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4. Poussée d'un fluide sur une paroi verticale - Université Virtuelle ...

Mécanique des fluides. Statique des fluides. Mr Riadh Ben Hamouda. Attention ! Ce produit pédagogique numérisé est la propriété exclusive de l'UVT.




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Mécanique des fluides
Statique des fluides



Mr Riadh Ben Hamouda

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Objectifs du chapitre :
Ce chapitre est consacré à l’étude des fluides au repos. Les lois et théorèmes fondamentaux en statique des fluides y sont énoncés. La notion de pression, le théorème de Pascal, le principe d’Archimède et la relation fondamentale de l’hydrostatique sont expliqués.
Les questions et problèmes tels que le calcul des presses hydrauliques la détermination de la distribution de la pression dans un réservoir, ainsi que tous les ouvrages en contacts avec des fluides sont basés sur les lois et théorèmes fondamentaux de la statique des fluides.
Au terme de ce chapitre l’étudiant doit être capable:
- d’appliquer la relation fondamentale de l’hydrostatique,
- d’énoncer le théorème de Pascal,
- de calculer le torseur associé aux forces de pression d’un fluide sur une paroi plane verticale,
- de déterminer la position du centre de poussée.
- d’évaluer la poussée d’Archimède agissant sur un corps immergé dans un fluide,
Pré-réquis :
- Connaître le calcul torsoriel
- Connaître le calcul d’intégral,
- Connaître le principe fondamental de la statique,
Eléments de contenu :
 TOC \o "1-3" \h \z \u  HYPERLINK \l "_Toc205207328" 1 Notion de pression en un point d’un fluide  PAGEREF _Toc205207328 \h 4
 HYPERLINK \l "_Toc205207329" 2 Relation fondamentale de l’hydrostatique  PAGEREF _Toc205207329 \h 6
 HYPERLINK \l "_Toc205207330" 3 Théorème de Pascal  PAGEREF _Toc205207330 \h 8
 HYPERLINK \l "_Toc205207331" 3.1 Enoncé  PAGEREF _Toc205207331 \h 8
 HYPERLINK \l "_Toc205207332" 3.2 Démonstration  PAGEREF _Toc205207332 \h 8

 HYPERLINK \l "_Toc205207333" 4 Poussée d’un fluide sur une paroi verticale  PAGEREF _Toc205207333 \h 8
 HYPERLINK \l "_Toc205207334" 4.1 Hypothèses  PAGEREF _Toc205207334 \h 8
 HYPERLINK \l "_Toc205207335" 4.2 Eléments de réduction du torseur des forces de pression  PAGEREF _Toc205207335 \h 9
 HYPERLINK \l "_Toc205207336" 4.2.1 Résultante  PAGEREF _Toc205207336 \h 9
 HYPERLINK \l "_Toc205207337" 4.2.2 Moment  PAGEREF _Toc205207337 \h 9
 HYPERLINK \l "_Toc205207338" 4.3 Centre de poussée  PAGEREF _Toc205207338 \h 10
 HYPERLINK \l "_Toc205207339" 5 Théorème d’Archimède  PAGEREF _Toc205207339 \h 11
 HYPERLINK \l "_Toc205207340" 5.1 Énoncé  PAGEREF _Toc205207340 \h 11
 HYPERLINK \l "_Toc205207341" 5.2 Démonstration  PAGEREF _Toc205207341 \h 11




















