concours de recrutement - Académie de Toulouse
SUJET : Vous avez été nommé(e) principal(e) du collège Y à la rentrée de
septembre 2010. ..... Plus spécifiquement, l'examen des trajectoires de nos
élèves révèle ..... car l'on n'enseigne pas sans livre, pas plus que l'on n'apprend
sans livre, ... technologie et physique-chimie - favorise le décloisonnement
disciplinaire et ...
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cet entretien et à la lecture de votre diagnostic, lInspecteur dAcadémie vous demande une courte note précisant la stratégie que vous comptez mettre en place afin daméliorer les performances du collège.
2/ Par ailleurs, afin dimpliquer la communauté éducative dans lélaboration du contrat dobjectifs, vous présenterez les arguments et les propositions daxes de progrès que vous leur soumettrez.
Le dossier est composé de 9 annexes paginées de 2 à 22
- Annexe 1 : Extrait du projet académique 2010/2013 (pages 2 à 5)
- Annexe 2 : Extrait de la loi du 10 avril 2005 sur lavenir de lEcole (page 6)
- Annexe 3 : Extraits des BO du 31 mars 2006 et du 4 février 2010 (page 7)
- Annexe 4 : Comptes rendus dune commission de bassin sur la liaison 3ème-2de (page 8 et 9)
- Annexe 5 : Projet dactions du bassin pour lannée 2010-2011 (page 10)
- Annexe 6 : Circulaire de rentrée 2011(pages 11 et 12)
- Annexe 7 : Données statistiques (pages 13 à 20)
- Annexe 8 : Fiche de synthèse du collège Y 2010-2011 (page 21)
- Annexe 9 : Extrait du diagnostic du chef détablissement, décembre 2010 (page 22)
Annexe 1 : Extrait du projet académique (pages 2 à 5)
Axe 1 : Pour une amélioration des parcours scolaires
Un vecteur de performance
Basé sur une politique dévaluation construite au niveau national et international, le système éducatif français développe une culture de lévaluation fondée sur la recherche de la performance. Celle-ci suppose que notre académie fasse preuve defficacité en élevant le niveau de tous les élèves tout en réduisant les écarts entre les meilleurs et les plus faibles. Si les résultats obtenus par nos élèves aux évaluations et aux examens nationaux sont excellents et nous placent au dessus de la moyenne nationale, leurs trajectoires le sont moins et différent fortement selon lappartenance sociale et les territoires.
Constat
Z' L insuffisante fluidité des parcours scolaires résulte à la fois de taux de redoublements dans le premier degré et au collège importants et de taux d orientation vers les secondes générales et technologiques et les secondes professionnelles insuffisants.
Les écarts territoriaux renforcent ce phénomène qui nuit à la performance de notre système éducatif.Indicateur 2010 en % 2010 Amplitude*
Constat Cible
Élèves en retard en 6ème 15,4 7,0 < 3
Élèves en retard en 3ème 25,3 7,9 < 4
Taux de passage 3ème vers 2ème GT 65,1 9,5 < 4
Taux de passage 3ème vers LP 19,4 6,8 < 4
Taux de sortants en cours de formation professionnelle 14,2 7,4 < 4
* écarts (en points) entre le département présentant les taux les plus élevés et celui où les taux sont les plus faibles.
Z' Les taux de poursuite d études dans l enseignement supérieur des bacheliers technologiques et des bacheliers professionnels dépendent de l offre de formation.
Les admissions en BTS et en IUT sont encore déséquilibrées, au détriment des baccalauréats technologiques et des baccalauréats professionnels.Indicateur 2009 en % : Répartition des admissions dans lenseignement supérieur selon le type de Baccalauréat
BTS CPGE DUT Université
Baccalauréat général 24,5 94,4 62,9 85
Baccalauréat technologique 54,6 5,6 36,4 11,1
Baccalauréat professionnel 20,9 0 0,7 3,9
Total 100 100 100 100
Objectifs
Cest par une mobilisation de plusieurs leviers relevant de champs et dacteurs distincts (pédagogie, organisation des parcours, accompagnement des acteurs) que notre académie pourra atteindre un niveau de fluidité garant dune amélioration sensible de sa performance éducative.
De manière encore plus déterminante, compte tenu des caractéristiques géographiques de notre académie, cest également par une réduction des écarts territoriaux que nous pourrons améliorer la performance globale de lacadémieLes facteurs de la fluidité des parcours
La linéarité des parcours
Le principal frein à la fluidité est constitué par le redoublement. Les études comparatives entre des nations au développement comparable et la recherche universitaire remettent sérieusement en cause lefficacité supposée des redoublements.
Multiplicité, diversité, réversibilité des parcours.
Cette forme de fluidité est très dépendante de loffre de formation existante et de la souplesse dusage entre les voies (générale, technologique et professionnelle).
Les abandons précoces en cours de formation, les taux de sorties du système scolaire, le manque dambition, voire les choix stéréotypés sont autant de facteurs qui viennent également agir sur la fluidité des parcours.
Les objectifs à atteindre doivent pouvoir être mesurés au vu des indicateurs établis et des cibles à atteindre. Ils constituent une feuille de route pour les différents acteurs.
Z' Du préélémentaire à la 3ème : La fluidité des parcours est conditionnée par l acquisition par tous du socle commun de connaissances et de compétences ainsi que la prise en compte de l hétérogénéité des élèves.
Atteindre ces objectifs doit nous conduire à identifier les besoins éducatifs de chaque élève afin de construire collectivement un dispositif d aide personnalisée.
Z' A partir de la 3ème : La fluidité doit être recherchée dans le cadre de la diversité des parcours vers les voies générales, technologiques et professionnelles. Elle doit permettre les conditions dune réussite dans les parcours post baccalauréat en développant les liaisons pédagogiques collège-lycée et lycée-enseignement supérieur.
Leviers daction
Du préélémentaire à la troisième
Lamélioration des parcours et lacquisition par tous du socle commun de connaissances et de compétencesA partir de la troisième
Lamélioration des parcours et laccès au niveau IV et à l enseignement supérieur
Des objectifs chiffrés pour les 3 années à venir
Æ% Objectif indissociable de l acquisition du socle commun de connaissances et de compétences, notre académie doit arriver à diviser par 2 le taux de redoublement dans le premier degré et au collège.
Æ% Les écarts territoriaux de plus de 5 points constatés dans les parcours scolaires à l issue de la troisième doivent nous conduire à augmenter les taux d orientation vers les secondes générales technologiques et professionnelles et à réduire d un tiers le taux de sortie à l issue de la troisième.Æ% Réduire les abandons en cours de formation professionnelle à moins de 10 % pour les baccalauréats professionnels et les Certificats d Aptitude Professionnelle (CAP).
Æ% Assurer et augmenter les poursuites d études des bacheliers professionnels.
Æ% Augmenter le taux de passage seconde - première générale et technologique pour atteindre 95% par une réduction des écarts territoriaux.
A mettre en Suvre par des leviers d action spécifiques
Agir sur les pratiques pédagogiques
Æ% Promouvoir l appropriation généralisée du socle commun de connaissances et de compétences en tant qu outil de référence de l évaluation des acquis des élèves et de régulation des apprentissages.
Æ% Généraliser la pratique du PPRE pour les élèves les plus fragiles avec des contenus adaptés afi n de favoriser la validation et la valorisation des compétences attendues, par un recours ciblé aux divers dispositifs daide aux élèves (aide personnalisée, accompagnement éducatif, aide spécialisée, stages de remise à niveau,
).
Æ% Développer les actions pédagogiques partagées répondant à la notion de responsabilité collective dans la réussite scolaire des élèves tant en primaire qu au collège (découverte professionnelle trois heures, Parcours de Découverte des Métiers et des Formations...).Æ% Privilégier dans le cadre de la rénovation de la voie professionnelle et de la réforme du lycée une logique de construction progressive des apprentissages au cours des trois années de formation.
Æ% Mobiliser de manière plus cohérente et plus efficiente les dispositifs d accompagnement personnalisé, de tutorat et de stages (remise à niveau et passerelles).
Æ% Développer le Parcours de Découverte des Métiers et des Formations (PDMF) et en particulier les actions d orientation active.
Æ% Préparer l entrée à l université pour les bacheliers généraux et en BTS/IUT pour les bacheliers technologiques et professionnels
Améliorer l organisation et les procédures
Æ% Faire des projets d école et d établissement et des contrats d objectifs dans le second degré, des leviers pour optimiser la maîtrise des connaissances et des compétences du socle.
Æ% Maîtriser les départs précoces avant la fi n du collège vers les formations hors Éducation nationale.
Æ% Adapter les capacités d accueil de la voie professionnelle (tous opérateurs confondus) sur des territoires en perte démographique.
Æ% Développer le droit à l expérimentation (art. 34) notamment sur l organisation des classes, du temps scolaire, des enseignements disciplinaires.Æ% Optimiser la souplesse des parcours offerte conjointement par la rénovation de la voie professionnelle et la réforme du lycée.
Æ% Aménager les procédures d admission en BTS et IUT au bénéfice des candidatures des bacheliers technologiques et des bacheliers professionnels.
Æ% Définir une offre de formation cohérente avec la rénovation de la voie professionnelle notamment sur les parcours CAP-baccalauréats professionnels et baccalauréats professionnels-BTS.
Æ% Développer une offre de formation en CPGE pour les bacheliers technologiques.
Æ% Généraliser dans les LGT le suivi des élèves en post baccalauréat et les actions de liaison avec les établissements d enseignement supérieur.
Æ% Développer le droit à l expérimentation (art. 34) notamment sur l organisation des classes, du temps scolaire, des disciplines.
Æ% Développer les parcours de formation dans le cadre de l éducation récurrente.
A tous les niveaux
Æ% Intégrer systématiquement la prise en compte de la fluidité des parcours au niveau des enseignements et des organisations pédagogiques dans les démarches de pilotage et d évaluation conduites par les personnels d encadrement.
Æ% Mettre en place des formations inter catégorielles (personnel d enseignement, d orientation, de direction et d inspection) sur la problématique de la fluidité des parcours pour une meilleure acquisition du socle commun.
Æ% Mettre en place des formations inter catégorielles sur l orientation et l accompagnement des jeunes.
Æ% Développer les formations inter degrés et inter cycles autour de la continuité des enseignements dans les domaines des mathématiques, sciences, des langues vivantes et de la maîtrise de la langue en particulier.
Æ% Mettre en Suvre des liaisons entre l école et le collège, le collège et le lycée, le lycée et l enseignement supérieur.
Æ% Mettre en place un observatoire académique sur les parcours et les performances de lacadémie à destination de tous les acteurs.
