en 1894 avec Eugène de Bricqueville, dont nous avons déjà indiqué lapport à lorganologie. Elle se poursuit avec un développement sans équivalent pour aucun musée du monde grâce à Albert Pomme de Mirimonde entre 1962 et 1984. Dailleurs, en 1994, au moment du départ à la retraite de Michel Laclotte, directeur du Louvre, 55 conservateurs lui offrent en hommage un recueil de courtes notices sur des uvres majeures du musée sous le titre de Musiques au Louvre. La musique sest révélé le « seul thème vraiment fédérateur » à lensemble des responsables de département. Lannée suivante commence le catalogue systématique des tableaux par deux équipes du CNRS (voir infra). Noublions pas aussi les collections de la Bibliothèque nationale de France, explorées de manière très poussée par Mirimonde, tous départements confondus, et plus récemment par Catherine Massip.
Certains artistes ont attiré particulièrement les chercheurs. Dix-huit études (dont six par des anglo-saxons) ont ainsi été consacrées à Watteau entre 1961 et 2005, celles de Mirimonde ayant marqué le début de cet intérêt ; six à Fantin-Latour entre 1932 et 1992 (dont quatre par des auteurs étrangers), étudié deux fois seulement par des musicologues ; cinq au portraits charges de musiciens du sculpteur Dantan, étudié depuis 1832 dans les colonnes du Ménestrel, puis autant par les musicologues que les historiens de lart.
Des compositeurs ont suscité une littérature en iconographie particulièrement abondante : Rameau a été travaillé une vingtaine de fois (mais il convient de prendre en compte les multiples expositions qui lui ont été consacrées). 
Des thèmes ont plus de faveur que dautres : la caricature (cinq études dont un livre entre 1973 et 1983, portant notamment sur deux périodiques, La vie parisienne, Le Charivari) ; les arts du spectacle, notamment lopéra, le ballet, la danse avec des monographies sur des artistes décorateurs comme Bérain, Servandoni, Duplessis (études nombreuses par Jérôme de La Gorce, Marie-France Christout) ; les musiques pastorales et leur contexte de transfert social (depuis les travaux de Bricqueville à la fin du XIXe siècle sur les vielles et les musettes, Emanuel Winternitz sest intéressé aux mêmes instruments dans une perspective symbolique, suivi par Richard D. Leppert qui lie cette mode à une recherche dune nouvelle Arcadia, le sujet étant au cur de multiples études françaises  récentes ; le décor des instruments de musique (après le livre généraliste de Rueger traduit en français en 1980, les études de Sheridan Germann sur les différentes écoles de clavecins, française comprise, restent fondamentales. Plusieurs études sur les buffets dorgues doivent être aussi mentionnées. Elles débutent en 1928 et se sont multipliées régulièrement dès lépoque des travaux de Norbert Dufourcq.
Les études portant sur la musique et la société ne sont pas nombreuses. François Lesure, parce quil fut formé par Pierre Francastel, en est lun des rares représentants en France. Pionnier dans ce domaine du point de vue de la musicologie, il le fut aussi dans le domaine de l'iconographie musicale. Présent, avec Geneviève Thibault de Chambure, à la session inaugurale du Répertoire international d'Iconographie musicale (RIdIM) à Saint Gall (Suisse) en août 1971, il ne pouvait que soutenir, auprès de son fondateur et ami Barry Brook (1918-1997) et de Harald Heckmann, les ambitions de cette association professionnelle destinée à développer au plan international des méthodes de collecte, d'analyse et de diffusion dans une discipline qui cherche encore souvent sa voie. Même si Albert Pomme de Mirimonde symbolise, presque à lui seul à la même époque, la recherche française dans le domaine des images musicales et de leur interprétation, François Lesure avait offert dès 1966 au public italien mais aussi anglophone un livre d'avant garde, étrangement boudé par l'édition française puisqu'il ne parut jamais dans sa langue originale : Musica e Società. Préfacé par Pierre Francastel, cet ouvrage s'attachait aux différents modes de représentation de la musique et à la condition sociale des musiciens selon un découpage d'une stimulante modernité : les connaisseurs, les consommateurs, les utilisateurs (le mécène et les artistes), les musiciens de Dieu. 
Lesure indique dans son introduction :
« Questo libro, che non vuole essere né un inventario né una chiave per svelare un metodo di indagine, raggruppa un certo numero di opere che sembrano significative ; fornische dei suggerimenti per leggere tali opere ; propone dei raffronti ». 
Plus tard, les sept volumes de sa collection « Iconographie musicale », publiés de 1972 à 1987 aux Editions Minkoff, certains volumes en deux langues, constituent une initiative sans équivalent à ce jour dans le domaine francophone. Ils conservent de son premier modèle d'histoire sociale par l'image un commentaire vif et serré, mais sans caractère dérudition. Cette collection est donc fort différente de lentreprise allemande intitulée Musikgeschichte in Bildern lancée à Leipzig par Heinrich Besseler et Max Schneider en 1965 et poursuivie jusquen 1989 sous la direction de Werner Bachmann avec 26 volumes. La dimension universelle de cette collection, le nombre impressionnant de sources inédites exhumées, la densité des introductions de chaque volume, létude critique très poussée de chaque oeuvre, accompagnée dune bibliographie copieuse et de documents en rapport, en font lentreprise la plus aboutie de la seconde moitié du XXe siècle.
Le Centre de documentation du CNRS et sa base Euterpe
Troisième initiative après la collection photographique du Ministère des Beaux-Arts et le fichier des thèmes iconographiques du Musée du Louvre, le CNRS soutient, à partir de 1967, létablissement dun centre de documentation iconographique. On doit cette institutionnalisation de la recherche à Geneviève Thibault de Chambure, musicologue spécialiste de la chanson française du XVe siècle, collectionneur de manuscrits et partitions rares, initiatrice de la Société de musique dAutrefois en 1926, conservatrice du Musée Instrumental du Conservatoire de 1961 à 1973. Elle demande en effet la création dune équipe de recherche auprès de ce musée, dévolue à lorganologie et à liconographie. A partir de sa collection personnelle de reproductions photographiques principalement centrée sur le XVe siècle européen, elle réalise lun des souhaits de Mirimonde. Elle impulse dailleurs, comme nous lavons vu, avec Barry Brook et Harald Heckmann, la fondation du RIdIM en 1971. Les normes de catalogage diffusées par ce troisième « R », seront appliquées à Paris jusquà la fin des années 1970. Depuis, cette entreprise sest développée, a été intégrée à lIRPMF, et sa documentation est maintenant accessible sous forme informatisée et numérisée (voir supra).
Autour des collections du Musée Instrumental, G. Thibault a donc fédéré des travaux diconographie dont les résultats au plan bibliographique ne sont que faiblement sensibles dans la bibliographie fournie ici en annexe. En revanche leurs différents axes de recherche ont été en quelque sorte « révélés » à la communauté internationale après sa disparition, lors du colloque organisé à sa mémoire en septembre 1985 au Collège de France par le Professeur Jacques Thuillier, son successeur au CNRS, avec le soutien de Barry Brook et de Tilman Seebass. Avec pour titre De limage à lobjet. La méthode critique en iconographie musicale, les actes parus en 1987 dans la revue Imago Musicae confirment que les travaux des chercheurs français poursuivent en grande majorité une tradition ancienne tournée vers linstrument et la pratique musicale. 
Issue des fichiers développés sous la direction de Madame de Chambure par Fréderic Thieck, Paul Guiomard et Brigitte Devaux, la base de données Euterpe, fut conçue sous le directorat de Sylvie Bouissou, alors que léquipe CNRS dorganologie et diconographie, que javais entre-temps dirigée, était intégrée à une structure plus large dévolue à la musicologie, lInstitut de recherche sur le patrimoine musical en France (IRPMF). Euterpe aborde aussi bien la représentation des instruments de musique et de la musique notée dans les uvres dart que la pratique du chant et de la danse, les arts du spectacle ou les portraits de musiciens, professionnels ou amateurs, célèbres ou anonymes. Elle traite aussi les symboles musicaux et les allégories. Ces différentes approches mettent en lumière limportance de la musique dans la société, la variété de ses pratiques, son imaginaire symbolique et lhistoire du goût qui lui est sous-jacente ; elles nous invitent à suivre lévolution dun instrument au cours des siècles, à découvrir le répertoire musical privilégié par tel milieu à telle époque. 
Constituée à partir de dépouillements darchives photographiques mais aussi de collections publiques et privées, françaises et étrangères, elle sappuie sur environ 10 000 photographies en noir et blanc et 4 000 diapositives de peintures, dessins, estampes, sculptures, objets dart, dans lesquels la musique est présente. Tous les genres sont concernés : scènes mythologiques et religieuses, scènes de genre, concerts, portraits de musiciens, chanteurs, danseurs, natures mortes et allégories de la musique. La volonté de rendre ce fonds plus accessible, de le valoriser a conduit à son informatisation en associant aux images une fiche structurée et une bibliographie de chaque uvre. 
Cette fiche sinspire de celle de la base de données Joconde des musées de France, et tient compte des neuf critères définis en commun avec les centres d'iconographie musicale européens (Innsbruck, La Haye, Munich, Crémone, Tours, Paris
) lors de trois réunions internationales . En outre, des champs descriptifs touchant à liconographie musicale (instruments, musique notée, chant) ont été ajoutés. La fiche comprend ainsi cinq champs présentant lauteur et dix-huit champs décrivant luvre. Certains sont liés à une liste hiérarchisée et dautres utilisent des codifications internationales permettant des échanges ultérieurs avec dautres bases. Cette méthodologie sinscrit en effet dans une réflexion menée non seulement avec les centres européens, mais plus largement avec le RIdIM (Répertoire international des sources musicales) et récemment avec lINHA (Institut national de lHistoire de lArt).
La recherche dans la base peut se faire de deux manières différentes : par une arborescence thématique (instruments de musique, musique écrite lisible, portraits de musiciens et de danseurs) qui sert à naviguer dans la base, ou bien en interrogeant les champs descriptifs de la fiche. On peut ainsi lancer une recherche par artiste, école artistique, lieu de conservation, siècle, thème iconographique, instrument de musique, musique notée lisible, portraits et, bien sûr, croiser plusieurs champs en même temps. Pour faciliter des rapprochements ou des confrontations, les images et leurs données textuelles peuvent être mises en relation les unes avec les autres, être rapprochées et affichées simultanément sur lécran. Il est également possible de créer aisément des « collections »  temporaires ou non  dimages pour faciliter une étude sur un point précis.
Cette base de données, entreprise en 2000, compte aujourdhui plus de 8 000 fiches et 12 000 images. Elle sadresse particulièrement aux chercheurs et aux étudiants, quils soient historiens de lart, musicologues ou organologues, aux iconographes et aux facteurs dinstruments. Elle est consultable à lIRPMF (BnF) et sera à terme accessible sur Internet. 
Les chantiers de catalogage à lINHA (Institut national dhistoire de lArt) et dautres centres de recherche
Trois chantiers concernant liconographie musicale ont été lancés par lINHA sous la direction de Jean-Michel Nectoux à partir de 2000, sous un intitulé général « Beaux-Arts, musique, théâtre ». Le premier concerne la collection documentaire dAlbert Pomme de Mirimonde, déjà évoquée plus haut à laquelle sont associés ses « papiers dérudit » (manuscrits, notes, épreuves de ses articles). Léguée au Louvre en 1985 par léminent érudit, elle comporte quelque 10 000 photographies provenant de tous les musées du monde. Elle est actuellement conservée au département de la Musique de la Bibliothèque nationale de France selon le classement original du chercheur, ce qui correspond, comme nous lavons dit,  aux thèmes et à lordonnancement de son ouvrage Liconographie musicale sous les Rois Bourbons. Préalablement à lindexation informatique, une bibliographie exhaustive des travaux de Mirimonde a été établie. Elle est actuellement disponible sur le site Internet de lINHA. Cet institut élargit encore les domaines interdisciplinaires entre musique et arts : il a entrepris également une indexation  accompagnée dune numérisation - des Livres de fêtes appartenant à la collection Jacques Doucet et dautre part une base de données sur les photographies nombreuses illustrant la revue Musica (1902-1914).
Dautres équipes universitaires et du CNRS poursuivent aussi des chantiers dindexation sur lesquels sappuient leurs recherches. Lunité de recherche « Patrimoines musicaux » de Paris IV-Sorbonne présente depuis 2002 le résultat des travaux de thèse de Frédéric Billiet sur « Liconograpie musicale dans les stalles médiévales ». Ce corpus (qui concerne la France prioritairement mais aussi des édifices en Europe) est indexé selon des critères géographiques, thématiques et organologiques. Concernant aussi le Moyen Age, lInstitut de recherche sur lhistoire des textes (IRHT), équipe du CNRS, a depuis 1979 joué un rôle éminent dans le domaine des manuscrits enluminés de cette époque. Sa base Enluminures comporte de très nombreux sujets musicaux accessibles en ligne. Les notices, établies avec laide des bibliothèques dépositaires, comprennent des informations sur le contenu (notamment thématique), lhistorique et la décoration de chaque manuscrit (4 000) et de chaque folio. 
Enfin au Centre détudes supérieures de la Renaissance (CESR) de Tours (Unité mixte du CNRS), le programme RICERCAR, dirigé par Philippe Vendrix, comporte une section dévolue à liconographie musicale conçue et animée par Nicoletta Guidobaldi : une indexation sous forme de base de données des tableaux à sujets musicaux du Musée du Louvre (publié sous une forme synthétique dans Musique-Images-Instruments en 2003) a été réalisée. Parallèlement, lindexation des images musicales dans les livres demblèmes de la Renaissance a été amorcée (elle débute avec louvrage dAlciat (1531), et se poursuit avec ceux de Valériane, La Perrière, Corrozet, Paradin). Par ailleurs, dans le cadre du programme européen Culture 2000, Tilman Seebass, porteur du projet Images of Music  A Cultural Heritage, a confié en 2002, à N. Guidobaldi la réalisation dune exposition virtuelle sur Les mythes musicaux de lAntiquité à nos jours qui a été en ligne jusquen juillet 2003 et qui a fait lobjet dune édition sous forme de CD.
On trouvera mention dautres réalisations, en dehors du cadre de la recherche et des institutions dans larticle que jai consacré à « Liconographie musicale : définition, constitution de corpus et outils d'exploitation ».
T. Seebass avait souligné en 1995 combien « la connaissance de lhistoire de nos disciplines de recherche constitue la meilleure et peut-être la seule voie véritablement solide pour une compréhension de nos méthodes ». Il insista sur le fait que les chercheurs du XIXe siècle pratiquèrent en France une iconographie qui tenait de la Realienforschung, centrée sur lorganologie et la recherche des pratiques musicales. Ils se comportèrent en historiens de la musique et ignorèrent les travaux thématiques et dinterprétation symboliques de leurs collègues historiens de lart.
Au XXe siècle, Mirimonde, par la fascinante prolifération de ses questionnements, est le premier à problématiser les études diconographie musicale. Je pense personnellement quil est toujours largement ignoré des musicologues (alors que ses livres ont été publiés sous les auspices musicologiques de Norbert Dufourcq et François Lesure  chez Picard et Minkoff) ; il a longtemps été considéré avec une certaine condescendance par les conservateurs du Louvre et des grands musées nationaux, ses interprétations semblant souvent un peu trop recherchées et peu utiles aux historiens de lart français réputés pour leurs travaux essentiellement monographiques. Aujourdhui, en revanche, ses publications sont systématiquement prises en compte dans les catalogues de musées, les catalogues dexposition et les études érudites françaises. Ce mouvement ne peut qualler en samplifiant lorsque sa documentation sera cataloguée, ce qui la rendra enfin accessible aux chercheurs. Elle risque de révéler des documents inconnus et de grandement stimuler de nouvelles analyses pluridisciplinaires.
Descendants que nous sommes, à lIRPMF, de limpulsion donnée par Geneviève Thibault de Chambure il y a quarante ans, nos travaux ont continué, depuis 1995, à donner une place importante à létude conjointe des instruments et des pratiques. Nous avons quitté voilà dix ans, la collection mère où notre première équipe avait été créée (celle du Conservatoire de Paris devenu Musée de la Musique). Nous avons travaillé ensuite au Musée des Arts et Traditions populaires (où nous avons été abrités entre 1994 et 1998). Enfin notre nouvelle implantation, au sein dune équipe de musicologie accueillie dans les murs de la Bibliothèque nationale de France, nous place dans des conditions idéales de travail : à proximité du Cabinet des Estampes, du département des Manuscrits, des fonds de portraits de musiciens et du fonds Mirimonde du département de la Musique, non loin aussi des fonds du département des Arts et Spectacles et de la bibliothèque-musée de lOpéra, comment ne pas saisir ces opportunités pour développer des études thématiques pluridisciplinaires ?
Jespère avoir apporté dans ce rapide panorama, quelques éléments pour permettre dappréhender les travaux français depuis deux siècles, et avoir esquissé une réflexion prospective pour nos travaux communs à venir. 
	Bibliographie des travaux français et sur la France
 
La bibliographie annexée à ce travail et que jai intitulée « Iconographie française », comporte une liste des travaux réalisés par les chercheurs français au cours des deux siècles passés mais aussi les publications de chercheurs étrangers ayant travaillé sur des sources françaises. Jai réalisé cet état provisoire du sujet à partir des bibliographies de Frederic Crane, de Franz Gratl, de Nicole Lallement, à partir de linterrogation du RILM, notamment pour la période postérieure à 1995, de Jstore et de dépouillements personnels variés. Au total, et provisoirement, quelque 850 références concernent directement ou indirectement liconographie musicale et les rapports entre musique et arts visuels en France. Remarquons tout de suite que le travail auquel je me suis livrée permet une approche beaucoup plus fine. En effet, si lon considère les références de Frederic Crane concernant la France, soit 140 entrées (dont 35 pour Mirimonde qui en fait publia 54 articles pour la période considérée), auxquelles on rajoute les références provenant dImago Musicae 14-15 (volume de bibliographie paru en 2000), soit 330 références (les différents index donnent 81 entrées concernant la topographie française, 220 entrées se rapportant à des artistes français, 40 entrées dorganologie française, et surtout 170 thèmes liés à la France, soit 510 entrées qui se recouvrent bien sûr en grande partie - 12 articles de Mirimonde oubliés -), on voit que plus dun tiers des travaux nétaient pas référencés dans ces bibliographies antérieures (365 références nouvelles sont présentées ici). Cest donc un encouragement à poursuivre encore ce travail préliminaire dont lAnnexe I.2. ne constitue quune étape provisoire.
Jaimerais maintenant mettre en évidence les grands thèmes que jai personnellement travaillés, les sources que jai le plus exploitées, les résultats obtenus pour ensuite tracer quelques axes que jaimerais à lavenir développer. Nétant pas médiéviste, je situerais plutôt mes travaux dans la descendance de ceux dEugène de Bricqueville (les tableaux du Louvre, les instruments pastoraux), dAndré Tessier (les portraits), de François Lesure (les aspects sociologiques des représentations), de Claudie Marcel-Dubois (pour les musiques populaires) et bien sûr dAlbert Pomme de Mirimonde, auquel jai eu la chance de soumettre mon travail de maîtrise en histoire de lart. Son uvre multiforme na pas laissé beaucoup de champs vierges pour ceux qui étudient le patrimoine français. Cest donc à un constant compagnonnage que se livrent et se mesurent ses successeurs.
II. 1. Iconographie musicale  Linstrument, ses caractéristiques, son décor, son évolution
(9 contributions à des catalogues dexposition, 13 contributions à des colloques publiés, 15 articles, 1 article de dictionnaire)
Mettant à profit ma formation initiale en histoire de lart, jai développé des études dIconographie musicale dans des domaines connexes de lorganologie, celle des pratiques et de leur contexte social et symbolique. Jai tout dabord été intéressée par la question des décors dinstruments à clavier au plan de lhistoire du goût et de la symbolique quils véhiculent. Pendant les années durant lesquelles Sheridan Germann sintéressait aux décors de table dharmonie des clavecins des différentes écoles régionales européennes (contribuant à identifier des mains anonymes qui permirent lattribution des instruments non signés à des ateliers spécifiques), je me consacrais aux décors des caisses et des couvercles des instruments construits ou ravalés en France. Quelques années plus tard, jai publié en deux livraisons les décors de couvercles qui ont été conservés soit sous forme desquisses dessinées, soit destampes (on ne peut savoir sils ont été véritablement réalisés) soit de panneaux peints sur des clavecins ou détachés de leur instrument par suite de fréquentes vicissitudes. On remarquera quà lexception des estampes qui portent les noms prestigieux de Claude Gillot et dAntoine Watteau, les esquisses dessinées et les panneaux peints devenus indépendants posent souvent des problèmes dattribution. Un projet donné longtemps à Charles Lebrun ne revient sans doute au mieux quà son atelier, un panneau attribué à P.A. Patel a été rejeté par Nathalie Coural dans sa récente monographie sur les Patel. Quant aux dessins de Claude Andran III (conservés au Nationalmuseum de Stockholm) et Christophe Huet (Berlin, Kunsbibliothek), ils ne sont pas signés. Les annonces de ventes de clavecins du XVIIIe siècle qui mentionnent des noms de peintres décorateurs ont été souvent trop ambitieuses dans leurs identifications. 
Au risque de paraître bien pragmatique aux iconographes, jai consacré de nombreuses publications à la représentation des instruments de musique, afin de montrer combien la source visuelle peut être parfois irremplaçable pour affiner la connaissance dun instrument, son évolution, son mode de jeu, voire ses accessoires. Dans cet esprit, je me suis penchée sur lévolution de larchet en France aux XVIIe et XVIIIe siècles pour découvrir ce que les archets conservés ne nous disent pas puisquils ne sont ni signés ni datés : les modèles à hausse à crémaillère sont équipés de contrepoids en ivoire ou en os qui ont été longtemps considérés comme des boutons de systèmes à vis. Il nen est rien, liconographie permet de détecter avec une assez bonne précision  cohérente avec ce que nous précisent les inventaires datelier de facteurs  lapparition des hausses à vis après 1740. Jean-Baptiste Oudry a laissé quelques évidences remarquables dun troisième modèle de hausse, celui à crémaillère, fort peu représenté dans les collections des musées dinstruments. 
Jai dautre part collaboré récemment avec le musée de la Musique à propos de deux sujets touchant liconographie des instruments à cordes pincées. Les cistres de la Renaissance italienne qui y sont conservés répondent en effet, pour certains dentre eux, de façon quasi photographique à des modèles représentés dans la peinture de la même école. Ils sont placés entre les mains de musiciens qui contribuent à des scènes hautement symboliques qui renforcent lutilisation musicale bipolaire de linstrument : modèles quasi populaires, partiellement chromatiques, qui apparaissent dans des scènes de cabaret de veine moralisante ou symbolisant les cinq sens ; modèles au frettage complexe, dénotant dun usage dans des cercles raffinés. Les allégories de lAmour ou de la Musique lutilisent alors comme un substitut de la lyre dApollon dont linstrument garde des traces dans sa morphologie (les bourrelets en volute qui terminent ses éclisses à la jonction du manche) mais en conserve une représentation extrêmement fidèle à la réalité. 
