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reponse_consultation..

TD PERCAGE DE PIECES : ... Etablir le grafcet de conduite issu du GEMMA. ... Etablir le grafcet de test (F4). - Etablir le grafcet de sécurité (de Dl et A5). Corrigé.




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Série « Sciences et technologies
de l’ingénieur




Cycle terminal



Proposition de programmes
Sciences et Techniques



- Spécialité Ingénierie des Systèmes Motorisés -



Mai 2007











Série « Sciences et technologies
de l’ingénieur





Cycle terminal


Grille horaire




- Spécialité Ingénierie des Systèmes Motorisés -



Mai 2007


Cycle terminal de la série SCIENCES ET TECHNOLOGIES DE L'INGENIEUR (STI)
Spécialité INGENIERIE des SYSTEMES MOTORISESClasse de premièreClasse terminale
ENSEIGNEMENTS OBLIGATOIRESHoraires (*)Horaires (*)CoursTDTPAT(a)CoursTDTPAT(b)Sciences et techniques- Etude de construction et analyse des systèmes1+41+4- Ingénierie des systèmes motorisés * Comportement des systèmes embarqués1+21+2 * Etude des systèmes motorisés1+61+7Sciences physiques et chimiques appliquées2+23+2Mathématiques3+13+1Français2+1Histoire-Géographie 1,51,5Philosophie1+1Langue vivante I (étrangère)2(***)2(***)Education physique et sportive (**)22
Total général horaire-élève13,546613,5467+ 2 (LV1)+ 2 (LV1)31,532,5Heures de vie de classe10 heures annuelles10 heures annuelles(*)(TD)Horaire correspondant à des travaux dirigés(TP)Horaire correspondant à des travaux pratiques(AT)Horaire correspondant à des activités technologiques (enseignement par groupe d'atelier)(a) dont 2h en commun avec le professeur enseignant l'étude des systèmes motorisés et le professeur enseignant l'étude de construction(b) dont 3h en commun avec le professeur enseignant l'étude des systèmes motorisés et le professeur enseignant l'étude de construction(**) les élèves désirant poursuivre l'enseignement de détermination d'EPS de seconde, bénéficient d'un enseignement complémentaire de 4h (dont 1h en classe dédoublée) en sus de l'enseignement obligatoire(***) horaire à effectif allégé favorisant la constitution de groupes de compétences tels que mentionnés dans le décret n°20051011 du 22 Août 2005









Série « Sciences et technologies
de l’ingénieur





Cycle terminal


Sciences physiques et chimiques




- Spécialité Ingénierie des Systèmes Motorisés -



Mai 2007




SÉRIE SCIENCES ET TECHNOLOGIES DE L’INGÉNIEUR
Spécialité Ingénierie des systèmes motorisés
Proposition de programmes de Sciences physiques et chimiques appliquées et de Sciences et techniques.


Préambule

Quels que soient leur nature, les besoins auxquels elles répondent et les consommateurs à qui elles sont destinées, la quasi totalité des réalisations techniques nécessite aujourd’hui :

la maîtrise de la matière pour créer ou modifier les structures physiques ou chimiques d'un système ;
la maîtrise de l’énergie disponible au sein du système et, plus globalement, dans notre espace de vie ;
la maîtrise des informations, globales ou locales, pour leur traitement et leur exploitation
la maîtrise des compétences humaines et économiques pour la réalisation du produit ou de l’ouvrage.

Les trois domaines, « matière, énergie, information » se présentent donc comme la base de toute formation technique, le facteur humain étant l’élément fédérateur incontournable pour l’ensemble des domaines.

Le baccalauréat spécialité Ingénierie des systèmes motorisés s’appuie sur les deux domaines que sont le traitement du signal et de l’information, l’énergie et sa gestion, et apporte les compétences nécessaires pour aborder à un niveau supérieur la maintenance de systèmes automobiles, leur conception et leur réalisation, ainsi que l’analyse du comportement de leurs commandes respectives.

La pédagogie développée s’appuie sur une démarche expérimentale permettant de faire émerger des concepts, afin de pouvoir ultérieurement intégrer, exploiter, paramétrer, régler, maintenir partiellement un système automobile.

