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Agrégation Interne 1999

4h 30 C-TD-TP .... Définitions- Théorème de Rolle - Théorème des accroissements finis ..... Théorème de Kennelly et applications (Charge et décharge d'un ...




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On élimine le terme commun de couplage  INCORPORER Equation.3  & on obtient le bilan sous la forme classique :  INCORPORER Equation.3 
 INCORPORER Equation.3 , donc  INCORPORER Equation.3  car le circuit est alimenté en permanence par le générateur E,  INCORPORER Equation.3  traduisant les pertes électriques par effet Joule & les pertes mécaniques dues aux frottements, &  INCORPORER Equation.3  qui représente l’énergie stockée par le système, sous forme d’énergie cinétique de translation, d’énergie magnétique dans l’inductance & d’énergie potentielle élastique dans le ressort.

3. En régime forcé sinusoïdal :  INCORPORER Equation.3 ,  INCORPORER Equation.3 d’où on déduit, en introduisant les grandeurs complexes  INCORPORER Equation.3  que :  INCORPORER Equation.3  & de même :
 INCORPORER Equation.3 . Par élimination de la vitesse, on obtient :
 INCORPORER Equation.3  d’où :  INCORPORER Equation.3  en reportant dans l’équation électrique (E). Il en résulte que l’impédance mécanique est donnée par la relation :
 INCORPORER Equation.3 , d’où on déduit que :  INCORPORER Equation.3 , & que :
 INCORPORER Equation.3 .
4. Avec les notations de l’énoncé, on obtient :  INCORPORER Equation.3  &  INCORPORER Equation.3 , où ( est une fonction de la pulsation (. Il résulte des expressions précédentes que ( est sans dimension, & que A est homogène à une résistance.

5 & 6. Le numérateur de Rm étant constant, cette quantité sera maximale si le dénominateur est minimal donc pour  INCORPORER Equation.3 , soit pour ( = (o, pulsation propre correspondant à la résonance. Alors  INCORPORER Equation.3 . Si  INCORPORER Equation.3 , & si  INCORPORER Equation.3 .
Pour  INCORPORER Equation.3 . La bande passante est définie, selon l’énoncé, par :
 INCORPORER Equation.3  d’où :  INCORPORER Equation.3 , où (1 & (2 sont les frontières de la bande passante, ce qui conduit à l’équation du second degré :  INCORPORER Equation.3 , avec  INCORPORER Equation.3 , dont les racines sont :  INCORPORER Equation.3 . Il en résulte que la largeur de la bande passante vaut :
 INCORPORER Equation.3 , avec  INCORPORER Equation.3  &  INCORPORER Equation.3  facteur de qualité. On a donc :
 INCORPORER Equation.3 , d’où :  INCORPORER Equation.3 , d’où les courbes :

7. On a pour le moment la représentation de la courbe décrite par M en coordonnées paramétriques, & il s’agit de passer en coordonnées cartésiennes, donc d’éliminer le paramètre (. Soit :

 INCORPORER Equation.3  & on reporte dans X :  INCORPORER Equation.3 , d’où :
 INCORPORER Equation.3 , équation d’un cercle de rayon  INCORPORER Equation.3  & de centre  INCORPORER Equation.3  appelé cercle de Kennely. On a placé sur la courbe les valeurs remarquables de la pulsation.


Exo n°2 :
1. Force de Laplace élémentaire :  INCORPORER Equation.3 . Sur les côtés horizontaux, les deux vecteurs du produit vectoriel sont colinéaires, donc il ne reste que les forces sur les côtés verticaux. Le champ  INCORPORER Equation.3  étant constant, elles ont le même module  INCORPORER Equation.3 , & en ce qui concerne leur direction, on se reporte à la figure. On en déduit le sens de rotation du cadre, & on vérifie que le couple résultant  INCORPORER Equation.3  a bien le sens du vecteur unitaire INCORPORER Equation.3 . Les bras de levier sont identiques, donc le couple résultant vaut  INCORPORER Equation.3 , & donc on en déduit que :  INCORPORER Equation.3 

2. On est dans le cas de Lorentz, & la méthode du champ électromoteur sera plus commode que l’utilisation du flux coupé (car le flux magnétique à travers le cadre est toujours nul !). Soit :
 INCORPORER Equation.3 , puis  INCORPORER Equation.3 . Les orientations des vitesses sont données par les vecteurs forces de la figure. Il en résulte que : sur les côtés horizontaux, le champ  INCORPORER Equation.3  est orthogonal au cadre, & donc sa circulation est nulle, alors que sur les côtés verticaux,  INCORPORER Equation.3  est porté par le cadre, & de sens opposé au courant i, conformément à la loi de Lenz (car la machine est un moteur). En norme, on a :  INCORPORER Equation.3 , la circulation se réduit aux côtés verticaux, donc :  INCORPORER Equation.3 , & donc on obtient :  INCORPORER Equation.3 , résultat cohérent avec  INCORPORER Equation.3 , traduisant que la conversion d’énergie sur le transducteur est idéale.

