Les moyens de paiement internationaux La difficulté en commerce ...
Il y a 2 types de moyen de paiement : encaissement simple et documentaire. Les
encaissements simples. Ils ne sont pas soumis à la présentation de documents ...
part of the document
Les moyens de paiement internationaux
La difficulté en commerce international provient de léloignement des partenaires et la méconnaissance mutuelle des pays. Le risque de non paiement est toujours endossé par lexportateur e pour y remédier le système bancaire international a mis en place des instruments de paiement pour répondre à la demande dassurance requise par lexportateur.
Les flux financiers et les flux de marchandises sont toujours croisés de manière inversée. Il existe plus dune dizaine de moyens de paiement mis à la disposition des cocontractants. Cest en fonction du risque pays et risque client et du montant du contrat que lon prendra le moyen de paiement le plus sécurisé.
Cest la banque qui endosse le risque de non paiement et en contrepartie elle se fait payer une commission forfaitaire. Plus cela est sécurisé et plus cest cher. Le moyen de paiement est décidé dès la signature du contrat, les 2 partis doivent être daccord.
La notion de coût est très importante. Il y a 2 types de moyen de paiement : encaissement simple et documentaire.
Les encaissements simples.
Ils ne sont pas soumis à la présentation de documents. Ce sont des moyens peu onéreux et très peu surs.
le chèque
le soucis : il est toujours à linitiative de limportateur. Cela constitue un premier risque.
Deuxième risque : le chèque en bois. Il existe 2 parades pour lexportateur :
exiger un chèque certifié conforme : le montant de la facture commerciale sera bloqué sur le compte de limportateur pendant le délai légal de présentation du chèque. (Europe et Afrique du nord : 21 jours Asie et autre : 70 jours)
exiger les chèques de banque
le virement SWIFT : le moyen le + utilisé
Réseau mondial de 80 banques sur 150 pays reliés à un réseau. Cest le moyen réputé inviolable car il ny a aucun échange de papier ou dargent. On demande directement à la banque deffectuer un virement sur tel compte.
le billet à ordre BO
Cest un écrit par lequel lacheteur appelé souscripteur du billet à ordre permet à son vendeur créancier appelé bénéficiaire du billet à ordre le paiement de la somme due à vue ou à une date ultérieure sur présentation du billet à ordre à une banque désignée. Le billet à ordre est toujours à linitiative de limportateur.
la lettre de change
Ecrit par lequel le créancier donne lordre au débiteur de payer une certaine somme à une certaine date à un bénéficiaire. Lexportateur est le bénéficiaire de la traite.
Les encaissements documentaires
Apparus pour palier aux besoins de sécurité des importateurs et des exportateurs. Les 2 partis doivent être satisfaits.
le cash on delivery (COD)
Chapitre 1 Les moyens de paiements à linternational
Risque très important en commerce international : réussir à être payé, malgré la distance pour ne pas que lentreprise soit en difficulté financière.
Non connaissance des pays mutuellement etc. pe tt compliquer
Le Risque de non payement est endossé par lXteur
Le moyen de paiement, la date, la banque
tout doit être négocier avant la signature du contrat. Cest obligatoire !
Le système bancaire international met à disposition de tous les acteurs différents moyens de paiements qui vont permettre de couvrir peu ou totalement le risque de non paiement. Il existe une dizaine de moyens de payements. Ils peuvent aller jusquà totalement couvrir tout risque de non paiement.
Cest la banque qui endosse le risque de non paiement, et elle le fait payer à ses clients par des commissions ou un syst forfaitaire. Plus la banque assure à lexportateur le fait d être payé, plus le moyen de paiement sera coûteux.
La notion de coûts est ++. L échelle des coûts sur ces moyens de paiements est assez large et on part d un virement SWIFT, peu coûteux (15¬ ), jusqu à un crédit documentaire, moyen de paiement le plus sur, on est obligé d être payé, mais ça prend du temps et très coûteux [ use en fonction pays, circonstances risquées COFASE etc.](200¬ minimum, sur ce forfait de base, il y a un pourcentage dépendant du client, du pays, du montant & ).
C est tjs X et M ki choisissent moyens de payement le plus ok.
Le paiement en liquide est interdit dans le commerce international.
Les encaissements simples
Ils peuvent être utilisés tant en France quà linternational. Ces moyens de paiements ne sont pas conditionnés par la présentation de documents, prouvant que la marchandise a bien été expédiée. Ils sont peu coûteux, mais aussi peu sûr car soumis à linitiative de limportateur.