Notion de pression en un point d’un fluide
La pression est une grandeur scalaire. C’est l’intensité d’une force divisée par la surface sur laquelle elle est exercée.
Elle est définie en un point A d’un fluide par l’expression suivante :
 EMBED Equation.3 





où :
dS : Surface élémentaire de la facette de centre A (en mètre carré),
 EMBED Equation.3 : Vecteur unitaire en A de la normale extérieure à la surface,
 EMBED Equation.3 : Force élémentaire de pression qui s’exerce sur la surface (en Newton),
PA : pression en A (en Pascal),
Sur la surfacz de centre A, d’aire dS, orientée par sa normale extérieure EMBED Equation.3 , la force de pression élémentaire  EMBED Equation.3  s’exprime par :
 EMBED Equation.3 
Exemple : Chaque cm2 de surface de notre peau supporte environ 1 kg (force) représentant le poids de l'atmosphère. C'est la pression atmosphérique au niveau de la mer. Nous ne la ressentons pas car notre corps est incompressible et ses cavités (estomac, poumons, etc. ) contiennent de l'air à la même pression.
Si on s'élève de 5 000 m, la pression atmosphérique est deux fois plus faible qu'au niveau de la mer car la masse d'air au-dessus de notre tête est alors moitié moindre. D’où la nécessité d’une pressurisation des avions.
En plongée sous-marine, pour mesurer la pression, on utilise le plus souvent le bar: 1 bar = 1 kg / cm2.

Plus on descend profond, plus la pression est élevée car il faut tenir compte du poids de l'eau au-dessus de nous : à 10 mètres de profondeur, chaque cm2 de notre peau supportera un poids égal à :
1 cm2 X 10 m (profondeur) = 1 cm2 X 100 cm = 1000 cm3 = l’équivalent du poids d’1 litre d’eau. Le poids d’un litre d’eau douce est égal à 1kg. Le poids d’un litre d’eau de mer est un plus important (à cause du sel qu’elle contient) : 1,026 kg.
En négligeant cette différence, on considérera que de manière générale un litre d'eau pèse 1 kg.
Par conséquent, la pression due à l'eau à 10 m de profondeur est donc de 1 kg / cm2, c'est-à-dire 1 bar. Si on descend à nouveau de -10 m, la pression augmentera à nouveau de 1 bar. C’est ce qu’on appelle la pression hydrostatique (pression due à l'eau). On l'appelle aussi pression relative car c'est une pression par rapport à la surface.
La pression hydrostatique (comme la pression atmosphérique) s’exerce dans toutes les directions (et pas simplement de haut en bas).

Remarque :
L’unité internationale de pression est le Pascal : 1 Pa = 1 N/m². Cette unité est très petite. On utilise le plus souvent ses multiples. En construction mécanique, résistance des matériaux , etc.,l’unité utilisée est le méga pascal :
1 MPa= 1 N/mm2=106 Pa
En mécanique des fluides on utilise encore très souvent le bar. Le bar est égal à peu près à la pression atmosphérique moyenne :
1 bar = 105 Pa.
Relation fondamentale de l’hydrostatique
Considérons un élément de volume d’un fluide incompressible (liquide homogène de poids volumique EMBED Equation.3 ). Cet élément de volume a la forme d’un cylindre d’axe (G,  EMBED Equation.3 ) qui fait un angle  EMBED Equation.3  avec l’axe vertical (O, EMBED Equation.3 ) d’un repère R(O, EMBED Equation.3 , EMBED Equation.3 , EMBED Equation.3 ). Soit l la longueur du cylindre et soit dS sa section droite.
 SHAPE \* MERGEFORMAT 

