B. La CREATION de nouveaux GENES - Cours
D)Etablissement d'une carte factorielle de 3 gènes à partir du trihybridisme. ... de
3 expériences de dihybridisme ou d'une seule expérience de trihybridisme.
part of the document
raphiquement et géologiquement une zone de subduction?
I) Les principaux caractères topographiques et géologiques des zones de subduction
Activité 1 : rappels sur les zones de subduction (mobiliser ses connaissances avec Sismolog et Rai en utilisant Excel)
La convergence se traduit par la disparition de lithosphère océanique dans le manteau.
La subduction est l'enfoncement d'une lithosphère océanique, froide et dense, dans une asthénosphère, située sous une lithosphère continentale (ex : cordillère des Andes en Amérique du sud) ou sous une autre lithosphère océanique (ex subduction océan-océan. ex : Antilles).
A) Des reliefs particuliers
Activité 2 : Etude de la topographie des zones de subduction (sinf, rai et utiliser Sismolog)
Fosse océanique : relief négatif majeur
On distingue également un relief positif important représenté par :
- une chaine de montagne (= chaine de subduction) située sur la plaque continentale chevauchante.
- une suite d'îles isolées disposées en arc, dans la cadre d'une zone de subduction océan-océan.
- Dans certains cas (ex : entre l'archipel japonais et la chine) on observe un autre relief de type négatif : celui des bassins arrière-arc.
Prisme d'accrétion
B) Des caractéristiques géologiques
1/ Activités sismiques et magmatiques
Activité 3 : Etude de la géologie de la zone de subduction: ex de la côte chilienne (rai, utiliser un tableur)
forte activité sismique et volcanique.
marge active
VENDREDI 10 SEPTEMBRE Cours
2/ Des marqueurs tectoniques : les déformations lithosphériques liées à la convergence
des plis
des failles inverses
des plans de chevauchement, résultant tous trois dune compression.
3/ La répartition du flux thermique
- au niveau de la fosse océanique, anomalie négative.
- au niveau de l'arc magmatique ou de la chaine de subduction, anomalie positive.
Lors d'une subduction, de la lithosphère océanique s'enfonce sous la marge active comprenant un croute continentale ou une croute océanique.
Les marqueurs des zones de subduction sont :
- la présence de reliefs positifs et négatifs.
- une activité magmatique et une activité sismique importante .
- une déformation importante de la lithosphère de la plaque chevauchante et de la plaque qui s'enfonce avec la présence d'un prisme d'accrétion sédimentaire.
- la répartition particulière du flux géothermique : la double anomalie.
II) Les mécanismes de la subduction
A) Une distribution particulière des séismes (distribution géométrique)
La distribution géométrique des séismes selon la plan de Bénioff matérialise le plongement d'une portion rigide de lithosphère à l'intérieur du manteau asthénosphérique plus chaud et ductile
B) Un moteur de la subduction
Calcul de densités de la lithosphère océanique (doc p219 Bordas)
L'évolution de la lithosphère océanique qui s'éloigne de la dorsale s'accompagne d'un augmentation de sa densité jusqu'à dépasser la densité de l'asthénosphère : cette différence de densité est l'un des principaux moteurs de la subduction.
LUNDI 13 SEPTEMBRE TP
III) Le magmatisme des zones de subduction
A) Les roches magmatiques de ces zones
1/ Les roches volcaniques
Activité 4 :Etude de landésite et de la rhyolite : ssaisir des données, rai, identifier des roches à léchelle macroscopique et microscopique, rai, réa un schéma) (échantillons dandésite et de rhyolites et lames minces correspondantes)
Caractéristiques des andésites et rhyolites
2/ Les roches plutoniques
Activité 5 :Etude du granite et de la diorite : saisir des données, rai, identifier des roches à léchelle macroscopique et microscopique, réa un tableau bilan) (échantillons de granite et de granodiorites et lame mince de granite)
Caractéristiques des granites et les granodiorites.
Pour vendredi 17/09 : faire un tableau de comparaison des roches magmatiques
VENDREDI 17 SEPTEMBRE Cours
Correction du tableau
B) Origine des magmas des zones de subduction
Etude du doc 2 p225 Bordas (sinf, rai et mettre en relation des données)
Ces magmas proviennent de la fusion partielle des péridotites hydratées du manteau de la plaque chevauchante (abaissement du point de fusion par hydratation).
Contrôle sur 10 :
- Restitution de connaissances sur les marqueurs géologiques dune zone de subduction
- étude dune lame mince dune roche magmatique
LUNDI 20 SEPTEMBRE TP
C) Un magmatisme lié au métamorphisme de la lithosphère océanique
Activités 6 et 7 : Etude des transformations minéralogiques des gabbros de la lithosphère plongeante : identifier des minéraux à léchelle macroscopique et microscopique, rai sur un diagramme pression-température)
(échantillons de gabbros, métagabbros en faciès amphibolite, schistes bleus et éclogites et lames minces correspondantes) correspondantes)
VENDREDI 24 SEPTEMBRE Cours
Bilan des observations :
1/ Avant la subduction
C'est une lithosphère océanique hydratée ou transformée : faciès amphibolites et schistes verts
2/ Pendant la subduction
Transformation des minéraux en nouveaux minéraux caractéristiques de ces nouvelles conditions de pression et température : glaucophane (faciès des schistes bleus) puis en jadéite et grenat (faciès éclogite).
L'eau qui déclenche la fusion partielle de la péridotite du manteau lithosphérique de la plaque chevauchante provient de la déshydratation des roches de la croûte dans la plaque plongeante à des conditions de pression et de température différentes de celles de leur formation : conditions de hautes pressions, basses températures.
SCHEMA- BILAN
Correction du contrôle
PARTIE 2
LA MESURE DU TEMPS DANS LHISTOIRE DE LA VIE ET DE LA TERRE
Introduction
Problème : Comment les géologues ont-ils ordonné les différentes périodes géologiques entre elles pour constituer léchelle stratigraphique?
I. La datation relative
A- Positionner des événements géologiques les uns par rapport aux autres.
Elle permet de positionner dans le temps des évènements biologique ou géologique les uns par rapport aux autres et donc de reconstituer la succession de phénomènes géologiques
La datation relative et la reconstitution de lhistoire géologique dune région peuvent se faire à partir dune COUPE ou de laffleurement cest-à-dire des roches uniquement visibles en surface (CARTE GEOLOGIQUE).
Cette méthode repose sur lapplication dun nombre limité de principes.
1 Le principe de superposition
photo du grand canyon
« Une couche est plus récente que celle qu'elle recouvre et est plus ancienne que celle qui la recouvre. »
Attention : Il concerne les structures géologiques qui se sont formées par dépôts successifs, et, qui n'ont pas été déformées.