Axe 2 : Pour un égal accès à léducation, à la formation et à linsertion
Un moteur defficacité
Accompagner chaque élève dans la construction de soi est une ambition majeure que doit poursuivre notre académie.
De manière générale, les pratiques pédagogiques à mettre en oeuvre pour lacquisition du socle commun de connaissances et de compétences, laccompagnement éducatif et laccompagnement personnalisé doivent favoriser la réussite de chaque élève et lui permettre de poursuivre
son parcours détudes et de formation le plus loin possible.
Plus spécifiquement, lexamen des trajectoires de nos élèves révèle dimportantes différences de résultats et de parcours. Certains ne disposent pas dans leur environnement social et territorial de ressources suffisantes pour envisager un parcours ambitieux. Ces mécanismes dauto censure sont dautant plus difficiles à compenser quils peuvent faire lobjet dun relatif consensus élèves/parents/système scolaire. Les différences dambitions entre les filles et les garçons, entre les élèves de milieux urbains, ceux de secteurs ruraux et ceux qui sont scolarisés au sein de léducation prioritaire conduisent à une réelle rupture dégalité. Ils doivent faire lobjet dune attention spécifique.
Constat
Z' Les bons résultats obtenus par notre académie masquent des écarts en termes de résultats et de parcours scolaires des élèves de l éducation prioritaire.Indicateur 2010 : Reçus au Diplôme national du brevet en %
Élèves scolarisés en Réseau Ambition réussite 71,7
Élèves scolarisés Hors Réseau de l éducation prioritaire 87,5
Écart (en points) 15,8
Z' Ces différences bien que moins visibles sont tout aussi significatives en ce qui concerne laccès au Baccalauréat et la poursuite détudes supérieures des élèves de milieu rural.
La concentration de loffre culturelle et de loffre de formation dans les pôles urbains nuit à léquité entre nos élèves.Indicateur 2009 : Parcours des élèves ruraux 2006-2009 en %
Moyenne des Moyenne Écarts
élèves scolarisés académique en points
en zone rurale
Accès au Baccalauréat depuis la 3ème 37,6 40,8 - 3,2
Accès en BTS depuis la Terminale GT. 13,2 12,1 + 1,1
Accès en CPGE 3,4 6,4 - 3
Z' La scolarisation des élèves en situation de handicap a progressé de manière très forte depuis quelques années. Le défi d une formation qualifiante permettant une meilleure insertion reste cependant encore à relever.
Les effectifs en UPI (Unités Pédagogiques dIntégration) de 2000 à 2010 (Public / Privé)
Objectifs
Chaque élève doit se voir offrir un environnement spatial, matériel et humain qui lui offre les conditions de contexte les plus favorables à son développement scolaire et personnel. La qualité de cet environnement intégrera laccompagnement personnalisé par la prise en compte de ses acquis et de ses besoins et, le cas échéant, par la mise en place effective de compensations en réponse à linsuffisance des ressources matérielles et culturelles dont il dispose. Afi n de favoriser un égal accès à léducation, à la formation et à linsertion, notre académie se doit de réduire les écarts de résultats et de parcours trop conditionnés par le territoire, le genre ou le milieu social. Elle doit aussi réduire le nombre délèves sortant du système éducatif sans qualification.
Afin de permettre des parcours plus ambitieux, loffre de formation doit être réorganisée quantitativement et qualitativement. La démographie scolaire et la réalité économique des territoires évoluant, des capacités daccueil supplémentaires sont nécessaires pour lagglomération toulousaine ainsi quune restructuration des pôles de compétences dans les secteurs ruraux.
Légal accès à léducation, à la formation et à linsertion suppose que nous tenions compte de la situation et des difficultés que peut rencontrer chaque élève. Ces objectifs constituent une feuille de route pour les différents acteurs.
Z' Ces inégalités tiennent, quelque soit le lieu de vie, à des situations particulières à chaque élève: elles sont notamment liées aux conditions de vie, au genre, au handicap ou à l absence de qualification.
Elles sont également renforcées du fait de la diversité des territoires de notre académie. Quelle soit réelle ou perçue comme telle, la distance à la métropole toulousaine isole certains de nos élèves et les conduit à des parcours scolaires moins ambitieux, fréquemment conditionnés par la proximité géographique.
Leviers daction
Réduire les écarts de parcours scolaires liés à la situation de chacunRenforcer lambition de chaque élève quelque soit le territoire
Des objectifs à chiffrer
Æ% Favoriser des parcours ambitieux pour tous les élèves et réduire les écarts entre filles et garçons.
Æ% Améliorer les conditions de formation et d insertion professionnelle des élèves en situation de handicap.
Æ% Réduire les sorties des élèves sans diplôme et/ou sans qualification afin de tendre vers un objectif de 100 % de diplômés.
Æ% Assurer à chaque élève un parcours culturel, de l école au lycée.Æ% Réduire à 10 points les écarts de résultats et de parcours scolaires entre élèves des Réseaux Ambition Réussite et les autres élèves.
Æ% Favoriser un égal accès à l enseignement supérieur entre élèves des secteurs ruraux et les autres élèves.
Æ% Assurer une offre équitable de formation sur tous les territoires de l académie et renforcer une offre globale et progressive d éducation et de formation tout au long de la vie.
Æ% Assurer à chaque élève un parcours culturel, de l école au lycée.
A mettre en Suvre par des leviers d action spécifique
Agir sur les pratiques pédagogiques
Æ% Développer les programmes de promotion de l égalité des chances filles garçons.
Æ% Généraliser et animer des équipes éducatives de veille.
Æ% Développer les portefeuilles de compétences et le passeport citoyen valorisant l engagement des élèves dans le second degré.Æ% Développer les programmes «cordées de la réussite» dans les zones isolées.
Æ% Développer les pôles et les partenariats d excellence en éducation prioritaire et en milieu rural.
Æ% Renforcer l utilisation des technologies de l information et de la communication pour pallier l isolement de certains territoires.
Æ% Adapter les dispositifs relais en fonction des territoires et améliorer la qualité des conditions de retour en classe.
Améliorer l organisation et les procédures
Æ% Généraliser les lycées des métiers permettant un fonctionnement adapté à l accueil de tous les publics (scolaires, apprentis, stagiaires de la formation professionnelle, adultes& ).
Æ% Augmenter le nombre de places d internat fi lles en CPGE.
Æ% Assurer un suivi académique de l adaptation scolaire et de la scolarisation des élèves handicapés (ASH) et ce de la maternelle à l insertion professionnelle.
Æ% Adapter l offre de formation au niveau départemental (Classes d intégration scolaire, Sections d enseignement général et professionnel adapté, ULIS, Mission générale d insertion, CAP publics prioritaires).
Æ% Assurer une allocation des moyens selon les disparités observées.Æ% Favoriser le développement du certificat complémentaire pour les enseignements adaptés et la scolarisation des élèves en situation de handicap (2CA-SH)
Æ% Réorganiser l offre de formation à partir de diagnostics territoriaux.
Æ% Développer la mise en réseau de lycées sur des territoires ruraux.
Æ% Renforcer les pôles de compétences, en lien avec le milieu professionnel.
Æ% Créer des CPGE pour les bacheliers de l enseignement professionnel et technologique.
Æ% Ouvrir des classes à horaires aménagés.
Æ% Créer des espaces culturels dans les établissements.
Æ% Animer le réseau des référents culture des circonscriptions et établissements publics locaux d enseignement (EPLE).
Æ% Améliorer les conditions de poursuite des étudiants notamment pour les populations situées hors de l agglomération toulousaine (logement, déplacements,& ).
Pour Tous
Æ% Mettre à la disposition de tous, les éléments de pilotage (tableaux de bord notamment).
Æ% Améliorer le repérage des élèves en risque de décrochage (études annuelles systématiques, observatoire académique,protocole de recueil d informations et de suivi de l absentéisme et du décrochage).
Æ% Mobiliser le réseau des médiateurs scolaires (formation et suivi).
Æ% Implanter de nouveaux internats d excellence en milieu urbain, rural isolé et en lycée professionnel.
Æ% Sensibiliser et former les personnels des établissements à la problématique «ambitions et parcours».
Æ% Sensibiliser et former les professeurs et les chefs d établissements à la prise en charge des publics à besoins spécifiques (élèves nouvellement arrivés en France, enfants du voyage, élèves en situation de handicap& ).
Æ% Faciliter la mobilité européenne et internationale des élèves en cours de formation.
Æ% Mobiliser le réseau des personnels médicaux-infirmiers-sociaux.
Annexe 2 : Extrait de la loi du 10 avril 2005 sur l avenir de l école
LOI D ORIENTATION ET DE PROGRAMME POUR L AVENIR DE L ÉCOLE L. n° 2005-380 du 23-4-2005. JO du 24-4-2005 LAssemblée nationale et le Sénat ont adopté, Vu la décision du Conseil constitutionnel n° 2005-512 DC du 21 avril 2005 ; Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit :
Article 9 Après larticle L. 122-1 du code de léducation, il est inséré un article L. 122-1-1 ainsi rédigé :Art. L. 122-1-1 - La scolarité obligatoire doit au moins garantir à chaque élève les moyens nécessaires à lacquisition dun socle commun constitué dun ensemble de connaissances et de compétences quil est indispensable de maîtriser pour accomplir avec succès sa scolarité, poursuivre sa formation, construire son avenir personnel et professionnel et réussir sa vie en société. Ce socle comprend : - la maîtrise de la langue française ; - la maîtrise des principaux éléments de mathématiques ; - une culture humaniste et scientifique permettant le libre exercice de la citoyenneté ; - la pratique dau moins une langue vivante étrangère ; - la maîtrise des techniques usuelles de linformation et de la communication. Ces connaissances et compétences sont précisées par décret pris après avis du Haut Conseil de léducation. Lacquisition du socle commun par les élèves fait lobjet dune évaluation, qui est prise en compte dans la poursuite de la scolarité. Le Gouvernement présente tous les trois ans au Parlement un rapport sur la manière dont les programmes prennent en compte le socle commun et sur la maîtrise de celui-ci par les élèves au cours de leur scolarité obligatoire. Parallèlement à lacquisition du socle commun, dautres enseignements sont dispensés au cours de la scolarité obligatoire.
Article 16 Après larticle L. 311-3 du code de léducation, il est inséré un article L. 311-3-1 ainsi rédigé : Art. L. 311-3-1 - À tout moment de la scolarité obligatoire, lorsquil apparaît quun élève risque de ne pas maîtriser les connaissances et les compétences indispensables à la fin dun cycle, le directeur décole ou le chef détablissement propose aux parents ou au responsable légal de lélève de mettre conjointement en place un programme personnalisé de réussite éducative. Article 17 Larticle L. 311-7 du code de léducation est complété par un alinéa ainsi rédigé : Au terme de chaque année scolaire, à lissue dun dialogue et après avoir recueilli lavis des parents ou du responsable légal de lélève, le conseil des maîtres dans le premier degré ou le conseil de classe présidé par le chef détablissement dans le second degré se prononce sur les conditions dans lesquelles se poursuit la scolarité de lélève. Sil lestime nécessaire, il propose la mise en place dun dispositif de soutien, notamment dans le cadre dun programme personnalisé de réussite éducative.
