Regards sur le handicap
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Regards sur le handicap : lapprentissage de la différence
Ou lapprentissage de la construction explicite dun point de vue
Motivation du projet (pourquoi engager les élèves dans ce projet précis ? ) :
Cest souvent en percevant sa différence dans le regard de lautre que naît la souffrance de la personne en situation de handicap. Une politique dintégration devrait permettre à la personne en situation de handicap de jouir, au même titre que tout être humain, de droits essentiels : léducation, linformation, la culture, les activités sportives etc. Et cest pourtant lors de son immersion en milieu de vie ordinaire, lécole en particulier, que lhandicapé multiplie le risque de croiser des regards stigmatisants et de se retrouver emprisonné dans une catégorie sociale marginalisée.
Changer notre regard passe par une prise de conscience de celui-ci, à la fois témoin et instrument de nos peurs intérieures. Parce que les enfants sont les adultes de demain, il nous semble important dores et déjà de les sensibiliser aux différences pour quils aient les outils pour créer un monde bienveillant. Interpeller les élèves sur ces discriminations, les sensibiliser ne suffit pas. Les engager dans une démarche de création audiovisuelle permettra de les mobiliser, et dêtre un moyen de changer leur propre regard sur lautre, mais aussi celui du spectateur, grâce à la connaissance de lautre.
Qui mieux que lauteur, réalisateur, peuvent sexprimer sur limportance du regard et du point de vue ? Doù lidée de travailler dans un cadre pluridisciplinaire sur le point de vue de lauteur, tant en littérature quen arts visuels. Le repérer, apprendre à déchiffrer les codes utilisés, lire les mots, lire les images : qui parle ? à qui ? pour dire quoi ? comment ? Ecrire pour dire, pour montrer, pour que lautre comprenne
Lenseignant en collaboration avec lassociation, « Les Productions de lAnge » et le réalisateur Michel Akrich, proposera de fédérer durant l année scolaire les élèves autour dun projet vidéo commun dexploration du handicap. Ce projet vidéo leur permettra de développer leur point de vue, leur regard, leur réflexion et leur expression. Cette initiation des élèves au monde de limage se concrétisera par la création dun film vidéo. Par leur investissement dans ce projet, les élèves apporteront leur propre réponse à leur questionnement, grâce à la découverte, lexploration, la compréhension et la production dimages. Cet atelier vidéo sera propice à une meilleure appréhension du monde du handicap et favorisera « le pouvoir dagir » des élèves.
« Limage comme projet, cest un champ que lon peut étudier, certes, mais que lon nétudie jamais aussi bien quen le faisant, quen simpliquant dans sa construction, quen mettant la main à la pâte. » P. Meirieu.
Association intervenante : Les Productions de lAnge (Michel Akrich)
Autre partenariat :
Unité Mobile de Liaison du CDDP (Christophe Bedou)
Quels sont les objectifs de ce projet ? (que vont faire les élèves ?)Réaliser à terme, une série de petits courts métrages racontant une même histoire mais adoptant chacun un point de vue différent selon les partis pris du groupe réalisateur. Lhistoire racontée mettra en scène une situation simple de la vie courante qui prend une dimension autre dès quelle est vécue par une personne en situation de handicap.Quels sont les points du programme de lécole abordés dans ce projet (que vont apprendre les élèves ?)Cf. Annexe : tableau des compétences du socle commun visées par chaque étape du projet de réalisation de vidéos.
Quel va être le travail préparatoire des élèves avant lintervention de lassociation ?Lassociation interviendrait en fin de chaque période de 6-7 semaines (avant les vacances scolaires), ce qui permet à lenseignante un travail préparatoire qui peut toucher différents domaines de compétences. Le projet sinscrit dans un projet de classe plus vaste visant à travailler la notion de point de vue. Ce projet de classe se décline dans différentes actions :
Dispositif Ecole et cinéma avec en particulier « Tomboy » et « Regards libres »
Liaison CM2/6ème : prix de jeunes lecteurs impliquant ma classe, une classe de 6ème à Léognan et une classe de 6ème à Gémozac (Charente-maritime), échanges autour de 4 livres choisis par les enseignantes, Jeu de piste à Volubilis de Max Ducos, Les contes des six trésors dE. et B. de St Chamas, Le fantôme de Sarah Fisher dAgnès Laroche et Inspecteur Toutou de Gripari.