2 Le principe de recoupement
Activité 1 : sinf et rai à partir dun affleurement : photo du Portugal p165
Pour le 27/09 : finir lactivité 1+ sentraîner à savoir faire le schéma bilan.
Pour le 01/10 : chapitre 1 à réviser
LUNDI 27 SEPTEMBRE TP
Correction de lactivité 1
« Toute formation géologique qui en recoupe une autre lui est postérieure. »
Qqes ex
B- Reconstituer lhistoire géologique dune région.
Activité 2 :reconstituer lhistoire dune région (rai à partir du logiciel « géologue »)
HYPERLINK "http://www.ac-rennes.fr/pedagogie/svt/anim-exo/plissement/plissement.htm" Exo internet
C- Mettre en relation des structures géologiques éloignées dans lespace.
Les affleurements étant discontinus, il est difficile de suivre les couches. De plus, il est possible quà un même instant des roches sédimentaires de nature lithologique différentes se mettent en place. Comment, alors, est-il possible de savoir que ces roches ont bien le même âge malgré leur différence de localisation ou de nature?
1 Le principe de continuité latérale
Activité 3 : établir le principe de continuité latérale (saisir des données et les mettre en relation avec le problème docs 1 et 2)
« Deux couches séparées dans l'espace mais limitées par les mêmes couches à la base et au sommet correspondent à une même couche et sont donc de même âge. »
principe sappliquant et intéressant dans le cas de variation latérale de faciès.
2. Le principe didentité paléontologique
Activité 4 : établir le principe didentité paléontologique (saisir des données)
« Deux couches de même contenu fossilifère ont le même âge ».
fossiles stratigraphiques :période de vie limité et zone étendue.
Utilisation d associations de fossiles pr éviter les erreurs.
Etablissement de corrélations entre strates à léchelle du globe.
Pour le 01/10 : chapitre 1 à réviser
VENDREDI 01 OCTOBRE Cours
CCL sur L'établissement de l'échelle stratigraphique
Devoir surveillé: Partie I , chapitre 1 (la subduction) type 2
LUNDI 04 OCTOBRE TP
II. La datation absolue
La datation relative: ordonner dans le temps une succession d évts avec une grde finS mais elle ne donne pas lâge de l évt ni sa durée.
Datation absolue: âge des roches et des fossiles:
- mesurer les durées des phénomènes géologiques.
- situer l évt par rapport au temps présent.
Principes de la datation absolue
1. La désintégration des éléments radioactifs.
Isotopes radioactifs = radio-chronomètres pour la datation absolue.
Loi de désintégration
P = P0 .e- (t
t est le paramètre à déterminer : on peut donc lexprimer en fonction de P et Po
2. Une désintégration témoignant de lâge de léchantillon
Désintégration à partir de la fermeture du système
.
B. Différents isotopes en fonction de leur période et des données mesurables
Les radio-chronomètres sont choisis en fonction de la période de temps que lon cherche à explorer.
1.Le carbone 14
Activité 1 :Datation par le 14C d'un échantillon de bois calciné contenu dans les cendres du Puy Chopine : (rai à partir du logiciel Radiochronologie/fiche technique)
Pour les derniers millénaires ( avant 35 000 ans) utilisation du carbone 14 (14C) dont la quantité lors de la fermeture du système est connue. La mesure de la quantité de 14C restante dans léchantillon permet de trouver un âge. Lorsque tous les éléments radioactifs ont disparu de léchantillon, la datation nest plus possible.
2. Le couple potassium- argon 40K/40Ar
Activité 2 : Datation d'un échantillon de basalte par la méthode potassium/argon :
(rai à partir du logiciel Radiochronologie /fiche technique)
Pour des périodes plus anciennes on peut, par exemple, utiliser le couple potassium-argon (K-Ar). La quantité initiale lors de la fermeture du système est négligeable. On travaille sur le rapport Ar/K pour trouver lâge de la roche.La contamination par largon de latmosphère rend difficile la détection de largon issu de la désintégration du potassium avant que la roche ait atteint un certain âge.
3. Le couple rubidium-strontium 87Rb/87Sr
Activité 3 : Datation dun granite par la méthode Rb/Sr : (rai à partir du logiciel Radiochronologie/fiche technique)
On utilise aussi le couple rubidium-strontium (Rb-Sr). Pour trouver lâge dune roche il est alors nécessaire de mesurer les rapports isotopiques de plusieurs minéraux de la même roche ayant cristallisé au même moment (les quantités initiales des éléments et le moment de la fermeture du système étant inconnus). Notion de droite isochrone.
VENDREDI 08 OCTOBRE Cours
Correction et bilan de lactivité 3
Exercice dapplication type bac 2.1 et 2.2
Exercice facultatif : Q2.2 bac 2010
LUNDI 11 OCTOBRE TP
PARTIE 3
PARENTE ENTRE ETRES VIVANTS ACTUELS ET FOSSILES
PHYLOGENESE EVOLUTION
Chapitre 1 :
RECHERCHE DES LIENS DE PARENTE
ENTRE ETRES VIVANTS ET FOSSILES
Introduction : (Support vidéo) Mobiliser ses acquis : universalité de la cellule de lADN et du code génétique Notion de phylogénèse
Problèmes :
Selon quels critères et méthodes peut-on préciser le degré de parenté entre les êtres vivants ? Quels sont ces liens de parenté ?
Quelles évolutions ont eu lieu au cours du temps ? quelles étapes de la vie ?
I. RECHERCHE DE LIENS DE PARENTE ENTRE VERTEBRES: létablissement dune phylogénie.
Déf de caractère (morpho-anatomiques, embryologiques, moléculaires
Lutilisation de caractères morphologiques, anatomiques et embryologiques
Notion de caractères homologues
Activité 1 :sinf et rai à partir des docs p 20 à 23 du livre
Définition dun caractère homologues : même structure de base dun caractère, origine commune
Etats de caractères homologues et établissement darbres phylogénétiques
Activité 2 : Etablissement de liens de parenté entre les êtres vivants : exemple des vertébrés (sI à partir du logiciel Phylogène, Réa,rai)
Etats ancestral et dérivé de caractères homologues, principe d établissement darbre phylogénétique et notion de groupe monophylétique.
JEUDI 14 ET VENDREDI 15 OCTOBRE
STAGE GEOLOGIE A BRIANCON : les marqueurs géologiques de la collision : plis, nappes de charriage, ophiolites, roches métamorphiques associées
LUNDI 18 OCTOBRE TP
exo polycopié : rai à partir dun arbre phylogénétique
clades des primates et Hominoïdes.
nécessité de préciser les liens de parenté par létude de caractères moléculaires.