Soit G1 d’altitude Z1 et G2 d’altitude Z2, les centres de surface de sections droites extrêmes.
Etudions l’équilibre du cylindre élémentaire, celui-ci est soumis aux :
actions à distance : son poids :  EMBED Equation.3 
actions de contact : forces de pression s’exerçant sur :
la surface latérale : £ EMBED Equation.3 .
les deux surfaces planes extrêmes :  EMBED Equation.3  et  EMBED Equation.3 .avec P1 et P2 les pressions du fluide respectivement en G1 et en G2.
Le cylindre élémentaire étant en équilibre dans le fluide, écrivons que la résultante des forces extérieures qui lui sont appliquées est nulle :
 EMBED Equation.3 
En projection sur l’axe de symétrie (G, EMBED Equation.3 ) du cylindre,
 EMBED Equation.3 
Exprimons la différence de pression P1 – P2 après avoir divisé par dS et remarqué que  EMBED Equation.3 
 EMBED Equation.3  : Relation fondamentale de l’hydrostatique.
Autre forme plus générale :
En divisant les deux membres de la relation précédente par  EMBED Equation.3  :
 EMBED Equation.3 
Comme G1 et G2 ont été choisis de façon arbitraire à l’intérieur d’un fluide de poids volumique EMBED Equation.3 , on peut écrire en un point quelconque d’altitude Z, ou règne la pression p :
 EMBED Equation.3 
Théorème de Pascal
3.1 Enoncé
Dans un fluide incompressible en équilibre, toute variation de pression en un point entraîne la même variation de pression en tout autre point.
3.2 Démonstration
Supposons qu’au point G1 intervienne une variation de pression telle que celle-ci devienne EMBED Equation.3 .  EMBED Equation.3  étant un nombre algébrique. Calculons la variation de pression  EMBED Equation.3  qui en résulte en G1.
Appliquons la relation fondamentale de l’hydrostatique entre G1 et G2 pour le fluide
à l’état initial:  EMBED Equation.3  (1)
à l’état final : EMBED Equation.3  (2)
En faisant la différence entre les équations (2) et (1) on obtient :  EMBED Equation.3 .
D’où  EMBED Equation.3 
Poussée d’un fluide sur une paroi verticale
4.1 Hypothèses
La paroi verticale possède un axe de symétrie (G, EMBED Equation.3 ). G est son centre de surface. D’un coté de la paroi il y a un fluide de poids volumique EMBED Equation.3 , de l’autre coté, il y a de l’air à la pression atmosphérique Patm. On désigne par PG la pression au centre de surface G du coté fluide.