Le chèque : sa particularité est quil est toujours émis à linitiative de limportateur. Il y a le risque que limportateur refuse de payer ou que le chèque soit en bois. Pour éviter le chèque en bois, il y a deux parades :
Lexportateur exige de la part de limportateur que son chèque soit certifié conforme, cad que le montant de la facture commerciale soit bloqué sur le compte de limportateur durant toute la période de présentation légale du chèque. (En Europe et Afr. Du N., cette période dure 21 jours ; sur le reste du monde, la période est de 70 jours).
Le chèque de banque, cad que lexportateur exige que le chèque soit émis, non pas du compte de limportateur, mais de sa banque.
le virement SWIFT, le plus utilisé. Cest un mode de paiement où tout se passe par lintermédiaire des banques, SWIFT = Society For Worldwide Interbank Financial Telecomunication. Ce virement a la réputation detre un système de paiement inviolable (car ni échange de papier, ni échange dargent), limportateur donne a sa banque lordre de virer sur le compte de lexportateur la somme due. Tout se fait de façon informatique. On utilise ce système dès que possible.
le billet à ordre, il sagit dun écrit par lequel lacheteur ou « souscripteur du billet à ordre » promet à son vendeur/créancier (= le bénéficiaire du BAO), le paiement de la somme due immédiatement ou à une date ultérieure sur présentation de ce billet à ordre à une banque donné.
Le risque, c kil est tjs à linitiative de lMteur. Et donc pas de moyen de pression possible de la part de lXteur. Donc pas trop use.
La lettre de change ou La traite, cest léquivalent du billet à ordre, cest aussi un écrit quon appelle une traite par lequel le créancier donne lordre au débiteur de payer une certaine somme à une certaine date, à un bénéficiaire. Elle est à linitiative de lexportateur.
Un Xteur expédie marchandises ET lettre de change à Mteur. Quand la lettre ets signée, ça ve dire ke c payé
Donc c encaissements simple st quasiment gratuits mais pas sûr du tt !
En commerce inter. les banques ont dû proposer ds moyens de payements bcp plus sécurisés !
Les encaissements documentaires
Bcp plus chère mais peuvent couvrir complètement le risque de non payement.
Créer pour palier aux besoins des Xteur et Mteur ds leurs transactions commerciales.
Payement = aboutissement de la transaction commerciale.
Faut que tt le monde soit ok (dc argent et marchandises ok)
Cest pour tt ça que les encaissements documentaires on été crées
Le COD (Cash On Delivery). Fait intervenir 3 parties: lMteur, lXteur et un transitaire. Cest le transitaire qui va remplir le rôle de celui ki sassure ke la marchandise est bien payée. Ya que les gros transitaires ki acceptent (FedX etc). Cest chère ++ : 2% de la transaction commerciale. Xteur expédie march. Le transitaire la délivre ke contre payement. Sinon, rapatrie march. !
La Lettre de Crédit Stand By (LCSB). La banque sengage à indemniser le bénéficiaire en cas de défaillance du donneur dordre. Saccorde à de très bons clients. Frais démission 150 ¬ + Coût du virement 20 ¬ . La particularité est qu une banque s engage à nos côtés comme caution ; elle va être le garant de la bonne foi de l importateur. C est la banque qui paiera en cas de défaillance. L importateur va être le donneur d ordre ; il va demander à sa banque démettre une LCSB en faveur de lexportateur. Les RUU (Règles et Usances Uniformes) sont des lois qui légifèrent les doc. Bancaires. Cad ke sur les LCSB (où il y a un certains nbx de mentions obli), cest les RUU ki décident de ce ki est obligatoire ou pas. Les RUU st appliqué ds 160 pays ds le monde.
Mécanisme de LCSB : LXteur va recevoir une LCSB en guise de payement. Cest une lettre kon reçoit. Ca peut etre un faux. Donc fo lemmener à la bank pour voir si elle est ok. Si elle nest pas conforme, on est responsable (
Meur va cf sa bank et lui ask de faire un LCSB à ordre Xeur
La bank de Meur sengage à etre caution pr lMeur en cas pb
La Remise documentaire : Mécanisme plus compliqué mais plus adapté au commerce international. Cest un moyen de paiement sécurisé pour lexportateur (sûr dêtre payé) et pour limportateur (sûr de recevoir sa marchandise).