Parce que le musée de la Musique conserve une rare vihuela (parmi les trois cocnnues au monde), il a organisé en 2003 un colloque international sur ce sujet. Jy ai présenté un rapide bilan de la documentation iconographique sur linstrument. Jai pu montrer quen dehors dune iconographie espagnole essentiellement religieuse, les scènes se référant à un usage musical réel sont rarissimes. La portée symbolique de linstrument est comparable à celle du cistre et certaines représentations de la Renaissance italienne proviennent en fait de monuments antiques retravaillés, modernisés en fonction des pratiques contemporaines. 
Dans un domaine très différent, jai abordé liconographie du cor de chasse et du cor naturel français (French Horn) car les sources visuelles à son sujet sont souvent loeuvre de peintres de cour spécialisés dans la représentation de ce divertissement royal et aristocratique. On peut suivre avec profit lévolution morphologique de linstrument en la confrontant aux traités de vènerie. Lorsque le cor entre dans lorchestre de chambre au milieu du XVIIIe siècle, puis dans des formations plus conséquentes, il devient intéressant de mettre en perspective son répertoire imprimé (dont une grande partie nest connue aujourdhui que par les annonces des éditeurs) et ses apparitions dans les concerts publics.
A propos des pianos de lépoque romantique à lépoque de Chopin, je me suis enfin penchée sur la question de leur usage dans la pratique musicale. Je me suis limitée à lanalyse dun corpus provisoire de documents datés entre 1815 et 1848 et principalement centrés sur Paris. Il apporte une étonnante confirmation : le piano romantique est joué en France couvercle fermé, quelle que soit sa morphologie, quel que soit son exécutant (amateur ou professionnel), quel que soit le contexte dexécution. Seuls les concerts publics en grandes salles et en forme de récitals, à partir de 1842, ont laissé les traces visuelles dun changement.
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, une véritable imagerie du récital de piano sera diffusée par la presse illustrée. Elle témoigne dune esthétique sonore tout à fait nouvelle. Les grands instruments à queue, toujours plus sonores, sont joués au maximum de leur puissance, couvercle grand ouvert. Loin de limiter mes constatations au contexte sociologique de lexécution, il nest pas inutile de rappeler que la perception de la dynamique du piano et la sensation si subjective de puissance dépend du rapport entre la source dénergie développée et la distance de lauditeur. Il y a dautres éléments subtiles qui y contribuent. Une faible augmentation dénergie donnée à la touche et donc au marteau à un niveau dynamique faible produit la sensation dune augmentation de puissance bien plus importante quà un niveau dynamique élevé. Par ailleurs si les sons se chevauchent, ils semblent plus puissants que sils sont joués staccato. La perception de la puissance est donc la résultante de son niveau dynamique et de sa durée. Il ne faut pas négliger non plus les paramètres dun « environnement acoustique » favorable à linstrument, comme un parquet en bois, qui sert en quelque sorte de table [dharmonie] de résonance au piano. Lorientation du piano par rapport à son audience, et les effets de « réflecteur » que peut avoir le couvercle dun piano à queue sont dautres points importants. Aux multiples paramètres contribuant à caractériser la sonorité du piano (la nature et le point dimpact du marteau, la nature des cordes et leur mode de fixation, la présence éventuelle de lagrafe et du capodastre, les caractéristiques de la table dharmonie) qui ont été analysés dans la littérature organologique, il nous paraît donc utile aujourdhui dajouter celui du couvercle et de sa position. 
Ce rapide parcours suscitera peut-être quelques réflexions chez les interprètes daujourdhui soucieux dappréhender les instruments de lépoque romantique non seulement par leur caractéristiques physiques, leur réglage, leur nécessaire toucher idiomatique mais aussi par leur caractère souvent retenu et dune bien plus grande intimité. 
II. 2. Iconographie musicale  Les pratiques instrumentales, leur contexte social et symbolique.
Certains instruments pratiqués dans la haute société dAncien Régime, véhiculent un indéniable code de distinction. Le luth est sans doute le plus éloquent. Un colloque lui a été consacré en 1998 par le musée de la Musique que ses organisateurs auraient pu appeler Le luth et sa musique III, héritiers quils se sentaient des deux étapes mémorables qui lavait précédé : le premier, à Neuilly-sur-Seine, à linitiative de Jean Jacquot et Geneviève Thibault de Chambure, en 1957 ; le second, vingt-cinq ans après, sous la direction de Jean-Michel Vaccaro, placé à nouveau sous les auspices du CNRS. Entre temps la pratique du luth sest considérablement développée, encourageant des recherches multiples concernant les questions dédition, dinterprétation, dorganologie. Cinq communications (sur vingt cinq) étaient consacrées à liconographie du luth. Jai traité de la période la plus tardive : la France du XVIIe siècle. Je me suis interrogée sur ce que jai appelé un « genre à la française », la représentation dune petite assemblée entourant un luthiste. Symbole damitié, dharmonie, elle permet aussi dévoquer les tempéraments, voire les cinq sens. Reprenant dautre part une longue tradition italienne de portraits individuels de luthistes, les peintres français en ont laissé de fort sensibles : certains sont dévidence des amateurs aguerris (le peintre Nicolas Vleughels, par exemple, ami de Watteau), dautres de grands professionnels comme Charles Mouton, dont lélégante attitude de jeu est presque un manifeste sur « la bonne manière de toucher ». Un petit tableau (esquisse pour un tableau perdu ?) récemment entré au Louvre a pris place dans cette galerie française : une jeune femme vêtue comme au milieu du siècle, joue du luth, aux côtés dApollon et non loin dun duel dApollon et Marsyas et dune assemblée des muses. Luvre est donnée à Moillon par Sylvain Laveissière. Cette protectrice de la musique, représentée en muse et que nous avons située dans le milieu des précieuses et de La Rhétorique des Dieux, ne pouvait quêtre dun certain renom pour se présenter en une compagnie aussi symbolique. Dans sa monographie sur Moillon publiée en 2005, S. Laveissière pousse plus loin encore lhypothèse : il trouve que la « fille dAnne de Chambré, élève de Gaultier, dont Minerve présente le portrait à Apollon dans une des deux illustrations [de La Réthorique des Dieux] ressemble assez exactement à la femme portraiturée par Moillon ». Plus quune simple Allégorie de la musique, ce tableau serait alors le portrait dune luthiste renommée accueillie au Parnasse.
 Létude des représentations de musicien(ne)s au clavecin que jai entreprise avec Denis Herlin, spécialiste de son répertoire, permet plusieurs constatations : lépinette est seule présente jusquen 1670 environ, date des premières publications de recueil imprimés de musique. Durant la première moitié du XVIIIe siècle, la musique, la facture de clavecin et la gravure musicale connaissent un véritable essor. Les portraits et scènes musicales sont alors très nombreux. En dehors des (rares) portraits de compositeurs, on peut dire que ce sont « Mesdames les clavecinistes » qui ont monopolisé lattention des graveurs et des peintres. Certaines sont de grandes interprètes, beaucoup ont une éducation qui leur permet de jouer leur rôle social à linstrument. Leurs portraits au clavier répondent à des canons assez semblables. On constate que tous les milieux sont touchés, les artistes, les peintres, les financiers mécènes. A son rôle de soliste, le clavecin ajoute celui daccompagnateur dans des formes nouvelles venues dItalie. Les salons de Pierre Crozat, protecteur de Watteau et grand amateur de musique italienne, sont ainsi animés rue de Richelieu comme à Enghien, de clavecins connus par son inventaire et par les deux tableaux de Lancret qui mettent en scène linstrument dans des formations de sonates ou de cantates qui permettent lalternance entre conversation et musique. 
Plus récemment, je me suis intéressée aux images du clavecin au XIXe siècle. Lidée un peu trop simple quune longue phase doubli aurait été suivie, à partir de lexposition universelle de 1889, dune « renouveau », ne tient pas à lexamen des documents. Ils sont de nature très variée : anthologies de répertoire, instruments portant les traces dentretien et de restauration, mouvements dans les ventes, concerts chroniqués dans la presse. Les images que nous avons pu réunir, quoique peu nombreuses et de nature très variées (certaines dans des tableaux historicisants contemporains de la redécouverte du XVIIIe siècle en peinture), confirment une césure dà peine plus de deux générations (entre 1816 et le milieu du siècle) et un intérêt qui prit des formes variables. 
Héritière une fois encore dEugène de Bricqueville, jai travaillé sur les portraits de femmes joueuses de vielle à roue. Instrument daveugle au XVIIe siècle, il est celui des ménestriers de village chez Watteau qui montre des musiciens accompagnant la danse. Leurs instruments ont gardé des anciens modèles rustiques une forme trapézoïdale. Mais ils sont maintenant chromatiques. Terrasson, on se souvient, a fait la chronique de son ascension à la cour, a montré comment des luthiers urbains entretiennent et modifient des spécimens beaucoup plus anciens. En 1728, Alexis Grimou peint le premier portrait de femme à la vielle (instrument encore trapézoïdal). Mais progressivement, dès 1730, lengouement est immense : les méthodes et les partitions sont imprimées, les ateliers proposent des modèles en guitare et en luth, ce qui permet de réutiliser des caisses de ces instruments tombés en désuétude. Un pamphlet de lAbbé Carbasus (en fait du théorbiste de la Chambre, François Campion), paru en 1739, stigmatise cette mode des instruments pastoraux (la musette de cour autant que la vielle) à propos de laquelle il conclut : 
	Quand jentendrai executer des Sonates, des Concerto, & des Symphonies de Lully sur ces deux instrumens, je dirai avec ce grand Personnage de lAntiquité, que le Cordonnier ne doit pas passer le soulier. Je rirai cependant de les entendre sortir de lunique modulation où le sort les a bornés, sans que la plupart des Admirateurs sen aperçoivent. Japplaudirai volontiers la brillante exécution ; mais je plaindrai les Acteurs de prendre tant de peine sur deux instrumens triviaux & rustique ; qui ne peuvent avoir dautre mérite que de joüer quelques Vaudevilles.
Il est vrai quà considérer le nombre et la relative monotonie de ces portraits (linstrument commande une pose qui crée un stéréotype), on a du mal à comprendre comment linstrument conserva son attrait si longtemps (jusque vers 1765 au moins) dans les salons. 
	Symptomatique des mêmes transferts du populaire au savant, deux tambours des provinces de France (le tambourin de Provence et le tambourin de Béarn ou tambourin à cordes) connaissent une destinée musicale quelque peu différente. Dans létude que jai préparée, jai repris une expression de Claudie Marcel-Dubois, celle de « tambours-bourdons », car elle permet de regrouper des instruments membranophones et idiophones ayant en commun dêtre joués par un même musicien en association avec une flûte. Présents dans liconographie dès les débuts de la Renaissance dans plusieurs pays dEurope, ils connaissent un développement en France dès le XVIIe siècle. Sous la Régence, le tambourin de Provence commence une carrière à lOpéra et atteint son apogée avec Rameau. Il entraîne à sa suite le tambourin à cordes. Fréquemment utilisés dans les bals parisiens du XVIIIe siècle, ils retrouveront à la fin du siècle un usage plus populaire et provincial. Les quatre versions de La Carmargo dansant peintes par Lancret vers 1730 deviennent un archétype. L exemplaire qui figurait dans la collection de Frédéric II de Prusse à Postdam a directement inspiré un tableau de même composition, réalisé quinze ans plus tard par Antoine Pesne pour la cour et représentant Marianne Cochois dansant. Bal à lOpéra, bal en ville, les documents visuels abondent. Alors que les images de tambourin de Provence sont nombreuses, celle de tambourin de Béarn sont plus rares, toutes de Lancret et moins explicites quant à son usage dans la musique savante. Seuls les instruments conservés, en raison de leur décor, confirment quils furent aussi joués dans des milieux aristocratiques. 
II. 3. Iconographie musicale  Les artistes
Jai ensuite contribué à plusieurs manifestations internationales (expositions, colloques) portant sur des artistes de premier plan que sont Watteau et Véronèse, et je me suis intéressée aussi à luvre dartistes particulièrement propices à des études dintérêt musical comme celles de Carmontelle, Dantan jeune, Ingres.
	A loccasion de la mémorable exposition Watteau, qui fut présentée pour le tricentenaire de sa naissance, en 1984, jai replacé son uvre dans le contexte musical du temps. Jai montré quil nen brosse pas un résumé. Il en propose quelques situations, transposées, certes, accordées à sa sensibilité, mais toujours reflets beaucoup plus fidèles de lactualité quil ny pourrait paraître au premier regard. La musique est un alibi de léchange galant, que ce soit sous forme de duos ou de concerts plus importants. Les formes de la sonate et de la cantate, les scènes de comédie et de vaudeville, laccompagnement du chant, sont autant de situations qui correspondent aux situations imaginaires de la fête galante. Mais les attitudes, les gestes et les expressions (pas toujours gracieuses dans certaines esquisses dessinées) des musiciens sont dune incroyable justesse et mont permis de proposer un « Petit dictionnaire des instruments de musique » présents dans luvre de Watteau.
	Lors du colloque international sur lartiste qui sest tenu en marge de lexposition, je me suis penchée plus en détail sur les nombreuses esquisses de lartiste. Véritables instantanés, certains détails sont observés avec une acuité rare dans la peinture française : par exemple le pincement des lèvres dun hautboïste (unique sujet dune étude), larticulation des doigts sur les clefs de son hautbois (autre esquisse). La confrontation entre lart de Watteau représentant un joueur de flûte traversière (dont la flûte fait penser au travail dun facteur de Londres, Bressan) et le travail descriptif de Bernard Picart, graveur « pédagogue » pour la méthode de Jacques Hotteterre (Principes de la flûte à bec, de la flûte traversière, 1707) est on ne peut plus éloquente. Une fois pénétré de ces notations, de ces instantanés pourrait-on dire, tous plus justes les uns que les autres (et pourtant loin de ce quil est convenu dappeler le réalisme), liconographe en vient à mettre en doute lauthenticité de certaines uvres encore accréditées par une partie de la critique à lépoque de ce colloque. Jai pris par exemple le cas dune feuille détude comportant des éléments authentiques (lesquisse de deux mains) mais surchargée ultérieurement dun instruments et de son archet, aux proportions et contours fautifs, dont Watteau ne peut être lauteur. Pour deux tableaux au moins, jai pu faire les mêmes constatations. Liconographie musicale est dans ce cas une auxiliaire de lhistoire de lart. 
Le colloque organisé en 1985 par Jacques Thuillier en hommage à Madame de Chambure, avait pour sujet la dialectique « de limage à lobjet ». Il a de ce fait permis à nombre dorganologues de son équipe dy contribuer. Jai pour ma part choisi de rappeler combien Watteau a su enregistrer aussi bien la technique de jeu du hautbois, lapparition du basson à quatre clefs, les différentes techniques de jeu de la contrebasse, la dualité naissante entre viole et violoncelle, lévolution de la flûte traversière dans les premières années du siècle. Dans cette communication, je me suis concentrée sur les deux instruments pastoraux les plus caractéristiques du XVIIIe siècle : le vielle et la musette de cour. Jai alors rapproché des instruments conservés de certains tableaux de Watteau, puis, élargissant le sujet à ses émules et contemporains, jai opéré des sortes de diptyques. Pour lun deux, jai commis une erreur dappréciation : jai choisi comme pièce à conviction une musette de cour de lancienne collection du baron de Léry, la rapprochant des nombreuses représentations de Watteau mettant en scène des joueurs de musette de cour. Le modèle quils jouent présente souvent deux tuyaux enchâssés dans une double souche. Or ne je nai pas remarqué que la musette Léry, que je ne connaissais que par une photographie du catalogue de vente de cette collection, avait été remaniée. Ses chalumeaux dorigine avaient été remplacés par un « pied » de cabrette auvergnate, probablement dans la seconde moitié du XIXe siècle. Sur un plan organologique et typologique, cet instrument populaire de bal est un descendant direct de la musette de cour (il en a retenu linsufflation indirecte par un soufflet et non par un porte-vent, et la double souche à bulbe où senchâssent un chalumeau et un petit bourdon). Ce nest que dix ans plus tard, lorsque jai pris la mesure des collections du Musée national des Arts et Traditions populaires, que jai compris ma bévue. 
	Quelques années plus tard, jai été sollicitée pour participer à la « redécouverte » de luvre majeure de Véronèse conservée au Louvre depuis la campagne dItalie, Les Noces de Cana. Jai consacré un chapitre de louvrage, qui rendit compte de la magnifique campagne de restauration et détudes scientifiques entreprises à cette occasion, à la musique. Jai tenté tout dabord de retracer lintérêt de Véronèse pour la musique dans ses uvres antérieures. Jai resitué le concert instrumental placé au centre des Noces dans le contexte de la vie musicale vénitienne. Jai ensuite considéré les modèles dinstruments représentés, leur morphologie (parfois déroutante comme celle des violes, ou celle de la contrebasse de viole qui a fait lobjet dun « repentir » de lartiste qui en a considérablement modifié la profondeur), leur technique de jeu (celle des violes, contraire aux préceptes donnés dans la Regola rubertina de 1542), leur tessiture (la sacqueboute est un Alt-Posaun selon Praetorius). Jai ensuite essayé de comprendre quand était née la légende qui veut reconnaître dans cette uvre un portrait des plus fameux peintres de Venise et jai formé lhypothèse que Vasari, qui mentionne si souvent les qualités dinterprète de certains peintres, naurait sans doute pas manqué dy faire allusion. Quelques années plus tard, Tilman Seebass a accueilli dans sa revue Imago Musicae un article de Luigi Beschi. Cet auteur reprend plusieurs éléments évoqués dans mon propre travail, mais il rectifie à juste titre mes commentaires concernant le nombre de parties de ce concerto : selon lui (en suivant la ligne des regards sur les livres de musique et les positions variées observées sur les manches de violes), il sagit dun concert à quatre et non à six. Mais surtout il identifie le joueur âgé de contrebasse de viole avec Adrian Willaert, le joueur de violetta (ou Klein geige selon Praetorius) avec Claudio Merulo, le violiste en blanc du premier plan avec Cipriano da Rore et le deuxième violiste, de façon beaucoup plus incertaine car on ne connaît pas de portrait de lui, avec Annibale Padovano. Cest donc une avancée considérable pour la connaissance de ce chef duvre. 
	
II. 4. Iconographie musicale  Les portraits
Les portraits de facteurs, de collectionneurs et surtout de musiciens, sont la plupart du temps une recréation de la réalité et un symptôme de leur place dans la hiérarchie sociale et intellectuelle. Cest ce que jai montré à propos de limage des facteurs dinstruments de musique lors dun séminaire organisé au CESR de Tours en 1996 par Nicoletta Guidobaldi et Tilman Seebass. Jai mis en évidence que la représentation de ces artisans spécialisés apparait à plusieurs reprises, selon le matériau quils travaillent prioritairement, dans le premier livre de métiers largement diffusé de Hans Sachs illustré par Jost Amman (1568). Le traité de facture dorgue de Salomon de Caus (1615) constitue aussi un antécédent important qui annonce avec un siècle et demi davance, le travail de lEncyclopédie. La représentation allégorique dun atelier, celui de Jubal, facteur dinstruments, gravé par Joannes I Sadeler daprès Martin de Vos, replace le métier dans une histoire mythique de la musique : son origine nest pas seulement théorique mais pragmatique. Les portraits individualisés de facteurs sont enfin lexception. On en connaît fort peu et ils sont souvent tardifs ou imaginaires (Stradivari). Celui de Gaspard Duiffoprugcard, gravé par Woeriot en 1562, est exceptionnel par la condition sociale de lartisan quil suggère, par de nombreux indices confirmant la naissance dune conscience individuelle de luvre (la marque au fer du facteur de luth est visible à plusieurs endroits), par les précisions biographiques quil donne, par lart des proportions qui est suggéré avec la présence du compas. Ce portrait a certainement inspiré les rares effigies ultérieures de luthiers, même celles du XIXe siècle. 
Dans plusieurs cas, jai pu proposer des identifications pour des portraits restés jusque là anonymes. Le premier appartient à lancienne collection dAlbert Pomme de Mirimonde. Il est conservé, avec son pendant, au musée des  Beaux-Arts de Tours et représente une femme, avec les attributs de la composition, devant un piano, entourée de divers instruments. Hélène de Montgeroult, compositrice et virtuose célèbre du piano, serait représentée ici dans lintimité par le baron de Trémont, un de ses amis, lui qui fut élève de David et de Regnault, auteur dune « Notice inédite sur Mme de Montgeroult, professeur et pianiste au Conservatoire à sa création, amie de Mme de Staël », et organisateur de séances de musique de 1798 à 1849. 
	Je me suis ensuite intéressée à un modeste dessin dun artiste danois, Cornelius HØyer (1741-1804), qui séjourna à Paris en 1765 et 1766. Il représente une toute jeune fille jouant de la harpe, juchée sur une estrade, entourée de nombreux musiciens dorchestre. Lorsque ce dessin fut publié en 1993 dans un catalogue dexposition temporaire portant sur la harpe, ses rédacteurs ne précisaient rien sur le personnage représenté et sur les circonstances de ce concert. Or jai pensé pouvoir identifier cette scène, avec « Mlle Schencker, musicienne du Prince de Conti, âgée de 12 ans au plus », lorsquelle exécuta des pièces de harpe au Concert spirituel, aux Tuileries, le 16 mai 1765. Cette jeune virtuose attira alors les commentaires du Mercure de France. Schencker le père était tout à la fois harpiste et corniste dans lorchestre du Prince de Conti, mécène particulièrement ouvert aux innovations instrumentales venues de Bohème. Schencker sest produit régulièrement au Concert spirituel. On ne connaît pas dautres effigies de ces deux musiciens étrangers. Pas plus quon ne connaît de vue de lorchestre du Concert Spirituel au XVIIIe siècle. Cest ce qui fait tout lintérêt de cette proposition didentification. 
Un autre portrait français du XVIIIe siècle a retenu mon attention. Il représente un violiste amateur, posant un peu maladroitement avec son instrument. Bien que la version qui a circulé dans le commerce dart parisien, avant de se retrouver chez un antiquaire spécialiste dinstruments de musique à Londres, ne soit pas de grande qualité (une autre version a été proposée sous le nom de Marianne Loir), nous pensons pouvoir rapprocher cette uvre du Portrait de M. Rindvel que Louis Tocqué présenta au Salon de peinture de 1737. Il prend place en tout cas dans un ensemble varié de portraits de violistes français, représentant tantôt des musiciens de grand renom (Marin Marais, Jean-Baptiste Forqueray, Mlle Henriette de France), tantôt des personnages (amateurs ?) restés dans lanonymat.
Parmi les énigmes que je nai pas réussi à élucider, figure celle dun autre portrait dhomme à la viole. Il tient cette fois un compas et semble vouloir contrôler le manche de son instrument. Ce tableau paraît avoir été probablement exécuté dans le Nord de lItalie (aux alentours de Venise, Brescia ou Bergame), vers 1520-40. Nous pensons quil sagit plus dun théoricien musicien que dun facteur et nous avons rapproché dautres portraits de facteurs dorgue et de luthiers à lappui de cette hypothèse. Ce beau portrait appartenait en tout cas à la collection du musicologue Henry Prunières.