Projet danse autour de la dernière création de Pedro Pauwels « Sors »
Ecriture, mise en page et édition dun documentaire papier avec les éditions Milathéa : rencontre du point de vue du documentariste vidéo et du point de vue de lauteur de documentaire papier.
Période 1
Atelier-débat pour inciter les élèves à sexprimer sur leur perception, leur expérience ou leur opinion sur le handicap. Ce débat fera lobjet dune synthèse du fruit de leurs réflexions et pourra se prolonger et senrichir après les étapes suivantes.
Atelier décriture dans le cadre de la Semaine de la citoyenneté : Quest-ce être citoyen ?
Etude de la langue : recherches et exercices sur des compétences spécifiques en compréhension (qui se poursuivront tout au long de lannée) en lien étroit avec lécriture cinématographique :
Repérer les « sauts dans le temps » dans un récit (lellipse).
Comprendre les sentiments et les intentions des personnages (cadrage, jeu de lacteur).
La chronologie du récit (le montage).
Comprendre ce qui est caché dans le texte, limplicite (choix de plans, écriture scénaristiques).
Période 2
Fête du livre : rencontre avec Max Ducos, auteur-illustrateur de « Jeu de piste à Volubilis », représentation théâtrale (adaptation de Jean-Luc Terrade du second album de Max Ducos « Lange disparu ») et première prise de contact avec les éditions Milathéa spécialisées dans le documentaire pour enfant.
Ecole et cinéma : projection et travail autour du 1er film Les vacances de M Hulot de J. Tati
Littérature/Histoire des arts : mise en place du cahier culturel mémoire de nos rencontres avec des livres (prix de jeunes lecteurs organisé dans le cadre dune liaison CM2/6ème), duvres dart, de musiques. Le travail sur le point de vue et les intentions des auteurs, artistes, compositeurs sera comme un fil rouge. De plus les élèves sont amenés à écrire leur avis argumenté sur chaque uvre abordée.
Musique : spectacle « Esprits frappeurs » des JMF + enregistrement des élèves lisant Jeu de piste à Volubilis et de bruitages créés avec la bouche, le corps ou des objets. Le montage sera réalisé avec les élèves à laide daudacity.
Atelier 1 du projet sur le handicap.
Période 3
Ecole et cinéma : projection et travail autour du 2ème film Tomboy de C. Sciamma
E.P.S. (parcours culturel) : atelier de pratique avec Pedro Pauwels (danseur en situation de handicap ce que jignorais lorsque jai accepté le projet) autour de son spectacle « Sors », reprise de « La danse de la sorcière » de Mary Wigman revisitée par 4 chorégraphes dunivers différents.
Cahier culturel : les uvres dart et les musiques étudiées seront en lien avec le projet et/ou les livres et les films.
Littérature : lecture de « Sous la peau dun homme » de Praline Gay-Para (en lien avec Tomboy)
Liaison CM2/6ème : rencontre avec la classe de 6ème de Léognan autour des deux premiers livres étudiés et échange épistolaire avec la classe de Gémozac, confrontation des points de vue.
Ecriture (amorce) des synopsis et des scénarii.
Ateliers 2 et 3 du projet sur le handicap.
Période 4
Ecole et cinéma : projection et travail autour du 3ème film Regards libres (à confirmer) HYPERLINK "http://www.enfantsdecinema.com/2011/films/regards.html" http://www.enfantsdecinema.com/2011/films/regards.html
EPS (parcours culturel) : représentation de « Sors » de Pedro Pauwels au Théâtre des 4 saisons à Gradignan le 19 mars et rencontre des 8 classes participant au projet pour partager nos créations le 3 avril.
Cahier culturel : les uvres dart et les musiques étudiées seront en lien avec le projet et/ou les livres et les films.
Littérature : travail à partir de quelques histoires extraites de « Exercices de style » de R. Queneau
Liaison CM2/6ème : rencontre avec la classe de 6ème de Léognan autour des deux autres livres étudiés et échange mail avec la classe de Gémozac, confrontation des points de vue
Ecriture des scénarii du projet sur le handicap.