Circulaire de préparation de la rentrée 2007
Le contrat d'objectifs
L'article 36 de la loi d'orientation pour l'école (article L. 421-4 du code de l'éducation) a institué un cadre légal pour la contractualisation entre chaque EPLE et l'autorité académique. Ainsi que le précise l'article 2-2 du décret du 30 août 1985 modifié relatif aux EPLE, " le contrat d'objectifs conclu avec l'autorité académique définit les objectifs à atteindre par l'établissement pour satisfaire aux orientations nationales et académiques et mentionne les indicateurs qui permettront d'apprécier la réalisation de ces objectifs ".
Le contrat d'objectifs constitue un outil de dialogue entre les autorités académiques et le chef d'établissement, et l'occasion pour celui-ci de mettre en exergue les caractéristiques propres à son établissement.
En cohérence avec le projet d'établissement adopté par le conseil d'administration, le contrat d'objectifs est en effet conclu entre l'établissement et l'autorité académique à partir d'un diagnostic partagé. Il définit, au regard du programme annuel de performance académique, un petit nombre d'objectifs à atteindre (de trois à cinq), centrés sur les résultats des élèves, sur la base des orientations nationales et académiques ; il est doté d'indicateurs qui permettent d'apprécier la réalisation des objectifs.
Ainsi, par exemple, s'agissant du remplacement de courte durée, à partir du bilan annuel réalisé dans chaque établissement sur la mise en uvre du protocole, des objectifs d'efficacité seront intégrés au contrat.
Ce contrat a une durée pluriannuelle qui pourrait être de 4 ans en collège et de 3 ans en lycée.
Le projet de contrat est transmis à la collectivité territoriale de rattachement au moins un mois avant la réunion du conseil d'administration qui sera appelé à se prononcer sur le projet. Après approbation par le conseil d'administration, il est signé avec l'autorité académique. Le recteur veillera à un accompagnement des équipes pédagogiques par les corps d'inspection.
Le contrat d'objectifs fera l'objet d'une évaluation interne et d'une évaluation externe.
Annexe 3 : Extraits des BO du 31 mars 2006 et du 4 février 2010
Code de léducation. Article L421-5
Modifié par HYPERLINK "http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexteArticle.do;jsessionid=1C46614CE6CE637FF7F7B1420542E89A.tpdjo06v_3?cidTexte=JORFTEXT000000259787&idArticle=LEGIARTI000006435753&dateTexte=20111105&categorieLien=id" \l "LEGIARTI000006435753"Loi n°2005-380 du 23 avril 2005 - art. 38 JORF 24 avril 2005
Dans chaque établissement public local d'enseignement, est institué un conseil pédagogique.
Ce conseil, présidé par le chef d'établissement, réunit au moins un professeur principal de chaque niveau d'enseignement, au moins un professeur par champ disciplinaire, un conseiller principal d'éducation et, le cas échéant, le chef de travaux. Il a pour mission de favoriser la concertation entre les professeurs, notamment pour coordonner les enseignements, la notation et l'évaluation des activités scolaires. Il prépare la partie pédagogique du projet d'établissement.
Extrait du BO n° 13 du 31 mars 2006
IX - Conforter le pilotage pédagogique de lEPLE : installer le conseil pédagogique, élaborer le
projet détablissement, expérimenter et contractualiser
Au sein de létablissement public local denseignement (EPLE), aux cotés des équipes pédagogiques, les personnels administratifs, les personnels de santé et sociaux, les personnels de laboratoire, les personnels ouvriers et de service concourent à la réussite de tous les élèves.
Lautonomie pédagogique des établissements publics locaux denseignement est reconnue depuis déjà longtemps par les textes législatifs et réglementaires. Toutefois, toutes les potentialités quelle ouvre nont pas été jusquà maintenant effectivement utilisées par une majorité détablissements. La loi n°2005-380 du 23 avril 2005 dorientation et de programme pour lavenir de lécole contient des dispositions permettant daméliorer le pilotage pédagogique de lEPLE.
a) Le conseil pédagogique
Larticle L.421-5 du code de léducation (issu de larticle 38 de la loi du 23 avril 2005 précitée) institue un conseil pédagogique dans chaque EPLE. Le texte législatif laisse une marge dappréciation en ce qui concerne la composition, le fonctionnement et les attributions de ce conseil.
Composition du conseil pédagogique
Larticle L. 421-5 du code de léducation dispose que le conseil pédagogique réunit au moins un professeur principal de chaque niveau denseignement, au moins un professeur par champ disciplinaire, un conseiller principal déducation et, le cas échéant, le chef de travaux. Le conseil pédagogique est présidé par le chef détablissement.
Il appartient à chaque établissement de déterminer sur cette base la composition précise du conseil pédagogique et les conditions de désignation de ses membres. Il convient de veiller cependant à ce que les choix qui seront opérés en la matière fassent lobjet du plus large consensus possible de la part des équipes pédagogiques.
Attributions du conseil pédagogique
Conformément à la loi, le conseil pédagogique a pour mission de favoriser la concertation entre les professeurs, notamment pour coordonner les enseignements, la notation et lévaluation des activités scolaires. Il prépare la partie pédagogique du projet détablissement.
Dans ce cadre, le choix des sujets traités et du fonctionnement interne est laissé à lappréciation du conseil pédagogique, dans le respect de la liberté pédagogique des enseignants et du champ de compétence des personnels de direction.
Pour la préparation du volet pédagogique du projet détablissement, le conseil pédagogique est amené à travailler en étroite collaboration avec les équipes pédagogiques.
Pour chacun des domaines abordés, le conseil pédagogique pourra mener une réflexion, établir un diagnostic de létablissement, évaluer les actions mises en place et formuler des propositions.
Extrait du BO spécial n°1 du 4 février 2010
2) Après l'article R. 421-41 du même code, il est inséré une sous-section 4 ainsi rédigée :
« Sous-section 4
« Le conseil pédagogique
« Paragraphe 1
« Composition
« Art. R. 421-41-1. - Le conseil pédagogique comprend les membres mentionnés au deuxième alinéa de l'article L. 421-5. Le nombre des professeurs s'ajoutant à ceux prévus par cette disposition est arrêté par le conseil d'administration.
« Le chef d'établissement désigne, en début d'année scolaire, les membres du conseil pédagogique et les suppléants éventuels parmi les personnels volontaires, après consultation des équipes pédagogiques intéressées. Il en informe le conseil d'administration lors de la réunion qui suit cette désignation. Il porte la composition du conseil pédagogique à la connaissance de la communauté éducative par voie d'affichage.
« En cas d'absence ou d'empêchement du chef d'établissement, le conseil pédagogique est présidé par son adjoint.
« Art. R. 421-41-2. - Le conseil pédagogique peut entendre toute personne dont la consultation est jugée utile en fonction des sujets traités et des caractéristiques de l'établissement.
« Paragraphe 2
« Compétences
« Art. R. 421-41-3. - Pour l'exercice des compétences définies à l'article L. 421-5, le conseil pédagogique :
« 1° Est consulté sur :
« - la coordination des enseignements ;
« - l'organisation des enseignements en groupes de compétences ;
« - les dispositifs d'aide et de soutien aux élèves ;
« - la coordination relative à la notation et à l'évaluation des activités scolaires ;
« - les modalités générales d'accompagnement des changements d'orientation ;
« - les modalités des échanges linguistiques et culturels en partenariat avec les établissements d'enseignement européens et étrangers.
« 2° Formule des propositions quant aux modalités d'organisation de l'accompagnement personnalisé, que le chef d'établissement soumet ensuite au conseil d'administration.
« 3° Prépare en liaison avec les équipes pédagogiques :
« - la partie pédagogique du projet d'établissement, en vue de son adoption par le conseil d'administration ;
« - les propositions d'expérimentation pédagogique, dans les domaines définis par l'article L. 401-1 du code de l'Éducation.
« 4° Assiste le chef d'établissement pour l'élaboration du rapport sur le fonctionnement pédagogique de l'établissement mentionné au 3° de l'article R. 421-20.
« 5° Peut être saisi, pour avis, de toutes questions d'ordre pédagogique par le chef d'établissement, le conseil d'administration ou la commission permanente.
« Paragraphe 3
« Fonctionnement
« Art. R. 421-41-4. - Le président fixe l'ordre du jour, les dates et heures des séances du conseil. Il convoque les membres du conseil pédagogique au moins huit jours avant la séance, ce délai pouvant être ramené à trois jours en cas d'urgence.
« Art. R. 421-41-5. - Le conseil pédagogique se réunit au moins trois fois par an et en tant que de besoin à l'initiative de son président ou à la demande de la majorité de ses membres. Il établit son règlement intérieur.
Annexe 4 : Compte-rendu de la commission de bassin du 21 avril 2011 (pages 8 et 9)
REUNION DE BASSIN
COLLEGE A 21 AVRIL 2011
Les animateurs du bassin démarrent la réunion et remercient le principal du collège A pour son accueil ainsi que Mme M., conseillère pédagogique, le Dr N., médecin responsable départemental, Mme P., infirmière conseillère technique davoir répondu favorablement à linvitation du bassin.
Lordre du jour est décliné point par point.
Elèves à besoins éducatifs particuliers :
Mme M., conseillère pédagogique, présente la « fiche profil » :
Historique :
Deux années dexistence, la fiche est liée au projet X sur la dyslexie
Questionnement par rapport au projet X
Elargissement à tous les élèves en difficulté
Objectifs de la fiche :
Faire apparaître ou mettre à jour des fonctionnements de lélève pouvant gêner ou favoriser ses apprentissages
Permettre aux enseignants dajuster leurs adaptations pédagogiques
LEPLE est la pièce maîtresse au départ et à larrivée.
Loutil est encore expérimental et doit être vecteur de performance, une cinquantaine de fiches mises en place cette année.
Le Dr N. précise quil sagit de se pencher en même temps sur la situation dun élève et de dégager des pistes concertées.
Mme P., infirmière conseillère technique, réalise un point sur le bilan infirmier 6ème qui doit être réalisé le plus tôt possible dans les EPLE (avant Toussaint ?). Ce bilan doit permettre lidentification déventuelles difficultés sensorielles et constituer un temps fort pour évaluer les conditions de vie et les difficultés rencontrées au collège.