Compétences visées

Le bachelier en spécialité Ingénierie des systèmes automobiles, doit être capable de :

décrire l’organisation fonctionnelle, identifier les flux d’information et d’énergie qui concourent à la réalisation de la fonction d’usage d’un système automobile ;
caractériser les lois de comportement d’un système automobile par mesures, essais, identification ;
exploiter une modélisation simple du réel, ou pour prévoir le comportement d’un système automobile représentatif des solutions actuelles courantes ;
associer une solution constructive, permettant d’obtenir les performances recherchées, à une fonction technique, dans le cadre de la chaîne d’énergie ou d’information ;
mettre en œuvre un système automobile et, le cas échéant, identifier l’élément de chaîne fonctionnelle en cause lors d’un dysfonctionnement, puis proposer des investigations complémentaires et réponses de principe afin d’y remédier.

Programmes
Présentation des programmes :

Les programmes ci-après précisent les connaissances ordonnées à acquérir. La présentation n’induit en aucun cas une chronologie d’enseignement, mais une simple mise en ordre des concepts.
La colonne de gauche indique à partir de quelle classe il serait judicieux de commencer à aborder chaque contenu (ce qui n’exclut évidemment pas de poursuivre en terminale).
Le degré d’approfondissement est présenté sous la forme d'une taxonomie à quatre niveaux :

1 - Niveau d’information : le contenu est relatif à l’appréhension d’une vue d’ensemble d’un sujet. Les réalités sont montrées sous certains aspects de manière partielle ou globale. Ceci peut se résumer par la formule : « l’élève en a entendu parler et sait où trouver l’information ». Il n'y pas d'évaluation envisageable à l'examen pour les savoirs situés à ce niveau d'approfondissement

2 - Niveau d’expression : le contenu est relatif à l’acquisition de moyens d’expression et de communication permettant de définir et utiliser les termes composant la discipline. Le « savoir » est maîtrisé. Ceci peut se résumer par la formule : « l’élève sait en parler ».

3 - Niveau de maîtrise des outils : le contenu est relatif à la maîtrise de procédés et d’outils d’étude ou d’action (lois, démarches, actes opératifs, …) permettant d’utiliser, de manipuler des règles, des principes ou des opérateurs techniques en vue d’un résultat à atteindre. Il s’agit de maîtriser un « savoir faire ». Ceci peut se résumer par la formule : « l’élève sait faire ».

4 - Niveau de maîtrise méthodologique : le contenu est relatif à la maîtrise d’une méthodologie d’énoncé et de résolution de problèmes en vue d’assembler et organiser les éléments d’un sujet,identifier les relations, raisonner à partir de celles-ci, décider en vue d’un but à atteindre. Il s’agit de maîtriser une démarche. Ceci peut se résumer par la formule : « l’élève maîtrise la méthode ».

Chacun de ces niveaux englobe les précédents.

Un document d’accompagnement publié par ailleurs rassemble les recommandations pédagogiques,notamment en termes méthodologique et d’organisation de l’enseignement.



Programme de Sciences physiques et chimies appliquées


Les sciences physiques et chimiques appliquées doivent fournir des outils et des connaissances leur permettant de faire face efficacement aux évolutions technologiques qu’ils rencontreront obligatoirement dans leur carrière professionnelle. L’accent doit donc être mis sur les notions pérennes et pouvant être réinvesties dans le cadre d’une formation tout au long de la vie.
Cet enseignement de sciences physiques et chimiques appliquées doit permettre d’acquérir la connaissance des lois de base physiques et chimiques, la maîtrise de modèles, une méthodologie de résolution de problèmes dans les domaines de la physique et de la chimie en lien avec les systèmes motorisés.

Il doit mettre l’accent sur l’acquisition :
d’une rigueur scientifique ;
d’un esprit critique ;
d’une culture scientifique ;
de la maîtrise de la démarche expérimentale.