Ateliers avec les éditions Milathéa pour la préparation à lécriture du documentaire papier.
Classe découverte au Graoux à Belin Beliet : - écriture dun documentaire sur les thèmes abordés, la forêt et la biodiversité dun milieu, le marécage.
Travail de jeu dacteur en lien avec le projet sur le handicap.
Atelier 4 du projet sur le handicap
Période 5
Cahier culturel : les uvres dart et les musiques étudiées seront en lien avec le projet et/ou les livres et les films.
Littérature : finalisation du travail liaison Cm2/6ème avec vote pour le livre préféré des 3 classes impliquées, après lecture théâtralisée dextraits présentée par lassociation Nougatine et présentation sous forme de flyers par les élèves.
Ecriture des plans de tournage des courts-métrages de chaque groupe.
Tournage et montageLintervention de(s) lassociation (s)Les contenus des activités proposées aux élèves sont les suivants mais évoluent suivant les contraintes et le travail effectué à latelier précédent :
Les interventions de lassociation se dérouleront sous forme dateliers tout au long de lannée. 4 ateliers dune 1/2 journée permettront aux enfants daborder dun point de vue technique, la lecture de limage fixe dans un premier temps :
Ateliers 1 et 2 : voir le détail des interventions en pièce jointe
atelier 3 : Focalisation, mouvements de caméra et échelles des plans. Le travail se déroule de la même manière quà latelier 1 mais à partir, en plus des photos, dimages animées.
atelier 4 : Création dun roman-photo : il sagit de réinvestir les notions acquises lors des deux ateliers précédents mais également de pointer ce qui pourrait rendre sa lecture plus facile, plus attrayante.
Travail du son, musique mais aussi bruitages, dialogues, ambiance
Tout ce qui pourrait ajouter un plus à notre roman-photo et qui nécessite le passage à une version numérique (diaporama).
Les ateliers suivants, 5 et 6 seront consacrés à la réalisation (1 journée) et au montage (1 journée) des films de chaque groupe.
Lassociation interviendrait donc sur 8 demi-journées à raison dune par période à proximité des vacances pour les 4 premiers et de 2 journées groupées au mois de mai pour les réalisations finales.
Chaque atelier serait suivi dun moment déchange qui fera lobjet dune synthèse écrite dans le journal de bord sur le blog de la classe.
Lenseignant participet-il à lintervention de lassociation ? (Prend-il des groupes délèves en charge ? Prend-il des élèves en charge sur un autre travail pendant le temps dintervention de lassociation ?).
Pour les 4 premiers ateliers : le travail est réalisé avec le groupe classe complet réparti en petits groupes (duos ou trios selon le matériel disponible). Lintervention est menée par lenseignant et lassociation, lanimateur de lUML intervient dun point de vue technique et pour faire le film du projet.
Pour les 2 journées : la réalisation et le montage sont effectués par groupe (4 à 5 élèves). 2 groupes sont en tournage avec lassociation et lUML selon le plan de tournage établi par les élèves avec lenseignante pendant que celle-ci prend en charge le reste de la classe. Le montage seffectue dans la classe par groupe sur le TBI pendant que le reste de la classe fait autre chose en autonomie.Quel va être le travail abordé en classe par les élèves après lintervention de lassociation ?Chaque intervention de lassociation sera suivie dun temps de parole durant lequel chacun pourra faire le point sur ce quil aura appris, les questions quil se pose. Ce moment devrait aboutir à un travail de propositions et délaboration collective qui feront lobjet dune trace écrite, sorte de journal de bord collectif du projet. Ce journal de bord sera édité sur un blog (blog de classe et/ou espace sur le site du CDDP33) accompagné de photos et de vidéos constituants le making off du projet.Comment lenseignant va-t-il évaluer le travail accompli par les élèves dans ce projet ?Sous forme dune fiche bilan individuelle mettant en évidence les apports du projet et de quelle manière il aura permis de faire évoluer le point de vue de chacun.
En ouvrant les commentaires sur le blog de la classe (dans lequel le journal de bord du projet sera écrit) de façon à permettre aux parents de donner leur avis sur les productions.