B. Lutilisation de caractères moléculaires
Activité 1 et 2 : Lutilisation de données moléculaires pour établir des liens de parentés au sein des Hominoïdes :sinf et rai à partir de lutilisation des logiciels phylogène et anagène)
Pour le 22/10 :compléter le bilan (texte à trous)
+exercices dapplication lecture darbre phylogénétique livre 1, 2 4 et 6 p36 Hatier
VENDREDI 22 OCTOBRE Cours
Correction bilan
Gènes et molécules homologues
Notion de molécules homologues et relation entre homologie et évolution.
Principe détablissement dune parenté
Plus les séquences de molécules homologues se ressemblent, plus les organismes qui les possèdent ont un lien de parenté étroit, plus lancêtre commun à ces 2 espèces est récent.
II. LA PLACE ET L INTERET DES FOSSILES
Sinformer à partir des docs du livre p 29 du livre
Ex de lArchéoptéryx
Pas de statut particuliers des espèces fossiles : on les place sur les arbres comme les autres espèces.
Correction Exercice dapplication lecture darbre phylogénétique livre 1, 2 4 et 6 p36 Hatier
Exercice polycopié + BELIN p23 sur le principe de parcimonie
DM Partie III chapitre 1 : à rendre pour le vendredi de la rentrée (05/11)
Mettre au propre les documents du stage géologie pour le mercredi 03/11
Attention : vendredi 12/11 : DS sur les parties I (convergence) et II(datation)
MERCREDI 03 NOVEMBRE Cours
Partie I, CHAPITRE 2 : Convergence et collision continentale
Bilan de sortie à Briançon réalisé conjointement avec le chapitre 2 de la partie I (mettre en relation les activités du stage et les notions clef ; remplir un texte à trous)
Les témoins dune océanisation
Marqueurs :- dophiolites (Chenaillet) : constituants de la lithosphère océanique : péridotites serpentinisée, gabbro et basaltes, sédiments océaniques, témoin de lexistence passée de locéan alpin (140Ma)
- Les reliques dune marge passive (témoins de l ouverture océanique): rifting continental : failles normales qui délimitent des blocs basculés de croûte continentale (constituant le socle) et des dépôts sédimentaires associés à ces évènements.(pré-rift, syn-rift et post-rift (à partir de - 200Ma).
II Les témoins dune subduction anté-collision
Etude de certains métagabbros (roches métamorphiques issues de gabbros) trouvés dans les Alpes ( château Queyras) et de leurs associations de minéraux témoignent du passage de ces roches dans des conditions de Pression et de Température HP et BT (faciès schistes bleus et éclogites) :métamorphisme de subduction. Lors de la phase de collision, ces métagabbros ont ensuite été ramenés en surface (en passant par le faciès vert), où ils sont visibles aujourdhui (par ex au niveau de lancien prisme daccrétion château Queyras)). Subduction dOuest en Est.
Obduction :Lithosphère océanique non rentrée en subduction : obduction : cest le cas des ophiolites du Chenaillet qui ne présentent que des traces de métamorphisme océanique : gabbros et basaltes métamorphisés en faciès amphibolite et schistes schistes verts.
III Les caractéristiques morphologiques et géométriques de la lithosphère des chaînes de collision
1. Des marqueurs tectoniques visibles en surface
Les roches des marges passives impliquées dans la formation de la chaîne de montagne (processus appelé orogenèse) sont affectées par des structures tectoniques qui accommodent le raccourcissement et l épaississement: ils sont visibles à laffleurement (sortie dans la vallée du Guil) :plis/failles le plus souvent inverses/plis failles/chevauchements et nappes de chariage: zones dintenses déformations qui permet le déplacement relatif ( de plusieurs km) de 2 unités géologiques. On parle de charriage lorsque le déplacement dépasse 10 km. contacts anormaux sobservent dans les zones de chevauchement : des sédiments anciens recouvrent des sédiments plus récents, ne respectant plus le principe de superposition.
2. Relief positif et racine crustale : 2 marqueurs couplés de la collision continentale
épaississement et raccourcissement de la lithosphère continentale. Ces reliefs positifs sont associés à une racine crustale en profondeur, conséquence du chevauchement et de la superposition de ces écailles tectoniques les unes sur les autres. La lithosphère continentale européenne est sous-charriée sous lApulie et donc portée à des hautes pressions, ce qui entraîne des transformations métamorphiques de ses roches qui sont ensuite ramenées en surface.
3. Lévolution dune chaîne de collision
Les chaînes de collision anciennes comme le Massif Armoricain nont plus de relief. La croûte a retrouvé son épaisseur moyenne de 30 km. Lorsque la convergence cesse, les forces compressives diminuent et la croûte se retrouve en déséquilibre : il existe un effondrement gravitaire, les failles inverses jouent en failles normales ce qui conduit à un amincissement de la croûte jusquà ce quelle retrouve une épaisseur stable de 30-35 km.
importante érosion et fusions partielles de la croûte en profondeur à lorigine de nouveaux granitoïdes.
VENDREDI 05 NOVEMBRE Cours
PARTIE 3, Chapitre 2 :
LA LIGNEE HUMAINE
I. LA PLACE DE LHOMME DANS LE REGNE ANIMAL
Les groupes et les parentés de lHomme
Activité 1 : sI à partir des doc p38 et 39 du livre
B. La parenté Homme-chimpanzé
Les plus proches parents de lHomme sont actuellement le chimpanzé et le bonobo. La comparaison de différentes caractéristiques le montre :
Certaines caractéristiques morphologiques et anatomiques Les caractéristiques chromosomiques : les caryotypes (sI à partir des docs p 40)
Les caractéristiques moléculaires (voir TP2) : molécules et gènes homologues
Les caractéristiques comportementales.
Docs P44 et p45
doc3 p45 : Portrait robot des caractéristiques culturelles et comportementales de lancêtre commun à lhomme et au chimpanzé
LUNDI 08 NOVEMBRE TP
II.LES CRITERES DAPPARTENANCE A LA LIGNEE HUMAINE
Activité : Travail de comparaison homme chimpanzé qui nous permettra également de dégager les caractères morpho - anatomiques partagés par les deux espèces et donc déjà présents chez lancêtre commun à partir du logiciel homininés
On appelle lignée humaine toute lhistoire évolutive des homininés à partir du plus récent ancêtre commun au chimpanzé et à lhomme.
Les critères dappartenance à la lignée humaine sont les caractères liés à la station bipède (squelette), au développement du volume crânien, à la régression de la face et aux traces dactivités culturelles.
On admet ainsi que tout fossile présentant au moins un de ces caractères dérivés propres à lhomme actuel appartient à la lignée humaine.