3. e est une fcem, d’où l’équation électrique (E) :  INCORPORER Equation.3 . Pour un système en rotation, l’équation mécanique est donnée par le théorème du moment cinétique, soit (M) :  INCORPORER Equation.3 , le signe traduisant un couple moteur.
4. On élimine le courant :  INCORPORER Equation.3 , où l’on a posé  INCORPORER Equation.3  (constante de temps), &  INCORPORER Equation.3 (valeur en régime permanent). Compte tenu des conditions initiales, on a  INCORPORER Equation.3 , car c’est une grandeur continue, d’où :  INCORPORER Equation.3 . En reportant dans (E), on obtient :  INCORPORER Equation.3 . Interprétation des valeurs asymptotiques : à t = 0, ( est nul, donc e aussi, dans le circuit il ne reste que E & R, d’où la valeur initiale du courant. Pour t -> (, ( croit & tend vers E/G, donc e tend vers E, & i tend vers 0.
AN : le RP est atteint à 10-3 près si  INCORPORER Equation.3  avec la même précision, donc si  INCORPORER Equation.3 , donc pour :  INCORPORER Equation.3 .

5. On effectue les combinaisons homogènes à des puissances (E)*i & (M)*(, soit :
 INCORPORER Equation.3  &  INCORPORER Equation.3 , & on élimine le terme de couplage G(i :
 INCORPORER Equation.3 . On reconnaît une équation de la forme :  INCORPORER Equation.3 .
Le système reçoit en permanence la puissance E.i, ne peut stocker d’énergie que sous forme cinétique de rotation, & l’effet Joule est la seule cause de pertes.
6. Seule l’équation mécanique est modifiée & devient (M’) :  INCORPORER Equation.3 . On élimine encore le courant :  INCORPORER Equation.3 , ce qui peut s’écrire aussi :  INCORPORER Equation.3 , où l’on a posé :  INCORPORER Equation.3  (le régime transitoire est plus bref, le couple résistant permet d’atteindre le régime permanent plus vite) &  INCORPORER Equation.3  (la vitesse limite en régime permanent est plus faible, à cause du couple résistant). Avec les mêmes conditions initiales, on aura donc :
 INCORPORER Equation.3  loi du même type qu’avant, & pour le courant :
 INCORPORER Equation.3  le courant ne s’annule plus en régime permanent, mais tend vers la valeur :  INCORPORER Equation.3 , d’où les courbes.
AN : d’après le calcul de la question 4 :  INCORPORER Equation.3 .

7. On effectue les combinaisons homogènes à des puissances (E)*i & (M’)*(, soit :  INCORPORER Equation.3  &  INCORPORER Equation.3 , & on élimine le terme de couplage G(i. Il vient :
 INCORPORER Equation.3 . On reconnaît une équation de la forme classique :
 INCORPORER Equation.3 , où :  INCORPORER Equation.3  (inchangée),  INCORPORER Equation.3  (inchangée) &
 INCORPORER Equation.3 , le second terme correspondant aux pertes mécaniques dues au couple résistant.

8. On retrouve la première équation mécanique (le système est toujours un moteur) (M) :  INCORPORER Equation.3 
La nouvelle équation électrique s’écrit (E’) :  INCORPORER Equation.3 . On tire i de l’équation mécanique :  INCORPORER Equation.3  INCORPORER Equation.3 . Sous forme standard, on obtient :
 INCORPORER Equation.3 , ce qui s’écrit aussi :  INCORPORER Equation.3 , où l’on a posé :  INCORPORER Equation.3 ,  INCORPORER Equation.3 , & toujours  INCORPORER Equation.3 , solution en régime permanent à laquelle s’ajoute la solution en régime transitoire, solution de l’équation homogène associée :  INCORPORER Equation.3 .