De manière informelle, en observant limplication de chaque enfant dans le projet.Avez-vous envisagé de valoriser le travail des élèves au sein de lécole ? Si oui, sous quelle forme ? Fabrication dun DVD qui sera présenté et diffusé aux autres élèves et aux parents lors dune soirée à lEspace culturel Georges Brassens et au bilan décole et cinéma au Jean Eustache de Pessac. Chaque élève aura son propre DVD.
Mise en ligne sur le site de lécole des vidéos réalisées (sous réserve de contraintes techniques).
ANNEXE 1
Création dun film et socle commun
(document élaboré pour Ecole et cinéma il y a quelques années)
Références utilisées : BD Nord n°98 Le cinéma d'animationMarie-Anne Rabouille, Jean-Pierre Giachetti, Gérard Houzé, Jean-Maurice Pierre, Christine Van Belleghem
HYPERLINK "http://www.ac-lille.fr/ia59/bulletin_departemental/pdf/98_dossier.pdf" http://www.ac-lille.fr/ia59/bulletin_departemental/pdf/98_dossier.pdf
"Dans l'idée de l'image comme projet, on ne propose pas aux élèves d'apprendre la grammaire de l'image d'une manière abstraite pour savoir ce qu'est un plan américain ou une contre-plongée. On les met dans une situation de création qui les conduit, à travers le projet à réaliser, à découvrir le sens de ce qu'ils font et donc à construire et à déconstruire les images, puisqu'ils en sont les acteurs. L'image comme projet, c'est un champ que l'on peut étudier, certes, mais que l'on n'étudie jamais aussi bien qu'en le faisant, qu'en s'impliquant dans sa construction, qu'en mettant la main à la pâte. Les pratiques ici sont nombreuses, multiples..."
Philippe Meirieu,L'Évolution du statut de l'imagedans les pratiques pédagogiques, Deuxièmes Rencontres Nationales cdi-doc.fr octobre 2003
Création dun film : les étapesCompétences du socle viséesActivités mises en oeuvreDémarche et cheminement
Déterminer la place des moments de réception et des temps de production, pour aiguiser le regard des élèves, pour leur permettre d'accéder à une première culture cinématographique.
En histoire des arts lélève doit connaître :
- des oeuvres d art appartenant aux différents domaines artistiques.
- des grands repères historiques
- des formes d expression, des techniques, un premier vocabulaire spécifique.Création d un cahier culturel
! Pour ce faire, l enseignant peut s inscrire dans le dispositif école et cinéma ! créer des réseaux
! Pour ce faire, l enseignant doit associer des Suvres à des repères signifiants à l intérieur du domaine ou à l extérieur
! Pour ce faire, l enseignant doit proposer des techniques danalyse, dexpression et de débats : émotions, justification, glossairePour enregistrer les images...
un appareil de prise de vue (une caméra DV, une webcam, un appareil photo numérique, un caméscope)
un support pour la caméra
un ordinateur avec une bonne capacité de disque dur
un logiciel de montage vidéo
des éclairages halogènes
Faire très attention aux problèmes liés à l'utilisation sans autorisation de limage (législation sur le droit de diffusion de limage).
Compétence 4 « La maîtrise des technologies usuelles de linformation et de la communication »
S'APPROPRIER UN ENVIRONNEMENT INFORMATIQUE DE TRAVAIL Connaître et maîtriser les fonctions de base dun ordinateur et de ses périphériques : fonction des différents éléments, utilisation de la souris.
CRÉER, PRODUIRE, TRAITER, EXPLOITER DES DONNÉES
Produire un document numérique : texte, image, son.
Utiliser loutil informatique pour présenter un travail.
Compétence 6 « Les compétences sociales et civiques »
CONNAÎTRE LES PRINCIPES ET FONDEMENTS DE LA VIE CIVIQUE ET SOCIALE
Comprendre les notions de droits et de devoirs, les accepter et les mettre en application.
AVOIR UN COMPORTEMENT RESPONSABLE
Respecter tous les autres! Pour ce faire, l enseignant propose des situations simples et courtes qui permettent dexplorer les différentes fonctionnalités des outils utilisés.Pour enregistrer la bande-son...
un mini-disc ou un ordinateur
un ou des micros
un ordinateur pour stocker les sons
un logiciel de traitement du son un logiciel pour extraire des pistes audio d'un CD
Faire très attention aux problèmes liés à l'utilisation sans autorisation de morceaux de musique (législation sur le droit d'auteur).