VENDREDI 12 NOVEMBRE Cours
Devoir surveillé: Partie I et Partie II :
1 exercice type 2.1 :datation relative de deux granites parla méthode rb/st : polynésie sept 2004
+ 1 exercice type 2.2 : convergence lithosphérrique dans lhistoire géologique de la Nouvelle-Calédonie :Am du N. Juin 2006
LUNDI 15 NOVEMBRE TP
III. LES HOMININES ET LE CARACTERES BUISONNANT DE LA LIGNEE HUMAINE
Activités : Les représentants de la lignée humaine (sI à partir du logiciel homininés et effectuer des mesures à partir du logiciel Mesurim)
A. Deux genres et des espèces variées
1) Les australopithèques, premiers représentants de la L.H. :
2) Les premiers hommes : - 2,5 Ma à nos jours
VENDREDI 19 NOVEMBRE Cours
a) Lémergence du genre Homo : Homo habilis
b) Homo erectus, premier homme à quitter le berceau africain
c) Néandertaliens et Hommes modernes succèdent à lhomo erectus
B. La lignée humaine, une histoire évolutive buissonnante
C. Origine des Hommes modernes : Homo sapiens
DM 2 : la lignée humaine : à rendre pour le vendredi 03/12
Réviser la PARTIE 3 pour le vendredi 03/12 : DS de type I (Restitution organisée de connaissances)
LUNDI 22 NOVEMBRE TP
PARTIE 2
STABILITE ET VARIABILITE DES GENOMES
ET EVOLUTION
Chapitre 1 :
INNOVATIONS GENETIQUES (ETUDE DES GENOMES)
ET EVOLUTION DES ESPECES
Introduction : stabilité et variabilité de lespèce
I. LA VARIABILITE DES GENOMES : LES INNOVATIONS GENETIQUES
Problème : Comment, à partir dune origine commune , des innovations évolutives se sont-elles formées pour la diversité actuelle des êtres vivants ?
Hypothèse :
Lapparition de caractères nouveaux se réalise grâce à linnovation génétique : apparition de nouveaux allèles par mutations.
Conséquence vérifiable : Sil y a apparition de nouveaux allèles alors au sein dun gène on devrait trouver pls allèles ressemblants.
La CREATION de nouveaux ALLELES par MUTATION
1) De nombreux gènes sont polymorphes
Activité 1 notion de polymorphisme
2) Les mutations sont à lorigine du polymorphisme
déf mutation
Activités 2 ET 3: CREATION de NOUVEAUX ALLELES (sI à partir dun logiciel, Ra)
VENDREDI 26 NOVEMBRE Cours
Bilan des act 2 et 3 : compléter un texte à trou
Les mutations sont des modifications de la séquence de la molécule dADN et sont responsables de lapparition de nouveaux allèles.
- Délétion, Substitution, Addition
Elles sont souvent dues à une erreur de réplication mais aussi des altérations de nucléotides.
3) Les conséquences phénotypiques des mutations
elles ont des csq variables selon :
a) selon la localisation
mutation somatique
Une mutation germinale
b) selon la nature
Les mutations par substitution qui affectent les gènes peuvent avoir des conséquences variables sur le phénotype :
Les mutations silencieuses :
Les mutations efficaces :
Les mutations faux-sens et les mutations non-sens
mutation décalante.
Csq sur le phénotype
La CREATION de nouveaux GENES
Problème : Comment apparaît un nouveau gène ?
Hypothèse :
Activité 4 : Etude de lapparition de nouveaux gènes (SInf à partir de docs et Ra)
1)La notion de famille multigénique
2) Linnovation génétique liée aux duplications.
CONCLUSION :
Ces mécanismes de duplications transposition - mutation sont à lorigine de lenrichissement et de la complexification du génome dune espèce.
LUNDI 29 NOVEMBRE TP
II. LE DEVENIR DES INNOVATIONS GENETIQUES ET LEUR ROLE
DANS L EVOLUTION DES ESPECES
Seules celles qui affectent les cellules germinales peuvent être transmises à leur descendance et avoir un impact évolutif.
Ce sont les populations et les espèces qui évoluent : au cours des générations successives, les fréquences des allèles des gènes au sein des populations sont modifiées : de quoi dépend lévolution de leur fréquence ?
A. La conservation de mutations dites « neutres »
qui ne confèrent aucun avantage sélectif particulier
Lorsqu une mutation se répand dans la population sans conférer davantage ni désavantage sélectif particulier aux individus qui la porte, on parle de mutation neutre. Les mutations neutres qui naffectent pas la fonctionnalité de la protéine se répandent au hasard.
B. La conservation des innovations évolutives qui confèrent un avantage sélectif
Activité : Devenir des innovations (sI à partir de documents, Ra)
Notion de sélection naturelle :Exemples du Paludisme et de la Phalène du Bouleau)
VENDREDI 03 DECEMBRE Cours
Devoir surveillé: Partie III : Restitution de connaissances :
Démontrez à partir dexemples détaillés et de données scientifiques précises que la lignée humaine est buissonnante !
LUNDI 06 DECEMBRE TP
C. Des conséquences importantes lors de mutations des gènes de développement
Activité : Une cause possible à lapparition de nouvelles espèces : exemple de la lignée humaine (sI à partir de documents, Ra)
Bilan : Rôle des gènes de dvpt et csq de leurs mutations
Notion dhétérochronie et de caractères néoténiques
Correction Phalène du bouleau
Exercice dapplication sur les guppys
VENDREDI 10 DECEMBRE Cours
Chapitre 2 :
MEIOSE ET FECONDATION :
STABILITE ET BRASSAGE GENETIQUE DE LESPECE
Introduction :
Support : caryotype humain p104 du bordas et cellule uf p92 du nathan du bordas en rétroprojection et drosophile p65 du hatier
Doc comparaison caryotype descendance
Problèmes :
- Si toutes nos cellules sont 2n chromosomes, comment expliquer que les descendants possèdent 2n chromosomes et pas 4n chromosomes, comment expliquer la stabilité du caryotype ?
- Les descendants dun même couple de parents sont très divers et possèdent donc un génotype propre (collection dallèles unique) différent de celui des frères et surs : quels mécanismes de la reproduction sexuée assure la diversité génétique de la descendance ? ATTENTION : on étudie la diversité des individus au sein dune espèce.
I. MEIOSE ET FECONDATION PARTICIPENT A LA STABILITE DE LESPECE
A. Les cycles de développement et le maintien du caryotype de lespèce
1) Le cycle de reproduction de lespèce humaine
Activité 1 : Etude du cycle de reproduction de lespèce humaine p 106,107 (SI)
Méiose : à partir de cellules 2n produit des cellules n et fécondation : rétablit la diploïdie en réunissant 2 cellules n conduit à la formation dune cellule uf 2n. Ces 2 phénomènes alternent dans le cycle de reproduction : la phase diploïde est prépondérante, la phase haploïde est réduite aux gamètes. Schéma dun cycle diplophasique.