M. lIA-IPR du bassin signale que les enseignants ont une forte demande pour adapter leur enseignement aux élèves présentant des troubles de lapprentissage. Un groupe de réflexion pourrait rassurer les enseignants.
Mme M. rappelle que sa mission est daccompagner les équipes par le biais de stages FIL. Des pistes pour des adaptations pédagogiques sont disponibles sur le site de lIA.
ENT et TICE :
Lanimateur de bassin réalise un point sur les informations entendues lors de la réunion du 22 mars notamment.
Les personnes ressources sont remplacées par les référents numériques. Les HSE affectées aux personnes ressources vont être remplacées par une enveloppe (indemnité) pouvant aller jusqu à 2400 ¬
La circulaire de rentrée 2010 ainsi la charte du développement numérique à l école précisent la mise en place d un cahier de textes numérique à la rentrée 2011
ENT : le marché passé avec la société K prenant fin, le cahier des charges va être réécrit. Les professeurs sont invités à répondre au questionnaire pour faire remonter les demandes
Lantivirus actuel doit être remplacé au plus tard le 31.08.11 par le nouvel antivirus choisi par lacadémie.
Dotations du CG :
PC en location dans les collèges
Un poste pour 6 élèves
Les postes de plus de 5 ans sont obsolètes
Problème des consommables très chers
Demandes de câblage refusées
Connexions haut débit améliorées
Mise en place dun ENT pour les personnels de direction du bassin afin de mutualiser les ressources, publier les compte rendus de commissions et des réunions de bassin.
Liaison 3ème 2nde :
Dici la fin de lannée scolaire, une liaison SEGPA 2nde professionnelle pourrait voir le jour. Lexpertise de Mme la principale adjointe au collège Z, sera sollicitée.
Une liaison 3ème 2nde pour les professeurs principaux pourrait être mise en place au titre de lannée scolaire 2011/2012 dans le cadre du bassin. Le fil conducteur pourrait en être le socle commun mais pas seulement. Une différenciation 3ème 2nde professionnelle et 3ème 2ndeGT serait bienvenue.
Un point est fait sur ce que pensent les enseignants des élèves arrivant en 2nde cette année :
En 2nde GT : difficultés de lecture et compréhension des consignes, de mise au travail et méconnaissance du travail demandé
En 2nde professionnelle : méconnaissance des contenus de la formation
Repérage des élèves « fragiles », décrochage :
Le directeur du CIO réalise quelques propositions pour cette fin dannée et améliorer la visibilité en ce qui concerne ces élèves :
En ce qui concerne les élèves du niveau 3ème :
Affectation post 3ème
La liste des élèves non affectés dans AFFELNET en juin est différente de celle du mois de septembre.
La liste des élèves demandant apprentissage et des EPLE privés sera envoyée au CIO pour vérification.
Pour les autres élèves sans solution à profil particulier susceptibles dun décrochage rapide, les données seront récoltées en lien avec les COP lors des conseils de classe du 3ème trimestre afin damener vigilance et efficacité sur le repérage.
Pour les élèves des autres niveaux :
Réaliser un signalement
Lister les élèves partant avant la 3ème vers MFR, DIMA afin de vérifier que les élèves sont bien arrivés là où ils doivent être.
Une fiche de liaison a été élaborée lors des travaux de la commission décrochage scolaire, elle a été distribuée à tous et peut être utilisée.
Les chefs détablissement sont responsables du suivi des élèves, il faut veiller à renseigner SDO dans Sconet.
Point culture
Le référent culturel du bassin réalise un bilan de lenquête culture au niveau du département :
Dans la quasi-totalité des projets détablissement apparaît un volet culturel, celui-ci est également présent dans laccompagnement éducatif
Thèmes abordés : littérature, théâtre, cinéma, culture scientifique (1 EPLE sur 2)
Préoccupations récurrentes : financement, lisibilité de loffre culturelle à léchelle du département.
Une commission culture pourrait-elle se mette en place lannée prochaine ? Une rencontre des différents intervenants serait souhaitable afin que chacun puisse se situer ( 1 ou 2 jours de formations de type FIL pour les référents culture lannée scolaire prochaine ? à léchelle de tout le département ?
Monsieur lInspecteur dAcadémie rappelle à ce propos que chaque bassin ayant droit a une formation, il serait judicieux deffectuer une demande en ce sens auprès du SAFCO, dans ce domaine ou dans un autre.
Annexe 5 : Projet dactions du bassin pour lannée 2010-2011
BASSIN DE
PROJET DACTIONS
ANNEE SCOLAIRE 2010-2011
Formation des enseignants
Accompagnement individualisé : gestion des classes hétérogènes.
Si possible, faire appel à Philippe Mérieu pour une conférence
Sinon, faire appel aux compétences des intervenants académiques qui ont assuré le dispositif « Favoriser les apprentissages » (Nicole Delvolve, André Tricot, Pierre Auque, Hélène Maignal)
Travail sous forme dateliers
Restitution des ateliers
Connaissance des filières et options du LP et du LGT
A destination des enseignants de Collège (PP)
Participation des COP du bassin
Visite des établissements : « journées portes ouvertes pour les professionnels de lorientation »
Liaison 3ème-2nde
Mise en place de groupes de travail avec réflexion sur les contenus et mise en uvre (Mathématiques et Histoire Géographie)
APIE : besoins en LV, autres matières en attente
Formation des CPE
Prévention de la toxicomanie
Contact avec le DDSP et le référent police des établissements.
Présentation des substances et des modes dingestion
Rappel de la loi et des actions de partenariat existantes
Echanges
Projet de vie scolaire
Echanges de pratiques (action reconduite)
Formation des personnels de direction
LENT
Formation à la mise en ligne
Gestion/Création de groupes de diffusion
Informations diverses
Groupe de travail sur la prévention du décrochage
Forum des formations
Demande dune aide financière pour le transport des élèves et la location de la salle
Forum des métiers
Organisation dun forum des métiers dans un établissement, au marché gare, en parallèle ou pas avec le forum des formations ???
Groupe de travail sur le PDMF en 4ème
Organisation de visites de centres de formation et / ou d'entreprises
Annexe 6 : Extrait de la circulaire de rentrée 2011 (pages 11 et 12)
1 - Améliorer les acquis et les résultats des élèves
Consolider les savoirs fondamentaux dans lécole du socle commun.
La maîtrise du socle commun, objectif premier de la scolarité obligatoire
Lacquisition des connaissances et des compétences définies par le socle commun constitue lobjectif premier de la scolarité obligatoire. Les programmes de lécole primaire et du collège fixent les contenus denseignement à lappui de cet objectif et détaillent par niveau ce que les élèves doivent maîtriser. Dès quune difficulté apparaît, qui ne peut être levée par la différenciation conduite dans la classe, laide personnalisée est mobilisée, complétée, le cas échéant, par les stages de remise à niveau, ou par lappel aux aides spécialisées. Chaque élève pourra ainsi atteindre les objectifs fixés sans recours au redoublement qui ne saurait être quun ultime recours. Les élèves intellectuellement précoces bénéficient de réponses individualisées destinées à développer leurs compétences et contribuer à leur épanouissement.
Aux outils déjà proposés, notamment sur le site Éduscol (progressions, documents dappui et ressources pour faire la classe, grilles de référence), doivent sajouter les outils conçus au sein des écoles et des établissements. Dans une perspective de diffusion des « bonnes pratiques », les corps dinspection, sous la responsabilité des autorités académiques, contribueront à la collation et à la mise à disposition des démarches pédagogiques les plus efficientes.
Lusage des manuels scolaires
À lécole primaire, lusage de manuels scolaires conformes aux programmes, dans lesprit et dans la lettre, permet aux professeurs de disposer doutils pédagogiques de référence et aux élèves de consolider leurs apprentissages. Leur choix par les équipes pédagogiques sappuiera utilement sur les méthodes danalyse qui leur seront proposées par les corps dinspection dont le rôle est aussi de veiller à la présence et à lusage de manuels adaptés aux programmes ; car lon nenseigne pas sans livre, pas plus que lon napprend sans livre, la photocopie ne pouvant en tenir lieu.
La maîtrise de la langue française et des mathématiques
La prévention de lillettrisme doit être la préoccupation permanente de tous les acteurs du système éducatif. Les travaux conduits dans les académies dans le cadre du plan pour prévenir lillettrisme doivent désormais se généraliser et se traduire dans les résultats des élèves. La maîtrise de la langue française demeure une priorité à loral comme à lécrit pour lécole du socle commun.
Dès lécole maternelle, comme le prévoit le plan de lutte contre lillettrisme, les objectifs principaux sont lappropriation du langage et la découverte de lécrit. On veillera à enrichir le lexique des élèves et à les sensibiliser à la langue, notamment par la familiarisation avec les textes lus, récités ou chantés. Cest un préalable indispensable à lapprentissage de la lecture au cours préparatoire. Il convient donc de porter toute lattention nécessaire aux compétences phonologiques - déjà travaillées à lécole maternelle. Un apprentissage progressif de la compréhension des textes, dans tous ses aspects, doit guider lorganisation de lenseignement de la lecture en vue de la maîtrise des premier et deuxième paliers du socle commun. Lacquisition dune lecture fluide permet à lélève de lire des textes plus longs, en témoignant dune compréhension ne se limitant pas à une perception générale du sens. La lecture de textes intégraux du patrimoine littéraire est encouragée. Lopération « Un livre pour lété » est étendue à lensemble des élèves de CM1. Elle donne lieu à un travail pédagogique en CM2 pour tirer profit de la lecture encouragée pendant lété. Une cérémonie sera organisée à cette occasion, en fin dannée scolaire, dans chaque école. La maîtrise progressive de la langue française passe également par le temps accordé à un enseignement structuré de la grammaire et de lorthographe. Faire acquérir les mécanismes de la langue, pour mieux comprendre leset mieux les écrire, sous-tend une progression méthodique dans laquelle lanalyse et la logique ont toute leur place. À ce titre, les termes grammaticaux sont étudiés à lécole et au collège, en fonction de leurs programmes respectifs, pour constituer un ensemble de références communes. Un enseignement effectif de lorthographe, dès le cours préparatoire, appuyé sur des entraînements réguliers, est garant dacquisitions solides en ce domaine.
Le dictionnaire des écoliers
Le projet de dictionnaire des écoliers a permis à près de 100 000 enfants dapprendre le vocabulaire en écrivant des
définitions et des exemples. Le tout nouveau dictionnaire des écoliers sera consultable dès le 1er juin. Le projet sera
poursuivi dans les années à venir.