La commande des systèmes continus et discontinus est la colonne vertébrale de la formation. Elaborer la commande d'un système, revient à définir l'ensemble des actions à effectuer pour obtenir des performances données d'un véhicule, d'un système pluri technologique. Il faut donc définir des critères de performance mesurables par rapport à des modèles mathématiques de comportement ou de connaissances. Il faut pour cela être capable de définir, comprendre et analyser le fonctionnement du système. Ceci peut être obtenu soit par étude théorique des lois physiques (thermique, statique et dynamique des fluides, mécanique, chimie) régissant le fonctionnement du système, soit par une approche expérimentale avec modélisation du fonctionnement, les deux approches pouvant être complémentaires. La modélisation nécessite la connaissance de quelques modèles mathématiques, ainsi que de leur domaine de validité.
En sciences appliquées, le bachelier en spécialité Ingénierie des systèmes motorisés, doit être capable de :
maîtriser les lois de base dans les domaines de la mécanique des fluides, de la chimie des solutions électrolytiques, de l’optique, de la conversion de l’énergie et de l’électricité ;
exploiter ces lois de base pour modéliser les systèmes automatiques et prévoir leur comportement ;
maîtriser les principes de base de la métrologie.

Commentaires méthodologiques généraux :

Pour des raisons d’efficacité pédagogique, les thèmes du programme devront être abordés par le biais d’activités pratiques : c’est par une approche concrète que les concepts accessibles pourront êtres abordés en évitant toute mathématisation excessive.

Certaines parties du programme sont étroitement liées : par exemple la réalisation d’une chaîne d’instrumentation en mécanique, en chimie est l’occasion d’introduire et de mettre en œuvre des notions indiquées dans la partie électricité.

L'utilisation de l'outil informatique sous ses différents aspects doit être aussi systématique que possible en travaux pratiques et dans les expériences de cours : tableurs pour les calculs et les modélisations, logiciels de traitement des signaux, logiciels de simulation, logiciels de commande de cartes d'acquisition, Les tableurs grapheurs seront utilisés pour représenter de manière graphique des résultats et pour établir des modèles à partir de résultats expérimentaux. L’utilisation des logiciels ou de maquettes de simulation doit permettre d’explorer des points difficiles à mettre en œuvre d’un point de vue expérimental ou de gagner du temps en évitant des tâches répétitives (étude de l’influence d’un paramètre). Elle ne doit en aucun cas se substituer à l’expérience.

Les différentes parties du programme seront l’occasion de faire acquérir des compétences dans le domaine de la représentation des grandeurs :

associer à toute grandeur son unité dans le système international d’unités ;
vérifier l’homogénéité des expressions dans des cas simples ;
définir l’unité d’une grandeur à partir de l’analyse des unités dans une expression simple (par exemple, temps caractéristique dans une équation différentielle).

et dans celui de l’écriture des résultats de calculs et de mesures :

encadrer une mesure obtenue avec un appareil dont la documentation technique est fournie ;
fournir un résultat sous forme d’encadrement dans le cas d’une série de mesures ;
donner un résultat avec un nombre de chiffres significatifs adapté.

Programme :

Abordé dès la 1 ère 1 – DESCRIPTION ET PROPRIETES DES SYSTEMES
ASSERVIS OU REGULES Niveau
1 2 3 41.1. Aspect fonctionnelxSchéma normalisé : schéma PCF-TI
Schéma fonctionnel, chaînes d’action et de retour, correcteur
Grandeurs fonctionnelles: grandeurs réglées, réglantes et perturbatricesxxxx1.2. Caractéristiques statiques et dynamiquesxSystèmes stable et instable
Caractéristique statique : gain statique ; point de fonctionnement
Caractéristiques dynamiques des procédés, comportement autour d’un point de fonctionnement
Critères de performance d’une boucle d’asservissement ou de régulation
Précision ;
rapidité ;
amortissement.xxxxx
xxx
x
x
x

Abordé dès la 1 ère 2 – MECANIQUE DES FLUIDES.Niveau
1 2 3 42.1. Comportement des gazXEtude du comportement des gaz
Mesure de pressions
Mesure de températuresXXXXX2.2. Statique des fluidesXRelation force, pression, surface
Fluides compressibles, incompressibles
Théorème de Pascal, d’Archimède
Mesures de niveau, de pressionXXxXXxX2.3. Dynamique des fluidesEcoulement des fluides : débits volumique, massique ;
Théorème de Bernoulli
Notion de viscosité, pertes de charges
Régimes laminaire et turbulent
Mesure de débitXXXXx
Précisions : la première partie fait suite au programme de seconde. Elle permet de consolider l’utilisation de la loi des gaz parfaits et d’étudier le comportement des gaz dans différentes circonstances, en particulier comportements à pression constante ou à volume constant.
Le théorème de Bernoulli sera présenté après la partie sur l’énergie. Seuls quelques cas simples seront étudiés.