2) Etude du cycle de développement dun champignon ascomycète : sordaria
Activité 2 : Etude du cycle de reproduction dun champignon ascomycète p 108,109 (SI et Réa)
Le cycle de reproduction est caractérisé par les mêmes mécanismes fondamentaux : méiose et fécondation. Phase haploïde (qui sétend de la méiose à la fécondation) et phase diploïde (qui sétend de la fécondation à la méiose) peuvent être plus ou moins développées lune par rapport à lautre.
Chez les champignons cest la phase diploïde qui est très réduite, elle nest représentée que par la cellule uf. De tels organismes sont qualifiés dhaploïdes : cycle haplophasique.
LUNDI 13 DECEMBRE TP
B) La méiose : passage de la phase diploïde à la phase haploïde.
Activité : La MEIOSE et ses ANOMALIES (sI à partir de documents, Ra)
1. Les modalités de la méiose
La méiose correspond à 2 divisions cellulaires successives qui, à partir dune cellule mère diploïde, donnent naissance à 4 cellules filles haploïdes.
Chacune des 2 divisions comporte 4 phases : prophase, métaphase, anaphase et télophase.
a) La première division méiotique : division réductionnelle
Les 2 cellules issues de la 1ère division de méiose sont donc haploïdes : n chromosomes à 2 chromatides.
b) La deuxième division méiotique : division équationnelle
n chromosomes à 2 chromatides à n chromosomes à 1 chromatides.
SCHEMA de la variation du taux dADN à connaître
Vidéo méiose
VENDREDI 17 DECEMBRE Cours annulé en raison de la neige : rattrapé le vendredi de la rentrée
2) Les anomalies de la méiose
Activité : Les ANOMALIES de la méiose(sI à partir de documents, Ra)
Correction activité + Schéma méiose anormale A CONNAITRE
C. La fécondation : passage de la phase haploïde à la phase diploïde
Etude des documents p114,115
1) La rencontre des cellules haploïdes
2) La fusion des noyaux haploïdes
Chez les espèces diploïdes
Chez les espèces haploïdes comme Sordaria
La fécondation correspond à la union des noyaux haploïdes de 2 gamètes pour former le noyau diploïde de la cellule-uf.
La reproduction sexuée maintient ainsi une barrière entre les caryotypes des différentes espèces et participe ainsi à la stabilité de lespèce.
LUNDI 03 JANVIER TP
II. MEIOSE ET FECONDATION PARTICIPENT AU BRASSAGE GENETIQUE
Brassage génétique au cours de la méïose
Chez les haploïdes
Activité pratique : BRASSAGE GENETIQUE chez SORDARIA (sI à partir des souches, Réa, Ra)
Bilan sordaria notion de brassage inter et intrachromosomique
Cas de dihybridisme chez Sordaria : DM à rendre pr dans 15 jours !
Pour vendredi : exercice sur les anomalies de la méiose, lire les docs du livre p114 et 115, compléter le texte à trous correspondant
VENDREDI 07 JANVIER Cours
Rattrapage cours avant les vacances et bilan oral sordaria
LUNDI 10 JANVIER TP
Chez les diploïdes
Activité pratique : BRASSAGE GENETIQUE interchromosomique chez la drosophile (sI à partir des souches, Réa, Ra)
Bilan notion de test cross, brassage inter (gènes indépendants)
VENDREDI 14 JANVIER Cours
Activité: BRASSAGE GENETIQUE intrachromosomique chez la drosophile (sI, Ra)
Bilan brassage intrachromosomique (gènes liés), variabilité des gamètes.
SHEMA BILAN
Pour lundi, faire un schéma de méiose à 2n=4, cas de trihybridisme
LUNDI 17 JANVIER TP : en classe restreinte : sortie université Claude Bernard
Correction de lex de trihybridisme
Bilan sur le brassage génétique au cours de la méiose
C) Le brassage génétique dû à la fécondation
Le brassage génétique lors de la production des gamètes a lieu aussi bien chez le père que chez la mère.
Lors de la fécondation, un gamète mâle féconde au hasard un gamète femelle : la diploïdie est rétablie.
Les diverses possibilités de génotypes sont mises en évidence grâce aux échiquiers de fécondation.
Schématisation à apprendre avec échiquier de croisement.
Si 2n = 46, 223 x 223 = 246 = 7. 1013 fécondations possibles.
Conclusion du chapitre : La diversité génétique des organismes diploïdes résulte donc des brassages génétiques inter et intrachromosomiques lors de la méiose qui permet la formation de gamètes différents ; ensuite, la fécondation unit de façon aléatoire 2 gamètes entre eux.
Grâce à la reproduction sexuée, chaque individu possède donc une combinaison originale des allèles des gènes de son espèce.
Il est donc unique.
Travail sur la méthodologie et la rédaction dun exercice de génétique : exercices dapplication
VENDREDI 21 JANVIER Cours
Bilan oral chapitre 2 et reprise des notions clef de génétique et exercices du lundi pour les élèves absents
PARTIE 5
PROCREATION
Introduction générale :
Mise en relation des mécanisme de méiose et fécondation avec des phénomènes physiologiques (reproduction sexuée) et comportementaux (sexualité) au cours de lévolution.
Chapitre 1 :
LA REGULATION DE LA FONCTION DE REPRODUCTION
CHEZ L HOMME
Introduction :
gonades : production des gamètes est différente chez lhomme et chez la femme : production continue chez lhomme et cyclique chez la femme. Comment expliquer cette différence ? Comment la production est-elle régulée, contrôlée?
I. LA REGULATION DE LA FONCTION REPRODUCTRICE CHEZ L HOMME :
Activité 1 : mobiliser ses connaissances sur lappareil génital masculin (doc polycopié)
LUNDI 24 JANVIER TP
A) Lactivité testiculaire
1. La production de spermatozoïdes : la fonction exocrine des testicules
Activité 2 : les testicules : lieu de production des spz : observation microscopique dune CT de testicule, réalisation dune image numérisée légendée, réalisation dune échelle via bioloptic (fiche méthode)
- La production de spermatozoïdes a lieu au niveau de la paroi des tubes séminifères : spermatogénèse (méiose et différenciation en spz) Les spermatozoïdes sont libérés dans la lumière du tube séminifère et acquièrent leur mobilité au fil de leur progression dans lépididyme.
- Rôle des cellules de Sertoli.