	Les « emblèmes » des portraits de virtuoses romantiques répondent à de toutes autres problématiques mais témoignent dun même soin au détail symbolique. Liszt et Chopin restent autant opposés dans leur expression musicale que dans limage quils ont laissée deux-mêmes. Le premier, qui a suscité tout autant caricatures (Dantan jeune) que portraits idéalisés (Ingres, Ary Schaeffer) apparaît souvent en situation de concert. Le second en revanche, ne se laisse surprendre que dans lintimité. Jai montré à leur propos combien la presse et la littérature musicales, lorsquelles chroniquent leurs apparitions respectives, en donnent des récits qui transcrivent, avec un autre langage, les mêmes impressions si contrastées. Plus récemment, jai repris, avec Cécile Reynaud, létude dun portrait de Liszt au piano, commandé à des fins publicitaires par le célèbre facteur de pianos Conrad Graf au peintre viennois Danhauser. Minutieusement composé, mettant en situation découte un cénacle dartistes parisiens, le tableau regorge de détails qui se veulent démonstratifs dune filiation esthétique (buste et partitions de Beethoven, musiques de Czerny et Liszt, statuette de Jeanne dArc de la princesse Caroline dOrléans). Commentée dès sa création par la Wiener Zeitung, cette vision de Liszt interprète et créateur inspiré propose une nouvelle définition de la virtuosité et a servi darchétype à dautres portraits de groupe autour du piano.
 
III. Musiques populaires 
	Dix ans de ma carrière se sont déroulés au Musée national des Arts et Traditions populaires/Centre dethnologie française, occasion dune orientation particulière vers les musiques populaires du domaine français. Cette institution a joué un rôle important entre le Front populaire et les années soixante pour létablissement de cette discipline qui mêle ethnologie et musique. 
Considérer le folklore musical de la France avant-guerre se résume en effet quasiment en des études sur la chanson populaire. Cette hégémonie trouve ses racines un siècle auparavant, les enquêtes du ministre Fortoul, en 1852, nayant envisagé les pratiques musicales des traditions régionales françaises que sous langle dun « Recueil des poésies populaires », autant dire des chansons populaires. Ensuite, avec des personnalités aussi diverses que Paul Sébillot, Julien Tiersot, Jean-Baptiste Weckerlin et Bourgault-Ducoudray, le mouvement lancé par le Ministre de lInstruction publique trouve un réel développement et sinstitutionnalise, notamment grâce à la Société des Traditions populaires. Diverses provinces de France verront leur tradition étudiée et diffusée au travers de recueils aux caractéristiques variables (des chansons harmonisées et illustrées pour un usage dans les salons, aux « objets bruts », textes avec ou sans la musique, avec ou sans variantes). 
Lutilisation du phonographe, à partir de lExposition Universelle de 1900, pour des collectes musicales, ne déplacera aucunement le centre dintérêt de ces recherches : le domaine français, exploré surtout à partir de 1911 par Ferdinand Brunot, reste celui des dialectes et des chansons. En 1934, lInstitut international de coopération intellectuelle lance le projet dun « Centre international de la Chanson et de la Musique populaire » qui devra sappuyer sur une enquête internationale recensant les collections enregistrées et les études publiées portant sur la musique populaire. Le rapport rédigé par Julien Tiersot concernant la France considère les institutions comme négligeables pour son propos, ne tient pas compte des premières collectes phonographiques, et propose une bibliographie qui porte exclusivement sur des recueils de chansons populaires traditionnelles « qui donnent les mélodies notées ». Tiersot fait peu de cas des évolutions en cours depuis ses premiers travaux personnels un demi siècle auparavant. Il ignore semble-t-il la nouvelle approche de la chanson que Patrice Coirault mène auprès de lInstitut général psychologique depuis plusieurs années. Dès 1927, ce dernier avait en effet commencé à exposer ses « Recherches sur lancienneté et lévolution de quelques chansons populaires de tradition orale » ouvrant des perspectives dune grande nouveauté « où la chansons est replacée dans son fonctionnement social, et analysée au regard dune psychologie de linculture ». 
Du côté des institutions patrimoniales, la Bibliothèque nationale avait reçu en 1908 une grande part de la bibliothèque de Jean-Baptiste Weckerlin (1821-1910), ancien bibliothécaire du Conservatoire de Paris, grand rassembleur de recueils de chansons imprimés, quils soient de colportage (certains datant du XVIIe siècle), ou publiés à lépoque de ses propres travaux. En ce qui concerne les musées, le patrimoine instrumental français était essentiellement conservé au Musée Instrumental du Conservatoire de Paris. Une cinquantaine dinstruments de musique « populaires » rassemblés par des collectionneurs (Louis Clapisson, Julien Fau) et des musiciens (Eugène Bricqueville, Laurent Grillet, Paul Cesbron) redécouvrant les musiques anciennes, concernait, au moment de la fondation du département dethnomusicologie du MNATP, essentiellement les cornemuses du Centre de la France, les vielles à roue de type normand et lorrain, les tambourins de Provence, les tambourins à cordes de Béarn et Gascogne. Très rares étaient les spécimens provenant directement de leur lieu original de pratique. Aucun ne disposait dune documentation sur son dernier contexte dusage. Au Musée dethnographie du Trocadéro, un dépouillement des registres dinventaire (1881-1936) réalisé pendant lOccupation par Claudie Marcel-Dubois montre une représentativité plus faible encore.
On voit donc combien la connaissance des traditions musicales populaires françaises est alors unilatéralement orientée, parcellaire, peu documentée scientifiquement et peu théorisée. Claudie Marcel Dubois, rapidement secondée de Maguy Pichonnet-Andral, va réaliser au fil des décennies des collectes musicales considérables, recueillant fonds sonores et instruments de musique dune civilisation traditionnelle en phase de disparition accélérée. Les pratiques populaires urbaines les ont en revanche fort peu intéressées. Cest précisément ce domaine que jai exploré dès mon arrivée dans cette institution, dans une perspective qui mêlait histoire, statut social des musiciens, circulation des répertoires.
III. 1 Musiques-populaires  Les musiciens de rue
(Coordination de 2 catalogues dexposition, 2 contributions à des colloques, 2 articles parus, 3 sous presse)
	Jai eu lopportunité de coordonner deux catalogues dexposition, portant mon intérêt sur les musiciens de rue et la chanson, proposant aussi quelques approches interdisciplinaires. La première exposition a mêlé le savant et le populaire, la rue ordinaire et les fastes du pouvoir, les chansons de rue, les musiques des corporations, celles des défilés officiels et militaires, celle des bals et des kiosques à musique. Pour la première fois des sources provenant des archives de la Préfecture de Police, des archives de la Garde nationale, des fonds de chansons populaires (feuilles volantes, recueils) des grandes bibliothèques, de nombreux musées, ont été confrontées à des pratiques bien vivantes, collectées jusque dans les sous-sols de la capitale. Une vingtaine dauteurs historiens, musicologues, ethnologues, ont apporté leur contribution à ce « Tableau de Paris ». 
	Depuis, jai poursuivi lenquête dans deux directions : lexploitation des sources témoignant du statut social des musiciens (il peut être de nature très différente) ; les « représentations » de ces musiciens. Leurs portraits sont dune grande variété, quils soient instrumentistes ou chanteurs. Parmi ces derniers, quelques vedettes du XVIIe et du XVIIIe siècle sont passées à la postérité. Jai ainsi travaillé sur trois chanteurs de rue : Philippot le Savoyard, actif vers 1650, dont on a conservé quatre effigies et deux livres de chansons ; Guillaume de Limoges, chantre du Pont neuf, dont un portrait gravé par le célèbre Claude Audran et un portrait musical par François Couperin nous sont conservés ; Frélon, laveugle de la place Louis XV, qui suscita une romance commandée par la Société académique des Enfants dApollon pour le soutenir financièrement. Elle circula dans lAlmanach des grâces mais aussi dans une version de salon avec accompagnement de harpe et figure comme feuille volante dans son portrait peint par Mongin, présenté au Salon de 1814. Dans tous ces portraits de célébrités très ordinaires, le travail pré iconographique a porté des fruits inattendus qui soulignent la vision « en abîme » de ces images au final beaucoup plus riches et complexes quil ny paraît au premier regard. Mon immersion pendant dix années dans ce patrimoine de loralité ma conduite à mintéresser aux cornemuses des régions de France et notamment aux chabrettes limousines qui véhiculent en plein XIXe siècle, de nombreuses traces de lépoque baroque : matériaux rares, ornementation recherchée et symbolique (tabernacle, ostensoirs, miroirs), motifs et détails morphologiques remontant au XVIIe siècle (fontanelle pour protéger les clefs). 
	Peu avant mon départ de linstitution, jai également exploré les impressions populaires et plus particulièrement les livres de chansons de colportage. Les fonds du MNATP viennent probablement en quatrième position dans le patrimoine français, derrière les fonds Coirault et Weckerlin de la Bibliothèque nationale de France et ceux de la si riche bibliothèque municipale de Troyes.
IV. Musique-Images-Instruments
(8 volumes collectifs publiés)
En créant, en 1995, avec lappui du Ministère de la Culture et du CNRS, ce périodique annuel, javais lambition de rapprocher en une même tribune des chercheurs français et étrangers travaillant sur des sujets dorganologie, mais aussi diconographie, tout en mettant aussi à profit une confrontation des différentes sources dans nos études. Quatre séminaires ont donné corps aux premiers volumes. Tout dabord périodisés, ils sont devenus depuis 2004 thématiques. Cette approche pluridisciplinaire « affichée » nest pas courante. Cest un héritage de Geneviève Thibault de Chambure, et peut-être, dans une moindre mesure, de Claudie Marcel-Dubois. Cette revue a en tout cas contribué à rassembler une sorte de communauté intellectuelle française et étrangère, qui se retrouve selon les thèmes, dun volume à lautre, et à accueillir aussi de nombreux étudiants qui font leurs premières armes dans ces colonnes à la suite dun travail universitaire.
Publiée tout dabord chez Klincksieck, elle est maintenant diffusée par CNRS Editions. En 1995, François Lesure porta le premier volume de Musique-Images-Instruments sur les fonts baptismaux, constatant que l'organologie manque encore d'une « réflexion générale qui en définisse les domaines propres et la terminologie » tandis que l'iconographie doit se garder « du dilettantisme et des interprétations trop hâtives ». 
	Voici les thèmes des volumes déjà parus :
	* Innovations et traditions dans la vie musicale française au XIXe siècle, Vol. 1. Paris, Klincksieck, 1995, 227 p. 
	* Aspects de la vie musicale au XVIIe siècle, Vol. 2. Paris, Klincksieck, 1997, 293 
* Nouveaux timbres, nouvelle sensibilité au XVIIIe siècle. 1ère partie, Vol. 3. Paris, Klincksieck, 1998, 248 p.
	* Nouveaux timbres, nouvelle sensibilité au XVIIIe siècle. 2ème partie, Vol. 4. Paris, Klincksieck, 2000, 228 p. 
* Musiciens, facteurs et théoriciens de la Renaissance, Vol. 5. Paris, CNRS Editions, 2003, 280 p. 
	* Ecoles et traditions régionales. 1ère partie, Vol. 6. CNRS Editions, 2004, 280 p. 
	* Ecoles et traditions régionales. 2ème partie, Vol. 7. CNRS Editions, 2005, 250 p.
	* Les collections dinstruments de musique, 1re partie. Vol. 8. CNRS Editions, 2006, 250 p.
Restreinte à lorganologie et à liconographie musicale en Occident moderne, elle aborde tout dabord dans chaque volume létude des instruments de musique (facture instrumentale, acoustique instrumentale, histoire des collections, restauration) : 
* facteurs dinstruments, leur statut, leurs innovations
	Maîtrises et jurandes à Paris (Jean Jeltsch, Denis Watel)
Faiseur, facteur, luthier : terminologie dun métier (Edouard Martin)
	Paris et Madrid (Cristina Bordas)
Les facteurs dans les expositions universelles (Malou Haine)
* collections anciennes dispersées 
	Kunstkammer de Dresde (Eszter Fontana)
	Collection Manfredo Settala à Milan (Frank Bär)
	Cabinets parisiens sous les rois Bourbons (Florence Gétreau)
	Cabinet de curiosité de Bertin (François Picard)
	Ospedale des Mendicanti à Venise (Caroline Giron)
	Collections des princes de Conti (Thomas Vernet)
* collections privées contemporaines
	Collection Yannick Le Guillou (Alain et Marie-Christine Anselm)
	Collection Kenneth Gilbert (Philippe Frétigné)
* monographies sur des facteurs de clavecins
	Joos Karest dAnvers (John Koster et Jeannine Lambrechts)
	Christoph Löwe dAugsbourg (Elisabeth Grall, Michel Robin)
	Vincent Tibaut de Toulouse (Florence Gétreau, Alain Anselm)
	Gilbert Desruisseaux (Vincent Puissiau, Alain et M.-C. Anselm)
	Joseph Collesse à Lyon (Vincent Puissiau, Alain et M.-C. Anselm)
	Claude Labrèche de Carpentras (Jacques Schepereel, Michel Foussard, Christopher Nobbs)
	Hellen à Bern (Jean-Claude Battault, Pierre Goy, Michael Latcham)
	Jean-Kilien Mercken (Jean-François Weber)
	Roller & Blanchet à Paris (Michèle Maurin)
* monographies sur des facteurs et des instruments à vent
	Lissieu à Lyon (Anne Moore, Jean-Christophe Maillard)
	Prudent à Paris (Jean Jeltsch)
	Nicolas Gavot à Mirecourt (Bernard Pin)
	Musettes de cour (Jean-Christophe Maillard, Vincent Robin)
	Bois hollandais de lépoque baroque (Rob van Acht)
	Serpentini utilisés par Mozart (Renato Meucci)
	Serpent (Volny Hostiou)
* monographies sur des facteurs et des instruments à cordes
	Michel Collichon, facteur de violes (Corinne Vaast, Tilman Muthesius)
	Dynastie des Voboam à Paris, facteurs de guitares (Florence Gétreau)
	Harpe double de Praetorius (Frank Bär)
	Harpe et Guitares de Stradivarius (Gianpaolo Gregori)
	Luths de Stradivarius (Stewart Pollens)
	Violon dAndrea Amati (François Lesure, Karel Moens)
	Psaltérions espagnols (Beryl Kenyon de Pascual)
* acoustique
	Expertises historiques de cordes Pleyel (Rémy Gug)
	Instruments à anches de la cathédrale de Salamanque (Romà Escalas, Vincent Gibiat, Ana Barjau)
	Trompette marine du Museo civico de Bologne (Abril Padrilla, Vincent Gibiat)
* restauration
Orgue du musée de la Renaissance (Hervé Oursel, J.F. Muno, C. Combe)
Cette revue publie aussi des études sur la représentation de la musique dans les arts visuels : 
* études liées à des travaux dorganologie 
Violes ou violons ? (Karel Moens)
Théorbe à la française (Joël Dugot)
Musette de Lissieu et le tableau de Garnier (Anne Moore)
Archets en France aux XVIIe et XVIIIe siècles (Florence Gétreau)
Variante de musette à deux chalumeaux (Vincent Robin)
Guitare allemande : un instrument français dans luvre de Pierre-Alexandre Wille (Tarek Berrada)
* portraits de musiciens
	Une harpiste au Concert spirituel. Mlle Schencker en mai 1765 (Florence Gétreau)
	Berlioz et Paganini. Un double hommage (Florence Gétreau)
Le musée Dantan, caricatures et portraits de musiciens (Philippe Sorel)
Un portrait présumé dHélène de Montgeroult dans lancienne collection Mirimonde (Anne-Noëlle Bouton, F. Gétreau)
Portraits de clavecins et de clavecinistes français. I et II (Florence Gétreau et Denis Herlin).
Claude Vignons Portraits of François Langlois (Laurence Libin)
	Un portrait énigmatique de lancienne coll. Prunières (Florence Gétreau)
* études associant iconographie et sociologie des pratiques musicales 
Putti, ennuchi, belle cantatrici : liconographie des chanteurs en Italie (Franca T. Camiz)
Liconographie musicale de la mode champêtre (Thierry Lefrançois)
* thèmes de portée symbolique 
	Mythes musicaux et musique de cour en Italie (Nicoletta Guidobaldi)
A composition by Orlando de Lassus in a Vanitas Painting attributed to Sébastien Stoskopff (Colin Slim)
	The compass as musical Tool and Symbol (John Koster)
La musique dans les vanités de Renard de Saint-André (Nicole Lallement, Guillaume Gross, Davitt Moroney)
Apollon, Pan, Marsyas : quatre dessins de lENSBA de Paris (Tarek Berrada)
	Saint-Vincent Ferrer, the Dominican Apostle (Maria Elena Biasini)
	Les peintres « troubadours » collectionneurs dinstruments (Marie-Claude Chaudonneret)
Images du patrimoine : collectionneurs dinstruments anciens et ensemble de musique ancienne (Florence Gétreau)
	Danse et ivresse dans les arts vers 1900 (Walter Salmen)
* sources peu courantes 
	Three musicians painted on an 18th century cupboard (Mariagrazia La Spada)
	Plateaux daccouchées florentins (Cristina Santarelli)
	Music in Folk art : Swedish Wall Hangings (Inger Enquist)
* inventaires systématiques de collections publiques. 
Celles du Louvre ont été privilégiées jusquà présent. Cinq livraisons ont été publiées par Brigitte Devaux et surtout Nicole Lallement. Nicoletta Guidobaldi a également offert dans le volume 5 le catalogue des tableaux de la Renaissance. 
Linventaire des uvres à sujet musical conservées Versailles est en cours délaboration et paraîtra à partir du volume 9 de la revue. 
	Mon apport individuel et collectif à la musicologie touche donc deux sous disciplines : lorganologie et liconographie musicales, toutes deux plutôt négligées dans les études universitaires en France. Le CNRS a en revanche soutenu dès 1967 léquipe fondée par Geneviève Thibault de Chambure sur ces deux thématiques. Formée par cette dernière, jai poursuivi les chantiers quelle avait ouverts en dirigeant à sa suite et à celle du Professeur Thuillier, lURA 1015 (1992-1995) qui constitue depuis 1996, et aujourdhui encore, lun des programmes de lInstitut de recherche sur le patrimoine musical en France (UMR 200 CNRS/Ministère de la Culture/Bibliothèque nationale de France), équipe que je dirige depuis janvier 2004. 
Au plan de lencadrement doutils documentaires (base de données « Euterpe », administratrice : Nicole Lallement), de la fédération de travaux menés en France ou à létranger (création et direction de la revue Musique-Images-Instruments) et de la formation (jenseigne ces disciplines au Conservatoire national supérieur de Paris, à lUniversité François Rabelais de Tours depuis 1994 ainsi quà lUniversité de Rouen), de la diffusion à létranger (je participe régulièrement à de nombreux colloques hors de France), je pense avoir contribué à la reconnaissance internationale des travaux français dans ces domaines spécifiques. Les deux distinctions que jai reçues en 2001 (Anthony Baines Memorial Prize, Galpin Society for the Study of Musical Instruments) et 2002 (Curt Sachs Award, American Musical Instrument Society), ainsi que ma nomination (2003) à la Commission mixte du Répertoire international diconographie musicale (RIdIM), me paraissent pouvoir illustrer le positionnement et la réception de mes travaux au plan international. 
PERSPECTIVES
Ayant pour la deuxième fois la responsabilité dun laboratoire de recherche du CNRS, mon expérience de ladministration de la recherche et de lencadrement collectif sajoute à celle que jai pu acquérir lors de mes fonctions antérieures au Ministère de la culture comme conservateur du patrimoine (1989-2005) et comme chef de Projet pour le musée de la Musique (1987-1993). 
Si mon dossier dhabilitation à diriger des recherches nest pas le lieu pour présenter les objectifs et les réalisations de lInstitut de recherche sur le patrimoine musical en France, voici toutefois les travaux que jy poursuis individuellement ou en équipe et mes projets de publications en cours et à venir. 
I. Les collections instrumentales. Musique-Images-Instruments. Vol. 9. Parution mars 2007. CNRS Editions. 
Après le temps des cabinets de curiosité, des cabinets détude et des instrumentarium de mécènes actifs dans la vie musicale, apparaissent au XIXe les collections prestigieuses de quartettistes, les ensembles dobjets dart décoratif comprenant de précieux instruments passés dusage, puis des collections didactiques et des ensembles destinés à redécouvrir les répertoires anciens. Létude des catalogues de collections, du marché de lart, des premières publications sur le sujet, montrent lantériorité de lEurope, des amateurs américains prenant le relais à la fin du XIXe siècle. 
	La complexité des réseaux qui sétablissent alors entre amateurs de tous les pays explique lémergence de certains stéréotypes dans la composition de ces ensembles patrimoniaux, des traits particuliers restant lapanage de certains pays européens. Longtemps, les collections instrumentales nont pu être séparées des ensembles de partitions et manuscrits réunis en même temps par les amateurs de musique, certains sentourant par ailleurs de tableaux à sujets musicaux venant renforcer ces ensembles musicaux. Cest donc une histoire du goût et souvent du mécénat, puis une histoire institutionnelle, qui nourrit ce volume collectif témoigne dune très large collaboration internationale.
Jenvisage par ailleurs décrire ultérieurement une monographie. Elle portera sur Les collections instrumentales en France de la Renaissance au XXe siècle. Elle reprendra les sources que jai dépouillées pour la préparation de mon ouvrage sur Les collections instrumentales du Conservatoire de Paris. 1793-1993 mais qui nont pas été encore exploitées. En effet, de très nombreux collectionneurs ny ont été que rapidement présentés puisque seuls ont été retenus les faits qui avaient un rapport direct avec lhistoire du Musée Instrumental et de ses enrichissements. Une étude systématique paraît donc simposer. Elle permettra de montrer les concepts sous-tendant chaque type de collection. Une réflexion sur lévolution de la notion de patrimoine instrumental, sur lattrait de certaines écoles de facture chez les collectionneurs musiciens, sur les rapports avec les collections musicales et lhistoriographie de la facture sera accompagnée dun répertoire biographique des collectionneurs français. 
II. Ensembles et orchestres. Musique-Images-Instruments. Vol. 10 et 11. Parution en mars 2008 et mars 2009. CNRS Editions. 
	
Les sources musicales et iconographiques seront au centre de ces deux prochains volumes. La question des ensembles (hauts, bas, homogènes, mêlés) permettra dévoquer également lassociation de la voix et de son accompagnement, celle de la danse et des instruments qui lui sont idiomatiques. 
Cette nouvelle thématique sera loccasion dassocier plus largement des musicologues ayant travaillé sur la question de lévolution de lorchestre à différentes époques, ses effectifs, sa composition, sa disposition, son architecture et son acoustique. 
III. Les instruments de musique dans les expositions industrielles nationales et universelles. En collaboration avec Joël-Marie Fauquet.
Il sagit dun programme détude et dédition critique des rapports officiels publiés en français. Au XIXe siècle, léconomie de marché place les instruments de musique dans les produits de lindustrie, au moment même où lorchestre est considéré lui-même comme un instrument, où les facteurs sappliquent à améliorer les instruments déjà existants et à en inventer de nouveaux pour satisfaire à toutes les formes de pratique de la musique, quelle soit publique ou privée. 
Montrer linstrument, cest loccasion den parler, cest-à-dire de le décrire, de vanter ses particularités sonores, les modalités de son jeu, les perfectionnements techniques dont il est lobjet. Cest aussi, en jugeant de sa qualité par comparaison avec celle des autres instruments produits dans la même catégorie, mettre en lumière les facteurs les plus performants. A cet égard, lexposition nationale ou universelle constitue le meilleur champ dobservation. 