Abordé dès la 1 ère 3 – L’ENERGIENiveau
1 2 3 43. 1. Energie, puissanceXNotion d’énergie
Relation entre énergie et puissanceXXX3.2. Travail d’une force, énergies cinétique et potentielle : transfert
d’énergie par travailTravail d’une force constante ; puissance
Travail et énergie cinétique, énergie potentielle (de pesanteur)
Transformation énergie potentielle-énergie cinétique
Effet du travail reçu : notion d’énergie interne
X

xX

x3.3. Transfert d’énergie par chaleurX
X
XTransformation travail-chaleur
Mesures calorimétriques
Changements d’étatsx
X
x3x. 4. Conversion d’énergieConversions statique et électromécanique de l’énergie électrique : redresseurs, hacheurs, onduleurs et machines à courant continu, synchrones et asynchrones associées
Conversion électrochimique : piles, batteries, piles à combustibles, stockage de l’énergie
Transduction : conversion d’une énergie en énergie électrique dans un capteur. Exemples de transducteurs : associations avec les lois de conversion; notion de finesse (quantité d’énergie prélevée)X
X
X
X
X
X
X
x
Précisions : Cette partie a pour objectif de mettre en place le concept d’énergie. Il s’agit en première de quantifier les conversions et les transferts d’énergie et de mettre en place le principe général de conservation de l’énergie. L’étude de divers montages expérimentaux permet de mettre en évidence ce concept. Le transfert d’énergie par travail fera l’objet d’undéveloppement plus poussé dans la partie 5.5 du programme de sciences industrielles.
Pour les conversions électromécaniques et la conversion statique de l’énergie électrique, les différents types de machines tournantes (continu, asynchrone, synchrone) et les dispositifs de l’électronique de puissance associés sont vus d’un point de vue externe (bilan de puissances). La conversion électrochimique sera vue en lien étroit avec la partie chimie. La dernière partie permet de faire le lien entre énergie et information. Elle ne fera pas l’objet d’un catalogue de transducteurs, par contre on fera référence à cette partie à chaque fois qu’un capteur est mis en œuvre.

Abordé dès la 1 ère 4 – ELECTRICITENiveau
1 2 3 44.1. Les lois fondamentalesX
X
X
XNotions d’intensité et de tension
Les lois de conservations
Energie et puissance en électricité
Mesure d’intensité et de tensionX
X
x


x4.2. Modélisation des composants de base et des sourcesX
X
X
XComportement des dipôles R, L et C (d’un point de vue temporel)
Energie et dipôles R, L, C
Modélisation des sources : MET, MEN
Point de fonctionnement d’un circuit, échange d’énergie
xX

X
x4.3. Comportement dynamique des circuitsX
XEtude des circuits RC, RL alimentés par un échelon de tension ou de courant, constante de tempsX
x4.4. Les composants et leurs applicationsX- Diodes (de redressement, Zener), photodiodes, transistors, phototransistorsx4.5. Régimes périodiquesGrandeurs caractérisant les phénomènes périodiques, puissance active, facteur de puissance
Mesures de tension, d’intensité, de puissance
Application au régime sinusoïdal
Comportement des composants de base en régime sinusoïdal
Le circuit RLC série (résonance et filtrage)X
X

