Exercices sur la fiche stratégie de lecture n°1bis
6 - Je voudrais un camembert et un chèvre (métonymie). 7 - Je vois un port
rempli de voiles et de .... Interrogation écrite (corrigé). Durée : 30 minutes. Dans
les ...
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s miracles
(hyperbole)
13 - Lombre croît, le jour meurt, tout sefface et tout fuit. (antithèse)
14 - Les vieux ne meurent pas, ils sendorment un jour et ne se réveillent pas. (euphémisme)
15 - Ce nétait pas un sot, non et croyez-men/Que le chien de Jean de Nivelle
(litote)
16 - Nous troublons la vie par le soin de la mort, et la mort par le soin de la vie. (chiasme)
17 - La mère de lamour eut la mer pour berceau. (allitération, paronomase)
18 - Et lon voit de la flamme aux yeux des jeunes gens/Mais dans lil du vieillard on voit la lumière. (chiasme / métaphore/ antithèse)
19 - Le siècle des lumières fut celui de la Révolution française. (périphrase)
20 - Les arbres sur ma route fuyaient. (métaphore)
22 - Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? (antithèse)
23 - Etait-ce au contraire, un bébé géant comme sa silhouette le suggérait ? (oxymore / hyperbole)
24 - Ton bras est invaincu mais non pas invincible. (paronomase / synecdoque)
25 - Vous clouez de vos mains mal sûres/Les hiboux au seuil des masures/Et Christ sur la porte des cieux. (paronomase / zeugme)
26 - Boue si méprisée, je taime. Je taime à raison du mépris où lon te tient. (chiasme / répétition)
27 - La neige incertaine/Luit comme du sable. (comparaison / antithèse)
28 - Tes mains ces lys. (métaphore)
29 - Et on va la boire la canette sans mousse ! (métonymie)
30 - Pour un cur qui sennuie/ô le chant de la pluie. (personnification / synecdoque)
31 - Sois sage, ô ma douleur, et tiens toi tranquille. (personnification)
32 - Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. (métaphore)
33 - Qui connaît son sourire a connu le parfait. (hyperbole)
34 - Le poète est semblable au prince des nuées. (comparaison / périphrase / personnification)
35 - Immoler Troie aux Grecs, au fils dHector la Grèce. (chiasme)
36 - Nen attendez jamais quune paix sanguinaire. (oxymore)
37 - La haine est un ivrogne au fond dune taverne,/Qui sent toujours la soif naître de la liqueur. (allégorie)
38 - Mon cur, tout joyeux, voltigeait comme un oiseau. (comparaison)
39 - Marche à jeun, marcher vaincu, marcher malade. (asyndète, anaphore)
40 - Adieu, veau, vache, cochon, couvée
( gradation)
41 - Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ/Elle allait à grands pas, moissonnant et fauchant/Noir squelette, laissant passer le crépuscule. (allégorie)
45 - Quand je suis tout de feu, doù me vient cette glace ? (oxymore / antithèse)
46 Vêtu de probité candide et de lin blanc. (zeugme)
47 - La neige fait au Nord ce quau Sud fait le sable. (chiasme)
48 - Quand on maura jeté, vieux flacon désolé,/Décrépit, poudreux, sale, abject, visqueux, fêlé. (gradation / métaphore)
49 - Un Van Gogh a été découvert dans le grenier dune vieille dame de Die. (métonymie)
50 - [
] de grandes vaches se déplaçaient avec lenteur dans un silencieux tintement de clochettes. (oxymore)
51 - Femme boniche, femme potiche. (paronomase / anaphore)
52 - Il se balance dans un rocking-chair à bascule. (redondance / pléonasme)
53 - Les hommes desprit se hâtent lentement. (oxymore)
54 - Quand la mort met un comble aux maux que jai soufferts /Le beau soulagement dêtre mangé des vers ! (allégorie)
55 - Jignore le destin dune tête si chère. (synecdoque)
56 - Le Vatican a réaffirmé son opposition au mariage des prêtres. (métonymie)
57 - Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons blancs,/Pleuvaient [
] (gradation)
58 - Jeune homme on te maudit, on tadore vieillard. (chiasme)
Exercice de soutien
Dans les extraits suivants, soulignez les différentes figures de style et nommez-les.