Le plan pour les sciences et les technologies à lÉcole, désormais engagé, intervient à un moment où il est plus que jamais nécessaire dencourager le goût pour les sciences et les vocations scientifiques. À lécole primaire, ce plan a pour objectif dassurer à tous les élèves les compétences de base inscrites dans les programmes, compris comme une ouverture et un premier questionnement sur le monde, permettant dassoir des connaissances et des savoir-faire pour suivre avec profit les enseignements scientifiques du collège, mais aussi, pour prévenir linnumérisme dont les conséquences sont aussi graves que celles de lillettrisme. La maîtrise du calcul et des ordres de grandeur, lhabitude du raisonnement doivent être acquis et régulièrement entretenus. Pour cela, les enseignements de mathématiques à lécole doivent privilégier lentraînement aux techniques opératoires ainsi que lacquisition dautomatismes, facteurs essentiels de la réussite des élèves dans la résolution de problèmes. Dans cet esprit, outre la pratique quotidienne du calcul mental, lutilisation à lécole de jeux pour apprendre et raisonner sera favorisée.
Lenseignement des sciences et des technologies à lécole primaire, correspondant aux objectifs du programme, sappuie sur la démarche dinvestigation et dexpérimentation encouragée par le programme « La main à la pâte » avec la collaboration de lAcadémie des Sciences.
Dans le sillage de « La main à la pâte », lenseignement intégré de science et technologie (EIST) est proposé au collège en classes de sixième et de cinquième. Cet enseignement conjoint de trois disciplines - sciences de la vie et de la Terre, technologie et physique-chimie - favorise le décloisonnement disciplinaire et permet de donner une vision globale des sciences et, plus largement, de la démarche scientifique. Ce modèle innovant denseignement des sciences sera notamment développé dans les établissements Éclair.
La sensibilisation précoce à la première langue vivante
Aujourdhui, lenseignement des langues vivantes est obligatoire dès le CE1 et une sensibilisation est proposée en CP. Il est souhaitable que cette sensibilisation commence plus tôt, dès lécole maternelle. Le comité stratégique pour les langues est chargé détudier la progression de lapprentissage dune langue vivante de lécole maternelle au baccalauréat afin de gagner en efficacité. La question de lapprentissage précoce sera traitée avec une priorité donnée à langlais dont la maîtrise constitue une nécessité absolue. Lenseignement des langues vivantes peut utilement sappuyer sur des outils numériques et des activités créatives. Linitiation à la première langue vivante dès lécole élémentaire, le plus souvent langlais, permet douvrir la voie à apprentissage de la LV2 au collège.
Le suivi en continu des progrès des élèves
- Le livret personnel de compétences au service des élèves, des familles et des enseignants
Lacquisition des connaissances et des compétences du socle commun est progressive. Sa mise en uvre à lécole primaire est effective depuis 2008 et connaîtra une étape importante au collège avec sa prise en compte pour lobtention du diplôme national du brevet (DNB) à compter de la session de juin 2011 via lapplication informatique LPC. Cependant, cest dans la continuité des apprentissages de lécole et tout au long de la scolarité obligatoire que les démarches propres à la construction et à lévaluation des compétences du socle doivent sinscrire. Cest dans cette optique quil faut poursuivre leffort daccompagnement des équipes pédagogiques.
Lannée scolaire 2011-2012 verra la généralisation de la version informatisée du livret personnel de compétences à lécole primaire, déjà en usage au collège. Réunissant les trois paliers de validation du socle commun, il permettra aux équipes denregistrer progressivement la validation des compétences pour chaque élève et renforcera ainsi la cohérence de son parcours scolaire. Facile à renseigner et à consulter, il offre toutes les garanties de sécurité et permet une transmission aisée entre établissements scolaires.
Lefficacité du livret personnel de compétences dépend de la régularité et de la qualité des évaluations menées en classe. Il convient de mettre en place des modalités diversifiées dévaluation qui permettent un réel « contrôle continu » des élèves. La qualité et la pertinence de lévaluation, comme levier de réussite des élèves, doivent être lobjet dun travail de réflexion collective permanent au sein des écoles et des établissements. Lenseignant veillera particulièrement à ce que les « contrôles » soient annoncés aux élèves et que les points sur lesquels ils porteront aient été travaillés préalablement et soient clairement répertoriés. Il pourra également préciser aux élèves quels items de quelle(s) compétence(s) sont visés par chaque évaluation.
Il est rappelé à ce propos que la notation nest pas contradictoire avec lévaluation de compétences. La notation est un élément de lévaluation mais elle na pas vocation à définir un seuil de validation de la compétence.
- Les évaluations nationales pour jalonner le parcours des élèves
À lécole primaire, les évaluations nationales en CE1 et CM2 réalisent avant tout un bilan. Elles fournissent un portrait fiable du niveau des élèves à toutes les échelles, de la classe au territoire national. Elles permettent aussi aux professeurs de valider ou dajuster les méthodes utilisées en classe, de donner les impulsions pédagogiques nécessaires de façon ciblée et efficace, et dengager les actions de soutien aux élèves en difficulté. Ces évaluations nationales ont vocation à être complétées par des évaluations conçues à léchelon de lécole, de la circonscription ou du département.
Les outils daide à lévaluation en ligne pour la grande section de maternelle seront enrichis et augmentés de ressources nouvelles dès la rentrée 2011. Adaptés aux objectifs de lécole maternelle et à la spécificité de ses formes denseignement, ils permettront de mieux situer les acquis de chaque élève dans la perspective dune prise en charge personnalisée dès lentrée au cours préparatoire et de mieux suivre les progrès des élèves au cours de la grande section.
Au collège, une évaluation nationale sera expérimentée en classe de 5ème dans les établissements volontaires au cours de lannée 2011-2012. Elle portera sur deux compétences du socle commun. Proposée à mi-parcours de la scolarité au collège, dans le courant du troisième trimestre, elle permettra de disposer dinformations statistiques comme point détape entre les évaluations de CM2 et le DNB.
La continuité école-collège - vers lécole du socle commun
- Une continuité CM2-sixième renforcée
Les rencontres entre les enseignants de lécole et les enseignants de sixième sont organisées de manière systématique par les IEN et les chefs détablissement avant la fin de lannée de CM2 afin dassurer la continuité de la prise en charge des élèves dès leur arrivée au collège. Elles prennent le nom de commissions de liaison dont les objectifs et les modalités dorganisation font lobjet dune note de cadrage. Elles centrent leurs travaux sur la continuité pédagogique, larticulation des programmes et des apprentissages ainsi que sur les élèves, repérés par les maîtres de lécole primaire, qui devront faire lobjet dun suivi particulier. Les stages de remise à niveau de CM2 de la fin du mois daoût auront lieu, chaque fois que possible, dans les locaux du collège daffectation de lélève.
- Lélaboration de « PPRE passerelle »
Sappuyant sur les constats du livret personnel de compétences au palier 2, ces rencontres permettent de formaliser dès la fin du CM2 des « programmes personnalisés de réussite éducative (PPRE) passerelle » conçus dans le cadre des commissions de liaison par le professeur des écoles et les professeurs de français et de mathématiques du collège. Ce PPRE passerelle définit les objectifs dapprentissage prioritaires et les modalités de poursuite des aides engagées dès le début de la sixième.
- Laccompagnement personnalisé en 6ème
Dune durée de 2 heures hebdomadaires et se substituant à laide aux élèves et à laccompagnement de leur travail personnel, laccompagnement personnalisé a pour objectifs daider lélève à devenir un collégien, notamment dans lorganisation de son travail, et de proposer différentes modalités de soutien et dapprofondissement.
Laccompagnement personnalisé sera spécifiquement mis à profit en début dannée scolaire pour effectuer les mises à niveau nécessaires. Selon les lacunes et les besoins repérés, les modules de mise à niveau sont assurés par le professeur de lélève en sixième, par un autre professeur du collège et, pour les élèves les plus en difficulté, par un professeur des écoles ou par un enseignant spécialisé de Segpa.
Laccompagnement éducatif
Laccompagnement éducatif, implanté dans lensemble des collèges et largement organisé dans les écoles élémentaires de léducation prioritaire, contribue à la réussite des élèves en favorisant lacquisition et la consolidation des compétences du socle commun. Il repose sur une offre diversifiée qui, en plus de laide aux devoirs et aux leçons, permet aux élèves de souvrir aux arts et à la culture, à la pratique sportive et aux langues vivantes. Il offre aux élèves qui en ont les possibilités et lenvie un approfondissement dans les domaines dapprentissage des programmes.
Laccompagnement éducatif doit être mobilisé au service de la réussite scolaire. Il vient compléter les dispositifs mis en place pour les élèves en difficulté. À ce titre, il peut sintégrer parmi les actions dun PPRE ou venir compléter laide personnalisée mise en uvre à lécole.
La pratique musicale, facteur de réussite scolaire
La musique à lécole est dabord une pratique. Comme toute pratique artistique, elle est à la fois un espace de plaisir et de rigueur. Lenfant y apprend la joie de chanter, il y apprend aussi la maîtrise de soi, la collaboration avec les autres, il y entraîne sa mémoire et son attention. Visant linterprétation dun répertoire, elle sollicite la responsabilité et la maîtrise individuelles au service dun travail de groupe.
Le chant, dans des formations collectives, est pratiqué par tous les élèves, de leur entrée à la maternelle jusquà la fin du collège. À lécole, il est une activité régulière de la classe qui apporte un climat serein, propice à lensemble des apprentissages. Il contribue à la construction des diverses compétences du socle commun (de la maîtrise de la langue à la culture humaniste). La pratique du chant choral, par le travail nécessaire sur la maîtrise dun répertoire et par les occasions quil offre de se produire en public, permet la réalisation dun véritable projet de pratique artistique à la mesure des élèves. Une pratique fréquente du chant dans toutes les écoles est lobjectif quil faut poursuivre en prenant appui sur des outils nationaux qui seront diffusés dès la rentrée, et sur les ressources locales. Au collège, il est loutil privilégié du projet musical réalisé au coeur de chaque séquence déducation musicale.