- La production de spermatozoïdes débute à la puberté et a lieu de manière continue jusquà la fin de la vie
2. La production dune hormone, la testostérone : la fonction endocrine des testicules
Activité 3 : les testicules : lieu de production dune hormone : raisonner à partir dexpérience (doc polycopié et docs du livre p296 et 297)
Mise en évidence du rôle de la testostérone par des expériences de castration et dinjection dextraits testiculaires et de testostérone.
Activité : application de connaissances : réaliser une démarche explicative dans le cas dun individu cryptorchide, observation microscopique (CT de testicule)
Pour vendredi : compléter le texte à trou
VENDREDI 28 JANVIER Cours
Correction texte à trou
Notion de paramètre réglé
Problème : Comment est régulée la testostéronémie ?
La régulation de la testostéronémie
1. Le contrôle de la sécrétion de testostérone : le rôle du complexe hypothalamo-hypophysaire
(axe gonadotrope)
Etude des documents p298 et 299 du livre
- Lhypophyse produit et sécrète continuellement des hormones, les gonadostimulines FSH et LH.
Analyse des expériences p300 du livre et 3 p301
- Lhypothalamus sécrète de manière pulsatile une neuro-hormone : la GnRH qui stimule la production des gonadostimulines hypophysaires.
2. Le contrôle de lactivité hypothalamo-hypophysaire
- Analyse des expériences P302
- La rétroaction négative de la testostérone sur laxe hypothalamo-hypophysaire.
La testostérone inhibe : - la sécrétion de GnRH au niveau des neurones de lhypothalamus
- la sécrétion de gonadostimuline hypophysaire LH.
On qualifie cette laction de la testostérone de rétroaction négative exercée sur les différents niveaux de laxe gonadotrope : cest ce feed-back négatif qui assure le maintien de lhoméostat de la testostéronémie.
- Analyse des expériences du doc 4 p303 et doc 5 p303
- Le contrôle de lhypothalamus par des facteurs externes et internes
La fréquence des pulses de GnRH est variable.
Les sécrétions de lhypothalamus peuvent être modulées par des messages de lenvironnement externe.(olfactif, visuel, luminosité
.)
Lactivité hypothalamique peut être contrôlée par des neurones du système nerveux central.
Lhypothalamus est donc un capteur et un centre intégrateur, modulé par des messages internes et externes.
LUNDI 31 JANVIER TP
C. Le taux des hormones sexuelles mâles, un système réglé
Notion du système de régulation
SCHEMA BILAN
LA REGULATION DE LA FONCTION REPRODUCTRICE CHEZ LA FEMME :
A) Lactivité cyclique de lappareil génital féminin
Activité :lappareil génital féminin :mobiliser ses acquis
Le cycle utérin
Activité : Le cycle utérin (observation microscopique, capture dimage, réa une photo légendée(comparaison phases proliférative et sécrétoire)
Régles /phase proliférative/phase sécrétoire
VENDREDI 04 FEVRIER Cours
DS Partie Stabilité et variabilité des génomes : résolution dun problème scientifique
LUNDI 07 FEVRIER TP
Le cycle ovarien
Activité : le cycle ovarien(observation microscopique, capture dimage, réa des photos légendées des follicules)
Les phases du cycle ovarien
VENDREDI 11 FEVRIER Cours
Le cycle des hormones ovariennes (oestradiol et progestérone)
Hormones ovariennes et cycle utérin
Graphique p314 à connaître
Les variations cycliques des taux dhormones ovariennes déterminent des modifications cycliques de lutérus et du mucus cervical par leur action sur les cellules cibles de lendomètre et du myomètre et du col de lutérus.
- Le début du cycle menstruel est marqué par les règles : cest une destruction partielle de l endomètre.
- Lors de la phase folliculaire, loestradiol stimule les mitoses des cellules de lendomètre : lendomètre se reconstitue, son épaisseur augmente jusquà 4mm à lovulation : phase proliférative de lutérus. Loestradiol stimule également les cellules du myomètre qui se contractent : ces contractions favorisent le transport des spermatozoïdes.
- Lors de lovulation, le pic doestradiol agit sur les cellules du col de l utérus. Le mucus cervical quelles sécrètent possède alors des mailles très larges. Il contrôle le passage des spermatozoïdes du vagin à lutérus au niveau du col: le passage des spermatozoïdes est ainsi facilité lors de la période ovulatoire.
Durant la phase folliculaire et la période ovulatoire, loestradiol prépare les voies génitales à une fécondation éventuelle.
- Lors de la phase lutéale, la progestérone stimule le développement de glandes et de nombreux vaisseaux sanguins dans lendomètre, doù un aspect en dentelle. Les glandes sécrètent un liquide nutritif utile à un éventuel embryon : phase sécrétoire de lutérus.
Parallèlement, la progestérone diminue les contractions du myomètre : lutérus est ainsi préparé à une éventuelle nidation dun embryon. La progestérone entraîne une diminution de la sécrétion du mucus cervical : les mailles deviennent serrées et sopposent au passage des spermatozoïdes.
- En fin de cycle et en labsence de fécondation, la régression du corps jaune induit une chute importante des taux sanguins hormonaux, ce qui entraîne les menstruations.
CONCLUSION : Ainsi, il existe une synchronisation entre le cycle ovarien et le cycle des voies génitales.
Au moment de lovulation, lappareil génital féminin est prêt à la fécondation et à la gestation.
Contrôle sur une observation microscopique
LUNDI 14 FEVRIER TP
la régulation de la fonction reproductrice.
a. Le contrôle de lactivité ovarienne par le complexe hypothalamo-hypopohysaire
Analyse du doc 1 p316 + lecture des docs p316
Le complexe hypothalamo - hypophysaire est le même que chez lhomme : cest une structure neuro-endocrine.
Les neurones hypothalamiques ont une activité électrique spontanée qui provoque une sécrétion pulsatile de GnRH dans le sang : cette neurohormone stimule la sécrétion de LH et FSH par lhypophyse.
Ces gonadostimulines contrôlent lactivité ovarienne : en phase folliculaire, FSH stimule la croissance et la maturation des follicules et leur sécrétion dstrogène, LH stimule également les sécrétions dstrogène. Lévènement majeur est la libération brutale de LH (pic de LH) 24heures avant lovulation qui déclenche lovulation (on parle de décharge ovulante de LH).
Lors de la phase lutéale, LH contrôle la mise en place du corps jaune et la sécrétion de progestérone par ses cellules lutéales.