Les rapports sur les instruments exposés apportent autant dinformations sur lamélioration dinstruments de musique déjà existants que sur les instruments nouveaux qui sont présentés. Ces textes circonstanciés, rédigés par des musiciens ou des spécialistes notoires mandatés par le gouvernement (François-Joseph Fétis, Adrien de La Fage, Hector Berlioz, le comte de Pontécoulant, etc.) nont pas que le mérite dêtre descriptifs. Ils reflètent les différentes méthodes dapproche des personnalités qui les écrivent Ils permettent surtout de suivre lévolution de la facture instrumentale dans sa continuité. Enfin, ils établissent le premier lien universel entre les écoles de la facture instrumentale des autres pays et le premier véritable travail comparatiste. 
Un projet détude et dédition critique de ces textes a donc été conçu. Il consiste dans un premier temps à établir le corpus complet (enrichi de multiples références organologiques et musicales dans une base de données) des rapports publiés en français des expositions nationales et universelles, et de proposer une édition critique de ces rapports officiels. En dehors de son apport à lhistoire de la facture instrumentale en France au XIXe siècle, tant au plan technologique quéconomique, ce programme se situe donc à la jonction dune problématique du timbre, dune anthropologie de la pratique et d'une histoire du goût. 
Une première approche sera présentée à Crémone avec Joël-Marie Fauquet sous le titre de : « XIXth century instrumental Innovations and Practices in the Context of French international Exhibitions ». 
IV. Les Voboam, facteurs de guitares au xviie siècle. Ouvrage prévu dans la collection « Sciences de la musique », Dir. Sylvie Bouissou, CNRS Editions.
Jai constitué au fil des ans le corpus des instruments retrouvés de cette dynastie de facteurs de guitares ayant exercé de Louis XIII à la Régence à Paris. Jai déjà publié leur biographie à partir de sources darchives, reconstitué leur uvre (quelque 35 instruments conservés dans le monde entier), comprenant des commandes royales et mondaines exceptionnelles. Les modèles quils mirent au point, avec des variantes dun membre de la dynastie à lautre, incarnent le goût pour linstrument à lépoque classique. Jai recherché aussi les indices de leur diffusion dans les ateliers français et en Europe du Nord. Liconographie contemporaine (luvre de Watteau restant une source exceptionnelle) met en valeur la place de cette facture dans la pratique aristocratique. La publication dune monographie est donc prévue, rassemblant les aspects aussi bien biographiques quorganologiques que ceux touchant à lhistoire sociale de la musique. Elle sera complétée dun véritable catalogue raisonné des instruments retrouvés et mentionnés qui na pas pu prendre place dans les trois articles que jai consacré jusquici à cette dynastie. 
V. Iconographie de Rameau et de ses uvres, deux volumes à paraître dans la collection « Sciences de la musique », Dir. Sylvie Bouissou, CNRS Editions.
Ce programme, mené en collaboration avec Sylvie Bouissou, Nicole Lallement et Erik Kocevar, a pour but de réunir tous les documents iconographiques ayant trait à Rameau et à ses uvres : les portraits du compositeur exécutés au xviiie siècle, de ses librettistes, chefs d'orchestre, maîtres à danser, interprètes (chanteurs, instrumentistes, danseurs
) ; les documents iconographiques relatifs à ses uvres scéniques (projets de décors, maquettes de costumes, plans, châssis, machines, toiles peintes, mobiliers, accessoires
), les salles de spectacles parisiennes à l'époque de Rameau et les illustrations des représentations d'uvres du compositeur (par exemple les croquis célèbres de Gabriel de Saint-Aubin). Les uvres retenues après un dépouillement systématique ont été cataloguées et décrites selon une notice-type prédéfinie. Les images concernant les costumes et les décors ont été indexées par fonds et par uvres lyriques. Cette double approche fait apparaître la richesse des fonds dépouillés et limportance des documents réunis autour dun même opéra.
Ce corpus des sources iconographiques liées à l'uvre de Rameau permet de saisir l'image et la notoriété du compositeur à travers ses différents portraits ; la diffusion de son uvre ; l'évolution stylistique de l'appareil scénographique et de ses techniques à l'époque du conflit esthétique italo-français ; le milieu artistique ayant collaboré aux spectacles de Rameau. Après réflexion, notre équipe a décidé dassocier des documents manuscrits textuels et visuels et de proposer des études de synthèse imposées en quelque sorte par les documents eux-mêmes. Les documents iconographiques servant de support à la réflexion seront reproduits et commentés. Il en sera de même pour les documents darchives. Les autres documents seront listés en catalogue raisonné avec illustration en vignette.
VI.  Les représentations de la musique en France à lépoque moderne
Dans son ouvrage pionnier sur Liconographie musicale sous les rois bourbons. La musique dans les arts plastiques (1975-1977), Albert Pomme de Mirimonde a montré limportance des sources françaises et la variété des thématiques comme des interprétations possibles. Aucun ouvrage de synthèse na depuis été publié en France, malgré laccumulation de nouvelles données. Depuis une dizaine dannées, jai encadré des travaux collectifs consistant à cataloguer systématiquement les uvres des grands musées nationaux afin délargir les corpus généralistes réalisés auparavant. Ces travaux de catalogage (bibliographie comprise) constituent aujourdhui les fondements dun travail dinterprétation et dérudition qui reste à mener. 
Jaimerais donc consacrer une étude à des thématiques fortement caractérisées en France durant trois siècles, en mappuyant sur une sélection duvres particulièrement significatives. Louvrage sera une « leçon illustrée» danalyse iconographique partant de la description pré iconographique selon Panofsky jusquaux propositions dinterprétation. Il mapparaît en effet quentre le guide des arts dAlberto Ausoni sur La Musiqueet les travaux de très grande érudition publiés dans Imago Musicae, il y a place pour un ouvrage de synthèse bien documenté et référencé qui servirait de manuel aux apprentis musicologues et historiens de lart. 
CONCLUSION
	La synthèse présentée dans ces pages souffre dimportantes lacunes, de raccourcis sans doute à nuancer, de concepts qui mériteraient dêtre plus largement développés (notamment les rapports de liconographie et lorganologie avec les disciplines mères qui les côtoient). Le temps et la disponibilité desprit me furent comptés. Je perçois dont à la fois les limites de cette étape et les nécessaires approfondissements quelle implique. Ils sajoutent aux perspectives de travail annoncées ci-dessus. 
	Les touches successives de cet « autoportrait aux instruments de musique », révèlent, en creux, les contours dun champ pluridisciplinaire mêlant histoire et musique, écrits et objets, images et concepts. Cest dabord une science descriptive qui le sous-tend, mais jespère avoir laissé transparaître une méthodologie personnelle, un souci de la terminologie, des raisonnements déductifs et une certaine logique dans mes conclusions. Si jai un vu à formuler, à ce moment de retour sur soi-même qui suscite bien sûr, comme tout bilan, des sensations mélangées, ce serait celui de pouvoir consacrer du temps à la rédaction dun ou deux ouvrages centrés plus encore sur les concepts et moins sur le recensement des faits et des sources. Détachée des « contingences de la collection », de ses obligations matérielles et de service public, qui ont si longtemps nourri mon quotidien professionnel, jespère vivement que ma nouvelle position au CNRS men donnera lopportunité malgré les charges administratives quimpliquent une direction déquipe. 
Au-delà des multiples imperfections de ce mémoire et de ses annexes, en présentant cette habilitation à diriger des recherches, mon objectif est de pouvoir mimpliquer plus grandement dans lencadrement de thèses universitaires, activité que jai exercée jusquà présent comme personne-ressource, mais non comme responsable susceptible de proposer des sujets et den suivre le développement dans les deux disciplines où jai pratiqué ma recherche. 
Je pense ainsi contribuer à élargir une communauté française qui mapparaît encore trop restreinte et participant trop peu, dans ces domaines, à la recherche internationale. Le soutien ancien et constant des instances chargées en France de la recherche (CNRS, Mission de la recherche au Ministère de la Culture) pourrait ainsi sélargir à luniversité qui est un point de passage obligé pour toute perspective disciplinaire.
TOME I
Annexe-I.1
ORGANOLOGIE FRANCAISE
sans lorgue et sans les instruments extra-européens
Bibliographie chronologique
établie
daprès le RILM, JSTORE, http://mediatheque.cite-musique.fr/masc/et d autres dépouillements
1701
1. Sauveur, Joseph, Principes dacoustique et de musique ou système général des intervalles des sons, Paris, 1701. Reprint Genève Minkoff, 1973.
1713
2. Sauveur, Joseph, Rapport des sons des cordes dinstruments de musique, Paris, 1713
1735-1775
3. Machines et inventions approuvées par lAcadémie royale des Sciences, Paris, 1735-1775, 7 vol.
1741
4. Terrasson, Antoine, Dissertation historique sur la vielle, Paris, J. B. Lamesle, 1741. Reprint, Genève, Minkoff, 1987.
1757
5. Ancelet, Observations sur la musique, les musiciens et les instruments, Paris, 1757. Reprint, Genève, Minkoff, 1984.
1772
6. Francoeur, Louis-Jean, Diapason général de tous les instrumens à vent, Paris, 1772. Reprint, Genève, Minkoff, 1972.
1780
7. Laborde, Jean-Benjamin de, Essai sur la musique ancienne et moderne, Paris, E. Onfroy, 1780. 
1785
8. Art du faiseur dinstruments de musique et lutherie, Extrait de lEncyclopédie méthodique. Arts et métiers mécaniques, Paris, Panckouke, 1785. Reprint, Genève, Minkoff, 1972.
1791-1883
9. Catalogue des brevets dinvention, 1791-1883, Paris, 59 vol.
1797
10. Tournatoris, A., Epitre sur lart du facteur, par le citoyen Tournatoris, facteur de pianos, Paris, Lauteur, 1797. 
1801
11. Louet, Alexandre, Blanchet, Armand François, Instructions théoriques et pratiques sur laccord du pianoforte. Méthode abrégée pour accorder le clavecin et le forte-piano, Paris, Le Duc 1797-1800, Paris, Lacloye, 1801, Reprint, Genève Minkoff, 1976.
1806
12. Sibire, Sébastien-André (Abbé), La chélonomie ou le parfait luthier, Paris, Sibire & Millet, 1806, Paris, Bruxelles, Weissenbruck, 2/1823. Reprint, Genève, Minkoff, 1984.
1813
13. Villoteau, Guillaume-André, Description historique, technique et littéraire des instruments de musique orientaux, Paris, Imprimerie impériale, 1813. Extrait de « Description de lEgypte », t. I. 
1819
14. Savart, Félix, Mémoire sur la construction des instruments à cordes et à archet, Paris, 1919. Reprint, Genève, Minkoff, 1972.
1827
15. Fétis, François-Joseph, « Sur les perfectionnemens importans qui ont été faits depuis peu dannées dans la fabrication des pianos », Revue Musicale I (1827), 32-37. 
16. , « Exposition des produits de lindustrie. Pianos de MM. Pfeiffer, Roller et Blanchet, Pleyel, Dietz, Klepper, etc . », Revue Musicale I (1827), 82-88 ; 97-105.
17. , « Exposition des produits de lindustrie. Instrumens de cuivre. Cors à pistons », Revue Musicale II (192), 153-162.
18. , « Exposition des produits de lindustrie. Distribution des médailles aux facteurs de pianos, luthiers et fabricans dinstrumens de toutes espèces » Revue Musicale II(1827), 249. 
19. , « Sur la harpe à double mouvement de M. Sébastien Erard », Revue Musicale II (1827), 337-349.
1828
20. Fétis, François-Joseph, « Lettre à M. Naderman, sur sa réfutation de ce qui a été dit dans la Revue Musicale du 8 novembre 1827, en faveur de la Harpe à double mouvement de M. Sébastien Erard » ; « Mon dernier mot », Revue Musicale III (1828), 1-19 ; 265-268.
21. , « Pianos de M. Pape », Revue Musicale III (1828), 182-186. 
22. , « Sur le polyplectron. Instrument nouveau, inventé par M. Dietz, Revue Musicale (1828), 593 597. 
1829
23. Fétis, François-Joseph, « Variétés. Piano droit de M. Dietz », Revue Musicale V (1829), 369-371.
1830
24. Fétis, François-Joseph, « Pianos. Nouveaux Perfectionnements », Revue Musicale (1830), 229-234.
25. , « Sur lindustrie musicale », Revue musicale II/4 (25 déc. 1830), 193-205.
1831
26. Fétis, François-Joseph, « Notice sur Ignace Pleyel », Revue Musicale XI (1831), 344-347. 
27. , Notice biographique sur Sébastien Erard, Paris, s.d. [1831] .
28. , « Sur lindustrie musicale », Revue musicale II/5 (1er janv. 1831), 217-228.
1834
29. [Erard, Pierre], Perfectionnemens apportés dans le mécanisme du piano par les Erard, depuis l'origine de cet instrument jusqu'à l'Exposition de 1834, Paris, Londres, 1834. Facsimile in Dossier Erard, Genève, Minkoff, 1980.
30. Fétis, François-Joseph, Revue musicale XIV (1835) : « Exposition des produits de lindustrie. M. Pierre Erard », 185-187 ; « Exposition des produits de lindustrie. MM. Pleyel, Roger, Bauvais, Langrenée », 204-206 ; « Exposition des produits de lindustrie. MM. Roller et Blancher, Pfeiffer, H. Herz, Boisselot, Kriegelstein et Arnaud », 211-213. 
31. Erard, Pierre, Erard's Patent-Action Grand, Londres, 1835. Facsimile in Harpa-piano 2 (1997), 21-27.
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678. Gaudefroy, Bernard, Histoire de larchet en France au Dix-huitième siècle, Paris, Larchet éditions, 2000. 
679. Gétreau, Florence, « Les clavecins de François Couperin », in François Couperin (1668-1733), textes réunis par Catherine Cessac, Versailles, CMVB/EPV, 2000, 155-161.
680. , « Matière et musique : quelques réflexions des premiers organologues de langue française », Matière et musique, op. cit., 2000, 19-33 ; traduction en flamand 34-47.
681. Greenberg, Michael D., « The Double-Bass Class at the Paris Conservatory, 1826-1832 », », Journal of the American Musical Instrument Society 26 (2000), 83-140.
682. Hunt, John, « The Blanchets », Early Keyboard Journal 18 (2000), 53-93. 
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689. Haynes, Bruce, The Eloquent Oboe. A History of the Hautboy from 1640 to 1760, Oxford, Oxford Early music Series, 2001. 
690. Howe, Robert, « The first mechanized oboes: Triébert's systemes 3 and 4 Historical oboes 3 », The Double reed, 24/2 (2001), 17-30.
691. La Grandville, Frédéric de, « Index des facteurs d'instruments de musique à vents ayant des instruments conservés dans les musées », Larigot XII (2001), 1-34.
692. Paris, 2001. Un musée aux rayons X. Dix ans de recherche au service de la musique [Cat. dexp.], Joël Dugot, Laurent Espié (dir.), Paris, musée de la Musique, Paris, Cité de la musique, 2001. 
693. Pollens, Stewart, Kaston, Henryk, François-Xavier Tourte. Bow Maker, New York, Machold Rare Violins, 2001.
694. Wolcott, Michiko Ishiyama, Piano, the Instrument: An Annotated Bibliography, Lanham, Maryland, Scarecrow Press, 2001. 
	[chapitre sur la France.]
2002
695. Altos. Actes du colloque/catalogue de lexposition, Paris, Cité de la musique, 2002 (Les cahiers du musée de la musique 1). 
696. Caubisens, Cynthia, Henri Herz, une signature au service du son, Mémoire dorganologie, Paris, Conservatoire supérieur de Paris, 2002. 113 p.
697. Charles-Dominique, Luc, Laurence, Jean-Pierre, Les hautbois populaires. Anches doubles, enjeux multiples, La Falourdière, Editions Modal, 2002. 
698. Germann, Sheridan, « Harpsichord Decoration  A Conspectus », Howard Schott, The Historical Harpsichord 4, Pendragon Press, 2002, 1-212.
	[France, p. 37-60.]
699. INPIano. La facture du piano de 1791 à nos jours, Paris, INPI, 2002. 
700. Kopp, James B., « Precursors of the Bassoon in France before Louis XIV », », Journal of the American Musical Instrument Society 28 (2002), 63-117.
701. Laloue, Christine (dir.), Archéologie et musique. Actes du collooque des 9 et 10 février 2001, Paris, Cité de la musique, 2002 (Les cahiers du musée de la musique 2). 
702. Rephann, Richard, « A Fable Deconstructed : The 1770 Taskin at Yale », Howard Schott, The Historical Harpsichord 4, Pendragon Press, 2002, 215-241.
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704. Troisième rencontre de Mirecourt. Colloque historique. 8-9 mai 2002, Mirecourt, Les amis du musée de la lutherie et de larchèterie françaises, 2002. 
2003
705. Bouchet, Robert, Cahier datelier. La construction dune guitare classique, Paris, Cité de la musique, 2003 (Les cahiers du musée de la musique, hors série). 
706. Franc, Jean-Pierre, De cloches en clochetons : lart campagnaire dans les Hauts-de-Seine, La Garenne-Colombes, Société française de campanologie, 2003.
707. Howe, Robert S. « The Invention and Early Development of the Saxophone, 1840-55 », Journal of the American Musical Instrument Society 29 (2003), 97-180.
708. Lesure, François, « La commande à Andrea Amati : parcours dune légende obstinée », Musique-Images-Instruments 5 (2003), 61-70.
709. Martin, Edouard, Gaspard Tieffenbrücker et la lutherie lyonnaise du XVIe siècle dans les courants déchanges européens, Mémoire de maîtrise dhistoire économique et sociale, Université de Paris I, sous la dir. de Mme Dominique Margairaz, 2003.
710. Moens, Karel, « Les violons de Charles IX. Analyse des instruments », Musique-Images-Instruments 5 (2003), 71-97.
711. Musique-Images-Instruments, Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 5. Musiciens, facteurs et théoriciens à la Renaissance. Gétreau, Florence (dir.), Paris, CNRS Editions, 2003, 280 p. 
Recensions : 
Zdravko Blazekovic, Music in Art 27 (2002), 176 ; Peter Williams, The organ yearbook: A Journal for the player & historians of keyboard instruments 32 (2003), 207-208 ; L'Orgue. Bulletin des Amis de l'Orgue 263 (2003), 112 ; Laurent Guillo, Revue de musicologie 91 (2005), 259-264.
712. Robin, Michel et Weber, Jean-François, « Antoine Rascalon, décorateur de pianos-forte dapparat », Lobjet dart 377 (Février 2003), 70-82. 
713. Roudier, Alain, Lenna, Bruno di, Rifiorir dantichi suoni. Trois siècles de pianos. Three centuries of pianos, Ala, Edizioniosiride, Edizioni del Museo, 2003.
	[voir le chapitre « Le piano en France à partir de 1770 », 28-108.]
714. Sarrail, Claude, Les instruments de musique de nos terroirs, Labège, Tourisme médias éditions / Confédération nationale des groupes folkloriques français, 2003. 
715. Tours, 2003. Lart du clavecin [Cat. dexp.], Tours, Musée des Beaux-Arts, 2003. 
716. Vrod, Jean-François (dir.), Violon populaire. Le caméléon merveilleux, La Falourdière, Editions Modal, s.d. [2003]. 
2004
717. Dugot, Joël (dir.), Aux origines de la guitare : la vihuela da mano, Paris, Cité de la Musique (Les cachiers du musée de la Musique, 5), 2004. 
718. Gas-Ghidina, Catherine, Jam, Jean-Louis, Aux origines de lEcole française de pianoforte de 1768 à 1825, Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise-Pascal, 2004.
719. Gétreau, Florence, « Définir, réunir, conserver, étudier, restituer le patrimoine musical : quelques exemples en France », Il Saggiatore musicale. Rivista semestrale di musicologia, « I beni musicali: verso una definizione » 11 (2004), 172-180.
720. Heintzen, Jean-François, « Faiseurs dinstruments à Moulins au XVIIe siècle », Musique-Images-Instruments 6 (2005), 133-149. 
721. Hostiou, Volny, Le Serpent déglise en France, de son apparition à la Révolution, Maîtrise de musicologie, Université de Paris IV-Sorbonne, 2004, Dir. Fédéric Billiet. 
722. Kopp, James B., « The Musette de Poitou in 17th-Century France », The Galpin Society Journal 57 (2004), 127-145.
723. Musique-Images-Instruments. Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 6. Ecoles et traditions régionales. 1ère partie. Gétreau, Florence (dir.), Paris, CNRS Editions, 2004, 280 p.
Recensions : 
Laurent Guillo, Revue de musicologie 91 (2005), 259-264. Robert A. Green, American Musical Instrument Society-Newsletter (Fall 2005), 12 ; Desmond Hosford, Music in Art. International Journal for Music Iconography, 30 (2005), 233-234
724. Pin, Bernard, « Latelier de Nicolas gavot, facteur de serinettes à Mirecourt à la fin du XVIIIe siècle », Musique-Images-Instruments 5 (2004), 97-113.
725. Pussiau, Vincent, « Lyon, foyer historique de lutherie et de facture instrumentale », Les concerts à Lyon au 17ème siècle, Jérôme Dorival (dir.), Lyon, Rencontre de Gadagne, 2004, p. 50-92.
726. Rauline, Jean-Yves, « Nineteenth-Century French Amateur Music Societies and changes in Instrument Construction: Their evolution caught between Passivity and Progress », The Galpin Society Journal 57 (2004), 236-245.
727. Steiner, Thomas, Instruments à claviers - expressivité et flexibilité sonore. Actes des Rencontres harmoniques de Lausanne, Avril 2002, Peter Lang, 2004. 
[Jean-Claude Battault, « Les premiers pianoforte français » ; Michael Latcham, « The Combination of the Harpsichord and the Piano throughout the Eighteenth Century », Jean-Jacques Eigeldinger, « Chopin et les pianos Pleyel », David Winston, « On Restoring Pleyel Pianos ».]
728. 23. Musikinstrumentenbau-Symposium. Ist das Tafelklavier noch salonfähig? Zur Geschichte und Bedeutung eines Vernachlässigten Tasteninstrument, Stiftung Kloster Michaelstein. Musikinstitut für Aufführungspraxis, 11-13 Oktober 2002. A paraître. 
	[Catherine Michaud-Pradelles, « Variation on the theme of the square piano by Jean Henry Pape » ; Jean Haury, « French patents concerning the square pianos ».]
2005
729. Dugot, Joël, « Sonorités inouïes : la nouvelle harpe de Messieurs Krumpholtz et Naderman», Musique-Images-Instruments 7 (2005), 87-109.
730. Foussard, Michel, « Le clavecin Claude Labrèche, Carpentras, 1699 », Musique-Images-Instruments 7 (2005), 19-32.
731. Gétreau, Florence, «Recent Research about the Voboam Family and Their Guitars », Journal of the American Musical Instrument Society 31 (2005), 5-66. 
732. Dugot, Joël, et Gétreau, Florence, « Citterns in French public collections. Instruments and musical iconography », Gitarre und Zister. Bauweise, Spieltechnik und Geschichte bis 1800, Michaelstein, Musikinstitut für Aufführungspraxis, 22. Musikinstrumentenbau-Symposium, 16-18 novembre 2001, Monika Lustig (Hrg), Stiftung Kloster Michaelstein, Verlag Janos Stekovics, 2005, 51-68. 
733. Kopp, James B., « Before Borjon: The French Court Musette to 1672 », The Galpin Society Journal 58 (2005), 3-37. 
734. La Couture-Boussey, 2005. Blanche/noire. Notes photographiques, Olivier Mériel [Cat. dexp.], Musée des instruments à vent. Ville de La Couture-Boussey, 23 avril-31 juillet 2005. 