Il y a 4 intervenants :
lexportateur et sa banque
limportateur et sa banque
Le coût de la remise documentaire est au minimum 2% de la facture commerciale + les frais de communication interbancaire. Obéi aussi aux RUU. En cas de défaillance, banque ne paye pas !
Le seul assuré à 100 % est lMteur. LXteur dépend encore de lMteur (
La remise documentaire est une procédure de recouvrement dans laquelle une banque a reçu le mandat dun exportateur dencaisser une somme due par un importateur contre la remise de documents (liasse documentaire : facture commerciale, certificat dassurance, document de transport, liste de Colisage, divers licences). Quand lexportateur remet la liasse à la banque, ça signifie que la marchandise a bien été expédiée.
Le mécanisme se fait en 2 tps :
Exportateur remet les marchandises au transitaire qui lui remet la liasse documentaire. Exportateur lenvoie à sa banque qui va le montrer à lMteur.
La banque de lexportateur envoie la liasse à celle de limportateur. La banque lenvoie à son client qui doit en retour payer la somme par acceptation ou par traite.
La remise documentaire est un paiement après expédition. On commence par expédier la marchandise et on est payé tout à la fin.
Deux moyens de payements :
Par acceptation
Par traite
Le crédit documentaire ou CREDOC : cest lengagement dune banque de payer un montant déterminé aux fournisseurs dune marchandise ou dune prestation contre la remise dans un délais fixé de documents conformes prouvant que la marchandise a bien été expédiée ou la prestation effectuée.Les CREDOC sont soumis à la codification des RUU.Ce moyen de paiement est sûr à 100% et apporte une sécurité totale aux deux parties. Cest le plus sûr mais aussi le plus cher car les banques sengagent à payer en cas de défaillance de limportateur. Il faut quil y ait une concordance parfaite entre le déroulement des opérations et la date douverture du crédit documentaire. Il y a 4 intervenants :
Limportateur (le donneur dordre)
La banque de limportateur (banque émettrice)
Lexportateur
La banque de lexportateur (banque notificatrice)
Limportateur va voir sa banque et lui demande douvrir une lettre douverture de CREDOC (tt sera spécifié : type march, dates etc.)
Banque émettrice contact banque notificatrice et lui dit quune ligne de CREDOC est ouverte pr un de ses clients
Banque notificatrice avertie son client quil y a un CREDOC ac lui = notification du crédit
Là, Xteur est sûr dêtre payé
Il expédie la march. (il la remet à un transitaire)
Le transitaire lui remet un document de transport
Là, Xteur va cf sa banque et lui montre la liasse documentaire
Si ok, lXteur est immédiatement payé par SA banque
La banque notificatrice présente à lautre banque la liasse doc.
Si tt est ok, la banque émettrice crédite de la facture commerciale.
Donc la banque notificatrice est remboursé by banque Mteur (
3 dates butoirs :
1ère date est spécifiée et obligatoire, cest elle qui conditionne la date darrivée des marchandises chez limportateur.
2ème date : durée de vieillissement des documents. Cest le laps de temps entre la réception de la liasse documentaire par lexportateur et sa présentation à la banque notificatrice. Il est spécifié que cette durée doit être inférieure à 21 jours.
3ème date : durée de validité du CREDOC.
Si dates pas respectées : annulation du CREDOC
Il existe 3 types de CREDOC ds le monde :
Le CREDOC révocable
Il peut etre annulé à tt instant sans ke le bénéficiaire du CREDOC puisse sy opposer ! C + use ds cas de payement de salariés à X
Le CREDOC irrévocable
Il garanti lXteur à 100% contre le risque client, cad ke la banque émettrice sengage de manière irrévocable auprès de lXteur contre présentation des doc. conformes à la demande douverture.
Si Mteur fait faillite pdt CREDO, la banque émettrice payera lXteur.
Le CREDOC irrévocable et confirmé
100% sur. Assurance contre risque pays et risque clients. Cest la banque notificatrice qui ajoute sa confirmation. En cas de pb, c cette dernière qui paye.
Exo : Demande douverture import
Importateur donneur dordres : établissement Genesmont
Exportateur bénéficiaire du Credoc : Erablexport
Banque émettrice : BNP
Banque notificatrice : Royal Bank of Canada
Marchandise : 60 000 bouteilles Montréal ( port darrivée non spécifié (erreur)
Incoterm : FOB pour 720 000 Fr en maritime
Erreur : problème FOB / frais CFR donc qui prendra en charge le transport ?