4.2 Eléments de réduction du torseur des forces de pression
Connaissant la pression PG au point G, la pression PM au point M est déterminée en appliquant la relation fondamentale de l’hydrostatique : EMBED Equation.3 
Dans le repère (G, EMBED Equation.3 ,  EMBED Equation.3 , EMBED Equation.3 ) défini sur la figure : yG=0 et yM =y, donc  EMBED Equation.3 
Exprimons la force de pression en M :  EMBED Equation.3 
Soit  EMBED Equation.3  le torseur associé aux forces de pression relative :
 EMBED Equation.3 
4.2.1 Résultante
 EMBED Equation.3 
que l’on peut écrire en mettant en facteur les termes constants :
 EMBED Equation.3 
On note que  EMBED Equation.3  (aire de la paroi),
 EMBED Equation.3  : Moment statique de la surface S par rapport à l’axe (G, EMBED Equation.3 ), donc
 EMBED Equation.3 
4.2.2 Moment
 EMBED Equation.3 
Dans le repère (G, EMBED Equation.3 ,  EMBED Equation.3 , EMBED Equation.3 ) on peut écrire:
 EMBED Equation.3  et  EMBED Equation.3 ,
donc  EMBED Equation.3 
Sachant que  EMBED Equation.3  donc  EMBED Equation.3 
On sait que  EMBED Equation.3  et  EMBED Equation.3  : Moment quadratique de la surface S par rapport à l’axe (G, EMBED Equation.3 ) passant par le centre de surface G. Donc
 EMBED Equation.3 
En résumé :
 EMBED Equation.3 
4.3 Centre de poussée
On cherche à déterminer un point G0 où le moment résultant des forces de pression est nul.
Compte tenu de l’hypothèse de symétrie, si ce point existe il appartient à l’axe (G, EMBED Equation.3 ) et il est tel que :
 EMBED Equation.3 .
Ecrivons alors que :
 EMBED Equation.3 
Avec les résultats précédents, on obtient :
 EMBED Equation.3 ,
ce qui conduit à
 EMBED Equation.3 
Go existe , il s’appelle le centre de poussée de la paroi.
Remarque :
Le centre de poussée est toujours au-dessous du centre de surface G.
Théorème d’Archimède
5.1 Enoncé
Tout corps plongé dans un fluide reçoit de la part de ce fluide une force (poussée) verticale, vers le haut dont l'intensité est égale au poids du volume de fluide déplacé (ce volume est donc égal au volume immergé du corps).
PARCH=Áfluide.Vimm.g SHAPE \* MERGEFORMAT 
5.2 Démonstration
Dans un fluide (E) de poids volumique  EMBED Equation.3 , imaginons un certain volume de fluide (E1) délimité par un contour fermé (S) :
 SHAPE \* MERGEFORMAT  SHAPE \* MERGEFORMAT 
Si le fluide est au repos, il est évident que (E1) est en équilibre sous l’effet des actions mécaniques extérieures suivantes :
Action de la pesanteur, modélisable par le torseur :  EMBED Equation.3 
Action des forces de pression  EMBED Equation.3 du fluide (E2) qui entoure (E1) modélisable par le torseur : EMBED Equation.3 
On peut donc écrire l’équation d’équilibre de (E1) : EMBED Equation.3 
Nous savons qu’en G, centre de gravité du fluide (E1) le torseur des forces de pesanteur se réduit à un glisseur : EMBED Equation.3 
Il est donc évident qu’au même point G le torseur des forces de pression  EMBED Equation.3  se réduira lui aussi à un glisseur :
 EMBED Equation.3 
L’équation d’équilibre de la portion de fluide (E1) s’écrit : EMBED Equation.3 
(E1) est ici une portion de fluide et  EMBED Equation.3  EMBED Equation.3  est le poids du fluide occupant le volume (E1). Si le volume (E1) est occupé par un solide immergé ayant le même contour S, les forces de poussée sur ce contours (S) sont les mêmes , ce qui revient à dire que la force de poussée ne dépend que du volume du fluide déplacé et non pas de la nature du solide immergé (plomb, acier, etc).
Conclusion :
Tout corps solide immergé dans un fluide en équilibre est soumis de la part de celui-ci à des forces de pression  EMBED Equation.3  dont les actions mécaniques sont modélisables au centre de gravité du fluide déplacé par un glisseur dont la résultante est directement opposée au poids du fluide déplacé.
 EMBED Equation.3 
Remarques :
1er cas : Si le solide immergé est homogène alors le centre de poussée G, point d’application de la poussée d’Archimède sera confondu avec le centre de gravité du solide. L’équilibre du solide est indifférent.
 SHAPE \* MERGEFORMAT  SHAPE \* MERGEFORMAT 
2ième cas : Si le solide immergé est hétérogène alors le centre de poussée G, point d’application de la poussée d’Archimède n’est pas confondu avec le centre de gravité Gs du solide. L’équilibre du solide est stable si G est au dessus de GS. L’équilibre du solide est instable si G est au dessous de GS.
 SHAPE \* MERGEFORMAT 










Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie
Université Virtuelle de Tunis


Mécanique des fluides
Statique des fluides


 PAGE \* MERGEFORMAT 3Mr Riadh Ben Hamouda


Z

 EMBED Equation.3 

 EMBED Equation.3 

dS

A

 EMBED Equation.3 

 EMBED Equation.3 

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 EMBED Equation.3 

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G1

G2

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 EMBED Equation.3 

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Z2

Z1

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 EMBED Equation.3 

G

 EMBED Equation.3 

dS

M

y

Go

yo

 EMBED Equation.3 

Fluide

Solide immergé S

Fluide

Volume imaginaire (E1)
Délimité par le contour S

Volume (E2)
extérieur au contour S

 EMBED Equation.3 

Poids de (E1)

 EMBED Equation.3 

Fluide

Solide immergé S

G

Poids du solide

 EMBED Equation.3 

Fluide

Solide immergé S

G

Poids du solide

GS

Position stable





Université Virtuelle de Tunis