Faire émerger un projet...
Pour favoriser l'engagement des élèves, il convient d'imaginer (ou mieux de laisser imaginer aux élèves) un ancrage, notamment un lien avec dautres activités plus « scolaires » : étude de texte littéraire, évènement historique, film du patrimoine, musique ou toute uvre dart
Compétence 5 « La culture humaniste »
PRATIQUER LES ARTS ET AVOIR DES REPÈRES EN HISTOIRE DES ARTS
Inventer et réaliser des textes, des uvres plastiques, des chorégraphies ou des enchaînements, à visée artistique ou expressive.
Compétence 7 « Lautonomie et linitiative »
FAIRE PREUVE D INITIATIVE
S impliquer dans un projet individuel ou collectif.! Pour ce faire, l enseignant peut utiliser le cahier culturel, élaboré au cours de l année, qui répertorie les Suvres étudiées tant en littérature qu en arts visuels ou en musique et qui les met en lien avec des évènements historiques.Ecrire une histoire, un scénario...
Compromis indispensable sur les personnages, leurs caractéristiques, ce qui leur arrive... pour écrire lhistoire
Certains effets littéraires tels lellipse ou le flash-back peuvent se traduire par limage.
Le fil dun récit en images correspond aux mêmes exigences que le schéma narratif dun récit sachant quon utilise moins dimages que de mots pour décrire, pour faire un portrait, décrire une action.
Rédaction du story-board ou scénarimage pour le choix des plans, les cadrages, les points de vue
Compétence 1 « La maîtrise de la langue française »
DIRE
S'exprimer à l'oral comme à l'écrit dans un vocabulaire approprié et précis.
Prendre part à un dialogue : prendre la parole devant les autres, écouter autrui, formuler et justifier un point de vue.
ÉCRIRE
Rédiger un texte d'une quinzaine de lignes (récit, description, dialogue, texte poétique, compte rendu) en utilisant ses connaissances en vocabulaire et en grammaire.
Compétence 5 « La culture humaniste »
PRATIQUER LES ARTS ET AVOIR DES REPÈRES EN HISTOIRE DES ARTS
Pratiquer le dessin et diverses formes d expressions visuelles et plastiques.
! Pour ce faire, l enseignant peut utiliser un TBI et un visualiseur pour présenter les différentes propositions des élèves et arriver à des compromis.
! Pour ce faire, l enseignant peut établir des liens entre la culture littéraire et la maîtrise de la langue attendues et la culture « télévisuelle » des élèves. Comprendre les images permet souvent de mieux comprendre un texte dun niveau de langue trop soutenu. Lenseignant peut faire le choix dutiliser des adaptations filmées duvres littéraires quil met en lien avec les textes dauteur plutôt que des versions simplifiées de textes du patrimoine.
! Pour ce faire, l enseignant peut faire écrire un story-board.Fabriquer les images...
Organiser des groupes de travail, pour répondre aux contraintes matérielles. Les élèves travaillent en autonomie, en réinvestissant les savoirs et savoir-faire découverts au cours de phases d'expérimentation préalables.
Les groupes se succèdent selon un plan de tournage établi à lavance.
Compétence 1 « La maîtrise de la langue française »
DIRE
Dire de mémoire, de façon expressive une dizaine de poèmes et de textes en prose.
ÉTUDE DE LA LANGUE : VOCABULAIRE
Comprendre des mots nouveaux et les utiliser à bon escient.
Compétence 5 « La culture humaniste »
PRATIQUER LES ARTS ET AVOIR DES REPÈRES EN HISTOIRE DES ARTS
Pratiquer le dessin et diverses formes dexpressions visuelles et plastiques.
Compétence 7 « L autonomie et l initiative »
S APPUYER SUR DES MÉTHODES DE TRAVAIL POUR ÊTRE AUTONOME
Respecter des consignes simples, en autonomie.
Etre persévérant dans toutes les activités.
! Pour ce faire, l enseignant doit veiller à ce que chaque élève puisse tenir tous les rôles ou presque dans la création du film : acteur, réalisateur, script, technicien son etc.Montage des images
Cest là que lon retrouve la notion de grammaire.