x

X

X
x4.6. Traitement d’un signal analogiqueX
xNature d’un signal électrique
Structure de base : diviseur de tension, pont de Wheatstone ; application au conditionnement des capteurs
Quadripôles passifs et actifs : amplification, gain, bande passante
Application au filtrage
Montages non linéaires : comparateur à un ou deux seuils
Conversions analogique numérique, numérique analogiquex
X
X
X
X
X
x
Précisions : L’électricité est omniprésente dans le domaine de la mesure d’une part, et dans le domaine de l’énergie d’autre part. L’utilisation de bobine et de condensateur permet de mettre en place les outils nécessaires à la maîtrise de l’évolution temporelle des systèmes.
Les composants de base (R, L, C) devront être présentés en priorité à partir d’éléments utilisés dans les capteurs (photorésistances, jauge de contrainte, …). De la même manière, les diodes et transistors seront introduits à l’occasion d’étude d’applications.
L’étude des régimes périodiques est l’occasion de mettre en évidence des problèmes liés à la mesure des valeurs instantanées, moyennes et efficaces. En régime sinusoïdal, on se limitera à la définition de l impédance complexe sous la forme [Z, Õ].
Dans le domaine de la mesure, il est nécessaire de maîtriser la structure d une chaîne d instrumentation. Il faut être capable « d’assembler » les blocs fonctionnels afin de réaliser la liaison entre le monde physique (capteurs, actionneurs) et le monde numérique (unité centrale). Il faut faire la différence entre les différents types de signaux dans une chaîne de transmission de l’information et savoir que toute transformation s’accompagne d’une dégradation de celle-ci.
Seules les fonctionnalités et les caractéristiques externes des constituants seront abordés ; leurs constitution et fonctionnement interne ne sont pas au programme.
Les CNA et CAN seront étudiés d’un point de vue fonctionnel sans entrer dans les aspects technologiques. On s’intéressera à la fonction réalisée et aux conséquences quant à la dégradation de l’information. Ces composants permettent d’illustrer la « nature d’un signal électrique » pour la quantification et l’échantillonnage. Les différentes technologies ne seront pas étudiées.

Abordé dès la 1 ère 5– OPTIQUENiveau
1 2 3 4X
X
X
X
X
X
xPropagation de la lumière : modèle du rayon de lumière
Lentilles convergentes; lentilles divergentes
Images données par un miroir plan
Images données par une lentille convergente
Application des lois de Descartes aux fibres optiques ; notion d’ouverture numérique
Composition spectrale ; choix d’une longueur d’onde (d’une couleur) en spectrophotométrieX
X


X
X
X
X
x
Précisions : Partie à associer avec les composants optoélectroniques de la partie électricité et la spectrophotométrie de la partie chimie. Là aussi, il ne s’agit de faire de l’optique pour de l’optique, mais de donner les outils de base permettant de comprendre des applications simples mettant en jeu des composants optiques.

Abordé dès la 1 ère 6 – CHIMIENiveau
1 2 3 46.1. Structure et propriétés de l’eauX
XStructure moléculaire de l’eau
Propriétés physiques de l’eau (dont le caractère dipolaire)X
X6.2. Les solutions électrolytiquesX
XObtention d’une solution électrolytique
Concentration molaireX
X6.3. Suivi d’une transformation chimiqueX
XEvolution d’un système au cours d’une transformation chimique
Bilan de matièreX
X6.4. Mesure de quantité de matièreX
X
X
X
X
Conductimètre : conductance et conductivité d’une solution ionique, méthode de mesure de la conductance
pHmétrie : pH, mesure du pH d’une solution
Spectrophotométrie : Relation entre absorbance et concentration
Applications à la détermination de quantités de matière (réactions acido-basique et d’oxydo - réduction)X
X
X
X
X
X6.5. Cinétique chimiqueX
X
xMise en évidence, facteurs cinétiques
Suivi temporel, vitesse de réaction, temps de demi réaction
Suivi d’une réaction par spectrophotométrieX
X
x
Précisions : Ce chapitre fait suite au programme de seconde. Il nécessite la maîtrise des connaissances sur les constituants de la matière, les états de la matière et du concept de quantité de matière. Il sera introduit de manière essentiellement expérimentale en s’appuyant en particulier sur les techniques utilisées en traitement des eaux.

En sciences, la logique de construction des compétences se fonde d’abord sur l’acquisition de connaissances et de savoir-faire résultant d’un enseignement privilégiant la démarche expérimentale. Il en résulte qu’en sciences appliquées, cours en classe entière et travaux pratiques constituent un tout qui doit être confié à un professeur unique. Afin de faciliter la synergie entre les activités conceptuelles et les activités de travaux pratiques, il est recommandé de placer les séances de travaux pratiques de sciences physiques et chimiques appliquées des deux groupes au cours de la même journée.