9. On cherche une solution de la forme  INCORPORER Equation.3 , ce qui conduit à l’équation caractéristique classique :
 INCORPORER Equation.3 , dont les solutions sont :  INCORPORER Equation.3 . Suivant les valeurs relatives de ( & de (o, on obtient les régimes apériodique (( > (o), critique (( = (o), & oscillant amorti (( < (o).
AN :  INCORPORER Equation.3 ,  INCORPORER Equation.3  & on est donc dans le cas du régime critique, & la solution s’écrit :  INCORPORER Equation.3 . Il faut déterminer les deux constantes d’intégration A & ( par les conditions initiales :  INCORPORER Equation.3  &  INCORPORER Equation.3  (système à l’arrêt). Soit :  INCORPORER Equation.3 . On calcule :  INCORPORER Equation.3 . A t = 0, il vient :  INCORPORER Equation.3 , d’où la solution définitive :  INCORPORER Equation.3 .

Exo n°3 :
1.Sur le primaire, le générateur est u1, alors que sur le secondaire c’est la fem induite  INCORPORER Equation.3 , d’où :
 INCORPORER Equation.3 ,  INCORPORER Equation.3 

2. Dans le transformateur parfait, il n’y a aucune perte, donc :  INCORPORER Equation.3  (pas de pertes Joule), pas de pertes magnétiques donc la perméabilité µ du circuit magnétique est infinie, d’où  INCORPORER Equation.3  & les lignes de champ ne sortent pas du matériau, donc le flux à travers une section droite est conservé :  INCORPORER Equation.3 . En introduisant les flux à travers les bobinages primaire & secondaire :
 INCORPORER Equation.3  &  INCORPORER Equation.3 , il reste :
 INCORPORER Equation.3 ,  INCORPORER Equation.3 , d’où on déduit la loi des tensions :
 INCORPORER Equation.3 . Le théorème d’Ampère sur la ligne de champ moyenne donne :
 INCORPORER Equation.3  d’où, avec H = 0  INCORPORER Equation.3 . On en déduit le rendement de la conversion de puissance :  INCORPORER Equation.3 , logique puisqu’il n’y a pas de pertes.

3. L’impédance d’entrée vérifie :  INCORPORER Equation.3 , car  INCORPORER Equation.3  impédance de charge du secondaire. Sur la maille primaire :  INCORPORER Equation.3 , soit aussi :  INCORPORER Equation.3 . Une impédance ramenée au primaire est donc divisée par m², alors qu’une impédance ramenée au secondaire est multipliée par m².

4. Régime sinusoïdal forcé, avec  INCORPORER Equation.3 , & en introduisant les grandeurs complexes  INCORPORER Equation.3  avec le secondaire en court- circuit (u2 = 0) :
 INCORPORER Equation.3 ,  INCORPORER Equation.3 . En éliminant le courant secondaire :  INCORPORER Equation.3  & on en déduit :  INCORPORER Equation.3  donc :  INCORPORER Equation.3 ,  INCORPORER Equation.3 
D’après la question précédente :  INCORPORER Equation.3  donc  INCORPORER Equation.3 car en principe on a :
 INCORPORER Equation.3  car le secondaire est essentiellement inductif. Alors :  INCORPORER Equation.3 . Dans le cas du couplage parfait, on a :  INCORPORER Equation.3  car l’inductance est proportionnelle au carré du nombre de spires. Il en résulte que :  INCORPORER Equation.3 , & la réactance du primaire est annulée (relèvement du facteur de puissance). La puissance dissipée dans Rm vaut :
 INCORPORER Equation.3 , maxi pour  INCORPORER Equation.3 , condition réalisable avec un auto - transformateur. Alors  INCORPORER Equation.3  d’où le rendement  INCORPORER Equation.3 .

Exo n°4 :
1. Les champs magnétiques sont proportionnels aux courants :  INCORPORER Equation.3 , & on associe à chaque vecteur plan (vecteur unitaire ou champ magnétique) un nombre complexe. Les racines cubiques de l’unité correspondent aux vecteurs unitaires, & on exprime les sinus contenus dans les courants au moyen des formules d’Euler, ce qui donne :  INCORPORER Equation.3 , soit :
 INCORPORER Equation.3  soit aussi :
 INCORPORER Equation.3 & on a donc un champ tournant à la vitesse angulaire (, de module constant.

2. Dès qu’on établit le système de courants, le champ  INCORPORER Equation.3  tourne, donc l’angle  INCORPORER Equation.3  dépend du temps, le flux à travers la bobine aussi, d’où création d’une fem induite, d’un courant induit, donc de forces de Laplace motrices qui font tourner la bobine.

3. On a :  INCORPORER Equation.3 . On en déduit :
 INCORPORER Equation.3 , où ( représente le flux à travers une spire, & où on a posé :  INCORPORER Equation.3  valeur maximale de la fem alternative, qui n’est différente de zéro que si  INCORPORER Equation.3 , d’où le nom de moteur asynchrone. Au synchronisme, il n’y a plus de mouvement relatif, donc plus d’induction. En passant en complexes :  INCORPORER Equation.3 . La loi d’Ohm donne :
 INCORPORER Equation.3  car  INCORPORER Equation.3 . Avec  INCORPORER Equation.3 , on obtient :
 INCORPORER Equation.3 , où l’on a posé  INCORPORER Equation.3 .