Les choix effectués par le réalisateur lors dun montage sont à rapprocher des choix effectués par un auteur lorsquil écrit un texte.
Le spectateur comme le lecteur doit comprendre les intentions de lauteur.
Connaître les différents cadrages, les angles de prise de vue permet de mieux « écrire » son film.
Identifier certains effets visuels revient à identifier les fonctions des mots dans une phrase.Compétence 1 « La maîtrise de la langue française »
ÉCRIRE
Utiliser ses connaissances pour réfléchir sur un texte, mieux lécrire.
ÉTUDE DE LA LANGUE : GRAMMAIRE
Identifier les fonctions des mots dans la phrase.
Compétence 7 « Lautonomie et linitiative »
SAPPUYER SUR DES MÉTHODES DE TRAVAIL POUR ÊTRE AUTONOME
Respecter des consignes simples, en autonomie.
Etre persévérant dans toutes les activités.
Commencer à savoir s auto-évaluer dans des situations simples.
Soutenir une écoute prolongée
! Pour ce faire, l enseignant doit utiliser au mieux les ressources à sa disposition. Le montage doit être fait par les élèves dans la mesure du possible. S il dispose dun TBI, cest loccasion de lutiliser pour faire voir à tous tout en permettant à chacun de participer.Analyser les productions...
Le film réalisé, les élèves présentent leur production. Les spectateurs veillent à la compréhension et la cohérence du récit, à la qualité plastique des images : composition, photographie, rendu du mouvement pour un film danimation...
Compétence 1 « La maîtrise de la langue française »
DIRE
S'exprimer à l'oral comme à l'écrit dans un vocabulaire approprié et précis.
LIRE
Repérer dans un texte des informations explicites.
Inférer des informations nouvelles (implicites).
Repérer les effets de choix formels
Utiliser ses connaissances pour réfléchir sur un texte, mieux le comprendre.
Compétence 5 « La culture humaniste »
PRATIQUER LES ARTS ET AVOIR DES REPÈRES EN HISTOIRE DES ARTS
Reconnaître et décrire des uvres préalablement étudiées.
! Pour ce faire, l enseignant peut organiser des débats à la manière des débats littéraires ou philosophiques dans le cadre de la classe ou avec des spectateurs extérieurs. La diffusion sur Internet par exemple donne une toute autre dimension au travail des élèves et les critiques apportées dautant mieux entendues et constructives.L'illustration sonore
Elle doit être pensée dès le départ.
Tout le travail mené au long de lannée en musique (écoute musicale, création dinstruments, travail de la voix, travail sur les rythmes
) doit contribuer à la création de la bande sonore.Compétence 4 « La maîtrise des technologies usuelles de linformation et de la communication »
S'INFORMER, SE DOCUMENTER
Chercher des informations par voie électronique.
Découvrir les richesses et les limites des ressources de l'internet.
Compétence 5 « La culture humaniste »
PRATIQUER LES ARTS ET AVOIR DES REPÈRES EN HISTOIRE DES ARTS
Reconnaître et décrire des uvres préalablement étudiées.
Interpréter de mémoire une chanson, participer à un jeu rythmique ; repérer des éléments musicaux caractéristiques, simples.! Pour ce faire, l enseignant doit diversifier le plus possible les Suvres étudiées pour développer la créativité des élèves ou au contraire les recentrer sur un domaine particulier au service d un projet spécifique : travail sur le bruitage pour illustrer une histoire où chaque personnage est représenté par un instrument par exemple.
Annexe 2
Calendrier des interventions
DateDéroulementMatériel et intervenantsObservationMardi 11 décembre
9 h 12 hDébat autour du handicap :
Mise en situation : Rentrée dans la classe en aveugle moitié de classe aveugle. Aucune consigne pour les « voyants ». Vous devez rentrer en classe et faire comme dhabitude : aller à leur place, défaire leur cartable, le ramener dans le couloir, enlever leur blouson, le mettre au porte-manteau et revenir à leur place.