735. Musée des musiques populaires. Montluçon. Collections, Montluçon, 2005. 
736. Musique-Images-Instruments. Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 7. Les écoles régionales. 2ème partie. Gétreau, Florence (dir.), Paris, CNRS Editions, 2005, 250 p. 
	Recensions : 
Robert A. Green, American Musical Instrument Society  Newsletter (Fall 2005), 12 ; Jean-Marc Warszawski, Musicologie.org/publirem/jmw_mii_07.html ; Desmond Hosford, Music in Art. International Journal for Music Iconography,30 (2005), 233-234. 
737. Nobbs, Christopher, « A French Harpsichord from the end of the seventeenth-century, attributed to Claude Labrèche », Musique-Images-Instruments 7 (2005), 33-45.
738. Riché, Charles, « De la restauration dune basse de viole de Nicolas Bertrand », A Viola da gamba Miscellanea. Articles from and inspired by viol symposiums organized by The Ensemble baroque de Limoges, France, Susan Orlando (ed.), Limoges, Presses Universitaires de Limoges, 2005, 211-225.
739. Rose-van Epenhuysen, Marie, « Beethoven and his French Piano : Proof of Purchase », Musique-Images-Instruments 7 (2005), 111-122.
740. , « LArt de Bien Chanter and the Early French Piano Style, 1780-1820 », Ph. D., New York University, 2005. 
741. Scherpereel, Joseph, « Maître Claude Labrèche, esquisse biographique », Musique-Images-Instruments 7 (2005), 9-18.
2006
742. Davy-Rigaux, Cécile, Gétreau, Florence, « La méthode de serpent de Jean-Baptiste Métoyen : héritages et évolutions ». Préface à Jean-Baptiste Métoyen, Ouvrage complet pour lEducation du serpent, Benny Sluchin (éd.), Paris, Editions musicales européennes (Brass Urtext), 2006, VII-XII. 
743. Gétreau, Florence, « Instrument making in Lyon and Paris around 1600 », in Musikalische Aufführungspraxis in nationalen Dialogen des 16. Jahrhunderts: Niederländisches und weltisches Lied von 1480 bis 1640. Instrumentenbauschulen im 16. Jahrhundert, 6-8 mai 2005, Michaelstein, Stiftung Kloster Michaelstein, 26. Musikinstrumentenbau-Symposium, 2006. Sous presse. 
744. , « Considerations on Keyboard conservation and policy for facsimile in France », Bartolomeo Cristofori : la spinetta ovale del 1690. Incontro di studio per il progetto di restauro, Firenze, Galleria dellAccademia, 21-22 octobre 2002, Florence, 2006.
745. , « Quelques cabinets dinstruments en France au temps des rois Bourbons », Musique-Images-Instruments 8 (2006), 25-43.
746. Musique-Images-Instruments. Revue française dorganologie et diconographie musicale. Numéro 8. Les collections dinstruments de musique, 1re partie, Gétreau, Florence (dir.), Paris, CNRS Editions, 2006, 250  p..
747. Martin, Edouard, « Faiseur, facteur : terminologie dun métier », Musique-Images-Instruments 8 (2006), 127-138.
748. Vernet, Thomas, « Les collections musicales des princes de Conti », Musique-Images-Instruments 8 (2006), 45-68.
749. Moran, Amy, Pianos and Piano Music in France, 1750-1850, Ph. D. Musicology, University of Sydney. En cours.
TOME I
 Annexe I-2
ICONOGRAPHIE MUSICALE FRANCAISE
Bibliographie chronologique 
établie daprès le RILM, JSTORE, Frederic Crane, Franz Gratl, Nicole Lallement, Danièle Pistone, la base Philidor du Centre de musique baroque de Versailles et dautres dépouillements
1780
1. Laborde, Jean-Benjamin de, Essai sur la musique ancienne et moderne, Paris, E. Onfroy, 1780.
1809
2. Villoteau, Guillaume-André, Dissertation sur les diverses espèces d'instrumens de musique que l'on remarque parmi les sculptures qui décorent les antiques monumens de l'Égypte, et sur les noms que leur donnèrent en leur langue propre les premiers peuples de ce pays, [S. l. n. d.]. Extrait de « Description de l'Égypte »,  t. I, 1809.
1813
3. Villoteau, Guillaume-André,  Description historique, technique et littéraire des instruments de musique orientaux, Paris, Imprimerie impériale, 1813. Extrait de « Description de lEgypte », t. I. 
1832
4. Cléon Galoppe dOnquaire, Le Musée musical de Dantan jeune, Paris, Le Ménestrel, 1832.
1836
5. Bottée de Toulmon, Auguste, De la chanson française au Moyen Age, Paris, 1836. 
1838
6. Bottée de Toulmon, Auguste, « Instruments de musique en usage au Moyen Age », Annuaire historique, Paris, Imprimerie de Crapelet, 1838.
1839
7. Bottée de Toulmon, Auguste, « Instructions du Comité historique des arts et monuments. Musique », Mémoires de la Société royale des antiquaires de France, 1839, 14 p.
1844
8. Bottée de Toulmon, Auguste, « Dissertation sur les instruments de musique employés au Moyen Age », Mémoires de la Société royale des antiquaires de France, XVII, 1844, p. 60-168.
1845 et ss
9. Didron, Adolphe-Napoléon, Introduction à Coussemaker, Charles-Edmond-Henri de, « Essai sur les instruments de musique au moyen âge », Annales archéologiques 3 (1845), 76-88, 147-155, 269-282 ; 4 (1846), 25-39, 94-101 ; 6 (1847) 314-323 ; 7 (1847), 92-100, 157-165, 241-250, 326-329 ; 8 (1848), 242-250 ; 9 (1849), 287-297, 329-334 ; 16 (1856), 98-110. 
1852
10. Kastner, Jean-Georges, Les danses des morts. Dissertations et recherches historiques, philosophiques, littéraires et musicales sur les divers monuments de ce genre qui existent ou qui ont existé tant en France quà létranger
 accompagnés
 dune suite de planches représentant des sujets tirés danciennes danses des morts
 avec les figures dinstruments de musique quils contiennent
, Paris, Brandus, 1852, 310 p.
1857
11. Didron, Adolphe-Napoléon, dit lAîné, « Les chapiteaux de Cluny », Annales archéologiques 17 (1857).
1858
12. Barbier de Montault, X., « Orgues en forme darbres », Annales archéologiques 18 (1858), 90-93. 
13. Kastner, Jean-Georges, Les Sirènes. Essai sur les principaux mythes relatifs à lincantation, les enchanteurs, la musique magique, le chant du cygne etc. considérés dans leurs rapports avec lhistoire, la philosophie, la littérature et les beaux-arts. Ouvrage orné de nombreuses figures représentant des sujets mythologiques tirés de monuments antiques
, Paris, G. Brandus et S. Dufour, 1858.
1864
14. Didron, Adolphe-Napoléon, Iconographie de lOpéra, Paris, V. Didron, 1864, 56 p. 
1869
15. Lacroix, Paul, Les arts au moyen âge et à lépoque de la Renaissance, Paris, Firmin-Didot, 1869, comprend un chapitre sur « Les instruments de musique ». Traduction par James Dafforne, The Arts in the Middle Ages and at the Period of the Renaissance, New York, D. Appleton, 1870 ; Londres, Chapman & Hall, 1875 (« Musical Instruments », p. 187-222) ; édition révisée, Londres, J.S. Virtue, 1886. 
16. Pougnet, J. Abbé, « Théorie et symbolisme des tons de la musique grégorienne », Annales archéologiques, 26, (1869), 380-381 ; 27 (1870), 32-60 ; 151-175 et 287-338. 
1872
17. Viollet-le-Duc, Eugène-Emmanuel, Instruments de musique [S.l.n.d.], Extrait du Dictionnaire raisonné du mobilier français de l'époque carloingienne à la Renaissance, Paris, Vve Morel en 1872. t. 2, 4e partie, 243-327, fig., pl.
1874
18. Lavoix, Henri, fils, « La musique dans lymagerie du moyen âge », La chronique musicale 5 (1874), 5-13, 125-132, 161-165, 252-261 ; 6 (1874), 54-63, 158-163. Publié aussi sous forme douvrage, Paris, Pottiers de Lalaine, 1875. 
19. Lacroix, Paul, Murs, usages et costumes au Moyen Age et à lépoque de la Renaissance, Paris, Firmin Didot, 1874, 603 p. 440 fig. 
1878
20. Brianchon, Compte-rendu analytique de la céramique musicale au Trocadéro & ailleurs en 1878, par Gustave Couellain, Bolbec, Dussaux, 1879.
21. Garnier, Charles, Le nouvel opéra de Paris, Paris, Ducher, 1878, 2 vols texte, 6 vols. Planches. 
22. Gouellain, Gustave, La céramique musicale au Trocadéro & ailleurs en 1878, Paris, R. Simon, 1878. 
1882
23. Morival, Adrien de, « Etude sur les instruments de musique figurés dans plusieurs églises du diocèse de Soissons-Laon », Les vitraux de la cathédrale de Laon, Paris, Didron, 1882, p. 191 et ss. 
24. Fleury, Edouard H., Les instruments de musique sur les monuments du moyen âge du département de lAisne, Laon, Imprimerie A. Cortilliot, 1882. 
1885
25. Clément, Félix, Histoire de la musique depuis les temps anciens jusquà nos jours, Paris, Hachette, 1885. 
1888
26. Jouin, Henry, Musée de portraits dartistes peintres, sculpteurs, architectes, graveurs, musiciens, artistes dramatiques, amateurs, etc. nés en France ou y ayant vécu, étant de 3 000 portraits peints, dessinés ou sculptés, avec lindication des collections publiques ou privées qui les renferment, Paris, H. Laurens, 1888. 241 p. 
1889
27. Ris-Paquot, Oscar-Edmond, La céramique musicale et instrumentale, Paris, A. Lévy, 1889.
28. Paris. Exposition universelle de 1889. Catalogue général officiel
 section II : Arts libéraux, Lille, Imprimerie L. Janel, 1889, p. 89-90 : «Estampes et gravures ».
1891
29. Mâle, Emile, « Les arts libéraux dans la statuaire du Moyen Age », Revue archéologique, 17 (1891), 334-346. 
1892
30. Mâle, Emile, Les chapiteaux romans du musée de Toulouse et lécole toulousaine du XIIe siècle », Revue archéologique, 1892, 20. 
1894
31. Bricqueville, Eugène, « Liconographie instrumentale au Musée du Louvre », in Un coin de la curiosité : les anciens instruments de musique, Paris, Librairie de lart, [1894], 53-61. 
32. , « Les instruments de musique champêtres », LArt, XX/722 (15 juin 1894), 256-267. 
1896
33. Imbert, Hugues, « Un portrait de Rameau », in Jean-Philippe Rameau. uvres complètes, vol. 2. Musique instrumentale, Paris, A. Durand et Fils, 1896, VII-XV et frontispice. Reprint New York, Broude Brothers, 1968. 
1898
34. Grand-Carteret, John, « Les titres illustrés et limage au service de la musique », Rivista musicale italiana 5 (1898), 2-63, 225-280 ; 6 (1899), 289-329 ; 9 (1902), 559-635 ; 11 (1904), 1-23, 191-227. Imprimé sous forme dopuscule, Turin, Fratelli Bocca, 1904. 
1907
35. Ecorcheville, Jules, « Deux portraits de Couperin », Bulletin de la Société de lHistoire de lArt français (1907), 76-79. 
1908
36. Guillemot, M. « La musique par les peintres », Je sais tout, 15 oct. 1908. 
1910
37. Beck, Jean-Baptiste, La musique des troubadours, Paris, 1910. 
1912
38. Pouzet, « Note sur les chapiteaux de labbaye de Cluny », Revue de lart chrétien 62 (1912), 1-17 ; 104-110. Repris ensemble Paris, Champion, 1912. 
1914
39. Leroux, Jean, « Liconographie du chevalier Gluck », Revue Musicale. SIM 10 (juin 1914), 39-47. 
1921
40. Squire, William Barclay, « Liconographie musicale », Actes du Congrès dhistoire de lart, Paris, 1921, Paris, les Presses universitaires de France, 1924, III, 731-734.
1922
41. Squire, William Barclay, « Musical Iconography », Bulletin de la Société Union Musicologique 2 (1922), 33-36. 
1923
42. Fleury, L., « The Flute and Flutists in the French Art of the XVIIth and XVIIIth Centuries », The Musical Quarterly 9 (1923), 515-537. 
43. Kingsley Porter, Arthur, Romanesque sculpture of the pilgrimage roads, Boston, 1923, 10 vol.
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		Recensions : 
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	[Commente le tableau du Louvre Bal à la cour dHenri III, 1561.] 
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800. Gross, Guillaume, « La musique dans les vanités de Simon Renard de Saint-André (1614-1677). Une nouvelle vanité de lartiste. Identification dun motet de Roland de Lassus », Musique-Images-Instruments 5 (2003), 177-192.
801. Guidobaldi, Nicoletta, « Inventaire des tableaux à sujets musicaux du musée du Louvre (IV) : la peinture de la Renaissance », Musique-Images-Instruments 5 (2003), 199-232.
802. Lallement, Nicole, « La musique dans les vanités de Simon Renard de Saint-André (1614-1677). Simon Renard, peintre de vanités », Musique-Images-Instruments 5 (2003), 167-176.
803. , « Euterpe, la musique en images : une base de données sur liconographie musicale », Musique-Images-Instruments 5 (2003), 235.
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805. Milam, Jennifer, « Matronage and the Direction of Sisterhood: Portraits of Madame Adélaïde », Women, Art and the Politics of Identity in Eighteenth-Century, Melissa Hyde et Jennifer Milam (ed.), Aldershot, Ashgate, 2003, 115-138.
806. Montagnier, Jean-Paul, « Réflexions sur Le sacre de Louis XV dAntoine Danchet », Itinéraires musicaux en Lorraine : sources, évènements, compositeurs, Yves Ferraton (dir.), Colloque de Commercy, 2002, Langres, D. Guéniot, 2003, 169-185. 
807. Moroney, Davitt, « La musique dans les vanités de Simon Renard de Saint-André (1614-1677). Lallemande mystérieuse de Simon Renard », Musique-Images-Instruments 5 (2003), 193-198.
808. Musique-Images-Instruments, Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 5. Florence Gétreau (dir.). Musiciens, facteurs et théoriciens à la Renaissance. Paris, CNRS Editions, 2003, 280 p.
		Recensions : 
Zdravko Blazekovic, Music in Art 27/1-2 (2002), 176 ; Peter Williams, The organ yearbook 32 (2003) 207-208 ; Eric Kocevar, L'Orgue. Bulletin des Amis de l'Orgue 263/3 (2003) 112.
809. Paris, 2003. Berlioz. La voix du romantisme [Cat. dexp.], Catherine Massip et Cécile Reynaud (dir.), Paris, Editions de la Bibliothèque nationale de France, Fayard, 2003, 264 p. ill. 
810. Sheriff, Mary D., « The Cradle is Empty: Elisabeth Vigée-Lebrun, Marie-Antoinette, and the Problem of Intention », Women, Art and the Politics of Identity in Eighteenth-Century, Melissa Hyde et Jennifer Milam (ed.), Aldershot, Ashgate, 2003, 164-187. 
811. Slim, Colin, « A composition by Orlando de Lassus in a Vanitas painting attributed to Sébastien Stoskopff », Musique-Images-Instruments 5 (2003), 49-60. 
2004
812. Berrada, Tarek, « Apollon, Pan, Marsyas : quatre dessins français dans les collections de lEcole nationale des Beaux-Arts », Musique-Images-Instruments 6 (2004), 199-210. 
813. Frantz, Charles Frederick, « Le Décor Symbolique : Claude Debussy et Emile Gallé », Music in Art 29/1-2 (2004), 171-187.
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823. Scherpereel, Joseph, « Les ensembles instrumentaux et vocaux à Lisbonne aux XVIIIe et XIXe siècles », Musique-Images-Instruments 6 (2004), 171-180. 
	[Estampe de Giovanni Chiari et tableau dAuguste Roquemont (1804-1852).]
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	[Etude sur les représentations figurées de ces deux traités de vénerie.]
829. Dalesme, Chloé, Les tableaux représentant des bals à la Cour dees Valois, Mémoire de Master 1 sous la direction de Maurice Brock, Tours, Université François-Rabelais, Centre dEtudes supérieures de la Renaissance, 2005. 
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832. Garandeau, Virginie, « Arlequin danseur chez Watteau ? », Annales de lAssociation pour le Centre de recherche sur les Arts du Spectacle aux XVIIe et XVIIIe siècles : Arlequin danseur au tournant du XVIIe siècle, Jean-Noël Laurenti (ed.), 2005, 95-99.
833. Gétreau, Florence, « Tambours-bourdons en France au XVIIIe siècle », Musique-Images-Instruments 7 (2005), 66-85.
834. La Gorce, Jérôme de, Carlo Vigarani intendant des loisirs de Louis XIV, Versailles, Perrin/Château de Versailles, 2005. 
835. La Spada, Mariagrazia, « Three musicians painted on an 18th century cupboard from Lombardy », Musique-Images-Instruments 7 (2005), 181-186. 
836. Le Comte, Nathalie, « Arlequin, Arlequine et les personnages de la commedia dellarte à lAcadémie royale de musique dans le premier quart du XVIIIe siècle : distribution et iconographie », Annales de lAssociation pour le Centre de recherche sur les Arts du Spectacle aux XVIIe et XVIIIe siècles : Arlequin danseur au tournant du XVIIIe siècle, Jean-Noël Laurenti (ed.), 2005, 104-113.
837. Les représentations de la musique au Moyen Age, Paris, Cité de la musique / musée de la Musique, 2005, 128 p., ill. 
838. Musique-Images-Instruments. Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 7. Florence Gétreau (dir.). Les écoles régionales. 2ème partie. Paris, CNRS Editions, 2005, 250 p.
839. Nectoux, Jean-Michel, Harmonie en bleu et or. Debussy, la musique et les arts, Paris, Fayard, 2005.
840. Robin, Vincent, « A propos dun portrait inédit de musettiste : essai didentification dune variante de musette à deux chalumeaux », Musique-Images-Instruments 7 (2005), 47-66. 
2006
841. Christout, Marie-Françoise, Le ballet de cour de Louis XIV. 1643-1672, Paris, Picard, 2006. 
842. Gétreau, Florence, « Liconographie du clavecin en France, 1789-1889 » in Musique ancienne  instruments et imagination / Music of the past  instruments and imagination. Actes des Rencontres Internationales harmoniques / Proceedings of the harmoniques International Congress, Lausanne 2004, Michael Latcham (ed.), Berne, Peter Lang, 2006, 169-191.
843. Ghirardini, Cristina, « Les instruments chinois dans le Gabinetto Armonico (1723) de Filippo Bonanni », Musique-Images-Instruments 8 (2006), 87-103.
844. Hostiou, Volny, « Le serpent dans les églises françaises : parcours historique et iconograhique », Musique-Images-Instruments 8 (2006), 139-153.
845. Lallement, Nicole, « Inventaire des tableaux à sujets musicaux du musée du Louvre (VI) : suite et fin », Musique-Images-Instruments 8 (2006), 189-211. 
846. Musique-Images-Instruments. Revue française dorganologie et diconographie musicale. Numéro 8. Florence Gétreau (dir.). Les collections dinstruments de musique. 1er partie, Paris, CNRS Editions, 2006, 280 pages.
847. Picard, François, « Joseph-Marie Amiot, jésuite français à Pékin, et le cabinet de curiosités de Bertin », Musique-Images-Instruments 8 (2006), 69-85. 
848. Vernet, Thomas, « Les collections musicales des princes de Conti », Musique-Images-Instruments 8 (2006), 45-67. 
Florence GÉTREAU
Histoire des instruments et représentations de la musique en France
Une mise en perspective disciplinaire dans le contexte international
Tome II 
Bibliographie des écrits de F. Gétreau et recueil des principales publications
Thèse dHabilitation à diriger des recherches (HDR)
Sous la direction du Professeur Guy Gosselin
Tours, Université François-Rabelais
Mars 2006
	20/03/2006
BIBLIOGRAPHIE DES ECRITS DE
Florence Gétreau
Présentation chronologique
Ouvrages personnels. p.222
Direction douvrages. p. 222
Articles. 223
Comptes rendus d'ouvrages. p.233
Les références en caractère gras sont présentes dans lannexe 
avec page de titre et sommaire pour les ouvrages, texte complet pour les articles. 
OUVRAGES 
I.	Restauration des instruments de musique, Fribourg, Office du Livre, 1981 (Collection « Découvrir, Conserver, Restaurer », Madeleine Hours, dir.), 130 p., 84 illustrations, 22 schémas.
II.	Aux origines du Musée de la Musique : les collections instrumentales du Conservatoire de Paris. 1793-1993, Paris, Klincksieck/Réunion des Musées Nationaux, 1996 (Collection « Domaine Musicologique, François Lesure, dir.), 800 p., 120 illustrations. 
DIRECTION D'OUVRAGES 
I.	Musiques anciennes. Instruments et partitions donnés à l'Etat en paiement de droits de succession, [Cat. dexp.] Paris, Bibliothèque nationale, 1980, en collaboration avec François Lesure, Catherine Massip et Josiane Bran-Ricci, Préface du ministre et 19 notices, 5-6, 45-50, 52-56, 58-59, 64-65, 105-107.
II	Clavecin Goujon-Swanen, Paris, vers 1749-1784, en collaboration avec Michel Robin et Pierre Abondance, Paris, Société des Amis du Musée instrumental, 1982, 48 
III.	Un musée aujourd'hui. Des facteurs d'instruments de musique, en collaboration avec Michel Robin, Paris, Maison de Radio France, 17-18 novembre 1984. 34 p.
IV.	La facture instrumentale européenne : suprématies nationales et enrichissement mutuel, [Cat. dexp.], Paris, Société des Amis du Musée Instrumental, 1985, 248 p.
V.	Instrumentistes et luthiers parisiens. XVIIe-XIXe siècles, [Cat. dexp.], Paris, Délégation à l'Action Artistique de la Ville de Paris, 1988, 254 p.
VI.	Musée Instrumental du CNSM de Paris. Inventaire descriptif des flûtes traversières, en collaboration avec François Arné, Catherine Homo-Lechner, Claire Soubeyran et Pierre Séchet, Paris, Société des Amis du Musée instrumental, 1989, 60 p.
VII. 	Innovations et traditions dans la vie musicale française au XIXe siècle, Musique-Images-Instruments. Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 1. Paris, Klincksieck, 1995, 227 
VIII. 	Aspects de la vie musicale au XVIIe siècle, Musique-Images-Instruments. Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 2. Paris, Klincksieck, 1997, 293 
IX. 	Musiciens des rues de Paris, [Cat. dexp.], Paris, Editions de la Réunion des Musées Nationaux, 1997, 142 
X. 	Nouveaux timbres, nouvelle sensibilité au XVIIIe siècle. 1ère partie, Musique-Images-Instruments. Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 3. Paris, Klincksieck, 1998, 248 
XI.	Musiques dans la rue, numéro spécial d'Ethnologie française, en collaboration avec Eliane Daphy, 1999/1. 
XII.	Souffler, c'est jouer : chabretaires et cornemuses à miroirs en Limousin, [Cat. dexp.], en collaboration avec Eric Montbel, Paris, Mnatp, Editions Modal/Famdt, 1999, 158 
XIII. 	Nouveaux timbres, nouvelle sensibilité au XVIIIe siècle. 2ème partie, Musique-Images-Instruments. Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 4. Paris, Klincksieck, 2000, 228 
XIV.	Instruments pour demain. Conservation & restauration des instruments de musique. 9èmes journées détude de la Section française de lInstitut international de conservation, en collaboration avec Laurent Espié et Marcel Stefanaggi, Limoges, 15-16 juin 2000, Champs-sur-Marne, SFICC, 2000, 229 p.