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Etude des systèmes motorisés




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Commentaires méthodologiques généraux :

Pour enseigner ce programme, les activités technologiques sont organisées en quatre «pôles» :

- approche fonctionnelle ;
- chaînes d’action ;
structure et comportement de la commande ;
la sécurité passive et le comportement routier.

En terminale, un « projet technologique et scientifique » de construction, amélioration ou optimisation d’un système automatique, permet un travail collectif interdisciplinaire de synthèse et d’approfondissement.


Pôle « Approche fonctionnelle des systèmes automobile »

Abordé dès la 1 ère 1 – APPROCHE FONCTIONNELLENiveau
1 2 3 41.1. Analyse fonctionnelle externeX
X
xRelation du système automobile au besoin exprimé
Fonctions de service
Cahier des charges fonctionnelX
X
x1.2. Analyse fonctionnelle interneX
X
X
XArchitecture fonctionnelle du système automobile
Les différents flux dans le système (flux de matière, d’énergie et d’information)
Outils de représentation FAST
Architecture matérielle des systèmes automobilesX
X
X
X1.3. Organisation fonctionnelle de la chaîne d’informationX
X
X
XFonctions acquérir, traiter, communiquer
Nature de l’information associée aux fonctions de la chaîne d’information
Fonction : commander la puissance
Place du capteur pour la prise d’information dans un système automatique automobileX
X
X
X1.4. Organisation fonctionnelle de la chaîne d’énergie sur un véhicule automobileX
X
XFonctions alimenter, distribuer, convertir, adapter, transmettre
Nature des flux d’énergie et d’information associés aux fonctions de la chaîne d’énergieX
X
X
Précisions : Il s’agit simplement de faire découvrir que l’analyse technique d’un système automobile peut toujours s’appuyer sur une expression cohérente de fonctions (relations entre fonctions et solutions technologiques). L’analyse fonctionnelle n’est pas envisagée sous ces aspects normatifs et certificatifs, le travail se limite à du décodage de diagrammes FAST et éventuellement à compléter celui-ci au niveau des fonctions techniques. A partir de ces connaissances de base vécues et pratiquées régulièrement, chacun pourra aborder dans des formations ultérieures les outils normés de l’analyse de la valeur et de la gestion de la qualité.


Pôle « Chaînes d’action de l’automobile »

2 – TRANSFORMATION DE l’ENERGIE PRIMAIRE EN ENERGIE MECANIQUENiveau
1 2 3 4Approche externe :
Grandeurs d’entrée : masse d’air et masse de carburant
Grandeur de sortie  :
fréquence de rotation du moteur et couple moteur
gaz brûlés, chaleur et informations d’état.

Approche interne :
La combustion
La préparation du mélange
L’inflammation du mélange par allumage commandé
L’inflammation du mélange par compression
Le cycle 4 temps
Le cycle 2 temps
La transformation de l’énergie en énergie mécanique
Le renouvellement de la charge combustible
La régulation thermique du moteur
Le démarrage du moteur



3 – ENERGIE MECANIQUENiveau
1 2 3 43.1 Adaptation, transmission de l’énergie mécaniqueApproche externe : Adapter, transmettre la puissance fournie du moteur thermique aux roues du véhicule

Grandeurs d’entrée : Couple moteur et régime moteur
Grandeur de sortie  : Couple adapté et régime aux roues, énergie dégagée en chaleur
Grandeur de contrôle : Action de l’utilisateur, gestion automatisée des commande (robotisation des BV)

Approche interne :
Accoupler un ou plusieurs générateurs et un récepteur (véhicules hybrides)
Embrayage
Adapter l’énergie
Boîte de vitesse
Train épicycloïdal
Répartir l’énergie
Différentiel
Transmettre l’énergie
Liaisons vers les roues

Support : Boîte de vitesse, Boîte de vitesse robotisée, véhicule
3.2. Transformation de l’énergie mécanique, stockageApproche externe

Grandeurs d’entrée :
Energie mécanique issue du moteur thermique
Energie cinétique issue du déplacement du véhicule (hybride)

Grandeurs de sortie :
Energie électrique (consommée par les récepteurs électriques et/ou réintroduite dans la chaîne d’énergie mécanique pour les véhicules hybrides)
Energie hydraulique
Energie hydro-pneumatique

Support :
Alternateur, alterno- démarreur, machine électrique, compresseur, pompe.