Le fonctionnement de laxe gonadotrope chez la femme est plus complexe car il permet la régulation de paramètres dont les variations sont importantes et cycliques : les concentrations dhormones ovariennes.
b. Le rétrocontrôle ovarien sur le complexe hypothalamo-hypophysaire
Analyse des docs 1 et 2 p318 + lecture des docs p319
Le caractère cyclique de la sécrétion de gonadostimulines est lié à des rétroactions négatives et positives entre ovaires et complexe hypothalamo-hypophysaire : mise en jeu dun servomécanisme.
Les hormones ovariennes, en quantité faible, exercent une inhibition ou rétroaction négative sur le fonctionnement du complexe hypothalamo-hypophysaire. Loestradiol, au delà dun certain seuil de concentration, exerce un rétroaction positive.
Ainsi, en phases folliculaire et lutéale, les rétroactions négatives maintiennent une sécrétion relativement faible et constante de GnRH, LH et FSH.
Lorsque le follicule dominant sécrète une forte quantité dstrogène (36 h avant lovulation), la rétroaction devient positive et stimule lactivité endocrine du complexe hypothalamo-hypophysaire : elle provoque le pic de LH à lorigine de lovulation.
A la fin du cycle, les taux dhormones ovariennes chutent : par conséquent, les rétroactions négatives diminuent, entraînant une production accrue de FSH et donc un redémarrage du cycle avec croissance folliculaire.
VENDREDI 18 FEVRIER Cours
c. Linfluence de lenvironnement
Les neurones hypothalamiques (à GnRH) intègrent de nombreuses infos en provenance du reste de lencéphale, infos liées an partie aux stimuli externes.
La sécrétion de GnRH est donc modulée en fonction des infos reçues.
Lactivité reproductrice des mammifères est donc influencée par les facteurs de lenvironnement, de façon variable selon espèces.
Dans lespèce humaine : perturbations des cycles sexuels par de fortes émotions.
C. Le taux des hormones sexuelles femelles, un système réglé
Paramètre réglé : taux doestrogènes et progestérone
Fonction réglée : reproduction
Système réglant :
- capteurs : hypothalamus et hypophyse : détectent à chaque instant les variations de la concentration des hormones sexuelles, paramètre à régler, par rapport à leur valeur de référence.
- centre intégrateur : hypothalamus intègre des messages de lenvironnement interne ou externe qui peuvent moduler la sécrétion de GnRH et donc le fonctionnement du système de régulation.
-messagers : LH et FSH, secrétés par lhypophyse et agissant sur leffecteur.
-effecteurs : décodent les messages reçus, sopposent directement aux perturbations du système réglé en agissant directement sur le paramètre réglé : cellules folliculaires qui secrètent les oestrogènes, cellules lutéales qui sécrètent la progestérone et les oestrogènes.
SCHEMA BILAN
III. La rencontre des gamètes et le début de grossesse
Activité : sinformer à partir dun vidéo et etude des docs 3 p323
Rencontre des gamètes, fécondation, période de fécondité, nidation
Début de grossesse : lHCG et son action (maintien de lendomètre activé par la sécrétion de progestérone par le corps jaune
IV. Reproduction et aspect comportemental :
Chez les mammifères non hominidés
Dans lespèce humaine
LUNDI 21 FEVRIER TP :enseignant en formation EDD
DS chapitre 1 Procréation (sauf les III et IV) : restitution de connaissances et résolution dun pb scientifique (1doc)
VENDREDI 25 FEVRIER Cours
Exercice résolution de pb sur le début de grossesse + Révisions bac blanc
LUNDI 14 MARS TP
Chapitre 2 :
DU SEXE GENOTYPIQUE AU SEXE PHENOTYPIQUE
Introduction :
Déterminisme génétique du sexe
Déf sexe génotypiq et phénotypiq
Pb : Comment le sexe génétique explique-t-il le sexe phénotypique ?
I. 1ère étape : stade phénotypique indifférencié.
Etude des documents du livre p270 et 271 + doc 1 p272 (saisir des données)
Au début du développement embryonnaire, des gonades génétiquement déterminées (mâles ou femelles) sont mises en place, mais elles sont phénotypiquement indifférenciées. Présence des canaux de Wolff et de Müller.
II. 2ème étape : du sexe génétique au sexe gonadique :
la détermination primaire du sexe par les chromosomes
A. La détermination du sexe gonadique mâle
Activité : raisonner à partir de docs polycopiés et du livre : doc2 p272 et 5 p273
Rôle du gène SRY, de la protéine TDF sur les gènes architectes et différenciations des gonades en testicules
B. La détermination du sexe gonadique femelle
Sur le chromosome X, il ny a pas de gène SRY. En labsence de la protéine TDF, les gonades se différencient en ovaires : acquisition du sexe gonadique femelle.
III. 3ème étape : du sexe gonadique au sexe phénotypique différencié : la détermination secondaire et la différenciation des voies génitales.
Activité : raisonner à partir de docs polycopiés et du livre : docs p 274 et 275
Pour vendredi : compléter le texte à trous
VENDREDI 18 MARS Cours
A. La mise en place du sexe phénotypique mâle : la masculinisation des voies génitales
La mise en place du sexe phénotypique mâle se fait sous laction dhormones.
Rôles de la testostérone et de lhormone anti-mullérienne : mise en place des voies génitales mâles : Développement des canaux de Wolff et régression des canaux de Müller.
B. La mise ne place du sexe phénotypique femelle
Chez la femelle, labsence dhormones testiculaires est responsable de la persistance des canaux de Müller : ceux-ci se différencient en oviducte, utérus, canal cervical et vagin.
Les canaux de Wolff régressent : cest la féminisation de lappareil génital.
IV. La puberté
Etude des documents du livre p276 et 277 (mobiliser ses connaissances et saisir des données)
Lacquisition de la fonctionnalité des appareils sexuels mâle et femelle et des caractères sexuels secondaires (pilosité, seins, voix
) se fait sous le contrôle des hormones sexuelles : testostérone chez le mâle et oestrogènes chez la femelle. Les hormones ovariennes, non indispensables pour la mise en place de lappareil génital femelle sont nécessaires à lacquisition de sa fonctionnalité.
Chapitre 3 :
MAITRISE DE LA REPRODUCTION
Introduction :
PB :Comment les connaissances sur la procréation ont-elles permis de maîtriser la procréation et de répondre aux besoins des personnes ?
Quels procédés ? Quelles limites ?
I. La régulation des naissances : contraception et contragestion :
Déf contraception et contragestion
A-Méthodes raisonnées, avant un rapport sexuel
La contraception hormonale
Etude des docs 2 et 3 p338 et analyse des docs 4 et 6 p339
- Les pilules oestroprogestatives (normodosées ou minidosées) contenant des oestrogènes et de la progestérone de synthèse maintiennent les taux de LH et FSH à un taux très faible par rétrocontrôle négatif sur le complexe hypothalomo-hypophysaire. La croissance folliculaire nest plus stimulée, le taux dstrogène naturelle reste faible donc le pic de LH na plus lieu (pas de rétrocontrôle positif) : en conséquence il ny a pas dovulation.