Jétais froid comme le marbre (comparaison)
Avec ses vêtements ondoyants et nacrés, même quand elle marche, on croirait quelle danse (comparaison)
Votre âme est un paysage choisi
(métaphore)
Lautomne souriait
(personnification)
France, mère des arts, des armes et des lois/Tu mas nourri longtemps de ta mamelle
(allégorie)
Je voudrais un camenbert et un chèvre (métonymie)
Je vois un port rempli de voiles et de mâts
(synecdoque)
Le Roi Soleil (périphrase)
Lantichambre nétait à la vérité incrustée que de rubis et démeraude ; mais lordre dans lequel tout était arrangé réparait bien cette extrème simplicité. (Antiphrase)
Le Moyen-Age, énorme et délicat. (antithèse)
Lair navait que des caresses glaciales. (oxymore)
Il ladmire à tous coups, le cite à tout propos/Ses moindres actions lui semblent des miracles
(hyperbole)
Lombre croît, le jour meurt, tout sefface et tout fuit. (gradation)
Les vieux ne meurent pas, ils sendorment un jour et ne se réveillent pas. (euphémisme)
Ce nétait pas un sot, non et croyez-men/Que le chien de Jean de Nivelle
(litote)
Nous troublons la vie par le soin de la mort, et la mort par le soin de la vie. (chiasme)
La mère de lamour eut la mer pour berceau. (paronomase)
Et lont voit de la flamme aux yeux des jeunes gens/Mais dans lil du vieillard on voit la lumière. (chiasme)
Le siècle des lumières fut celui de la Révolution française. (périphrase)
Les arbres sur ma route fuyaient. (personnification)
Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? (antithèse)
Etait-ce au contraire, un bébé géant comme sa silhouette le suggérait ? (oxymore)
Ton bras est invaincu mais non pas invincible. (antithèse)
Vous clouez de vos mains mal sûres/Les hiboux au seuil des masûres/Et Christ sur la porte des cieux. (Zeugma)
Boue si méprisée, je taime. Je taime à raison du mépris où lon te tient. (Chiasme)
La neige incertaine/Luit comme du sable. (comparaison)
Tes mains ces lys. (Métaphore)
Et on va la boie la canette sans mousse ! (métonymie)
Pour un cur qui sennuie/ô le chant de la pluie. (synecdoque)
Sois sage, ô ma douleur, et tiens toi tranquille. (personnification)
Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. (métaphore)
Qui connaît son sourire a connu le parfait. (hyperbole)
Le poète est semblable au prince des nuées. (comparaison)
Immoler Troie aux Grecs, au fils dHector la Grèce. (Chiasme)
Nen attendez jamais quune paix sanguinaire. (oxymore)
La haine est un ivrogne au fond dune taverne,/Qui sent toujours la soif naître de la liqueur.(personnification)
Mon cur, tout joyeux, voltigeait comme un oiseau. (comparaison)
Marche à jeun, marcher vaincu, marcher malade. (anaphore)
Adieu, veau, vache, cochon, couvée
(accumulation)
Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ/Elle allait à grands pas, moissonnant et fauchant/Noir squelette, laissant passer le crépuscule. (allégorie)
Quand je suis tout de feu, doù me vient cette glace ? (antithèse)
Vêtu de probité candide et de lin blanc. (zeugma)
La neige fait au Nord ce quau Sud fait le sable. (chiasme)
Quand on maura jeté, vieux flacon désolé,/Décrépit, poudeux, sale, abject, visqueux, fêlé. (Gradation)
Un Van Gogh a été découvert dans le grenier dune vieille dame de Die. (métonymie)
[
] de grandes vaches se déplaçaient avec lenteur dans un silencieux tintement de clochettes. (oxymore)
Femme boniche, femme potiche. (paronomase)
Il se balance dans un rocking-chair à bascule. (pléonasme)
Les hommes desprit se hâtent lentement. (oxymore)
Quand la mort met un comble aux maux que jai souffert/Le beau soulagement dêtre mangé des vers ! (antiphrase)
Jignore le destin dune tête si chère. (synecdoque)
Le Vatican a réaffirmé son opposition au mariage des prêtres. (métonymie)
Boulets, mitraille, obus, mêmés aux flocons blancs,/Pleuvaient [
] (métaphore)
Jeune homme on te maudit, on tadore vieillard. (chiasme)
Interrogation écrite
Dans les extraits suivants, soulignez les différentes figures de style et nommez-les.