Approche interne :
Technologie des machines électriques de production et de récupération d’énergie sous forme électrique.
Mesure des entrées et sorties
Stockage de l’énergie (batterie, condensateur)

Technologie des systèmes hydrauliques (direction assistée, suspension..)
Technologie des systèmes de production de froid (réfrigération)
Technologie des systèmes de freinage assisté


4 – ALIMENTATION ENERGETIQUENiveau
1 2 3 44.1. Produire et gérer l’énergie électriqueApproche externe
La production d’énergie électrique (les alternateurs triphasés)
La régulation en tension du réseau
Le contrôle de la conformité du système de production
Le stockage de l’énergie électrique
La surveillance du système de production d’énergie électrique4.2. Energies et prise en compte des risquesRisques liés à toutes les formes d’énergie (analyser une solution concourant à la prévention des risques)
Risques électriques : ( systèmes hybrides )
protection des biens contre les surcharges
protection des biens contre les courts-circuits
protection des personnes


5 – DISTRIBUTION, UTILISATION DE L’ENERGIE ELECTRIQUENiveau
1 2 3 45.1. Etude structurelle des schémas électriques (circuits)5.2. Connaissance des préactionneursRelais
Transistor
Interrupteur5.3. Connaissance des récepteurs et des actionneursLampes
Moteurs
Résistance
Bobine (injecteurs, électrovannes)
Système piézo électrique (injecteur hdi)5.4. Mise en veille des systèmes5.5. Mesure des caractéristiques électriques utiles


6 – LA FONCTION GUIDAGE DES VEHICULESNiveau
1 2 3 46.1 Maintien du véhicule sur la trajectoire voulue par le conducteur (diriger et lier le véhicule au sol)Fonction diriger le véhicule

Approche externe

Grandeurs d’entrée :
- Angle de braquage initial des roues

Grandeurs de sortie :
- Angle de braquage final des roues

Grandeur de contrôle :
- Action sur le volant (angle et vitesse de rotation)
- Action du train roulant (rappel des roues en position initiale)

Support :
Direction non assistée, direction assistée hydraulique et électrique,

Approche interne :
Transmettre la commande du volant vers les roues mécaniquement : dispositif à crémaillère, à boitier,…
Assister le conducteur
hydrauliquement : valve et vérin
électriquement : moteur électrique

Doser l'assistance
Etude du système automatique qui gère l'assistance à partir des informations vitesse véhicule et effort exercé sur le volant,


Fonction lier le véhicule au sol

Approche externe

Grandeurs d’entrée :
Défauts du sol imposant des mouvements verticaux des roues
Efforts latéraux destabilisateur (changements brusques de trajectoire, vent, …)

Grandeurs de sortie :
Mouvements contrôlés de la caisse du véhicule dans un but de sécurité et de confort

Grandeur de contrôle :
Vitesse de déplacement du véhicule
Etat du sol
Charge du véhicule
Caractéristiques des trains roulants (cinématique employée)
Caractéristiques de la suspension (rapport masse suspendue - masse non suspendue, élément élastique, amortisseur)
Caractéristiques des pneumatiques

Support :
Trains roulants sur véhicule ou sur système didactisé, éléments de suspension, pneumatique

Approche interne :
Assurer la mobilité des roues par rapport à la caisse : technologie des trains roulants

Maîtriser les mouvement des roues par rapport à la caisse : technologie de la suspension

Maintenir le véhicule sur la trajectoire désirée : étude des comportements du véhicule (sous ou sur virage), technologie des pneumatiques


6.2 Ralentissement et immobilisation du véhicule (freiner)
Approche externe

Grandeurs d’entrée :
Vitesse du véhicule à l'instant initial t
Position du véhicule à l'instant initial t
Energie potentielle du véhicule