Annexe 7 : Données statistiques (pages 13 à 20)
Informations sur l'établissement : Nom de l'établissement :Collège YType & secteur de l'établissement :Collège - PublicNuméro établissement : Commune : TAN6001 - Caractéristiques des élèves - Année 2006 EFF MOY%FILLES%PCS FA%PCS FB%PCS MY%PCS DF%PCS NRETABL.69749,89,317,532,440,30,4DEPARTEMENT45449,91414,532,436,23ACADEMIE42849,523,615,830,126,93,6FRANCE4985021,814,626,133,93,6%PCS NR=%PCS non renseignées. Attention : jusqu' à la session 2004 (TAN4001) les PCS NR étaient incluses dans la catégorie défavorisée. Référence public + privé et France métropolitaine si l'académie est située en métropole ou public + privé et France entTAN7001 - Caractéristiques des élèves - Année 2007 EFF MOY%FILLES%PCS FA%PCS FB%PCS MY%PCS DF%PCS NR%ETRANGETABL.71850,69,717,731,940,50,14,6DEPARTEMENT44649,614,214,433,435,22,83,9ACADEMIE42649,523,815,730,626,43,52,5FRANCE492502214,426,733,13,73,3%PCS NR=%PCS non renseignées. Attention : jusqu' à la session 2004 (TAN4001) les PCS NR étaient incluses dans la catégorie défavorisée. Référence public + privé et France métropolitaine si l'académie est située en métropole ou public + privé et France entTAN8001 - Caractéristiques des élèves - Année 2008 EFF MOY%FILLES%PCS FA%PCS FB%PCS MY%PCS DF%PCS NR%ETRANGETABL.65650,810,517,226,545,30,53,7DEPARTEMENT46549,61513,632,136,72,63,6ACADEMIE42849,524,914,829,727,23,42,4FRANCE490502313,825,933,93,43%PCS NR=%PCS non renseignées. Attention : jusqu' à la session 2004 (TAN4001) les PCS NR étaient incluses dans la catégorie défavorisée. Référence public + privé et France métropolitaine si l'académie est située en métropole ou public + privé et France entTAN9001 - Caractéristiques des élèves - Année 2009 EFF MOY%FILLES%PCS FA%PCS FB%PCS MY%PCS DF%PCS NR%ETRANGETABL.65049,7121424,649,20,22,8DEPARTEMENT46149,316,713,331,635,533,2ACADEMIE43049,525,314,629,726,93,62,2FRANCE49249,923,313,62633,63,52,9%PCS NR=%PCS non renseignées. Attention : jusqu' à la session 2004 (TAN4001) les PCS NR étaient incluses dans la catégorie défavorisée. Référence public + privé et France métropolitaine si l'académie est située en métropole ou public + privé et France entTAN0001 - Caractéristiques des élèves - Année 2010 EFF MOY%FILLES%PCS FA%PCS FB%PCS MY%PCS DF%PCS NR%ETRANGETABL.62148,81413,223,549,302,9DEPARTEMENT46649,216,712,931,636,12,73,1ACADEMIE43549,525,514,329,726,73,82,3FRANCE49449,823,513,526,233,33,62,8%PCS NR=%PCS non renseignées. Attention : jusqu' à la session 2004 (TAN4001) les PCS NR étaient incluses dans la catégorie défavorisée. Référence public + privé et France métropolitaine si l'académie est située en métropole ou public + privé et France entTAN6306 - Présents par classe : % PCS défavorisées (Collège) - Année 2006 ETABLISSEMENTACAD.FRANCE EFF.%PCSDEF%PCSDEF%PCSDEF6EME17238,428,334,95EME15744,627,934,84EME19636,727,534,73EME14438,926,133,9TOT. COLL.66939,527,734,8SEGPA2860,75865,9TOT SECOND.69740,328,535,7TOTAL GENE69740,328,535,7Référence : établissements publics + privés - Attention à partir de la session 2005, les PCS non renseignées ne sont plus comprises dans la catégorie défavorisée contrairement aux années précédentesTAN7306 - Présents par classe : % PCS défavorisées (Collège) - Année 2007 ETABLISSEMENTACAD.FRANCE EFF.%PCSDEF%PCSDEF%PCSDEF6EME18841,527,433,85EME17039,427,233,94EME14942,327,333,93EME18036,725,733,4TOT. COLL.68739,927,134SEGPA3154,857,565,1TOT SECOND.71840,527,934,9TOTAL GENE71840,527,934,9Référence : établissements publics + privés - Attention à partir de la session 2005, les PCS non renseignées ne sont plus comprises dans la catégorie défavorisée contrairement aux années précédentesTAN8306 - Présents par classe : % PCS défavorisées (Collège) - Année 2008 ETABLISSEMENTACAD.FRANCE EFF.%PCSDEF%PCSDEF%PCSDEF6EME16648,228,334,95EME17447,128,234,74EME16038,127,834,83EME13246,227,434,2TOT. COLL.63244,928,234,8SEGPA2454,259,466,6TOT SECOND.65645,32935,8TOTAL GENE65645,32935,8Référence : établissements publics + privés - Attention à partir de la session 2005, les PCS non renseignées ne sont plus comprises dans la catégorie défavorisée contrairement aux années précédentes
TAN9306 - Présents par classe : % PCS défavorisées (Collège) - Année 2009 ETABLISSEMENTACAD.FRANCE EFF.%PCSDEF%PCSDEF%PCSDEF6EME15662,22834,45EME15846,227,634,44EME15743,327,534,23EME14537,926,833,9UPI108050,852,1TOT. COLL.62648,127,734,4SEGPA2479,257,266TOT SECOND.65049,228,435,3TOTAL GENE65049,228,435,3Référence : établissements publics + privés - Attention à partir de la session 2005, les PCS non renseignées ne sont plus comprises dans la catégorie défavorisée contrairement aux années précédentesTAN0306 - Présents par classe : % PCS défavorisées (Collège) - Année 2010 ETABLISSEMENTACAD.FRANCE EFF.%PCSDEF%PCSDEF%PCSDEF6EME14347,627,834,15EME14455,627,5344EME15343,827,333,93EME14541,426,633,7UPI1172,747,652TOT. COLL.59647,527,434,1SEGPA259256,565,2TOT SECOND.62149,328,234,9TOTAL GENE62149,328,234,9Référence : établissements publics + privés - Attention à partir de la session 2005, les PCS non renseignées ne sont plus comprises dans la catégorie défavorisée contrairement aux années précédentesTAN6305 - Présents par classe : % RETARD>= 2 ANS+% DOUBLANTS (COL) - Année 2006 ETABLISSEMENTACADEMIEFRANCE EFF.%REDOUB%RETARD%REDOUB%RETARD%REDOUB%RETARD6EME1726,40,67,82,47,32,15EME1573,2742,93,62,84EME1969,77,17,13,76,23,73EME14497,66,94,66,34,9TOT. COLL.6697,25,56,63,563,5SEGPA28001,50,61,70,4TOT SECOND.6976,95,36,43,45,93,4TOTAL GENE6976,95,36,43,45,93,4Référence : établissements publics + privésTAN7305 - Présents par classe : % RETARD>= 2 ANS+% DOUBLANTS (COL) - Année 2007 ETABLISSEMENTACADEMIEFRANCE EFF.%REDOUB%RETARD%REDOUB%RETARD%REDOUB%RETARD6EME1884,80,571,96,21,75EME1703,50,63,42,432,24EME1492,74,76,33,35,13,13EME1803,95,67,34,264,3TOT. COLL.6873,82,86,135,33SEGPA31001,40,51,60,3TOT SECOND.7183,62,6635,22,9TOTAL GENE7183,62,6635,22,9Référence : établissements publics + privés
TAN8305 - Présents par classe : % RETARD>= 2 ANS+% DOUBLANTS (COL) - Année 2008 ETABLISSEMENTACADEMIEFRANCE EFF.%REDOUB%RETARD%REDOUB%RETARD%REDOUB%RETARD6EME1665,41,26,21,65,41,45EME17400,63,222,61,84EME1601,30,652,54,32,43EME1328,35,36,13,65,53,7TOT. COLL.6323,51,75,32,54,72,5SEGPA24001,20,51,40,3TOT SECOND.6563,41,75,22,54,62,4TOTAL GENE6563,41,75,22,54,62,4Référence : établissements publics + privés
TAN9305 - Présents par classe : % RETARD>= 2 ANS+% DOUBLANTS (COL) - Année 2009 ETABLISSEMENTACADEMIEFRANCE EFF.%REDOUB%RETARD%REDOUB%RETARD%REDOUB%RETARD6EME1563,80,64,71,34,41,25EME1584,402,81,82,61,54EME1570,604,52,2423EME1454,10,75,2353,1UPI1020061,418,965,626,3TOT. COLL.6263,50,34,52,24,32,1SEGPA24001,10,20,90,2TOT SECOND.6503,40,34,42,14,22TOTAL GENE6503,40,34,42,14,22Référence : établissements publics + privésTAN0305 - Présents par classe : % RETARD>= 2 ANS+% DOUBLANTS (COL) - Année 2010 ETABLISSEMENTACADEMIEFRANCE EFF.%REDOUB%RETARD%REDOUB%RETARD%REDOUB%RETARD6EME1437,70,740,93,815EME1442,10,72,41,32,21,24EME1535,203,81,83,61,73EME14592,14,62,74,92,7UPI1190,918,264,82667,228,3TOT. COLL.5967,61,241,841,8SEGPA25000,70,20,90,3TOT SECOND.6217,21,13,91,83,91,8TOTAL GENE6217,21,13,91,83,91,8Référence : établissements publics + privés