[
] et ces feuilles tombant toujours semblaient des larmes, de grandes larmes versées par les grands arbres tristes qui pleuraient jour et nuit sur la fin de lannée
Les éclairs sont moins prompts ; je lai vu de mes yeux,
Je lai vu qui frappait ce monstre audacieux.
[
] avant de se laisser décapiter la tête entre le menton et le cou.
Une heure après le coucher du soleil, la lune se montra au-dessus des arbres [
] Une brise embaumée que cette reine des nuits amenait de lOrient avec elle
Lastre solitaire monta peu à peu dans le ciel.
[
] troubler ainsi le service divin. Mais le service du vin, faisons quil ne soit pas troublé.
La nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles.
Je ne suis pas mécontent de mon travail.
Et des fleuves français les eaux ensanglantées
Ne portaient que des morts aux mers épouvantées.
Un souffle, une ombre, un rien, tout lui donnait la fièvre
Les malvoyants (les aveugles).
Sa barbe était dargent comme un ruisseau davril.
Tel qui rit vendredi, dimanche pleurera.
Une mère sadressant à son enfant rentrant du jardin : Te voilà ! mon petit monstre .
[
] Il y aura des fleurs tant que vous en voudrez,
Il y aura des fleurs couleur de lavenir,
Il y aura des fleurs lorsque vous reviendrez.
Valse mélancolique et langoureux vertige
Cet article ne paraît pas inintéressant
Cest un roc !
cest un pic !
cest un cap !
Que dis-je, cest un cap ?
cest une péninsule !
Tandis quune folie épouvantable broie
Et fait de cent milliers dhommes un tas fumant
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits
Les hommes, avec des lois sages, ont toujours eu des coutumes insensées.
Lheure tranquille où les lions vont boire.
Lair était plein dences et les prés de verdure.
La rêverie
une jeune femme merveilleuse, imprévisible, tendre, énigmatique, provocante, à qui je ne demande jamais compte de ses fugues.
Interrogation écrite (corrigé)
Durée : 30 minutes
Dans les extraits suivants, soulignez les différentes figures de style et nommez-les.
[
] et ces feuilles tombant toujours semblaient des larmes, de grandes larmes versées par les grands arbres tristes qui pleuraient jour et nuit sur la fin de lannée
{personnification}
Les éclairs sont moins prompts ; je lai vu de mes yeux,
Je lai vu qui frappait ce monstre audacieux. {pléonasme}
[
] avant de se laisser décapiter la tête entre le menton et le cou. {pléonasme}
Une heure après le coucher du soleil, la lune se montra au-dessus des arbres [
] Une brise embaumée que cette reine des nuits {périphrase} amenait de lOrient avec elle
Lastre solitaire {périphrase} monta peu à peu dans le ciel.
[
] troubler ainsi le service divin. Mais le service du vin, faisons quil ne soit pas troublé. {paronomase}
La nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles. {métaphore}
Je ne suis pas mécontent de mon travail. {litote}
Et des fleuves français les eaux ensanglantées
Ne portaient que des morts aux mers épouvantées. {hyperbole}
Un souffle, une ombre, un rien, tout lui donnait la fièvre
{gradation descendante}
Les malvoyants (les aveugles). {euphémisme}
Sa barbe était dargent comme un ruisseau davril. {comparaison}
Tel qui rit vendredi, dimanche pleurera. {chiasme}
Une mère sadressant à son enfant rentrant du jardin : Te voilà ! mon petit monstre . {antiphrase}
[
] Il y aura des fleurs tant que vous en voudrez,
Il y aura des fleurs couleur de lavenir,
Il y aura des fleurs lorsque vous reviendrez. {anaphore}
Valse mélancolique et langoureux vertige {chiasme}
Cet article ne paraît pas inintéressant {litote}
Cest un roc !
cest un pic !
cest un cap !
Que dis-je, cest un cap ?
cest une péninsule ! {gradation}
Tandis quune folie épouvantable broie
Et fait de cent milliers dhommes un tas fumant
{hyperbole}
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits {oxymore}
Les hommes, avec des lois sages, ont toujours eu des coutumes insensées. {antithèse}
Lheure tranquille où les lions vont boire. {périphrase}
Lair était plein dences et les prés de verdure. {zeugma}
La rêverie
une jeune femme merveilleuse, imprévisible, tendre, énigmatique, provocante, à qui je ne demande jamais compte de ses fugues. {allégorie}