Documents obligatoires (liasse documentaire) :
facture
liste de colisage
bill of lading
assurances
Dates butoirs :
contrat commercial : 18 juillet 94
expédition des marchandises au plus tard : 30 novembre 94
durée de vieillissement 30/11/94 + 21 jours ( 21/12/94
durée de validité : 31/12/94
Cas Pratique : Pharmatec
Question 1 : ok avec le choix du type de crédit documentaire ?
Irrévocable. Il faut irrévocable et confirmé pour se protéger contre le risque du pays.
Question 2 : retracez le mécanisme du crédit documentaire avec les parties et leur rôle.
Importateur = donneur dordre (Etat de Guatemala) va aller voir sa banque émettrice (BCG) et va lui demander une demande douverture de crédit documentaire (tout est spécifié. Tout doit se passer selon cette dernière)
Il ouvre donc une ligne de crédit.
La banque émettrice va contacter la banque de lexportateur (la banque notificatrice ; celle de Mme MARTIN) et va lui dire quil y a une ligne de CREDOC qui est ouverte pour lun de ses clients.
Banque notificatrice va appeler son client pour lui dire quil bénéficie dune ligne de crédit.
Quant lexportateur reçoit cette notification, i.e. quil sera sûr dêtre payé sil envoie selon les désirs de limportateur.
Exportateur donne les marchandises (Matière 1ère Urgence) à un transitaire qui lui donne les documents de transport prouvant qque les marchandises ont bien été expédié. 10 millions de $. CIP/avion.
Exportateur montre la liasse documentaire quil a reçu.
Si elle est conforme, il est tout de suite payé par sa banque notificatrice.
Banque notificatrice présente à la banque émettrice la liasse fiscale et la rembourse.
Banque émettrice présente liasse documentaire à importateur et prélève limportateur
SHAPE \* MERGEFORMAT
30/09 : contrat signé
30/10 : expédition marchandise. 1ère date butoire
21/11 : 2ème date butoire. Vieillisement.
1/12 : date de validité
Erreur :
A laide de transport aérien
C pas du LTA mais du connaissement maritime
Ca part de Orly, pas de CDG
Ya pas le nom de la banque
On part de paris vers Guatemala et on a un CIP Paris. IMPOSSIBLE ! c soit un CIP Guatemala ou un FCA Paris.
Exercice 3 :
Lanalyse dun message SWIFT douverture de crédit
Importateur : Japan Electric
Banque émettice : bank of tokyo
Banque notificatrice : Banque Indosuez
Bénéficiaire : SEE
26 780¬ CIF (maritime) Osaka
640 pièces électriques CREDOC irrévocable
Doc :
Assurance (tjs obli)
Bon de transport (tjs obli)
Facture commerciale (tjs obli)
Liste e colisage%&')7
;ÇÈß;<Ã
.
/
ò
ðàͽª½zjZjZJ:J:h|UxCJOJQJaJmHsHh