XV.	Musiciens, facteurs et théoriciens de la Renaissance, Musique-Images-Instruments. Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 5. Paris, CNRS Editions, 2003, 280 
XVI.	Ecoles et traditions régionales. 1ère partie, Musique-Images-Instruments. Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 6. CNRS Editions, 2004, 280 
XVII.	Ecoles et traditions régionales. 2ème partie, Musique-Images-Instruments. Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 7. CNRS Editions, 2005, 250 p.
XVIII. 	Les collections dinstruments de musique, 1re partie, Musique-Images-Instruments. Revue française d'organologie et d'iconographie musicale. Numéro 8. CNRS Editions, 2006, 250 p.
ARTICLES
1.	« Jalons pour une histoire de la facture instrumentale en France », La facture instrumentale française [Cat. dexp.], Pékin, Shanghai, 1979.
2.	« Les frères Erard : essai de chronologie » et catalogue des uvres présentées, Erard : du clavecin mécanique au piano en forme de clavecin [Cat. dexp.], Florence Gétreau et Michel Robin (dir.), Paris, Musée Instrumental, 1979, 5-18 ; 28-65.
3.	« La décoration des clavecins », Le clavecin [Cat. dexp.], Paris, Centre Georges Pompidou, BPI, 1979, 11-16.
4.	« Le Musée Instrumental du Conservatoire National Supérieur de Musique », Musées et Collections Publiques de France 3 (1979), 93-95.
5.	« Le Musée Instrumental du Conservatoire National Supérieur de Musique », Revue Internationale de Musique Française, 1980, I, 110-118.
6.	« Les instruments de musique dans les collections publiques françaises », La Revue des Métiers d'Art, 1980, I, 17-27.
7.	« Catalogue sommaire des guitares du Musée Instrumental », Guitares. Chefs d'uvre des collections de France, Paris, La Flûte de Pan, 1980, 307-320.
8.	En collaboration avec Pierre Abondance : « A propos d'une guitare du XVIIe siècle: réflexions sur la conservation », Guitares. Chefs d'uvre des collections de France, Paris, La Flûte de Pan, 1980, 237-261.
9.	200 articles sur les instruments à cordes et les facteurs d'instruments, Nouveau Grand Larousse Encyclopédique, Paris, 1980-1984.
10.	« La restauration des instruments de musique », Le Courrier du CNRS 38 (1980), 28-37.
11.	« Les Hotteterre et la facture des instruments à vent », « Le Musée Instrumental de la Couture-Boussey », Tourneurs sur bois et manufactures d'instruments à vent en Haute-Normandie [Cat. dexp.], 1980, 18-19 ; 31-33. Article réédité dans Musiciens et musique en Normandie 6 (1981)5-7.
12. 	En collaboration avec France Drilhon, « L'âme des instruments de musique. La guitare de Mademoiselle de Nantes, fille de Louis XIV », La vie mystérieuse des chefs-duvre. La science au service de l'art [Cat. dexp.], Madeleine Hours (dir), Paris, Grand Palais, 1980, 188-190. 
13.	« Les instruments à cordes », Les instruments de musique. 1750-1800 [Cat. dexp.], Saintes, Musée des Beaux-Arts, 1982, 92-115.
14.	« Nadia Boulanger au futur Musée de la Musique », La Revue Musicale 2 (1982), 93-94.
15.	« Le décor du clavecin Goujon-Swanen », Notice organologique du clavecin Goujon-Swanen, Paris, Société des Amis du Musée Instrumental, 1982.
16.	« L'instrument de musique comme objet de collection », La demeure historique 66 (1982), 11-15.
17.	« Instruments domestiques et musiques cosmiques », L'Oreille oubliée [Cat. dexp.], Paris, Centre Georges Pompidou, Centre de Création Industrielle, 1982, 92-93.
18.	23 articles (Bertrand, Blanchet, Bocquay, clavecin, crotales, contrebasse, Corrette, Donzelague, genouillères, Guersan, Hemsch, Le Blanc, portraits de Rameau, quinte, ravalement, renversement, tambour voilé, tambourin de Basque, tambourin de Provence, timbales, viole de gambe, violon, violoncelle" pour Rameau de A à Z, Philippe Beaussant (dir.), Paris, Fayard, 1983, 59, 94, 103, 99, 101, 127, 163, 166, 173, 200, 274, 283, 289, 291, 316, 317, 332, 350, 351.
19.	« Les instruments de musique dans les collections publiques françaises non spécialisées », La vie musicale au temps des Puys [Cat. dexp.], Véronique Alémany-Dessaint (dir.), Amiens, Musée des Beaux-Arts, 1983, 71-74.
20.	« La collection de luths du Musée Instrumental : caractères, formation, développement », Luth et Musique ancienne 16-17 (1983), 19-21.
21.	« Dialogue sur le coloris » ; « Luthiers, faiseurs d'instruments à vent et facteurs de clavecins à Paris. 1700-1770 », et 21 notices, Rameau. Le coloris instrumental [Cat. dexp.], Josiane Bran-Ricci (dir.), Paris, Société des Amis du Musée Instrumental, 1983, 13-14 ; 25-34 ; 67-68, 72-73, 75, 81, 96-100, 103-106, 108-111, 115-117.
22.	« Piano à queue, Pleyel, Paris, 1839 [dit de Chopin] », Chopin [Cat. dexp.], Paris, Trianon du parc de Bagatelle, Délégation à laction artistique de la ville de Paris, Société Chopin, 1983, 23, n° 43.
23.	« Les sources de l'étude organologique », en collaboration avec Josiane Bran-Ricci, Précis de Musicologie, Jacques Chailley (dir.), Paris, Presses Universitaires de France, 1984, 454-456.
24.	« La liuteria nelle collezioni pubbliche francese non specializzate », Liuteria 11 (1984), 28-37.
25.	« Notices d'iconographie musicale », Petit Journal de l'exposition Musée Instrumental. Acquisitions récentes. 1982-1984, Paris, 21 nov. 1983 - 23 février 1984, n.p.
26.	« Watteau et la musique », Watteau. 1684-1721 [Cat. dexp.], Margaret Morgan Grasselli et Pierre Rosenberg (dir.), Paris, Grand Palais, 1984, 529-543 (traduction américaine, Washington, National Gallery, 1984, 527-545 ; traduction allemande, Berlin, Schloss Charlottenburg, 1985, 533-552).
27.	« Patrimoine instrumental et interprétation historique », Les goûts réunis (mars 1985), 20-23.
28.	« L'accord des nations » ; « L'atelier de Nicolas Hotteterre » ; « Allégorie et symboles dans le décor du clavecin Ruckers-Taskin » ; « Les Erard. L'inventeur et l'entreprise familiale », et notices, La facture instrumentale européenne : suprématies nationales et enrichissement mutuel [Cat. dexp.], Florence Gétreau (dir.), Paris, Société des Amis du Musée Instrumental, 1985, 9-12 ; 95-98 ;108-110 ; 153-161.
29.	« The Lute collection of the Paris Museum of Musical Instruments: its character, formation and development », Journal of the Lute Society of America 17-18 (1984-85), 50-52.
30.	« Le patrimoine instrumental, le musicien et le facteur d'instruments de musique », Rencontres internationales pour la protection du patrimoine culturel, Avignon, 1986, 236-247.
31.	« Préface », Marie-Christine et Jean-FrançoisWeber, J.K. Mercken. Premier facteur parisien de forte-piano, Paris, La Flûte de Pan, 1986, 7-13.
32.	En collaboration avec Robert Barclay, Friedemann Hellwig, Cary Karp, Jeannine Lambrechts-Douillez, « Recommandations pour réglementer l'accès aux instruments de musique dans les collections publiques », Nouvelles de l'ICOM, Bulletin du Conseil International des Musées 39/3 (1986), 5-8.
33.	« La viole et ses virtuoses au temps de Lully » ; « Une dynastie de facteurs de guitare : Les Voboam » ; et notices, Lully. Musicien soleil [Cat. dexp.], Jérôme de La Gorce, Herbert Schneider, François Arné (dir.), Versailles 1987, 85-88 ; 94-97.
34.	« Contribution à l'histoire de la conservation en France », Actes du colloque international de Venise Per una carta europea del restauro. Conservazione, Restauro e riuso degli strumenti musicali antichi, Elena Ferrari Barassi et Marinella Laini (ed), Florence, Leo S. Olschki Editore, 1987, 255-267.
35.	« Watteau et la musique : réalité et interprétation » , Actes du colloque international Antoine Watteau (1684-1721). Le peintre, son temps et sa légende, François Moureau et Margaret Morgan Grasselli (dir.), Paris-Genève, Champion-Slatkine, 1987, 235-246.
36.	« Watteau et sa génération : contribution à la chronologie et à l'identification de deux instruments pastoraux », Actes du colloque international de Paris De l'Image à l'Objet. La méthode critique en iconographie musicale, Jacques Thuillier (dir.), Imago Musicae, IV, 1987, 299-314.
37.	« Instrumentistes et luthiers parisiens » ; « René, Alexandre et Jean Voboam : des facteurs pour La Guitarre Royalle » ; « L'apogée de la basse de viole en France » ; « Carmontelle et la société musicienne de son temps » ; « Le Musée musical de Dantan Jeune » ; « Ingres musicien » ; et 154 notices, Instrumentistes et luthiers parisiens. XVIIe-XIXe siècle [Cat. dexp.], Florence Gétreau (dir.), Paris, Délégation artistique de la Ville de Paris, 1988, 11-16 ; 51-74 ; 75-82 ; 106 ; 224 ; 230, 232, 234.
38.	« Le Museum, section de musique : une utopie révolutionnaire et sa descendance », Orphée Phrygien. Les musiques de la Révolution, Jean Rémy Julien et Jean-Claude Klein (dir.), Paris, Editions Du May / Revue Vibration, 1989, 217-231.
39.	« La Commission temporaire des Arts section de Musique : naissance et diffusion d'un modèle de Musée Instrumental », Actes du colloque de la Sorbonne, L'image de la révolution française, Michel Vovelle (dir.), Pergamon Press, 1989, t. III, 2107-2114.
40.	« Le Centre d'Etude, de Recherche et de Documentation Organologique du Musée Instrumental », Revue Internationale de Musique Française 29 (1989), 117-120.
41.	« La collection Hel. Sa place dans l'histoire des collections d'instruments de musique en France (1850-1930) », et 40 notices, La collection Hel. Instruments de musique anciens réunis par deux luthiers lillois [Cat. dexp.], Aude Cordonnier et Florence Gétreau (dir.), Lille, Musée de l'Hospice Comtesse, 1989, 11-16 ; 34-36 ; 38, 41, 42-43, 45-48, 55-59, 64-71, 82-86, 88-89, 92.
42.	5 articles (Instruments de musique, Clavecin, Luth, Violes, Violon) pour le Dictionnaire du Grand Siècle, François Bluche (dir.), Paris, Fayard, 1990, 333, 920, 1069-1070, 1611. 
43.	« Musiques de circonstances. Musiques et instruments : les commandes officielles », et notices 90-93, Napoléon aux Invalides [Cat. dexp.], Jean-Marcel Humbert (dir.), Paris, Musée de l'Armée, 1990-1991, 73-77, 170.
44.	« Situation du clavecin ancien en France. Description du champ patrimonial existant », Actes des Troisièmes journées nationales de l'Orgue, St Brieuc, 27 septembre-1er octobre 1989, ADDM, Côtes d'Armor, 1991, 131-151.
45.	« Les instruments de musique et l'activité des facteurs à Paris entre 1760 et 1780 », et 22 notices, Mozart à Paris [Cat. dexp.], Nicole Salinger (dir.), Paris, Musée Carnavalet, novembre 1991-février 1992, 41-45 ; 65, 81, 105, 120-122, 128-129, 132, 142, 144.
46.	« La musique », Les Noces de Cana de Véronèse : une oeuvre et sa restauration [Cat. dexp.], Jean Habert et Nathalie Volle (dir.), Paris, Réunion des Musées Nationaux, 1992, 239-255.
47.	28 articles (Barbey, Bongars, Borjon de Scellery, Bourdon, Castagnettes, Collections d'insturments de musique, Collichon, Contrebasse, Cornemuse, Cymbales, Diapason, Dumesnil, Feury, Lutherie, Méthode pour la musette, Musette, Pochette, Sourdeline, Tambour, Tambourin, Tibaut, Timbale, Traité de la musette, Traité des instruments de musique, Trichet, Tympanon, Vielle à roue, Watteau) pour le Dictionnaire de la musique en France. XVIIe-XVIIIe siècles, Marcelle Benoit (dir.), Paris, Fayard, 1992, 52, 80, 82, 83, 114, 164, 165, 178, 181, 196, 234, 252, 291, 422, 463, 487, 565, 649, 659, 679, 686, 688, 692, 712, 732.
48.	« Le laboratoire d'organologie et d'iconographie musicale », Culture et recherche 39 (1992), 6-8. 
49.	« Le Cabinet d'instruments du Conservatoire de Musique et le débat sur le Museum des arts et des sciences », Actes du colloque international Musique, histoire, démocratie, Paris, Musée national des Arts et Traditions populaires, Antoine Hennion (dir.), 1989, Paris, Maison des Sciences de l'Homme / Vibration, 1993, t. 3, 581-594. 
50.	« Gustave Chouquet, Léon Pillaut et l'unique catalogue du Musée Instrumental du Conservatoire de Musique de Paris », introduction (et index cumulatif) à la réédition en fac-similé du Catalogue raisonné du Musée du Conservatoire, Paris, 1884, 1894, 1903, Genève, Minkoff, 1993, 5-20 ; 495-530.
51.	« Restaurer l'instrument de musique : l'objet sonore et le document sont-ils conciliables ? », Actes du colloque international Restaurierunggeschichte II. Theorie-Praxis-Dilemna, Bâle, novembre 1991, Geschichte der Restaurierung in Europa II, Monica Bilfinger, Yvonne Boerlin, Christian Marty, Ulrich Schiessl (dir.), Worms, Wernersche Verlagsgesellschaft, II. 1993, 145-153.
52. 	« Le Musée de la Musique et la profession », La lutherie du quatuor en France. Journées professionnelles de la lutherie, Philippe Bachmann (dir.), Paris, Cité de la Musique, 1993, 223-227.
53. 	« La collection des cuivres au Musée de la Musique de Paris », Science et Technologie de la Conservation et de la Restauration des uvres et du patrimoine 3 (1993), 53-54.
54.	« Y a-t-il un état original de l'instrument ? », in Du baroque à l'époque contemporaine. Aspects des instruments à archet, Actes du colloque Les instruments à archet du baroque à l'époque contemporaine, Anne Penesco (dir.), Paris, Sorbonne, 1991, Observatoire Musical Français, Paris, Librairie Honoré Champion, 1993, 27-41.
55. 	« La recherche en organologie. Les instruments de musique occidentaux. 1960-1992 », Revue de Musicologie 79 (1993), avec la collaboration de Joël Dugot, Karel Moens, Manfred Hermann Schmid, Howard Schott, 12-74.
56.	« Le concert instrumental des Noces de Cana de Véronèse : interrogations pour une lecture méthodique », Actes du congrès international de la Société Internationale de Musicologie, Mediterranean Musical Cultures and their ramifications, Madrid, 1992, Revista de Musicologia XVI/2, (1993), 985-988.
57.	« Collectionneurs d'instruments anciens et ensembles de musique ancienne en France (1850-1950) », Actes du colloque international d'iconographie musicale Musikkultur im Spiegel der bildenden Kunst, Hambourg, Août 1991, in Jahrbuch für Musikwissenschaft 12. Musikalische Ikonographie, Harald Heckmann, Monika Holl et Hans Joachim Marx (dir.), Laaber, Laaber Verlag, 1994, 73-82.
58.	Les Dessins français de la collection Chennevières [Cat. dexp.], Institut de France, Musée Jacquemart-André, Paris, 1994, 5-24.
59.	« La collection de tableaux et dessins français d'Edouard André et Nélie Jacquemart », Gazette des Beaux-Arts, Numéro spécial sur le musée Jacquemart-André, Février75 (1995), 177-190.
60.	« Orphée et les instruments de musique dans l'Occident moderne », Les métamorphoses d'Orphée [Cat. dexp.], Catherine Camboulives et Michèle Lavallée (dir.), Tourcoing, Strasbourg, Ixelles, 1995, 95-103. 
61.	« Images du patrimoine : collectionneurs d'instruments anciens et ensembles de musique ancienne en France (1850-1950) », « Une harpiste au Concert Spirituel : Mademoiselle Schenker en 1765 », « Berlioz et Paganini : un double hommage », « Le laboratoire d'organologie et d'iconographie musicale du CNRS », « Journées d'étude pour la documentation en iconographie musicale », Musique-Images-Instruments 1 (1995), 34-47 ; 178-181 ; 182-186 ; 191-192 ; 192.
62.	En collaboration avec Anne-Noëlle Bouton, « Un portrait d'Hélène de Montgeroult dans l'ancienne collection d'A. de Mirimonde », Musique-Images-Instruments 1 (1995), 68-75. 
63.	« L'instrument de musique comme objet de patrimoine : quels objectifs de restauration ? », Conservation-Restauration-Technologie, C. Périer-D'Ieteren et A. Godfrind-Bron (dir.), Université Libre de Bruxelles, 1994-1995, 57-75.
64.	« Les instruments reflets de l'histoire du goût », Musiques et musiciens au faubourg Saint-Germain [Cat. dexp.], Jean Gallois (dir.), Paris, 1996, Institut Culturel néerlandais, 50-65. 
65.	« Un cabinet d'instruments pour l'instruction publique : faillite du projet, ouverture du débat », Le Conservatoire de Paris. : des Menus-Plaisirs à La Cité de la Musique, Yves Gérard et Anne Bongrain (dir.), Paris, Buchet-Chastel, 1996, 133-150.
66.	« Les belles vielleuses au siècle de Louis XV : peinture d'une mode triomphante », Vielle à roue, territoires illimités, Pierre Imbert (dir.), FAMDT Editions, collection Modal, 1996, 96-109.
67. 	« Entre l'oral et l'écrit. Pratique, transmission et théorie du métier de facteur d'instruments de musique », Ethnologie française, 1996/3, 504-519. 
68. 	Notices, Watteau et son cercle dans les collections de l'Institut de France [Cat. dexp.], Chantilly, musée Condé, Le Musée Condé, n° 51, octobre 1996, 28, n° 21 ; 32-34, n° 32 à 36 ; 35, n° 37. 
69.	« Acquisitions. Paris, Musée national des Arts et Traditions populaires », Revue du Louvre. La Revue des musées de France, 2-1996, 104-105, n° 53. 
70.	Article « Instruments de musique » pour le Dictionnaire européen des Lumières, Michel Delon (dir.), Paris, Presses Universitaires de France, 1997, 592-594.
71.	En collaboration avec Denis Herlin, « Portraits de clavecins et de clavecinistes français », Musique-Images-Instruments 2 (1997), 88-114.
72.	« La dynastie des Voboam : nouvelles propositions », « Vincent Tibaut de Toulouse, ébéniste et facteur de clavecins : données biographiques », Musique-Images-Instruments 2 (1997) 185-195 ; 196-202. 
« Introduction », « Concerts ambulants : portrait de quelques célébrités en plein vent », et 400 notices, Les musiciens des rues de Paris [Cat. dexp.], Florence Gétreau (dir.), Paris, Réunion des musées nationaux, 1997, 13-15 ; 41-47 ; 112-133.
« Alte Instrumente im Frankreich des 19. Jahrhunderts. Die Rolle des Conservatoire und private Initiativen », Basler Jahrbuch für Historische Musikpraxis, 21 (1997), 181-213.
75.	« Französische Bögen im 17. und 18. Jahrhundert. Dokumente und ikonograpfische Quellen », Der Streichbogen. Entwicklung-Herstellung-Funktion, Günter Fleischhauer, Monika Lustig, Wolfgang Ruf, Frieder Zschoch (dir.), Michaelstein, 1998, Michaelsteiner Konferenzberichte Band 54, 21-36. 
76. 	« La vogue des clavecins anversois en France. XVIIe et XVIIIe siècles », Hans Ruckers ( 1598). Stichter van een klavecimbelatelier van wereldformaat in Antwerpen, Jeannine Lambrecht-Douillez (dir.), Peer, Alamire, 1998, 65-75.
77.	« Le marché de la lutherie à l'époque de Vuillaume : quelques éléments d'approche », [Cat. dexp.] Violons, Vuillaume. 1798-1875. Un maître luthier français du XIXe siècle, Jeanne Villeneuve, Emmanuel Jaeger (dir.), Paris, Musée de la Musique, 1998, 110-121. 
78.	En collaboration avec Denis Herlin, « Portraits de clavecins et de clavecinistes français. II », Musique-Images-Instruments 3 (1998), 64-88. 
79.	« L'iconographie musicale dans l'exposition Musiciens des rues de Paris », « Barry Brook », Musiques-Images-Instruments 3(1998, 225-226 ; 227. 
80.	« The fashion for Flemish harpsichords in France: a new appreciation », Kielinstrumente aus der Werkstatt Ruckers - zu Konzeption, Bauweise und Ravalement sowie Restaurierung und Konservierung : Bericht über die Internationale Konferenz vom 13-15. September 1996 im Händel-Haus Halle, Christiane Rieche (dir.), Halle an der Saale, Händel-Haus, 1998, 114-135. 
81.	« Street musicians of Paris: evolution of an image », Music in Art, International Journal for Music Iconography, XXIII/1-2 (1998), 62-78. 
82.	En collaboration avec Eliane Daphy, « Musiciens des rues-musiques dans la rue », Ethnologie française, numéro spécial Musiques dans la rue1999/1, 8-10.
83.	« Introduction » ; « Traces du baroque - Visions en abîme », [Cat. dexp.] Souffler, c'est jouer : chabretaires et cornemuses à miroirs en Limousin, Florence Gétreau, Eric Montbel (dir.), Paris, Editions FAMDT/ Modal Etudes, 1999, 11 ; 21-34. 
84.	« Musikinstrumente in allegorischen Darstellungen des 17. Jahrhunderts », [Cat. dexp.] Für Aug' und Ohr. Musik in Kunst- und Wunderkammern, Wilfried Seipel (dir.), Kunsthistorisches Museum Wien/Skira, 1999, 20-29. 
85. 	« Acquisitions. Paris, Musée national des Arts et Traditions populaires », Revue du Louvre. La Revue des musées de France 3 (1999), 107-108, n° 58, 59, 60, 61. 
86.	« Regional schools of Instrument-Making in France: Their Representation in Public Collections », Actes des journées d'étude Regional Traditions in Instrument Making: Challenges to the Museum Community. CIMCIM Publications N° 4, Martin Elste, Eszter Fontana, John Koster (dir.), Leipzig/Halle, 1999, 35-44.