TAN6350 - Devenir des élèves de 3eme - Année 2006 ETABLISSEMENTACADEMIEFRANCE EFF.%%%3G - 2NDE GT8050,657,755,53G-2E PRO/1CAP24528,523,723,13G - 3G148,96,75,9AUTRES191211,915,5EFF 3G EN T1158100100100'AUTRES' comprend les élèves ayant quitté le systeme éducatif ou orientés vers les filières agricoles ou d'apprentissage; 3G=3E générale, 3T=3E technologique, 3I=3E d'insertion; Références : établissements publics et privésTAN7350 - Devenir des élèves de 3eme - Année 2007 ETABLISSEMENTACADEMIEFRANCE EFF.%%%3G - 2NDE GT7048,657,456,93G-2E PRO/1CAP24430,623,623,83G - 3G128,36,85,7AUTRES1612,512,213,7EFF 3G EN T1144100100100'AUTRES' comprend les élèves ayant quitté le systeme éducatif ou orientés vers les filières agricoles ou d'apprentissage; 3G=3E générale, 3T=3E technologique, 3I=3E d'insertion; Références : établissements publics et privésTAN8350 - Devenir des élèves de 3eme - Année 2008 ETABLISSEMENTACADEMIEFRANCE EFF.%%%3G - 2NDE GT9452,258,657,43G-2E PRO/1CAP22513,917,417,63G-BAC PRO 3ANS2413,36,46,73G - 3G168,95,75,3AUTRES2111,711,913,1EFF 3G EN T1180100100100'AUTRES' comprend les élèves ayant quitté le systeme éducatif ou orientés vers les filières agricoles ou d'apprentissage; 3G=3E générale, 3T=3E technologique, 3I=3E d'insertion; Références : établissements publics et privésTAN9350 - Devenir des élèves de 3eme - Année 2009 ETABLISSEMENTACADEMIEFRANCE EFF.%%%3G - 2NDE GT6851,559,958,93G-2E PRO/1CAP2437,373G-BAC PRO 3ANS3929,515,816,83G - 3G75,35,14,9AUTRES1410,711,912,3EFF 3G EN T1132100100100'AUTRES' comprend les élèves ayant quitté le systeme éducatif ou orientés vers les filières agricoles ou d'apprentissage; 3G=3E générale, 3T=3E technologique, 3I=3E d'insertion; Références : établissements publics et privésTAN0350 - Devenir des élèves de 3eme - Année 2010 ETABLISSEMENTACADEMIEFRANCE EFF.%%%3G - 2NDE GT6544,861,359,23G-2E PRO/BAC P453119,620,43G-1CAP232,13,13,73G - 3G64,24,54,8AUTRES2617,911,512EFF 3G EN T1145100100100'AUTRES' comprend les élèves ayant quitté le systeme éducatif ou orientés vers les filières agricoles ou d'apprentissage; 3G=3E générale, 3T=3E technologique, 3I=3E d'insertion; Références : établissements publics et privésTAN6357 - Devenir des élèves en fin de 2nde GT par collège d'origine - Année 2006 ETABL.ACADEM.FRANCE EFF.%%%1E SCIENTIFIQUE1820,934,230,31E LITTERAIRE78,19,79,11E ECO SOCIAL1112,816,916,11E SMS OU STG910,59,912,71E STL OU STI44,776,61E BTN SPECIFIQ000,50,4BEP OU CAP89,32,93,1REDOUBLEMENT2225,615,216,5AUTRE SITUATION78,13,85,2TOTAL86100100100Référence : établissements publics + privés
TAN7357 - Devenir des élèves en fin de 2nde GT par collège d'origine - Année 2007 ETABL.ACADEM.FRANCE EFF.%%%1E SCIENTIFIQUE1116,234,831,41E LITTERAIRE710,39,391E ECO SOCIAL710,31716,41E ST2S OU STG68,810,312,61E STL OU STI45,96,96,61E BTN SPECIFIQ000,50,4BEP OU CAP1116,23,43REDOUBLEMENT1217,613,515AUTRE SITUATION1014,74,25,5TOTAL68100100100Référence : établissements publics + privésTAN8357 - Devenir des élèves en fin de 2nde GT par collège d'origine - Année 2008 ETABL.ACADEM.FRANCE EFF.%%%1E SCIENTIFIQUE2436,934,931,91E LITTERAIRE710,89,491E ECO SOCIAL710,817,3171E ST2S OU STG69,210,413,11E STL OU STI23,176,81E BTN SPECIFIQ11,50,50,4BEP OU CAP0022REDOUBLEMENT913,812,913,5AUTRE SITUATION913,85,66,3TOTAL65100100100Référence : établissements publics + privés
TAN9357 - Devenir des élèves en fin de 2nde GT par collège d'origine - Année 2009 ETABL.ACADEM.FRANCE EFF.%%%1E SCIENTIFIQUE - GAR1142,339,738,61E LITTERAIRE - GAR13,84,93,91E ECO SOCIAL - GAR311,514,8151E ST2S/STG/BT Sv - G27,79,29,51E STL/STI/BT Prd - G519,210,910,51E BTN SPECIFIQ - GAR000,60,52nde PRO - GAR27,73,62,7CAP - GAR000,30,1REDOUBL/AUTRES - GAR27,71619,2TOTAL - GAR261001001001E SCIENTIFIQUE - FIL512,229,927,81E LITTERAIRE - FIL819,513,913,21E ECO SOCIAL - FIL1024,421,621,91E ST2S/STG/BT Sv - F49,814,115,41E STL/STI/BT Prd - F12,42,62,21E BTN SPECIFIQ - FIL000,40,32nde PRO - FIL12,42,92,1CAP - FIL12,40,30,2REDOUBL/AUTRES - FIL1126,814,416,9TOTAL - FIL411001001001E SCIENTIFIQUE1623,934,432,71E LITTERAIRE913,49,78,91E ECO SOCIAL1319,418,518,81E ST2S/STG/BT Sv6911,912,71E STL/STI/BT Prod696,461E BTN SPECIFIQ000,50,42nde PRO34,53,32,4CAP11,50,30,2REDOUBL/AUTRES1319,415,117,9TOTAL67100100100Référence : établissements publics + privés
TAN0357 - Devenir des élèves en fin de 2nde GT par collège d'origine - Année 2010 ETABL.ACADEM.FRANCE EFF.%%%1E SCIENTIFIQUE - GAR52540,739,61E LITTERAIRE - GAR2103,73,71E ECO SOCIAL - GAR21016,115,41E ST2S/STG/BT Sv - G008,79,81E STL/STI/BT Prd - G31511,1101E BTN SPECIFIQ - GAR150,70,52nde PRO - GAR153,92,5CAP - GAR000,30,11ere PRO - GAR000,20,6REDOUBLEMENT - GAR3159,812,2AUTRES - GAR31555,7TOTAL - GAR201001001001E SCIENTIFIQUE - FIL1332,530,328,11E LITTERAIRE - FIL4101413,41E ECO SOCIAL - FIL717,52222,61E ST2S/STG/BT Sv - F41013,915,31E STL/STI/BT Prd - F252,42,21E BTN SPECIFIQ - FIL000,30,32nde PRO - FIL37,53,12CAP - FIL000,20,11ere PRO - FIL000,10,4REDOUBLEMENT - FIL4108,310,4AUTRES - FIL37,55,45,1TOTAL - FIL401001001001E SCIENTIFIQUE183034,933,41E LITTERAIRE6109,491E ECO SOCIAL91519,319,31E ST2S/STG/BT Sv46,711,612,81E STL/STI/BT Prod58,36,35,81E BTN SPECIFIQ11,70,50,42nde PRO46,73,52,2CAP000,30,11ere PRO000,10,5REDOUBLEMENT711,7911,2AUTRES6105,25,4TOTAL60100100100Référence : établissements publics + privésTAN6358 - Devenir des élèves en fin de 2nde PROF par collège d'origine - Année 2006 ETABL.ACADEM.FRANCE EFF.%%%TER BEP - 2CAP2279085,680,4REOR OU REDOUBL004,15,1AUTRE SITUATION31010,314,5TOTAL30100100100Référence : établissements publics + privésTAN7358 - Devenir des élèves en fin de 2nde PROF par collège d'origine - Année 2007 ETABL.ACADEM.FRANCE EFF.%%%TER BEP - 2CAP23384,684,778,7REOR OU REDOUBL12,63,84,6AUTRE SITUATION512,811,516,6TOTAL39100100100Référence : établissements publics + privés
TAN8358 - Devenir des élèves en fin de 2nde PROF par collège d'origine - Année 2008 ETABL.ACADEM.FRANCE EFF.%%%TER BEP - 2CAP24189,182,777,3REOR OU REDOUBL002,93,7AUTRE SITUATION510,914,419TOTAL46100100100Référence : établissements publics + privésTAN9358 - Devenir des élèves en fin de 2nde PROF par collège d'origine - Année 2009 ETABL.ACADEM.FRANCE EFF.%%%TER BEP - GAR144054,9511ere PRO - GAR1131,425,424,7REDOUBLEMENT - GAR25,74,14,8AUTRE SITUATION - GAR822,915,619,5TOTAL - GAR35100100100TER BEP - FIL423,55955,61ere PRO - FIL1164,724,824,2REDOUBLEMENT - FIL0033,9AUTRE SITUATION - FIL211,813,316,3TOTAL - FIL17100100100TER BEP1834,656,6531ere PRO2242,325,224,5REDOUBLEMENT23,83,64,4AUTRE SITUATION1019,214,618,1TOTAL52100100100Référence : établissements publics + privésTAN0358 - Devenir des élèves en fin de 2nde PROF par collège d'origine - Année 2010 ETABL.ACADEM.FRANCE EFF.%%%TER BEP - GAR009,241ere PRO - GAR981,869,9702eme année CAP - GAR000,90,7REDOUBLEMENT - GAR19,14,75,4AUTRE SITUATION - GAR19,115,319,8TOTAL - GAR11100100100TER BEP - FIL218,229,226,61ere PRO - FIL763,652,352,82eme année CAP - FIL000,80,5REDOUBLEMENT - FIL004,34AUTRE SITUATION - FIL218,213,416,2TOTAL - FIL11100100100TER BEP29,117,814,11ere PRO1672,762,462,32eme année CAP000,80,6REDOUBLEMENT14,54,54,8AUTRE SITUATION313,614,518,2TOTAL22100100100Référence : établissements publics + privésTAN6353 - Taux d'accès au niveau supérieur (Collège) - Année 2006 6ème>3èmes3èmes>2nde GT3èmes>2nde prof.(BEP) + CAP3èmes>2ndes (prof.+GT)TAUX BRUT78,957,629,987,5TAUX ATTENDU/ACAD.65,560,825,186,1TAUX ATTENDU/FRANCE66,158,924,483,5INDICE COMPARAISON ACAD.120,494,8118,8101,6INDICE COMPARAISON FRANCE119,497,8122,2104,8Référence académie : public + privé; Référence France : établissements publics + privés & métropole (si l'académie est située en métro.) ou public + privé & France entière (si l'académie est situéeTAN7353 - Taux d'accès au niveau supérieur (Collège) - Année 2007 6ème>3èmes3èmes>2nde GT3èmes>2nde prof.(BEP) + CAP3èmes>2ndes (prof.+GT)TAUX BRUT71,65434,388,3TAUX ATTENDU/ACAD.655726,884TAUX ATTENDU/FRANCE71,256,927,284,2INDICE COMPARAISON ACAD.110,294,8127,8105,1INDICE COMPARAISON FRANCE100,594,9125,9104,9Référence académie : public + privé; Référence France : établissements publics + privés & métropole (si l'académie est située en métro.) ou public + privé & France entière (si l'académie est situéeTAN8353 - Taux d'accès au niveau supérieur (Collège) - Année 2008 6ème>3èmes3èmes>2nde GT3èmes>2nde prof.(BEP) + CAP3èmes>2ndes (prof.+GT)TAUX BRUT6946,817,364,2TAUX ATTENDU/ACAD.68,657,120,277,6TAUX ATTENDU/FRANCE73,156,220,476,8INDICE COMPARAISON ACAD.100,581,985,882,7INDICE COMPARAISON FRANCE94,383,38583,5Référence académie : public + privé; Référence France : établissements publics + privés & métropole (si l'académie est située en métro.) ou public + privé & France entière (si l'académie est située
TAN9353 - Taux d'accès au niveau supérieur (Collège) - Année 2009 6ème>3èmes3èmes>2nde GT3èmes>2nde pro3èmes>CAP3èmes>2ndes (CAP+pro+GT)TAUX BRUT68,455,619,81,677TAUX ATTENDU/ACAD.70,760,1214,285,3TAUX ATTENDU/FRANCE75,459,521,94,686INDICE COMPARAISON ACAD.96,892,594,437,690,2INDICE COMPARAISON FRANCE90,793,490,534,389,5Référence académie : public + privé; Référence France : établissements publics + privés & métropole (si l'académie est située en métro.) ou public + privé & France entière (si l'académie est situéeTAN0353 - Taux d'accès au niveau supérieur (Collège) - Année 2010 6ème>3èmes3èmes>2nde GT3èmes>2nde pro3èmes>CAP3èmes>2ndes (CAP+pro+GT)TAUX BRUT69,859,823,52,385,6TAUX ATTENDU/ACAD.69,863,620,53,187,2TAUX ATTENDU/FRANCE75,362,221,43,987,5INDICE COMPARAISON ACAD.10094,2114,373,798,2INDICE COMPARAISON FRANCE92,796,2109,758,497,8