xCJOJQJaJmHsHh´TCJOJQJaJmHsHhCJOJQJaJmHsHh-CJOJQJaJmHsHh&CJOJQJaJmHsHh®}0CJOJQJaJmHsH$hD-hD-CJOJQJaJmHsHhD-CJOJQJaJmHsH$hD-h®}0CJOJQJaJmHsHhClCJ(OJQJaJ(mHsHh®}0CJ(OJQJaJ(mHsH&'() Â
Ã
ÈÉ<=YZÃÄÎÏ/
~
÷÷òòêêêêêêêêß×××ÌÄļ$a$gd|Ux$a$gd
x$
&Fa$gd
x$a$gd´T$
&Fa$gd´T$a$gdD-gd®}0$a$gd®}0uxu÷výýýò
fgA¥êëy¬IbdfsðàðÐðÐÀÐÀ°À°À zgQC8hê:Ähê:ÄmHsHhê:Ähê:Ä5\mHsH+hê:Ähê:Ä5B*CJ \aJ mHphÿsH$hê:Ähê:ÄCJOJQJaJmH sH $hê:Äh)YPCJOJQJaJmH sH $hê:Äh9^.CJOJQJaJmH sH h9^.CJOJQJaJmHsHhICJOJQJaJmHsHh)YPCJOJQJaJmHsHh»]CJOJQJaJmHsHh|UxCJOJQJaJmHsHhÍ%)CJOJQJaJmHsH~
g
¯°¤¥ëì®ÎÏHIôôìáìììÖÎÎÎû»»°¨¨¨$a$gd9^.$
&Fa$gd9^.$a$gd)YP$
&Fa$gd)YP$a$gd»]$
&Fa$gd»]$
&Fa$gdÍ%)$a$gdÍ%)$
&Fa$gdÍ%)Idef ¡78uôììÖÖqlì``ì$Ä`Äa$gdê:Ägdê:Äekd$$IfFÖÖÿ#ü#
tàÖ0ÿÿÿÿÿÿö6öÖÿÖÿÖÿÖÿ4Ö4Ö
laö$$Ifa$gd¤^8lÆÿ$a$gdê:Ä$
&Fa$gdê:Äu§IhlÖØ+pqrs§¨à÷÷÷÷÷÷÷÷÷÷ëëëà÷ÔÔɽ²$
&Fa$gdê:Ä$Á^Áa$gdê:Ä$
&F
a$gdê:Ä$Ð`Ða$gdê:Ä$
&Fa$gdê:Ä$Ä`Äa$gdê:Ä$a$gdê:Äs§¨±Îßäôpu= K Ñ!å!è!ù!û!"Ñ"þ"j#k#$!$0$1$%%¤%¦%ô&''*'"*&*G*J*+E+õ+$,ìèÝνݱݱݽݽÝèݽݽÝèÝÎÝì ìÝ|ÝèÝnÝnÝnÝèÝèhê:Ähê:Ä5\mHsHhê:ÄmH sH h"#hê:Ä56\]mH sH h~RPhê:ÄmH sH hê:Ä5>*B*CJ\aJphÿhê:Ähê:Ä>*mHsH hê:Ähê:Ä56\]mHsHhê:Ähê:Ä5>*\mHsHhê:Ähê:ÄmHsHhê:Ä&hùcÈhê:Ä5>*B*CJ\aJphÿ+àácd9 : W!ä!å!ý"þ"j#k#²#
$$óèàÕɾ®É£ààà$Ä`Äa$gdê:Ä$)^)a$gdê:Ä$
&F a$gdê:Ä$)^)`a$gdê:Ä$
&Fa$gdê:Ä$Á^Áa$gdê:Ä$
&Fa$gdê:Ä$a$gdê:Ä$
&Fa$gdê:Ä$^a$gdê:Ä$/$0$1$}$Ò$%G%H%%%
''D+E+&,',c,, ,-ôììàààààààÑàÑàÁÁ²²àÑ$
&F
Æa$gdê:Ä$
Æ)^)a$gdê:Ä$
&F
Æa$gdê:Ä$
Æa$gdê:Ä$a$gdê:Ä$
&Fa$gdê:Ä$,%,',£,¶,
-Ö-Õ.Ö./¬/_222®2²2¸265s5¡5¯5%6:6ì8í8ñ8ù899999
9;9|999999±9z:{:~::;;;±;¹I@IjI¢IàIðððääääØØØØØØØØØØØØÍÍÂ$
&Fa$gdê:Ä$
&Fa$gdê:Ä$h^ha$gdê:Ä$
Æa$gdê:Ä$
&F
Æa$gdê:ÄÂFG GÕG$H0IjI¢IàIJtttútûtuuuu u
uu
uuuu]u^u_u`ufuguhujukuquruðÞðÏðÄðÄðÂðÄð´ð¥~sicic_icih9^.
h9^.0Jjh9^.0JUhê:Ähê:ÄmHsHhê:ÄmHsHh¤^8jh¤^8U$hê:Ähê:ÄCJOJQJaJmHsHhê:Ähê:ÄB*mHphÿsH jJðhê:Ähê:ÄB*phUhê:Ähê:ÄB*phhê:Ähê:ÄB*mH phsH #hê:Ähê:Ä5B*\mHphsHhê:Ähê:ÄB*mHphsH$ (tjs obli)
Certificat origine des produits
Date douverture du Credoc : 21/06/2001
Date de validité : 08/11/2001
Date limite : 25/10/2001
Date de vieillissement des march : 09/11/2001
Pb :
Date vieillissement des march ultérieur à date validité ( dc pb !
___________________________________________________________________________
PAGE
PAGE 1
IMP : Etat du Guatemala (donneur dordres)
BQ émettrice / Bq centrale Guatemala
Banque notificatrice
EXP : Pharmatec (bénéficiaire Credoc)
Transitaire de Pharma
1- Ouverture Credoc
2- Ouverture Credoc
4- Marchandise
5- liasse doc (doc le plus important, doc de transport
6- Doc
8- Doc
10- Doc
7- $$$
9- $$$
11- $$$
13 Marchandise
12 - Doc
3- Ouv. Credoc 4 oct