Ecriture : que sest-il passé pour vous ? racontez en quelques lignes (qui sont personnelles, pas lues au groupe)
Discussion sur ce que les enfants ont vécu, les questions quils se posent
Jeu avec lancer dans une cible (les aveugles du départ deviennent les voyants) : la question qui émerge « Il y a des choses quon ne peut pas faire quand on est aveugle, viser par exemple, donc un certain nombre de sports
Echange entre Michel Le Besnerai (champion de France de tir à larc, non voyant) et Paolo Ricco (père délève et archer au club de Léognan voyant) qui discutent et répondent aux interrogations de leur point de vue de « voyant » et de « non-voyant » pour effectuer les mêmes gestes.
Mise en situation en extérieur sur proposition dun élève pour évaluer de quelle façon on peut être sûr dêtre face à la cible et comment ajuster son tir (problème de la distance)
Discussion avec les enfants sur dautres situations du quotidien: échange monnaie, faire les courses, retirer de largent à un distributeur, boîte de médicament
sur questionnements des élèves
Handi-tri-attitude film de 18 minBandeaux air-France et écharpes 15
Caméscope
Carnet décriture
Poubelle de la classe et balle en papier
Cible utilisée en salle à 18 m
Arc et flèches
Etonnamment, les enfants qui sont « aveugles » se mettent à écrire sans se poser de questions. Je les laisse faire pendant un petit moment avant de leur dire denlever leur bandeau.
Michel Le Besnerai et Paolo ne rentrent dans la classe quà ce moment-là.
Allée devant ancien portail
En ½ cercle dans la salle polyvalente (à la demande de Michel Le Besnerai pour une écoute plus facile)
Pas fait à voir plus tardSensibilisation sur le point de vue (réalisé en classe en préalable)
Une action unique et plusieurs points de vue : travail préalable sur le choix dune situation à explorer de différents points de vue. Ecriture dun pitch collectif.
Mardi 22/01
14 h
14 h 30
14 h 45
15 h
15h15-15h35 (premiers)
15 h 40 16 h (seconds)
15h40- 16 h (premiers)
16 h à 16 h 20 (seconds)
16h20
16 h 30Première partie (1 h maximum)
Mise en situation : Michel A. et un autre adulte (moi par défaut mais difficile puisque je mène la séance en même temps) présentent une saynète mimée aux élèves, répartis en cercle (ordre précis en fonction des futurs groupes de travail) autour de lespace « scène ». De cette manière, tout le monde voit la saynète mais pas sous le même angle. La saynète est décomposée en trois parties :
Un personnage se prépare dans un lieu supposé être chez lui, se réveille, déjeune, shabille, se coiffe etc
Il se déplace avec un objet (valisette) imaginaire et arrive dans un lieu supposé être son lieu de travail où il change de tenue pour séquiper dune sorte de combinaison, ouvre sa valisette, en sort des outils imaginaires et se lance dans des réparations
Lautre personnage arrive comme sil était au volant dune voiture, simpatiente, klaxonne. Le premier personnage abandonne sa réparation et va faire le plein de la voiture et laver le parebrise.
Travail décriture : chaque élève est donc assis pour observer la scène qui se joue au centre. A chaque fin dacte, je leur demande de raconter en quelques lignes ce quils ont vu ou cru voir et ce quils supposent de la suite de lhistoire. Je leur annonce que je vais récupérer leurs écrits à la fin de laprès-midi pour mémoire de latelier.
Elaboration dun scénario commun : les élèves sont mis par groupe de 4 ou 5 (ce seront les groupes qui travailleront ensemble par la suite) ayant le même angle de vue sur la saynette. Ils doivent se mettre daccord sur une version de lhistoire et lécrire en quelques lignes.
Mise en commun et débat : compte-rendu oral de chaque groupe et confrontation des différents points de vue avec justification.
Deuxième partie (2 h maximum sans récré)
Du statut de spectateur à celui de réalisateur :
La teneur de latelier est donnée au groupe entier.
Vous allez devoir nous raconter une petite histoire mais cette fois-ci, votre papier et votre crayon seront juste un appareil photo numérique. Pourtant ceux qui la liront devront parfaitement comprendre ce que vous avez voulu raconter. Pour cela vous aurez le droit de prendre
. ? photos uniquement, moins si vous voulez mais pas plus. Vous naurez quun quart dheure pour faire ce travail. Vous serez par groupe de 4 ou 5, les mêmes que tout à lheure. Lorsque vos photos seront faites, vous reviendrez en classe pour les transférer sur lordinateur afin de pouvoir les faire voir au groupe ensuite.