Elles agissent aussi sur le mucus cervical en le rendant imperméable aux spermatozoïdes et sur lendomètre rendu impropre à la nidation.
Remarque : la muqueuse utérine subit une certaine croissance suite à laction des hormones contenues dans la pilule. Cest pourquoi les règles sont déclenchées par une chute du taux sanguin des hormones de synthèse consécutive à larrêt de la prise de pilule.
- les pilules microprogestatives empêchent lendomètre de se développer lors de la phase folliculaire et modifie la qualité du mucus cervical.
La contraception hormonale masculine est encore à létat de recherche.
LUNDI 21 MARS TP
Les autres méthodes
Autrefois, la méthode des températures, basée sur la connaissance du cycle, surtout utilisée aujourdhui pour augmenter les chances de conception.
Laspect de la glaire cervicale.
Le préservatif masculin, méthode la plus utilisée : il est efficace sil est bien utilisé; il présente surtout lavantage de protéger des IST en particulier du SIDA.
Le préservatif féminin
Le diaphragme ou cape cervical.
Le stérilet, objet en plastique muni dun fil de cuivre, est placé par le médecin dans lutérus pour plusieurs années; sa présence empêche la nidation.
Cest une méthode contragestive nempêche pas la fécondation.
B-Méthodes durgence, après un rapport sexuel
On définit la contraception d'urgence comme tout moyen utilisé pour prévenir une grossesse après un rapport sexuel en période de fécondité pouvant entraîner une grossesse.
1. La pilule du lendemain
Son but est d'éviter une éventuelle fécondation, voire d'empêcher l'implantation d'un embryon déjà formé.
La molécule utilisée est un progestatif de synthèse cest-à-dire un agoniste de la progestérone : sa fixation sur le récepteur permet de l'activer; il "mime" ainsi les effets de la progestérone. Elle doit être prise le plus tôt possible après le rapport (dans les 72 h maximum après le rapport). Cela produit un déséquilibre hormonal brutal ayant des effets contraceptifs.
Les mécanismes d'action présomptifs sont en cours d'exploration : les scientifiques sont encore loin d'avoir complètement élucidé le mode d'action de la contraception d'urgence. On peut cependant retenir les points suivants :
Administré avant l'ovulation, il a pour effet d'empêcher celle-ci. Une fois que l'ovulation a eu lieu, le lévonorgestrel semble avoir un effet essentiellement sur le mucus cervical et le liquide utérin : le transport des spermatozoïdes est bloqué, ce qui diminue fortement la probabilité de fécondation. Le lévonorgestrel permettrait aussi une régression du corps jaune doù des conséquences sur lendomètre : ceci empêcherait la nidation. Lefficacité est bonne mais pas totale. Compte tenu de certains effets secondaires, cette pilule ne doit être utilisée quexceptionnellement. Il est important de préciser que ces méthodes de contraception d'urgence sont sans effet sur une grossesse déjà engagée.
Malgré les moyens contraceptifs mis à disposition des couples, de nombreuses grossesses non désirées surviennent encore, ce qui conduit à un nombre important d'Interruptions Volontaires de Grossesse (IVG) en France :
AnnéeIVGNaissances1997205 000748 0002000220 000730 000
2. Le RU 486
Analyse des docs p341
La pilule RU 486 peut être proposée en début de grossesse avant la 5ème semaine. La pilule RU 486 est une molécule de structure analogue à la progestérone : RU-486 a des effets anti-progestatifs, c'est à dire antagonistes de la progestérone : sa fixation sur le récepteur ne l'active pas, mais empêche la progestérone endogène de s'y lier : elle entre en compétition avec la progestérone pour se fixer au récepteur situés sur les cellules utérines : RU486 inhibe donc les effets de la progestérone. La progestérone ne pouvant plus agir sur la muqueuse utérine, celle-ci se détruit (phénomène comparable aux règles), provoquant linterruption de la grossesse.
les IVG "médicamenteuses", par RU-486, ne concerne que 18,88 % des IVG pratiquées en France
II. Laide médicalisée à la procréation
a-Le suivi de la grossesse : Doc. p.300-301
Un suivi médical de la femme et du ftus est indispensable tout au long de la grossesse.
Ce suivi médical comporte des examens permettant le dépistage déventuelles anomalies. Si cela est nécessaire des examens complémentaires permettent détablir un diagnostic prénatal.
Les méthodes de dépistages : ce sont les 3 examens échographiques : méthodes dimagerie médicale utilisant les ultrasons, sans danger, permettant de suivre le développement du ftus et de déceler certaines anomalies. Des analyses du sang maternel permettent de préciser le risque danomalie chromosomique.
VENDREDI 25 MARS Cours
Le diagnostic prénatal : il est proposé si le risque le justifie (âge maternel, antécédents, analyses sanguines).
Lamniocentèse est le prélèvement de liquide amniotique contenant des cellules ftales. A partir de ces cellules, on peut établir le caryotype du ftus pour détecter une anomalie chromosomique (trisomie 21) ou une maladie génétique.
La cordocentèse est une ponction du sang ftal dans le cordon ombilical.
La choriocentèse est le prélèvement des villosités du placenta.
Ces méthodes présentent un risque : elles peuvent entraîner une interruption de la grossesse.
b- Infertilité et techniques de procréation médicalement assistée (P.M.A.)
Les techniques de PMA sont proposées aux couples infertiles (doc.1p.296) désireux davoir un enfant.
On parle dinfertilité quand il ny a pas de grossesse au bout de 2 ans sans contraception.
Linsémination artificielle :
La fécondation in vitro et transfert dembryon (FIVETE) :sinf à partir dune vidéo
La technique dICSI, injection intracytoplasmique de spermatozoïde
c-Les problèmes éthiques liés à la PMA : p. 304-305
Certains cas de FIVETE posent des problèmes moraux : transplantation dembryons sur mères porteuses, grossesse des femmes ménopausées, choix du sexe de lembryon. Se pose également le problème des embryons surnuméraires non réclamés.
La PMA doit-elle être seulement liée à la procréation ou aussi à des objectifs de recherche pure en lien avec le progrès médical ? La bioéthique sattache à définir les règles à caractère moral qui doivent être appliquées dans la société. Des lois sont nécessaires pour faire respecter ces règles.
PARTIE 4
IMMUNOLOGIE
Introduction générale :
Notion de pathogénicité
Déf Système immunitaire
Rappels de 3ème : voir fiche révisions à faire pour vendredi prochain
LUNDI 25 MARS BAC BLANC