Grandeurs de sortie :
Vitesse du véhicule à l'instant t + ”t
Position du véhicule à l'instant t + ”t
Chaleur
Informations d'état
Véhicule immobilisé

Grandeurs de contrôle :
Action du conducteur sur la pédale de frein
Action du conducteur sur la commande de frein de parking
Masse du véhicule (charge et répartition de cette charge)
Caractéristiques du dispositif d'assistance
Conditions d'adhérence,
Vitesse du véhicule
Vitesse de rotation des roues

Support :
Système de freinage de base d'un véhicule
Système d'antiblocage des roues

Approche interne :
Générer une pression dans les circuits : maître cylindre, doseur
Dissiper l'énergie en chaleur et créer le couple de freinage : étrier, tambour, …
Assister le conducteur : assistance
Gérer la pression dans les circuits pour éviter le blocage des roues :
Etude du comportement de la roue freinée
Etude des correcteurs de freinage
Etude d'un système d'antiblocage de roues















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Cycle terminal



Comportement des systèmes embarqués



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7 - LES SYSTEMES LOGIQUESNiveau12347.1 Description d’un système automatique- Organisation générale d’un système automatisé
- Les outils de description du fonctionnement global :
- SADT
- Organigrammes
- chronogrammes
- grafcet
7.2 Comportement des systèmes logiques combinatoires- Variable logique, opérateurs logiques (OU, ET, NON) et propositions logiques (comparaisons).
- Outils de description (table de vérité, équation logique, logigramme)
- Théorèmme de De Morgan
7.3 Comportement des systèmes logiques séquentiels- Concept d’état (définition d’un système séquentielle)
- Fonction mémoire, fonction comptage, opérateur retard
- Modèle comportemental Grafcet :
Frontière de description et bilan des entrées/sorties ;syntaxe et sémantique du modèle grafcet ; structure de base : séquence unique, sélection des séquences, parallélisme structural
Représentation des événements (fronts sur une variable)
Règle d’évolution (1 à 4), assignation et affectation
Description structurée par macro-étapes et tâches
7.4 Réalisation de la commande- Organisation générale de la chaîne d’information
- Traitement cablé
- Traitement programmé
7.5 Les énergies utilisées- Principales caractéristiques des énergies utilisées (électrique, pneumatique, hydraulique, mécanique)
- Les risques liés à ces énergies
Schématisation normalisée des circuits et des systèmes :
Pneumatiques
Hydrauliques
Electriques
Mécaniques
7.6 Les actionneurs- Les différents types utilisés : vérins (pneumatiques, hydrauliques, électrique), moteur (pneumatiques, hydrauliques, électriques)
- Paramètres et caractéristiques
7.7 Les préactionneurs- La commutation TOR selon les énergies utilisées (pneumatique, hydraulique, électrique)
- La modulation d’énergie (RCO)
7.8 L’information et ce qui la porteNature de l’information (logique, analogique, numérique)
Systèmes de numération (base 2, base 10, base 16)
Le codage
Le signa l: caractéristiques, évolution temporelle7.9 Détecteurs et capteursFonction globale et structure fonctionnelle
Caractéristiques de la grandeur deà mesurer et du signal de sortie
Typologie des capteurs
Réponse temporelle des capteurs
Les capteurs de déplacement, de position, de vitesse, de pression et de température : caractéristiques de la grandeur à mesurer et du signal de sortie ; condition d’utilisation.
7.10 Architecture fonctionnelle et matérielle d’un système de traitement de l’information - Fonction globale et caractéristiques des entrées/sorties
- Architecture matérielle associée à la chaîne d’information
- Caractéristiques de fonctionnement d’un système programmable : espace adressable, temps d’exécution
- Les systèmes asservis : notion de boucle ouverte et fermée
- Les systèmes asservis et leurs caractéristiques : rapidité, précision , stabilité
- Les paramètres de la commande : position , vitesse, pression, température
7.11 Communication entre différentes commandes- Fonction globale(pilotage, commande, télémaintenance, surveillance)
- Typologie des réseaux locaux et étendus
- Caractéristiques générales externes( types d’informations échangées, débit, temps de réponse)

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