87.	« Rendre le Mnatp à la société de son temps », Actes du colloque Réinventer un musée. Le musée national des Arts et traditions populaires, centre d'ethnologie française, 25-26 mars 1997, Michel Colardelle, Colette Foissey (dir.), Paris, Mnatp/Ecole du Louvre, 1999, 124-125. 
88.	« Les archets français aux XVIIe et XVIIIe siècles : quelques repères iconographiques », Musique-Images-Instruments 4 (1999), 124-138. 
89. 	« Concerts et assemblées avec luthiste : un genre à la française et ses variantes », Actes du colloque Luths et luthistes en Occident, Paris, Cité de la musique, 13-15 mai 1998, Paris, Cité de la musique, 1999, 295-304. 
90.	 « Les musiciens des Boulevards », [Cat. dexp.] Les grands boulevards, Bernard Landau, Claire Monod et Evelyne Lohr (dir.), Paris, Action artistique de la ville de Paris, 2000, 146-149.
91.	« Les clavecins de François Couperin », François Couperin (1668-1733), textes réunis par Catherine Cessac, Versailles, CMVB/EPV, 2000, 155-161.
92.	« A la recherche du portrait de Monsieur Rindvel jouant de la viole », Actes du colloque international Strumenti, Musica e Ricerca, Atti del Convegno internazionale. Cremona 28-29 ottobre 1994, Elena Ferrari Barrassi, Marco Fracassi, Gianpaolo Gregori (dir.), Crémone, Ente triennale internazionale degli strumenti ad arco, 2000, 203-224. 
93.	« Matière et musique : quelques réflexions des premiers organologues de langue française », Matière et musique. The Cluny Encounter. Proceedings of the European Encounter on Instrument Making and Restoration. Actes de la rencontre européenne autour de la facture instrumentale. Akten van het Europeen Congres over instrumentenbouw en restauratie (Cluny 1999), Claire Chevallier, Jos van Immerseel (ed), Peer, Alamire, Labo 19, 2000, 19-33 ; traduction en flamand 34-47.
94.	« L'homme-orchestre : deux siècles de tradition française », Revue du Louvre. La revue des musées de France 5 (2000), 67-77.
95.	Articles « Blanchet, Clapisson, Chouquet, Comettant», Die Musik in Geschichte und Gegenwart, MGG, Ludwig Finscher (ed.) ; Cassel, Bärenreiter, Stuttgart, Metzler, 2000, Personenteil 3, col. 38-39 ; Personenteil 4, col. 1017-1018, 1177-1179, 1433-1434.
96.	Articles « Mustel, Trichet, Voboam », The New Grove Dictionary of Music and Musicians, Second edition, Laura Macy (ed), Londres, Macmillan, 2001, vol.17, 557; 25, 727 ; 26, 853-854.
97.	« Le patrimoine musical de deux musées parisiens » , La vie musicale sous Vichy, Myriam Chimènes (dir.), Paris, Editions Complexe, Institut dHistoire du Temps Présent/CNRS, 2001, 183-199. 
98.	« Vingt ans denrichissement pour un nouveau musée (1980-2000) » ; « XVIIe-XVIIIe siècles. Témoignages de la haute société» ; 6 notices duvre, [Cat. dexp.] Un musée aux rayons X. Dix ans de recherche au service de la musique, Joël Dugot, Laurent Espié (dir.), Paris, Musée de la Musique, 2001, 37-52 ; 102-105 ; 106-107 ; 108-111 ; 130-133 ; 134-135 ; 148-149 ; 152-155.
99.	« Instrumentenkabinette in Frankreich zur Zeit der Bourbonenkönige », Musica instrumentalis. Zeitschrift für Organologie, Band 3, Nuremberg, Germanisches Nationalmuseum, 2001, 61-73.
100.	« Acquisitions. Paris, Musée national des Arts et Traditions populaires », Revue du Louvre. La Revue des musées de France 2 (2001), 104.
101.	« L'image du faiseur d'instruments de musique à la Renaissance », Actes des journées d'étude Les images de la musique à la Renaissance, Tours, Centre d'Etudes Supérieures de la Renaissance, 25-26 octobre 1996, Imago Musicae 16-17 (1999/2000) [2001], 117-136.
102.	Article «Debain», Die Musik in Geschichte und Gegenwart, MGG, Ludwig Finscher (ed.), Cassel, Bärenreiter., Stuttgart, Metzler, 2001, Personenteil 5, col. 560-561.
103.	« The Conservation of acoustical specifications : a long ignorance in public collections of ancient instruments », 17th International Congress on Acoustics Proceedings, Session Acoustics in the restoration of ancient musical instruments, Rome, Brüel & Kjaer, 2001, CD Rom vol. IV.
104.	Article « Erard », Die Musik in Geschichte und Gegenwart, MGG, Ludwig Finscher (ed.), Cassel, Bärenreiter, Stuttgart, Metzler, 2001, Personenteil 6, col. 391-396.
105.	 « La rue parisienne comme espace musical réglementé (XVIIe-XXe siècle) », Actes du colloque de Montréal Musiques dans la rue, 13-15 octobre 2000, Les cahiers de la société québécoise de recherche en musique 5/1-2 (2001), Rumeurs urbaines, 11-23. 
106.	Article « Gétreau », Die Musik in Geschichte und Gegenwart, MGG, Ludwig Finscher (ed.), Cassel, Bärenreiter, Stuttgart, Metzler, 2002, Personenteil 7, col. 847.
107.	« Les archets français aux XVIIe et XVIIIe siècles. Documents et sources iconographiques », 3èmes rencontres de Mirecourt, 8-9 mai 2002, Mirecourt, Les Amis du Musée de la Lutherie et de l Archèterie française, 2002, 25-34.
108.	« La chanson de colportage éditée hors de Troyes dans les collections du Musée national des Arts et Traditions populaires : une esquisse », Chansons de colportage, Textes réunis par Marie-Dominique Leclerc et Alain Robert, Reims, 2002, 78-91.
109.	En collaboration avec Laurent Aubert, « Rencontres. Musiques à écouter, musiques à voir : la musique dans les musées de société. Compte rendu des Journées dEtude de la Société française dethnomusicologie. Carry-le-Rouet. 24-26 mai 2002. Synthèse et perspectives », Cahiers de musiques traditionnelles, vol. 15, 2003, 237-241 ; Musées et collections publiques de France, 232 (2001/2), 55-60. 
110.	« A François Lesure » ; « Un portrait énigmatique de lancienne collection Henry Prunières », Musique-Images-Instruments 5 (2003), 5-7 ; 148-156. 
111. 	« Mirecourt et la facture instrumentale : dix questions pour un musée », [Cat. dexp.] Lutherie de fortune. Fortune de lutherie, Mirecourt, Musée de la lutherie et de larchèterie françaises, 2003, 23-26. 
112.	35 articles (Archetier, Blanchet, Bricqueville, Chromamètre, Clapisson, claviharpe, collectionneurs dinstruments de musique, Coussemaker, Dedenis, éolicorde, Hamy, harpe éolienne, iconographie musicale, Jacquot, Jomard, Kastner, La Fage, Lacôte, Laprévotte, Lombardon-Montézan, Lot, Musée Instrumental, musiciens des rues, octobasse, Pierre, Pontécoulant, Roller et Blanchet, Savoye, Schoelcher, Sibire, Silvestre, Tagore, Weckerlin, pour le Dictionnaire de la musique en France au XIXe siècle, Joël-Marie Fauquet (dir.), Paris, Fayard, 2003, 55, 150, 181, 273-274, 280-281, 284-285, 291, 329, 365, 428, 562, 578, 608, 629, 637, 646, 655-656, 665, 711, 713, 831, 833-834, 879, 976-977, 988, 1079, 1126, 1131-1132, 1147, 1150, 1197, 1312-1313. 
113.	11 articles (« Alexandre, Boehm, Boisselot, Erard, Exposition universelle de 1855. Les instruments de musique, Expositions universelles, Musée Instrumental, Notices sur les orgues Pleyel Camille, Sax, Vuillaume »), pour le Dictionnaire Berlioz, Pierre Citron, Cécile Reynaud (dir.), Paris, Fayard, 2003, 19-20, 79-80, 81, 173-174, 183-184, 364, 382, 429, 499-500, 586-587.
114.	En collaboration avec Michel Colardelle, « Les musiques traditionnelles au Musée national des Arts et Traditions populaires et au futur Musée des civilisations de lEurope et de la Méditerranée », Cahiers de musiques traditionnelles, 16, Musiques à voir, 2003, 43-58.
115.	« Le son dans lexposition Musiciens des rues de Paris », Cahiers de musique traditionnelle 16, Musiques à voir (2003), 123-136.
116. 	« Des claviers au son fort et prolongé, expressif et timbré », Avant-propos aux Actes des Rencontres internationales Harmoniques, Lausanne, avril 2002, Berne, Peter Lang, 2004, 9-12. 
117. 	« Liconographie musicale : définition, constitution de corpus et outils d'exploitation », A portée de notes. Musiques et mémoire. Colloque de Grenoble. 14-15 octobre 2003, ARALD, FFCB, Bibliothèques municipales de Grenoble, 2004, 87-101. 
118. 	« Music in Art: Iconography as a Source for Music History. New York, 5-8 Novembre 2003 », Musique-Images-Instruments 6 (2004), 248-249. 
119. 	En collaboration avec Michel Colardelle, « Du musée des traditions populaires au musée des Civilisations, France », Nouvelles de l'ICOM, Lettre du Conseil international des musées 57 (2004), Le musée virtuel, 6.
120. 	« Liconographie de la vihuela», Aux origines de la guitare : la vihuela da mano, sous la dir. de Joël Dugot, Paris, Les Cahiers du musée de la Musique 5, 2004, 41-49.
121.	« Portrait des marquis de Baussan mit einem Pardessus de Viole. Französische Schule des 18. Jahrhunderts. Château de Thoiry (Yvelines), Frankreich », Viola da gamba Mitteilungen 56 (Décembre 2004), 5-6.
122.	Notes de programme pour les concerts de la Cité de la Musiquee, Les instruments du musée. Le Salon des Refusés, 2-6 février 2005 : « Le Salon des Refusés », 3-4 ; « LAutriche, berceau dinstruments rares », 8-11 ; « Armonica de verre, séraphin et musette baroque », 15-18 ; « Une soirée chez les Jacquin », 21-22 ; « uvres pour deux pianos jouées sur un piano double », 25-27 ; « Musique de cour et musique déglise pour instruments à vent au XVIIe siècle », 32-35. 
122.	En collaboration avec J. Dugot, « Citterns in French public collections. Instruments and musical iconography », Gitarre und Zister. Bauweise, Spieltechnik und Geschichte bis 1800. 22. Musikinstrumentenbau-Symposium Michaelstein, 16-18 November 2001, Monika Lustig (Hrg), Stiftung Kloster Michaelstein, Verlag Janos Stekovics, 2005, 51-68. 
123.	« Tambours-bourdons en France au XVIIIe siècle », Musique-Images-Instruments 7 (2005), 66-85. 
124.	« Définir, réunir, conserver, étudier, restituer le patrimoine musical : quelques exemples en France », Il Saggiatore musicale. Rivista semestrale di musicologia, 11 (2004 [paru en 2005], « I beni musicali: verso una definizione », 172-180.
125. 	« Romantic pianists in Paris: Musical images and musical Literature », Music in Art. International Journal for Music Iconography 29 (2004) [paru en juillet 2005], 188-202.
126. 	« Paris et la musique, toute une histoire
 La rue parisienne comme espace musical », CNRS Thema, n° 7, 2e trimestre 2005 « Paris en scènes », http://2.cnrs.fr/presse/thema/497.htm.
127.	« Recent Research about the Voboam Family and Their Guitars », Journal of the American Musical Instrument Society 31 (2005), 5-66.
128.	« La méthode de serpent de Jean-Baptiste Métoyen : héritages et évolutions ». Préface à Jean-Baptiste Métoyen, Ouvrage complet pour lEducation du serpent, Benny Sluchin (éd.), Paris, Editions musicales européennes. Brass Urtext, 2006, VII-XII. En collaboration avec Cécile Davy-Rigaux.
129. 	« Liconographie du clavecin en France, 1789-1889 », Musique ancienne  instruments et imagination / Music of the past  instruments and imagination. Actes des Rencontres Internationales harmoniques / Proceedings of the harmoniques International Congress, Lausanne 2004, Michael Latcham (Ed.), Bern, Peter Lang, 2006, 169-191.
130.	« Quelques cabinets dinstruments en France au temps des rois Bourbons », Musique-Images-Instruments 8 (2006), 25-44.
Sous presse
131.	« Consideration on Keyboard Conservation and Policy for Facsimile in France », Bartolomeo Cristofori : la spinetta ovale del 1690. Incontro di studio per il progetto di restauro, Firenze, Galleria dellAccademia, 21-22 octobre 2002. 
132. 	« Philippot le Savoyard. Portraits dun Orphée du Pont-Neuf mêlés de vaudevilles, dimages et de vers burlesques », « Lesprit français » und die Musik Europas. Entstehung, Einflu( und Grenzen einer ästhetischen Doktrin. Festschrift für Herbert Schneider, Michelle Biget-Mainfroy, Rainer Schmuch, (ed.), Hidelsheim, Olms. 
133. « The Horn in seventeenth and eighteenth century France: Iconography related to performances and musical works », in Jagd- und Waldhörner. Geschichte und musikalische Nutzung. The Horn - History and Musical Use, 7-9 octobre 2004, Michaelstein, Stiftung Kloster Michaelstein, 25. Musikinstrumentenbau-Symposium.
134.	« Recherche et maintien de la tradition musicale populaire en France : positions de principe, méthodes dobservation et réalisation du MNATP », Actes du colloque international Du folklore à lethnologie. Institution, musées, idées en France et en Europe de 1936 à 1945, Paris, MNATP, 19-21 mars 2003, Paris, Editions de la Maison des Sciences de lHomme.
135.	« Liszt au piano : portrait de groupe et filiations artistiques », in Larchitecte et le maçon. Le compositeur et linterprète, Michel Noiray (dir.), en collaboration avec Cécile Reynaud.
136. 	« Ouvert ou fermé : images du piano romantique. 1815-1848 », Actes du colloque Interpréter Chopin, Paris, Cité de la Musique.
137.	« Guillaume de Limoges et François Couperin : la Ménestrandise parisienne en question » in Instrument und Musik. Festschrift Jürgen Eppelsheim zum 70. Geburtstag, herausgegeben von Silke Berdux und Bernd Edelmann.
138.	« Curt Sachs as a theorist for musical museology », Actes du colloque Musics Intellectual history: Founders, Followers & Fads, 16-19 mars 2005, New York, The City University of New York, Rilm publications, 2006.
139.	« Instrument making in Lyon and Paris around 1600 », Musikalische Aufführungspraxis in nationalen Dialogen des 16. Jahrhunderts: Niederländisches und weltisches Lied von 1480 bis 1640. Instrumentenbauschulen im 16. Jahrhundert, 6-8 mai 2005, Michaelstein, Stiftung Kloster Michaelstein, 26. Musikinstrumentenbau-Symposium. 
140. 	« Les instruments. 200 articles », Guide de la musique de la Renaissance, Françoise Ferrand (dir.), Paris, Fayard, en collaboration avec Catherine Homo-Lechner.
COMPTES RENDUS D'OUVRAGES
1.	« Helmut Ottner, Der Wiener Instrumentenbau, 1815-1833, Tützing, 1977 », Revue de Musicologie, 1980, LXVI, 238-239.
2.	« [Cat. dexp.] L'instrument de musique populaire : usages et symboles, Musée des Arts et Traditions Populaires, 1980 », CIMCIM-Newsletter, IX, 1981, 58-60.
3.	« Günther Hellwig, Joachim Tielke. Ein Hamburger Lauten-und Violenmacher der Barockzeit, 1980 », Revue Française de Musicologie, 1981, n° 2, 245-247.
4.	« Auguste Tolbecque, L'Art du luthier, 1903/Reprint Laffitte, Marseille, 1978 », Revue Française de Musicologie, 1981, n° 2, 249-250.
5.	« Malou Haine et Ignace De Keyser. Catalogue des instruments Sax au Musée Instrumental de Bruxelles, 1980 », Revue Française de Musicologie, 1981, n° 2, 249-250.
6.	« Dossier Erard, Introduction d'Anik Devries, Reprint Minkof, 1980 », Fontes Ars Musicae, 1982.
7.	« La facture de clavecin du XVe au XVIIIe siècle. Actes du colloque de Louvain, 1976, publiés par Philippe Mercier, 1980 », Fontes Ars Musicae, 1982.
8.	« Albert Cohen, Music in the French Royal Academy of Sciences, 1981 », Revue Française de Musicologie, 1983, n° 1, 116-117.
9.	« Willibald von Lütgendorff / Thomas Drescher, Die Geigen-und Lautenmacher, 1990 », Revue Française de Musicologie, 1991, n° 2, tome 77, 335-337.
10 	« Maurice Guis, Thierry Lefrançois, Rémi Venture, Le galoubet-tambourin, instrument traditionnel de Provence, 1993 », Musique-Images-Insruments 1 (1995), 201-205..
11.	« Le carnyx et la lyre. Archéologie musicale en Gaule celtique et romaine. [Cat. dexp.], 1993-1994 », Musique-Images-Instruments 1 (1995), 209-212.
12.	« Sébastien Erard (1752-1831) ou La rencontre avec le pianoforte. [Cat. dexp.], 1993 », Musique-Images-Instruments 1 (1995), 212-213.
13. 	« Thomas Aurelius Belz, Das Instrument der Dame. Bemalte Kielklaviere aus drei Jahrhunderten, 1998 », Musique-Images-Instruments 4 (1999), 201-202.
14. 	« Gian Casper Bott, Der Klang im Bild. Evaristo Baschenis und die Erfindung des Musikstillebens, 1997 », Musique-Images-Instruments 4 (1999), 202-204.
15. 	« Bettina Wackernagel, Musikinsrumente des 16. bis 18. Jahrhunderts im Bayerischen Nationalmuseum, 1999 », Musique-Images-Instruments 4 (1999), 21-212. 
16. 	« Cristina Bordas Ibanez, Instrumentos musicales en colecciones españolas, vol. I, Museos de titularidad estatal. Ministerio de educación y cultura, Madrid, Centro de documentación de música y danza, 1999, 382 ill.», Musique-Images-Instruments 5 (2003), 247-250.
17. 	« Brigitte Bachmann-Geiser, avec des contributions de Hans-Jürg Sommer, Rolphe Fehlmann, Res Margot, Matthias Wetter, Das Alphorn. Vom Lock- zum Rockinstrument, Berne, Stuttgart, Vienne, Verlag Paul Haupt, 1999, 224 ill. », Musique-Images-Instruments 5 (2003), 245-247.
18. 	« Evguenia Roubina, Los instrumentos de arco en la Nueva España, México, Conaculta. Fonca, 1999, 244 ill. » Musique-Images-Instruments 5 (2003), 259-260.
19.	« Elizabeth Wells (ed.), avec John Budgen, William Debenham, Jenny Nex, Christopher Nobbs and Lance Whitehead, Royal College of Music. Museum of Instruments. Catalogue. Part II. Keyboard Instruments, Londres, Royal College of Music, 2000, 143 ill. », Musique-Images-Instruments 5 (203) 260-261.
20. 	« Jean-Louis Augé, Luc Charles-Dominique, La musique et les arts figurés en Espagne, Castres, Musée Goya, 23 juin-8 octobre 2000, 168 ill. », Musique-Images-Instruments 5 (2003),  244-245. 
21. 	« Figures de la passion. Musée de la Musique, Cité de la Musique, Paris (23 October 2001 - 20 January 	2002. Exhibition curated by Frédéric Dassas, Emmanuel Coquery, Christine Laloue, Anne 	Piéjus and Michel Verschaeve; catalogue edited by Emmamnuel Coquery and Anne Piéjus ; 	preface by Frédéric Dassas (Paris : Réunion des Musées nationaux, 2001), 288 pages. »
	« Linvention du sentiment. Aux sources du romantisme. Musée de la Musique, Cité de la Musique, Paris (2 April  30 June 2002). Exhibition curated by Frédéric Dassas, Dominique de Font-Réaulx and Barthélémy Jobert ; catalogue edited by Marion Challier and Bernadette Caille ; prefaces by Laurent Bayle and Frédéric Dassas (Paris : Réunion des Musées nationaux, 2002), 288 », Music in Art 28 (2004), 244-247. 
22.	« Gunther Braam, The Portraits of Hector Berlioz, Richard Macnutt et John Warrack (ed.), Cassel, Bâle, Londres, New York, Prague, Bärenreiter, 2003, 401 122 ill. New Edition of the Complete Works, Volume 26. Traduction du texte daccompagnement par Josée Bégaud. Übersetzung der Begleittexte von Stephanie Wollny, 202 », Musique-Images-Instruments 7 (2005) 233-235.
23. 	« Bernard Brauchli, Alberto Galazzo, Ivan Moody (ed.), De Clavicordio VI. Proceedings of the VI International clavichord Symposium. Magnano, 10-13 September 2003, Magnano, Musica antica, 2004, 200 ill. », Musique-Images-Instruments 7 (2005) 235-236.
24. 	Bettina Wackernagel, Musikinstrumentenverzeichnis des Bayerischen Hofkapelle von 1655. Faksimile, Transkription und Kommentar, Tutzing, Hans Schneider, 2003, 185 ill. », Musique-Images-Instruments 8 (2006), 219.
25. 	« Marie Grazia Bernardini (ed.), Il cembalo in marmo per Francesco II dEste, Modène, Fondazione Cassa di Risparmio di Modena, Ministero per i beni e le attività Culturali [2005] », Musique-Images-Instruments, n° 8, 2006, 220.
26. 	Frederick R. Selch, H. Reynold Butler, The Legacy of Sebastian Virdung. An illustrated catalogue of rare books from the Frederick R. Selch Collection pertaining to the History of Musical Instruments, Foreword & additional commentary by Laurence Libin, New York, The Grolier Club, 2005, 229 ill. », Musique-Images-Instruments 8 (2006), 221. 
27. 	James R. Cowdery, Zdravko Blazekovic, Barry S. Brook (ed.), Speaking of Music. Music Conferences, 1835-1966, New York, Répertoire international de Littérature musicale, 2004, 740 » Musique-Images-Instruments 8 (2006), 224. 
Sous presse
28. 	Alessandra Fiori, Musica in mostra. Esposizione internazionale di musica (Bologna 1888), Bologna, Clueb, 2004, 221 p., Il Saggiatore musicale, 2006. 
COMPTE RENDUS sur des OUVRAGES de Florence Gétreau
Restauration des instruments de musique, Fribourg, Office du Livre, 1981.
	1. François Lesure, Bulletin des bibliothèques de France, t. 27, n° 3, mars 1982.
	2. Hermann Moeck, Tibia. Magazin für Freunde alter und neuer Bläsermusik, 1/1984. 
	3. Gianpaolo Gregori, Liuteria, IV, août 1984, 51-52. 
La facture instrumentale européenne. Suprématie nationales et enrichissement mutuel, 1985.
	1. Norbert Dufourcq, Recherches sur le Musique française classique, t. XXIV, 1986.
	2. William Waterhouse, The Galpin Society Journal, t. XLI, 1988, 123. 
Instrumentistes et luthiers parisiens. XVIIe-XIXe siècles, 1988.