Extrait du tableau de bord du collège YSource : IPESComparaison des CSP défavorisées :Collège YAcadémie de ToulouseFrance 200640,328,535,7200740,527,934,9200845,329,035,8200949,228,435,3201049,328,234,9
Source : Fiches BrevetEvolution du nombre de candidats reçus au DNB : 2004200520062007200820092010Reçus Collège Y75,181,177,581,678,076,071,9Reçus bassin82,180,182,684,686,283,383,5Reçus du département81,882,581,085,283,883,183,4Reçus Académie de
83,184,083,286,487,486,486,9Moyenne > à 10 Collège Y39,348,044,442,747,050,456,1Moyenne > à 10 bassin46,646,948,956,864,857,660,1Moyenne > 10 Département51,051,250,960,465,159,460,5Moyenne > 10 Académie de
58,156,956,164,170,566,065,4
Evolution des moyennes à l'écrit du DNB : 2001200220032004200520062007200820092010Moyenne réelle à l'écrit9,769,389,689,209,979,749,829,9010,1510,33Moyenne attendue à l'écrit10,179,7710,5710,3310,2510,1210,5210,8810,8110,66Moyennes réelles du bassin 9,99,749,9710,5111,0410,5310,69Moyennes réelles du Département 10,1310,1510,0410,7511,0310,5910,71Moyennes Académie de
10,610,510,4611,0311,4511,1311,13
Evolution des moyennes de l'écrit de Français 2004200520062007200820092010Moyennes réelles à l'écrit10,2611,1310,0710,6710,1811,1311,07Moyennes attendues à l'écrit9,9510,109,9210,5610,4211,4610,88Moyennes au Contrôle Continu 10,7010,6010,7010,8Evolution des moyennes de l'écrit en mathématiques 2004200520062007200820092010Moyennes réelles à l'écrit7,858,589,468,949,008,329,27Moyennes attendues à l'écrit10,729,8210,3110,1910,8110,0710,08Moyennes au Contrôle Continu 10,59,89,59,8Evolution des moyennes de l'écrit en histoire-géo 2004200520062007200820092010Moyennes réelles9,4710,219,719,8510,5210,9910,64Moyennes attendues10,3110,8510,1310,8311,3910,9011,01
Ecarts entre les moyennes du CC et celles de l'écrit en Français 2007200820092010CC Collège Y10,7010,6010,7010,80Ecrit Collège Y10,7010,2011,1011,10CC Bassin11,0011,1011,0011,20Ecrit Bassin10,8010,7011,3010,90CC Département10,6010,4010,9011,10Ecrit Département10,8010,5011,4010,90CC Académie de
10,7011,2011,3011,40Ecrit Académie de
11,1011,0011,7011,30Ecart Collège Y0,000,40-0,40-0,30Ecart Bassin0,200,40-0,300,30Ecart Département-0,20-0,10-0,500,20Ecart Académie de
.-0,400,20-0,400,10Ecarts entre les moyennes du CC et celles de l'écrit en Mathématiques 2007200820092010CC Clg Y10,509,809,509,80Ecrit Clg Y8,909,008,309,30CC Bassin10,5010,9010,4010,90Ecrit Bassin10,1011,109,6010,10CC dept10,3010,4010,4010,80Ecrit dept10,5011,009,8010,20CC Académie de
10,7010,8011,0011,10Ecrit Académie de
10,8011,6010,5011,30Ecart Clg Y1,600,801,200,50Ecart Bassin0,40-0,200,800,80Ecart dept-0,20-0,600,600,60Ecart Académie
-0,10-0,800,50-0,20
Source : IPES PROBABILITES :Evolution des taux d'accès de 6ème en 3ème : 2004200520062007200820092010Taux brut70,784,678,971,669,068,469,8Taux attendu/Académie
67,369,065,565,068,670,769,8Taux attendu/France74,074,466,171,273,175,475,3Evolution des taux d'accès de 3ème en 2nde GT : 2004200520062007200820092010Taux brut58,259,757,660,157,654,046,8Taux attendu/Académie
61,062,960,857,057,160,163,2Taux attendu/France61,263,158,956,956,259,562,2
Evolution des taux d'accès de 3ème en 2nde professionnelle et 1ère année de CAP : 2004200520062007200820092010Taux brut25,321,424,921,629,934,317,3Taux attendu/Académie de
.24,222,725,126,820,221,020,5Taux attendu/France24,423,024,427,220,421,921,4
Source : IPESSource : Collège YOrientation constatées :Décisions d'orientation : 20062007200820092010Toulouse 2010France 2010 200620072008200920102nde GT50,648,652,251,544,861,359,22nde GT48,751,453,452,648,92nde pro-CAP28,530,627,232,533,122,724,12nde Pro + CAP41,840,341,443,548,9Rdts8,98,38,95,34,24,54,8Redoublements9,58,35,23,92,2Autres12,012,511,710,717,911,511,9Autres0,00,00,00,00,0100100100100100100100100,0100,0100,0100,0100,0Source : IPESDevenir des élèves de 2ndeRépartition des élèves passant en 1ère par spécialité 2006200720082009Toulouse 2009France 2009 2006200720082009Toulouse 2009France 20091ère S20,916,236,923,934,432,7 1ère S36,731,551,032,042,341,11ère L8,110,310,813,49,78,9 1ère L14,220,014,918,011,911,21ère ES12,810,310,819,418,518,8 1ère ES22,520,014,926,022,723,61ère SMS & STG10,58,89,29,011,912,7 1ère SMS & STG18,317,112,712,014,616,11ère STL & STI4,75,93,19,06,46,0 1ère STL & STI8,311,44,412,07,97,51ère spé.0,00,01,50,00,50,4 1ère spé.0,00,02,10,00,60,5Passage en première57,051,572,374,781,479,5 Passage en première100,0100,0100,0100,0100,0100,0BEP ou CAP9,316,20,06,03,62,6 Redoublt et Autres33,732,327,719,315,017,9 Orientation des élèves de seconde en première scientifique et technologique 100100100100100100 2006200720082009Toulouse 2009France 20091ère S36,731,551,032,042,341,11ère STL & STI8,311,44,412,07,97,5
0820029Lsyn10-
Annexe 8 : Fiche de synthèse du collège Y 2010-2011 (Source D2P)
FICHE DE SYNTHESE ETABLISSEMENT - ANNEE 2010-2011
SITUATION ET ENVIRONNEMENT
0820029L CLG Y
Nb élèves : 621 Nb divisions : 25
% demi-pens : 87 % internes : 0
dont élèves de SEGPA : 25
EVOLUTION DES EFFECTIFS ET DIVISIONS
200520062007200820092010Elèves691697718656650621Divisions303030292825
ELEVES ET PARENTS D'ELEVES A LA RENTREE 2010
EtabtBassinDépart.AcadémieELEVESElèves ayant un retard ( 1 an en 6ème générale (%)34252318PARENTS D'ELEVESPCS Ouvriers et Employés (%)54494738PCS Cadres moyens ou supérieurs (%)26222637Responsable sans activités prof. (%)6876Total PCS défavorisées (%)49474434Familles ( 4 enfants (%)15131310
PERSONNELS
ADM + LABO + INFENSEIGNANTS + DOC.DIRECTIONEDUCATIONEtabtAcadémieEtabtAcadémieEtabtAcadémieEtabtAcadémieEffectifs789344781423871279Age moyen4548404344504045% de nouveaux027322402510019% de femmes7187596804410076% de titulaires10092989810010010097
MOYENS BUDGETAIRES
Budget global en Euros : total budget consolidé2009826147Total des fonds sociaux4429
Potentiel d'enseignement 2010/2011Nbre total d'ETP% d'ETP provisoiresNombre de postes pour 100 élèvesP/E étabtP/E déptP/E acad37.212.86.06.26.4
ORGANISATION
Utilisation des ressources d'enseignementTotal heures de service718.0dont % hors enseigt3
EtablissementDépt
2010Académie
2010Organisation de la structure pédagogique200820092010H/E1.261.211.121.171.20E/D2323252625E/S2022222423
RESULTATS ET ORIENTATIONS
EtablissementDépt
2010Académie
2010200820092010RedoublantsTaux de6ème54854redoublants3ème84964Affectation
(suivis de cohortes)3ème -> 2nde GT52494560623ème -> Lycée Prof.2631322120ExamensTaux de réussite au Brevet7876728186% d'élèves dont la moy. à l'ecrit (104750565765
Annexe 9 : Extrait du diagnostic du chef détablissement de décembre 2010
:
Les observations des points forts et des points faibles du collège permettent de dégager deux grands axes de progrès :
I/ La mise en cohérence des différentes actions et le renouvellement des pratiques pédagogiques :
Entrée du collège dans le dispositif de contractualisation.
Travail sur lappropriation du socle commun de compétences et de connaissances.
Mise en place dun tableau de bord dindicateurs de létablissement.
Création dune évaluation des dispositifs avec mise en place de contrôles communs fréquents à tous les niveaux.
Réécriture dun projet détablissement qui ne soit pas un catalogue dactions mais un document décrivant la politique de létablissement avec des objectifs pédagogiques concrets.
II/ La relance de la coordination inter-degrés :
Organisation de stages communs pour les enseignants.
Développement des actions pédagogiques inter-degrés.
1/ Coordination 1er 2nd degré :
Cette coordination devrait permettre une connaissance du parcours de lélève plus précise. Cela permettra notamment de mettre en place plus rapidement les dispositifs pour les élèves en difficultés comme les PPRE.
2/ Coordination Collège Lycée :
Fluidifier le parcours dorientation des élèves par une connaissance plus précoce des lycées et de leurs exigences, par une prise en compte de ce parcours dès lentrée au collège.
Augmenter lorientation des élèves en 2nde générale et technologique en leur faisant mieux connaître les filières STI et les bacs technologiques. En effet certains élèves optent pour la 2nde professionnelle alors quils ont les capacités de réussir un bac technologique.
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