Réalisation :
En deux fois si possible (4 groupes dabord puis les trois autres). Les enfants qui ne prennent pas les photos en premier font autre chose dans la salle sous ma surveillance.
Chaque groupe part avec un adulte afin de réaliser ses photos. Ladulte nest là que pour surveiller (ou filmer) et veiller à ce que les groupes ne communiquent pas entre eux. Ce sont les enfants qui décident de ce quils vont faire et comment.
Contraintes :
Ils ne doivent jamais se trouver sur le même lieu quun autre groupe. (organisation prévue : chaque adulte sait quels sont les lieux accessibles pour le groupe si les élèves émettent le souhait de les utiliser)
Le sujet imposé est donné à chaque groupe sur une bande de papier (les groupes ignorent quils ont le même sujet) : « un élève sort pour aller aux toilettes. »
Transfert des photos sur lordinateur du TBI :
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Chaque groupe transfère ses photos dans un dossier préalablement créé sur lordinateur et leur donne un ordre précis afin de pouvoir les visionner correctement.
Visionnage des sujets un par un :
Chaque élève écrit une phrase pour raconter ce quil comprend de chaque histoire (sauf la sienne)
Débriefing :
Nous faisons le point sur ce qui a été appris lors de cet atelier et dans laprès-midi, sur les enjeux véritables de ce que nous avons proposé et de ce que nous attendons pour la suite des séances.
Nous essayons de trouver des solutions aux problèmes qui se sont posés
Nous annonçons le travail de la prochaine séance : travail sur la sonorisation du diaporama, début décriture des scénarii de nos futurs courts-métrages.Lieu : salle 14
Matériel : tables chaises, lit de repos (ou fauteuil roulant), feuilles et crayons.
Caméscopes (au moins 2)
2 adultes acteurs
1 qui filme
Les autres en « secrétaires » pour les élèves non-scripteurs
Lieu : salle 14
1 adulte par groupe
2 qui filment
1 qui surveille le reste de la classe
7 appareils photos numériques
Papiers crayons Bande papier sujet
Fiche consignes adulte
Fiche groupe et lieux
Fiche outils sur les plans, angles de vue à insérer dans le cahier culturel.
Ordinateur portable
Ordi + TBI
Le fait davoir mis le second personnage sur mon fauteuil roulant pour simuler la voiture a induit les élèves en erreur. Vu la thématique du projet, ils ont cru à une personne handicapée et non un automobiliste. ! intéressant néanmoins de constater pour eux qu un contexte spécifique peut influencer l interprétation d une scène. J ai quand même pris la décision de corriger leur erreur en cours d écriture en précisant « ceci n est pas un fauteuil roulant » (je pourrai à loccasion leur faire découvrir le tableau de Magritte.
Chaque groupe sest décidé et sest organisé très vite.
Chacun a décidé de prendre les photos dans lordre : un des groupes a eu plus de mal à se mettre daccord sur lordre, étonnant dailleurs, que certains préféraient.
Discussion très riche sur les diverses interprétations faites du sujet imposé. Les élèves se sont rendu compte de limportance du choix des plans, du cadrage, de leffet produit par certains effets (flou), de langle de vue
Le groupe qui avait choisi un ordre particulier : élève qui lève le doigt, WC vu de dessus flou
a expliqué que lélève pensait aux WC mais quils navaient pas fait le flou exprès !
Les séances sont préparées (rencontres entre moi et Michel ainsi quentre Christophe et Michel pour mettre au point suivie déchanges mail pour ajuster) au fur et à mesure en fonction du travail effectué réellement lors de la séance précédente, des constatations faites lors de la séance débriefingÀ÷Á÷Â÷Ã÷Ä÷Å÷Æ÷Ç÷È÷É÷Ê÷Ë÷Ì÷Í÷Î÷Þ÷ß÷à÷á÷â÷ã÷ä÷å÷æ÷ç÷û÷ ø/øNøöööööööööööööööööööööööööööö $IfgdË>
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laöyt Mk (1/2 heure à peu près) entre adultes qui suit la séance avec les élèves, des résultats obtenus.
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