4. La norme du champ magnétique étant uniforme, on peut écrire, comme pour un dipôle magnétique, que :  INCORPORER Equation.3 , soit finalement :
 INCORPORER Equation.3 . En utilisant (définition de la puissance active) que  INCORPORER Equation.3 , on obtient la valeur moyenne du couple moteur :
 INCORPORER Equation.3  en utilisant  INCORPORER Equation.3 .
5. On pose  INCORPORER Equation.3  appelé glissement. C’est la vitesse angulaire relative sans dimension, avec g = 0 au synchronisme, & g = 1 à l’arrêt.
On pose aussi  INCORPORER Equation.3 , qui est le facteur de qualité (sans dimension) de la bobine à 50 Hz. Le rotor étant essentiellement inductif, on doit avoir Q² >> 1. Alors on peut écrire :
 INCORPORER Equation.3 , où l’on a posé  INCORPORER Equation.3 .
* Si  INCORPORER Equation.3 , couple moteur à l’arrêt ;
* Si  INCORPORER Equation.3 , le couple moteur s’annule au synchronisme ;
* Si  INCORPORER Equation.3 , & donc il existe un maximum. On a :  INCORPORER Equation.3  maxi si le dénominateur est mini, donc pour  INCORPORER Equation.3 , donc dans le domaine du fonctionnement en moteur. Alors  INCORPORER Equation.3 , indépendant de R. La puissance est donnée par :
 INCORPORER Equation.3  & donc s’annule pour g = 1 (moteur à l’arrêt) & pour g = 0 (synchronisme) : donc il existe un maximum. Il faut dériver : calcul pénible qui conduit à  INCORPORER Equation.3 . Alors  INCORPORER Equation.3 .


6.  INCORPORER Equation.3  correspond au frottement statique, &  INCORPORER Equation.3  au frottement dynamique (terme quadratique, comme l’effet Joule, toujours résistant quel que soit le sens de rotation). On a :
 INCORPORER Equation.3 , équation d’une parabole dont le sommet correspond à g = 1 (arrêt).
Le système démarre seul si  INCORPORER Equation.3  ; Sinon, on augmente le couple moteur à l’arrêt en diminuant Q, donc en augmentant R au moyen d’un rhéostat de démarrage.
D’après le théorème du moment cinétique :  INCORPORER Equation.3  en régime permanent. Les points de fonctionnement correspondent donc aux deux intersections des courbes  INCORPORER Equation.3  &  INCORPORER Equation.3 . Le point de fonctionnement vérifiant  INCORPORER Equation.3  est stable, puisque si le moteur accélère ((’ croit) g diminue, alors le couple résistant est le plus fort & ramène à l’état initial. On montrerait de même que l’autre point de fonctionnement est instable.
La vitesse limite correspond au synchronisme :  INCORPORER Equation.3 .

Exo n° 5 :

1. Si 0 < t < (T : K' ouvert, donc E' ne joue pas. K fermé, donc on retrouve E aux bornes de L, soit :
 INCORPORER Equation.3  en appelant Im la valeur initiale de iL. Si IM est la valeur à la fin de la phase, l'ondulation de iL vaut :  INCORPORER Equation.3 .
* Si (T < t < T : K' fermé, donc L soumise à E - E' :  INCORPORER Equation.3 . On a un fonctionnement périodique si la valeur finale en T correspond à la valeur initiale pour t = 0, soit :
 INCORPORER Equation.3 .

2. On veut réaliser E' = 2E, donc ( = 0,5 & :  INCORPORER Equation.3 .

3. iL (t) étant une loi linéaire, sa valeur moyenne vaut :  INCORPORER Equation.3 . Il n'y a pas de puissance consommée dans L & les interrupteurs, donc :
 INCORPORER Equation.3 , & avec la valeur minimale de L, on a aussi IM – Im = 0,2 A. La résolution de ce système conduit à : IM = 4,1 A & Im = 3,9 A. Comme le courant iL ne s'annule pas, on a les fonctionnements suivants :

L'interrupteur fermé est parcouru par le courant iL. Quand K est ouvert, la tension est nulle aux bornes de K' fermé, donc on a E' aux bornes de K. Quand K' est ouvert la tension est nulle aux bornes de K fermé, donc on retrouve - E' aux bornes de K'. On pourra donc choisir une diode pour représenter K' (caractéristique) & un transistor pour représenter K.