	1. Robert Spencer, Lute News. The Lute Society Newsletter, n° 8, April 1988.
	2. [Danièle Pistone], Revue Internationale de Musique Française, n° 26, juin 1988.
	3. Hermann Moeck, Tibia. Magazin für Freunde alter und neuer Bläsermusik, 4/1988.
	4. Norbert Dufourcq, Recherches sur le Musique française classique, t. XXVI, 1988-90.	
	5. William Waterhouse, The Galpin Society Journal, t. XLVIII, Mars 1995, 223. 
6. Jeremy Montagu, FoMRHI Quartely. Fellowship of Makers and Researchers of Historical Instruments, n° 84, July 1996, 14-15.
La recherche en Organologie ; les instruments de musique occidentaux, 1993.
Jeremy Montagu, FoMRHI Quartely. Fellowship of Makers and Researchers of Historical Instruments, n° 77, Oct. 1994. 
2. Arnold Myers, The Galpin Society Journal, t. XLVIII, Mars 1995, 213-214. 
Aux origines du musée de la Musique. Les collections instrumentales du Conservatoire de Paris, 1793-1993, 1996.
1. Jeremy Montagu, FoMRHI Quartely. Fellowship of Makers and Researchers of Historical Instruments, n° 87, April 1997, 8-9.
	2. Beryl Kenyon de Pascual, The Galpin Society Journal, LI, July 1998, 202-203.
	3. André Larson, Journal of the American Musical Instrument Society, XXV, 1999, 133-136.
Musique-Images-Instruments 1. 1995.
	1. Beryl Kenyon de Pascual, The Galpin Society Journal, L, March 1997, 251-252.
	2. Suzanne Eggleston, Notes. Quarterly Journal of the Music Library Association, vol. 53, n° 4, June 1997, 1233.
3. Robert A. Green, IAMIS. Journal of the American Musical Instrument Society, XXIV, 1998, 146-148. 	
	4. Laurent Guillo, Revue de musicologie, 91, 2005, n° 1, 259-264. 
Musique-Images-Instruments 2. 1996.
Robert A. Green, IAMIS. Journal of the American Musical Instrument Society, XXIV, 1998, 146-148. 
2. Charles Mould, The Glapin Society Journal, LII, Avril 1999, 371-372. 	
	3.  Laurent Guillo, Revue de musicologie, 91, 2005, n° 1, 259-264. 
Musique-Images-Instruments 3. 1997. 
1. Jeremy Montagu,, FoMRHI Quartely. Fellowship of Makers and Researchers of Historical Instruments, n° 94, January 1999, 8-9.
Charles Mould, The Galpin Society Journal, LII, April 1999, 371-372.
Carolyn W. Simons, American Musical Instrument Society. Newsletter. Vol. 29, n° 2. Summer 2000, 25-26. 
4. Laurent Guillo, Revue de musicologie, 91, 2005, n° 1, 259-264. 
Musiciens des rues de Paris, 1997.
	1. Marie Barbara Le Gonidec, Cahiers de musiques traditionnelles, n° 11/1998, 268-272. 
	2. Catherine Choron-Baix, Ethnologie française, 1999/1, 138-140. 
	3. Antonio Baldassarre, Music in Art, XXIII, n° 1-2, Spring Fall 1998, 101-103. 
	4. Monique Desroches, Anthropologie et sociétés, vol. 23, n° 3, 1999, 190-192.
Souffler, c'est jouer : chabretaires et cornemuses à miroirs en Limousin, 1999.
	1. Jeremy Montagu, FoMRHI Quartely. Fellowship of Makers and Researchers of Historical Instruments, n°97, Oct. 1999, 11.
	2. Carmelle Begin, Journal of the American Musical Instrument Society. Vol. XXVII, 2001, 191-195.
Musique-Images-Instruments 4. 1999.
Jeremy Montagu, FoMRHI Quartely. Fellowship of Makers and Researchers of Historical Instruments, n°100, July 2000, 12-13.
2.  Laurent Guillo, Revue de musicologie, 91, 2005, n° 1, 259-264. 
Musique-Images-Instruments 5. 2003.
	1. Zdravko Blazekovic, Music in Art XXVII/1-2 (2002), 176
	2. Peter Williams, The organ yearbook: A journal for the player & historians of keyboard instruments, vol. 32, 2003, 207-208. 
	3. L'Orgue. Bulletin des Amis de l'Orgue, 2003 - III, n° 263, 112. 
	4. Laurent Guillo, Revue de musicologie, 91, 2005, n° 1, 259-264.
Musique-Images-Instruments 6. 2004
Laurent Guillo, Revue de musicologie, 91, 2005, n° 1, 259-264. 
Robert A. Green, American Musical Instrument Society - Newsletter, Fall 2005, 12.
3. Desmond Hosford, Music in Art. International Journal for Music Iconography, XXX/1-2, Spring-Fall 2005, p . 233-234.
Musique-Images-Instruments 7. 2005
Robert A. Green, American Musical Instrument Society - Newsletter, Fall 2005, 12.
Jean-Marc Warszawski, Musicologie.org/publirem/jmw_mii_07.html
3.  Desmond Hosford, Music in Art. International Journal for Music Iconography, XXX/1-2, Spring-Fall 2005, p . 233-234.
 Florence Gétreau, Les Dessins français de la collection Chennevières, catalogue d'exposition, Institut de France, Musée Jacquemart-André, Paris, 1994 ; « La collection de tableaux et dessins français d'Edouard André et Nélie Jacquemart », Gazette des Beaux-Arts, Numéro spécial sur le Musée Jacquemart-André, Février 1995, t. CXXV, p. 177-190 ; Notices du Catalogue d'exposition Watteau et son cercle dans les collections de l'Institut de France, Chantilly, musée Condé, Le Musée Condé 51 (octobre 1996) 28, n° 21 ; 32-34, n° 32 à 36 ; 35, n° 37.
 Marin Mersenne, Harmonie Universelle contenant la Théorie et la Pratique de la Musique, Paris, 1636, Edition en fac-similé de l'exemplaire conservé à la bibliothèque des Arts et Métiers et annoté par l'Auteur. Introduction par François Lesure, Paris, Éditions du cnrs, 1986.
 Paris, Bibliothèque Sainte-Geneviève, Manuscrit 1070. Son édition en a été donnée une première fois par François Lesure, « Pierre Trichet, Traité des instruments de musique », Annales musicologiques 3 (1955), 283-387 ; 4 (1956), 175-248. Une deuxième fois, Neuilly, Société de musique dautrefois, 1957. Et une troisième fois : Pierre Trichet, Traité des instruments de musique (vers 1640). Publié avec une introduction et des notes par François Lesure, Genève, Minkoff, 1978.
 Art du faiseur dinstruments de musique et lutherie, Extrait de lEncyclopédie méthodique. Arts et métiers mécaniques, Paris, Panckouke, 1785. Reprint Genève, Minkoff, 1972.
 William Waterhouse, The New Langwill Indes. A Dictionary of Musical Wind-Instrument Makers and Inventors, Londres, Tony Bingham, 1993, p. 234. Famille de facteurs parisiens dinstruments à vent. 
 Correspondance du P. Marin Mersenne, religieux minime, commencée par Mme Paul Tennery, publiée et annotée par Cornélis de Waard, avec la collaboration dArmand Beaulieu, Paris, Editions du CNRS, 1932-1986, 16 tomes. 
 Donald Boalch, Makers of the Harpsichord and Clavichord. 1440-1840, Charles Mould (ed.), Oxford, Clarendon Press, 1995, p. 153-154.
 Idem, p. 195 ; 661-665. 
 Josiane Bran-Ricci, « La flûte traversière chez Diderot. Tentative dinvestigation à travers lEncyclopédie », Imago Musicae 4 (1987), 325-334.
 Diderot et dAlembert, LEncyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des Sciences, des Arts et des Métiers.
 Claire Chevrolet, Art. « Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers », Marcelle Benoit (dir.), Dictionnaire de la musique en France aux XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, Fayard, 1992, 265-271.
 Joscelyn Godwin, Athanasius Kircher. Ein Mann der Renaissance und die Suche nach verlorenem Wissen, Berlin, Edition Weber, 1994. Traduit de langlais (1979) par Friedrich Engelhorn.
 Voir les nombreux travaux de Madeleine Pinault sur cette question, et notamment « Les chapitres artistiques des volumes de planches de lEncyclopédie », Diderot, les  Beaux-Arts et la Musique, Actes du colloque international, Aix-en-Provence, 14-16 décembre 1984, Aix-en-Provence, 1986, 67-91.
 Philippe Lescat, Méthodes et traités musicaux en France. 1660-1800, Paris, Institut de pédagogie musicale et chorégraphique, 1991, 178-179. 178-179.
 Antoine, Terrasson, Dissertation historique sur la vielle, Paris, J.-B. Lamesle, 1741. Reprint Genève, Minkoff, 1987.
 Je pense lavoir identifié avec un instrument conservé au Victoria & Albert Museum de Londres (Inv. N° 220-1866), comme je lai montré en 1995 : « L'instrument de musique comme objet de patrimoine : quels objectifs de restauration ? », Conservation-Restauration-Technologie, C. Périer-D'Ieteren et A. Godfrind-Bron (dir.), Université Libre de Bruxelles, 1994-1995, 60.
 Sébastien-André Sibire, La chélonomie ou le parfait luthier, Paris, Sibire & Millet, 1806, Paris, Bruxelles, Weissenbruck, 2/1823.
 Louis-Jean Francoeur, Diapason général de tous les instrumens à vent, Paris, 1772. Reprint Genève, Minkoff, 1972.
 Hector Berlioz, Grand traité dinstrumentation et dorchestration modernes, Paris, Schonenberger, 1844.
 Henri Lavoix, Histoire de linstrumentation depuis le XVIe siècle jusqu'à nos jours, Paris, Firmin-Didot, 1878.
 Voir François-Joseph Fétis et la vie musicale de son temps. 1784-1871 [Cat. dexp.], Bruxelles, Bibliothèque royale Albert 1er, 1972. 
 Revue musicale 1 (1827), 18-21.
 Pour les références détaillées de ces articles, voir Florence Gétreau, « Matière et musique : quelques réflexions des premiers organologues de langue française », Matière et musique, The Cluny Encounter, Peer, Alamire, 2000, 19-33.
 F.-J. Fétis, Biographie Universelle des Musiciens et Bibliographie Générale de la Musique, Bruxelles, Leroux, Mayence, Schott ; puis Bruxelles, Meline, Cans & Cie, 1835-1844. Nouvelle édition, Paris, Firmin-Didot frères, 1860-1865, 8 tomes.
 Idem, Antoine Stradivari, luthier célèbre, connu sous le nom de Stradivarius, précédé de recherches historiques et critiques sur l'origine et les transformations des instruments à archet et suivi d'analyses théoriques sur l'archet et sur François Tourte, auteur de ses derniers perfectionnements, Paris, Vuillaume, 1856.
 Adolphe, vicomte de Pontécoulant, « Exposition des produits de lindustrie », La France musicale 35-39, 41-48, 52 (1839), 292-294, 300-302, 310-313, 323-324, 349-350, 357-359, 371-373, 383-385, 393-396, 412-414, 425-426, 435-436, 481-482.
 Adolphe, vicomte de Pontécoulant, Organographie ou Analyse des travaux de la Facture instrumentale admise aux expositions de la France et de la Belgique des produits de lindustrie, Paris, chez lAuteur, 1839. 
 Adolphe, comte de Pontécoulant, Organographie. Essai sur la Facture Instrumentale. Art, Industrie et Commerce, Paris, Castel, 1861. 
 Les ménétriers sous lAncien Régime, Paris, Klincksieck, 1994.
 Pontécoulant achève dailleurs ce chapitre par lAssociation des artistes musiciens, fondation du baron Taylor en 1843, dont limportance est éclairée aujourdhui par les travaux de Joël-Marie Fauquet et Hervé Audéon.
 P. 204. Voir Florence Gétreau, « Musiques de circonstance. Musiques et instruments : les commandes officielles », et notices 90-93, Napoléon aux Invalides [Cat. dexp.], Jean-Marcel Humbert (dir.), Paris, Musée de l'Armée, 1990-1991, 73-77, 170.
 Cet instrument est entré au musée du Conservatoire de Paris en 1864 (Inv. E. 233). Il a été reconnu en 1967 comme faux Ruckers, portant la signature invisible de Jean-Claude Goujon, facteur parisien du XVIIIe siècle.
 Jean-Georges Kastner, Traité général dinstrumentation, Paris, Philipp, 1836 ; 
Manuel général de musique militaire, Paris, Firmin-Didot, 1848.
 Gustave Chouquet, Le musée du Conservatoire de musique. Catalogue descriptif et raisonné, Paris, Firmin-Didot, 1875. 
 Karl Engel, A Descriptive Catalogue of the Musical Instruments in the South Kensington Museum, Londres, 1974.
 Florence Gétreau, « Gustave Chouquet, Léon Pillaut et l'unique catalogue du Musée Instrumental du Conservatoire de Musique de Paris », introduction (et index cumulatif) à la réédition en fac-similé du Catalogue raisonné du Musée du Conservatoire, Paris, 1884, 1894, 1903, Genève, Minkoff, 1993, 5-20 ; 495-530.
 Victor-Charles Mahillon, Catalogue descriptif et analytique du Musée Instrumental du Conservatoire royal de Bruxelles, précédé dun Essai de classification méthodique de tous les instruments anciens et modernes, Gand, Typographie C. Annoot-Braeckman, 1880. 
 Antoine Vidal, Les Instruments à archet. Les feseurs, les joueurs d'instruments, leur histoire sur le continent européen. Suivi d'un catalogue général de la musique de chambre, Paris, Imprimerie de J. Claye, 1876-1878.
 Paris, Librairie de l'art indépendant, 1890.
 Paris, E. Sagot, 1893.
 Paris, Fischbacher, 1893
 Georges Tricou, « Duyffoproucart et Lejeune, luthiers » et « Claude Rafi, fleustier lyonnais », Revue musicale de Lyon (1903), 89-91 ; 13-14, 25-27.
 Cf. Franck Dobbins, Music in Renaissance Lyons, Oxford, Clarendon Press, 1992. Voir notre appréciation dans « Instrument making in Lyon and Paris around 1600 », Musikalische Aufführungspraxis in nationalen Dialogen des 16. Jahrhunderts: Niederländisches und weltisches Lied von 1480 bis 1640. Instrumentenbauschulen im 16. Jahrhundert, 6-8 mai 2005, Michaelstein, Stiftung Kloster Michaelstein, 26. Musikinstrumentenbau-Symposium, sous presse.
 Ernst Thoinan, Nicolas Mauger, Les Hotteterre et les Chédeville : célèbres joueurs et facteurs de flûtes, hautbois, bassons et musettes des XVIIe et XVIIIe siècle, Paris, Edmond Sagot, 1894.
 Nicolas Mauger, Les Hotteterre : célèbres joueurs et facteurs de flûtes, hautbois, bassons et musettes des XVIIe & XVIIIe siècles : nouvelles recherches, Paris, Fischbacher, 1912. 
 François Lesure, « Les débuts de la lutherie lorraine ; Du mythe à la réalité », Musique-Images-Instruments 2 (1997), 171-175.
 Albert Jacquot, Les Médard, Paris, Fischbacher, 1896 ; Essai de répertoire des artistes lorrains. Les facteurs d'orgues et de clavecins lorrains, Paris, Plon, 1910 ; La lutherie lorraine et française depuis ses origines jusquà nos jours, Paris, Fischbacher, 1912. Reprint Genève, Minkoff, 1985.
 Eugène de Bricqueville, Les musettes, Paris, 1894 ; Notice historique sur la vielle, Paris, aux bureaux du 'S.I.M.', 1909. Nouvelle édition refondue, Paris, Fischbacher, 1911.
 Eugène de Bricqueville, Les ventes dinstruments de musique au XVIIIe siècle, Paris, 1908.
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 F.G. 26. « Watteau et la musique », Watteau. 1684-1721 [Cat. dexp.], Margaret Morgan Grasselli et Pierre Rosenberg (dir.), Paris, Grand Palais, 1984, 529-543 (traduction américaine, Washington, National Gallery, 1984, 527-545 ; traduction allemande, Berlin, Schloss Charlottenburg, 1985, 533-552).
 Tome II 89-100, F.G. 35. « Watteau et la musique : réalité et interprétation » , Actes du colloque international Antoine Watteau (1684-1721). Le peintre, son temps et sa légende, François Moureau et Margaret Morgan Grasselli (dir.), Paris-Genève, Champion-Slatkine, 1987, 235-246.
 Tome II 101-117, F.G. 36. « Watteau et sa génération : contribution à la chronologie et à l'identification de deux instruments pastoraux », Actes du colloque international de Paris De l'Image à l'Objet. La méthode critique en iconographie musicale, Jacques Thuillier (dir.), Imago Musicae 4 (1987), 299-314.
 F.G. 46. « La musique », Les Noces de Cana de Véronèse : une oeuvre et sa restauration [Cat. dexp.], Jean Habert et Nathalie Volle (dir.), Paris, Réunion des Musées Nationaux, 1992, 239-255.
 Luigi Beschi, « Limmagine della Musica in paolo Veronese. Una proposta per la lettura del concerto delle Nozze di Cana », Imago Musicae 16-17 (2001), 171-205.
 Tome II 649-669, F.G. 101. « L'image du faiseur d'instruments de musique à la Renaissance », Actes des journées d'étude Les images de la musique à la Renaissance, Tours, Centre d'Etudes Supérieures de la Renaissance, 25-26 octobre 1996, Imago Musicae 16-17 (1999/2000) [2001], 117-136.
 Elle a été étudiée par Anne-Noëlle Bailly-Bouton, La vie et luvre dHélène de Montgeroult (1764-1836), Maîtrise de musique, Université de Paris-IV Sorbonne, 1993. 
 Tome II 277-283, F.G. 62. « Un portrait d'Hélène de Montgeroult dans l'ancienne collection d'A. de Mirimonde », Musique-Images-Instruments 1 (1995), 68-75. En collaboration avec Anne-Noëlle Bouton,.
 Tome II 259-292, F.G. 61. « Une harpiste au Concert Spirituel : Mademoiselle Schencker en 1765 », Musique-Images-Instruments 1 (1995), 178-181.
 Tome II 573-595, F.G. 92. « A la recherche du portrait de Monsieur Rindvel jouant de la viole », Actes du colloque international Strumenti, Musica e Ricerca, Atti del Convegno internazionale. Cremona 28-29 ottobre 1994, Elena Ferrari Barrassi, Marco Fracassi, Gianpaolo Gregori (dir.), Crémone, Ente triennale internazionale degli strumenti ad arco, 2000, 203-224. 
 Tome II 707-715, F.G. 110. « Un portrait énigmatique de lancienne collection Henry Prunières », Musique-Images-Instruments 5 (2003), 148-156. 
 Tome II 789-804, F.G. 125. « Romantic pianists in Paris: Musical images and musical Literature », Music in Art. International Journal for Music Iconography 29 (2004) [paru en juillet 2005], 188-202.
 F.G. 135. « Liszt au piano : portrait de groupe et filiations artistiques », Larchitecte et le maçon. Le compositeur et linterprète, Michel Noiray (dir.), en collaboration avec Cécile Reynaud.
 Jacques Cheyronnaud, Mémoires en recueils. Jalons pour une histoire des collectes musicales en terrain français, Office départemental daction culturelle de lHérault, 1986.
 Roger Dévigne, Latlas sonore de la France. Léquipement et les travaux des missions phonographiques du « Musée de la parole ». De la Mission des Ardennes (1912) à la Mission Alpes-Provence (1939), Annales de lUniversité de Paris, 1941. 
 Musique & chansons populaires, Paris, Société des nations. Institut international de coopération intellectuelle, 1934, « France. contribution de M. Julien Tiersot », 60-73.
 Joseph Le Floch, « Avant-propos », Autour de loeuvre de Patrice Coirault. Actes du Colloque organisé par lUniversité de Poitiers, Famdt Editions, 1997, 4. Voir aussi Jean-Michel Guilcher, « La chanson folklorique selon Patrice Coirault », La chanson folklorique de langue française, Paris, Latelier de la danse populaire française, 1985, 101-139.
 Sa collection sur lhistoire de la chanson populaire consistant notamment en manuscrits, éditions rares des XVIe au XVIIIe siècle, recueils et feuilles de colportage, revint à Charles Malherbe en 1908 qui loffrit à la Bibliothèque de lOpéra. Ses 2 636 spécimens sont aujourdhui au département de la Musique de la BnF. 
 Tome II 677-690, F.G. 105. « La rue parisienne comme espace musical réglementé (XVIIe-XXe siècle) », Actes du colloque de Montréal Musiques dans la rue, 13-15 octobre 2000, Les cahiers de la société québécoise de recherche en musique 5/1-2 (2001), Rumeurs urbaines, 11-23. 
 Tome II 515-532, F.G. 81. « Street musicians of Paris: evolution of an image », Music in Art, International Journal for Music Iconography, XXIII/1-2 (1998), 62-78. 
 Tome II 613-623, F.G. 94. « L'homme-orchestre : deux siècles de tradition française », Revue du Louvre. La revue des musées de France 5 (2000), 67-77.
 F.G. 132. « Philippot le Savoyard. Portraits dun Orphée du Pont-Neuf mêlés de vaudevilles, dimages et de vers burlesques », « Lesprit français » und die Musik Europas. Entstehung, Einflu( und Grenzen einer ästhetischen Doktrin. Festschrift für Herbert Schneider, Michelle Biget-Mainfroy, Rainer Schmuch, (ed.), Hidelsheim, Olms. Sous presse. 
 F.G.137. « Guillaume de Limoges et François Couperin : la Ménestrandise parisienne en question » in Instrument und Musik. Festschrift Jürgen Eppelsheim zum 70. Geburtstag, herausgegeben von Silke Berdux und Bernd Edelmann. A paraître. Voir HAL SHS. 
 Tome II 27-28, F.G. XII. Souffler, c'est jouer : chabretaires et cornemuses à miroirs en Limousin [Cat. dexp.], en collaboration avec Eric Montbel, Paris, Mnatp, Editions Modal/Famdt, 1999, 158 p.
 Tome II 691-705, F.G. 108. « La chanson de colportage éditée hors de Troyes dans les collections du Musée national des Arts et Traditions populaires : une esquisse », Chansons de colportage, Textes réunis par Marie Dominique Leclerc et Alain Robert, Reims, 2002, 78-91.
 Voir les sommaires des volumes Tome II 11-13, 15-17, 23-24, 29-31, 37-51.  
 Albert Ausoni, La musique, Paris, Hazan, 2005, Guide des arts, traduit de litalien par Chantal Moiroud.
 A Bibliography of the Iconography of Music, New York, The Research Center for Musical Iconography, Graduate Center of the City University of New York, 1971, 41 p. 
 « Iconography of Music. 1976-1995. A Bibliography », Imago Musicae XIV/XV (2000), 380 p.
 Inventaire du fonds bibliographique diconographie musicale, Institut de recherche sur le patrimoine musical en France, UMR 200 (CNRS/Bnf/Ministère de la Culture), Programme Organologie et iconographie musicale.
 Danièle Pistone, Répertoire international des travaux universitaires relatifs à la musique française du Moyen Age à nos jours (thèses et mémoires), Paris, Librairie Champion, 1992. 
Florence Gétreau, Histoire des instruments et représentations de la musique en France, 2006.
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