4. R / / C est alimenté par le courant  INCORPORER Equation.3 , où I’ représente sa valeur moyenne & i' son ondulation. L'ondulation de la tension US étant très faible, on peut considérer que I’ passe dans R, donc que l’on a :  INCORPORER Equation.3 , & que i' passe dans C, donc que :  INCORPORER Equation.3  sur la première phase, puisqu' alors iK’ est nul (K' ouvert). Si  INCORPORER Equation.3  est l'ondulation maximale (donc pour t = (T) de US, on obtient :  INCORPORER Equation.3 . Or  INCORPORER Equation.3 , d'où :  INCORPORER Equation.3 .

Exo n°6 :

I. Etude du différenciateur :

1. Montage du soustracteur : on écrit le théorème de Millmann sur l’entrée -, & le DDT sur l’entrée + :
 INCORPORER Equation.3 ,  INCORPORER Equation.3 . On traduit que l’AO est idéal :
 INCORPORER Equation.3 

II. Etude du convertisseur tension – courant :
2. Soit Us la tension de sortie de l’AO. DDT :  INCORPORER Equation.3 ,  INCORPORER Equation.3 , puis 
 INCORPORER Equation.3 , soit :  INCORPORER Equation.3 .

III. Etude du capteur de vitesse :
3. Période de rotation du moteur :  INCORPORER Equation.3 , correspond à N impulsions d’où :  INCORPORER Equation.3 .
4. Soit Us1 la tension de sortie de l’AO1. L’AO2 est monté en ampli inverseur :  INCORPORER Equation.3 . Il en est de même pour l’AO1 :  INCORPORER Equation.3 , avec  INCORPORER Equation.3 , ce qui donne :
 INCORPORER Equation.3 . En éliminant Us1, on obtient l’équation cherchée :  INCORPORER Equation.3 , & on pose :  INCORPORER Equation.3 .

5. Résolution de l’équation différentielle :
* Sur la première phase :  INCORPORER Equation.3  : Ud = E,  INCORPORER Equation.3 . D’après la figure E6, Ur est une fonction croissante sur cette phase, d’où :  INCORPORER Equation.3 . Avec l’hypothèse  INCORPORER Equation.3 , avec un DL, on obtient :  INCORPORER Equation.3 . Le maximum est atteint en (, d’où :  INCORPORER Equation.3 .
* Sur la seconde phase :  INCORPORER Equation.3  : Ud = 0,  INCORPORER Equation.3 . D’après la figure E6, Ur est une fonction décroissante sur cette phase, d’où avec la linéarisation :  INCORPORER Equation.3 , avec les conditions :
 INCORPORER Equation.3 , d’où :  INCORPORER Equation.3 . L’ondulation est donc donnée par :  INCORPORER Equation.3 . On combine avec :  INCORPORER Equation.3 , ce qui donne :  INCORPORER Equation.3 , puis :  INCORPORER Equation.3 . Avec la condition  INCORPORER Equation.3 , il vient :  INCORPORER Equation.3 ,  INCORPORER Equation.3 . Comme on a une loi affine, la valeur moyenne est donnée par :  INCORPORER Equation.3 

6. On remplace T . Il vient :  INCORPORER Equation.3 .
IV. Etude du système complet :

7. On élimine le courant i entre l’équation mécanique (M) & l’équation électrique (E) :
(M) :  INCORPORER Equation.3 , (E) :  INCORPORER Equation.3 , ce qui donne :
 INCORPORER Equation.3 .

8. En régime sinusoïdal forcé :  INCORPORER Equation.3 , d’où :  INCORPORER Equation.3  représente la fonction de transfert de la chaîne bouclée, qui correspond à un filtre passe – bas du premier ordre, avec un gain maximal (obtenu pour  INCORPORER Equation.3 ) :  INCORPORER Equation.3 , & une fréquence de coupure  INCORPORER Equation.3 . En boucle ouverte :  INCORPORER Equation.3 , donc  INCORPORER Equation.3 , on vérifie bien que les chaînes ouverte & bouclée correspondent à des filtres de même type. Pour la boucle ouverte :  INCORPORER Equation.3  &  INCORPORER Equation.3 .
On doit vérifier la relation :  INCORPORER Equation.3 . On vérifie également la propriété des filtres passe – bas du premier ordre :  INCORPORER Equation.3 , conservation du produit gain x bande passante. Le régime permanent est donc atteint plus vite en boucle fermée.











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Agreg Interne Corrigé Exos Induction 99




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